Примечания

1

L’affaire de la succession d’Artois, l’un des plus grands drames d’héritage de l’histoire de France – et dont il sera souvent question dans ce volume et les suivants – se présentait de la manière que voici :

Saint Louis avait donné, en 1237, la comté-pairie d’Artois en apanage à son frère Robert. Ce Robert Ier d’Artois eut un fils, Robert II, qui épousa Amicie de Courtenay, dame de Conches. Robert II eut deux enfants : Philippe, mort en 1298 de blessures reçues à la bataille de Furnes, et Mahaut qui épousa Othon, comte palatin de Bourgogne.

À la mort de Robert II, tué en 1302 (donc quatre ans après son fils Philippe) à la bataille de Courtrai, l’héritage du comté fut réclamé à la fois par Robert III, fils de Philippe, – notre héros – et par Mahaut, sa tante, laquelle invoquait une disposition du droit coutumier artésien.

Philippe le Bel, en 1309, trancha en faveur de Mahaut. Celle-ci, devenue régente du comté de Bourgogne par la mort de son mari, avait marié ses deux filles, Jeanne et Blanche, au second et au troisième fils de Philippe le Bel, Philippe et Charles ; la décision qui la favorisa fut grandement inspirée par ces alliances qui apportaient notamment à la couronne la comté de Bourgogne, ou Comté-Franche, remise en dot à Jeanne. Mahaut devint donc comtesse-pair d’Artois.

Robert ne devait pas se tenir pour battu, et, pendant vingt ans, avec une âpreté rare, soit par action juridique, soit par action directe, il allait poursuivre contre sa tante une lutte où tous les procédés furent employés de part et d’autre : délation, calomnie, usage de faux, sorcellerie, empoisonnements, agitation politique, et qui, comme on le verra, se termina tragiquement pour Mahaut, tragiquement pour Robert, tragiquement pour l’Angleterre et pour la France.

D’autre part, en ce qui concerne la maison, ou plutôt les maisons de Bourgogne, liées comme à toutes les grandes affaires du royaume à cette affaire d’Artois, nous rappelons au lecteur qu’il y avait à l’époque deux Bourgognes absolument distinctes l’une de l’autre : la Bourgogne-Duché qui était terre vassale de la couronne de France, et la Bourgogne-Comté qui formait un palatinat relevant du Saint Empire. Le duché avait Dijon pour capitale, et le comté, Dole.

La fameuse Marguerite de Bourgogne appartenait à la famille ducale ; ses cousine et belle-sœur, Jeanne et Blanche, à la maison comtale.

2

On appelait au Moyen Âge du terme imagé de bougette ou bolgète la bourse qu’on portait à la ceinture, ou le sac qu’on pendait à l’arçon de la selle, et qui y « bougeait ». Le mot, passé en Angleterre et prononcé « boudgett », désigna également le sac du trésorier du royaume, et par extension le contenu. Ceci est l’origine du terme « budget » qui nous est revenu d’Outre-manche.

3

L’Ordre souverain des Chevaliers du Temple de Jérusalem fut fondé en 1128 pour assurer la garde des Lieux saints de Palestine, et protéger les routes des pèlerinages. Sa règle, reçue de saint Bernard, était sévère. Elle imposait aux chevaliers la chasteté, la pauvreté, l’obéissance. Ils ne devaient « trop regarder face de femme… ni… baiser femelle, ni veuve, ni pucelle, ni mère, ni sœur, ni tante, ni nulle autre femme ». Ils étaient tenus, à la guerre, d’accepter le combat à un contre trois et ne pouvaient pas se racheter par rançon. Il ne leur était permis de chasser que le lion.

Seule force militaire bien organisée, ces moines-soldats servirent d’encadrement aux bandes souvent désordonnées qui formaient les armées des croisades. Placés en avant-garde de toutes les attaques, en arrière-garde de toutes les retraites, gênés par l’incompétence ou les rivalités des princes qui commandaient ces années d’aventure, ils perdirent en deux siècles plus de vingt mille des leurs sur les champs de batailles, chiffre considérable par rapport aux effectifs de l’Ordre. Ils n’en commirent pas moins, vers la fin, quelques funestes erreurs stratégiques.

Ils s’étaient montrés, pendant tout ce temps, bons administrateurs. Comme on avait grand besoin d’eux, l’or de l’Europe afflua dans leurs coffres. On remit à leur garde des provinces entières. Pendant cent ans, ils assurèrent le gouvernement effectif du royaume latin de Constantinople. Ils se déplaçaient en maîtres dans le monde, n’ayant à payer ni impôts, ni tribut, ni péage. Ils ne relevaient que du pape. Ils avaient des commanderies dans toute l’Europe et le Moyen-Orient ; mais le centre de leur organisation était à Paris. Ils furent amenés par la force des choses à faire de la grande banque. Le Saint-Siège et les principaux souverains d’Europe avaient chez eux leurs comptes courants. Ils prêtaient sur garantie, et avançaient les rançons des prisonniers. L’empereur Baudouin leur engagea « la vraie Croix ».

Expéditions, conquêtes, fortune, tout est démesuré dans l’histoire des Templiers, jusqu’à la procédure même qui fut employée pour parvenir à leur suppression. Le rouleau de parchemin qui contient la transcription des interrogatoires de 1307 mesure à lui seul 22 m 20.

