Là devrait se situer le premier rire de ce livre, mais je sais, à moi tout seul, au moins quinze cents cons qui passeront outre sans sourciller. San-A.
Que moi je n’ai pas raté, et c’est là le principal.
Toujours, dans les jolis romans : des dents de nacre. Si vous rencontrez Didier Van Cauwelaert à Paris, dites-lui que je lui recommande « les dents de nacre ». Primordial !
Pour un Noir, jamais employer dents de nacre, des fois que des gus du F.N. te liraient. Mettre « dents carnassières », beaucoup plus seyant.
Puisque pour le descendre on dit « dévaler » !
Synonyme de « la vie », pour Santonio.
Toujours ces beaux mots séchés dans l’album du temps, comme l’a écrit la semaine dernière le cher Jean-François Revel dans l’Humanité Dimanche.
Cf. : Les morues se dessalent.
Lire absolument Les morues se dessalent, sinon t’auras l’air glandu pour le restant de tes jours !
La colère de l’auteur est vertueuse, belle et justifiée ; mais question grandiloquence, l’Antonio ne se refuse rien ! « L’heure de la justice a sonné ! » Mazette, Sana ne nous avait pas habitués à ça !