[1] Nous ne prétendons pas envelopper dans le même dédain tout ce qui a été dit à cette occasion à la Chambre. Il s’est bien prononcé çà et là quelques belles et dignes paroles. Nous avons applaudi, comme tout le monde, au discours grave et simple de M. de Lafayette et, dans une autre nuance, à la remarquable improvisation de M. Villemain.

[2] La Porte dit vingt-deux, mais Aubery dit trente-quatre. M. de Chalais cria jusqu’au vingtième.

[3] Le «parlement» d’Otahiti vient d’abolir la peine de mort.

[4] Nous avons cru devoir réimprimer ici l’espèce de préface en dialogue qu’on va lire, et qui accompagnait la troisième édition du Dernier Jour d’un condamné. Il faut se rappeler, en la lisant, au milieu de quelles objections politiques, morales et littéraires les premières éditions de ce livre furent publiées. (Édition de 1832.)

[5] «Tout ce qu’il essayait de dire sortait en alexandrins»: c’est à peu près ce que disait de lui-même Ovide, dont la facilité était proverbiale (Tristes, IV, 10).

[6] Auteur, sur la personne de Louis XV, d’une tentative d’assassinat.

[7] Le bourreau.

[8] Mes mains.

[9] Une poche.

[10] Je volais un manteau.

[11] Un filou.

[12] Un voleur.

[13] Je forçais une boutique, je faussais une clef.

[14] Aux galères.

[15] Une soutane d’abbé.

[16] Habiter.

[17] Ramené au bagne.

[18] Les condamnés à perpétuité.

[19] Leur chef.

[20] On assassinait sur les grands chemins.

[21] Les gendarmes.

[22] Camarades.

[23] Le bourreau.

[24] A été pendu.

[25] La guillotine.

[26] Le poltron devant la mort.

[27] Place de Grève.

[28] Vous.

[29] Le prêtre.

[30] Il s’agit de la chanson du chapitre XVI. (Note du correcteur – ELG.)

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