Depuis ce prodigieux procès, les controverses n’ont jamais cessé ; certains historiens ont pris parti contre les accusés, d’autres contre Philippe le Bel. Il n’est pas douteux que les accusations portées contre les Templiers étaient, en grande partie, exagérées ou mensongères ; mais il n’est pas douteux non plus qu’il y ait eu chez eux d’assez profondes déviations dogmatiques. Leurs longs séjours en Orient les avaient mis en contact avec certains rites perpétués de la religion chrétienne primitive, avec la religion islamique qu’ils combattaient, voire avec les traditions ésotériques de l’Égypte ancienne. C’est à propos de leurs cérémonies initiatiques que se forma, par une confusion très habituelle à l’Inquisition médiévale, l’accusation d’adoration d’idoles, de pratiques démoniaques et de sorcellerie.

L’affaire des Templiers nous intéresserait moins si elle n’avait des prolongements jusque dans l’histoire du monde moderne. Il est connu que l’Ordre du Temple, aussitôt après sa destruction officielle, se reconstitua sous la forme d’une société secrète internationale, et l’on a les noms de grands-maîtres occultes jusqu’au XVIIIème siècle.

Les Templiers sont à l’origine du Compagnonnage, institution qui existe encore aujourd’hui. Ils avaient besoin, dans leurs commanderies lointaines, d’ouvriers chrétiens. Ils les organisèrent et leur donnèrent une règle nommée « devoir ». Ces ouvriers, qui ne portaient pas l’épée, étaient vêtus de blanc ; ils firent les croisades et bâtirent au Moyen-Orient ces formidables citadelles, construites selon ce qu’on appelle en architecture « l’appareil des croisés ». Ils acquirent là-bas un certain nombre de méthodes de travail héritées de l’Antiquité et qui leur servirent à édifier en Occident les églises gothiques. À Paris, ces compagnons vivaient soit dans l’enceinte du Temple, soit dans le quartier avoisinant, où ils jouissaient de « franchises », et qui demeura pendant cinq cents ans le centre des ouvriers initiés.

Par le truchement des sociétés de compagnons, l’Ordre du Temple se rattache aux origines de la franc-maçonnerie. On retrouve en celle-ci les « épreuves » des cérémonies initiatiques et jusqu’à des emblèmes très précis qui non seulement sont ceux des anciennes compagnies d’ouvriers, mais, fait plus étonnant encore, figurent sur les murs de certaines tombes d’architectes de l’Egypte pharaonique. Tout donne donc à penser que ces rites, ces emblèmes, ces procédés de travail, furent rapportés en Europe par les Templiers.

4

La datation utilisée au Moyen Âge n’était pas la même que celle employée de nos jours, et en outre elle changeait d’un pays à l’autre.

L’année officielle commençait, en Allemagne, en Suisse, en Espagne et au Portugal, le jour de Noël ; à Venise, le 1er mars ; en Angleterre, le 25 mars ; à Rome, tantôt le 25 janvier et tantôt le 25 mars ; en Russie, à l’équinoxe de printemps.

En France, le début de l’année légale était le jour de Pâques. C’est ce qu’on appelle le « style de Pâques », ou « style français », ou « ancien style ». Cette singulière coutume de prendre une fête mobile comme point de départ de datation amenait à avoir des années qui variaient entre trois cent trente et quatre cents jours. Certaines années avaient deux printemps, l’un au début, l’autre à la fin.

Cet ancien style est la source d’une infinité de confusions, et il en surgit de grandes difficultés dans l’établissement d’une date exacte. Ainsi selon l’ancien style, la fin du procès des Templiers se plaçait en 1313, puisque Pâques, l’année 1314, tomba le 7 avril.

C’est seulement en décembre 1564, sous le règne de Charles IX, avant-dernier roi de la dynastie Valois, que le début de l’année légale fut fixé au premier janvier.

La Russie n’adopta le « nouveau style » qu’en 1725, l’Angleterre en 1752, et Venise, la dernière, à la conquête de Bonaparte.

Les dates données dans ce récit sont naturellement accordées sur le nouveau style.

5

L’hôtel des Templiers, ses annexes, ses « cultures », et toutes les rues avoisinantes formaient le quartier du Temple dont le nom s’est perpétué jusqu’à nous. C’est dans la grande tour qui avait servi de geôle pour Jacques de Molay que Louis XVI fut enfermé quatre siècles et demi plus tard. Il n’en sortit que pour être conduit à la guillotine. Cette tour disparut en 1811.

6

Les sergents étaient des fonctionnaires subalternes chargés de différentes tâches d’ordre public et de justice. Leur rôle se confondait sensiblement avec celui des huissiers (gardiens des portes) et des massiers. Il était parmi leurs attributions d’escorter ou de précéder le roi, les ministres, les maîtres du Parlement et de l’Université.

Le bâton de nos sergents de ville actuels est une lointaine survivance du bâton des sergents d’autrefois, de même que la masse que portent encore les massiers dans les cérémonies universitaires.

Il y avait, en 1254, soixante sergents spécialement affectés à la police de Paris.

7

On ne peut voir pire crétin…

8

Cette concession, faite à certaines corporations marchandes, de vendre aux abords ou dans la demeure du souverain semble venir d’Orient. À Byzance, c’étaient les marchands de parfums qui avaient droit de tenir boutique devant l’entrée du palais impérial, leurs essences étant la chose la plus agréable qui pût parvenir aux narines du Basileus.

9

La tour de Nesle, d’abord tour Hamelin du nom du prévôt de Paris qui avait présidé à sa construction, et l’hôtel de Nesle occupaient l’emplacement actuel de l’Institut de France et de la Monnaie. Le jardin était bordé au couchant par le rempart de Philippe Auguste, dont les fossés, qu’on appelait sur cette partie les « fossés de Nesle », ont servi de tracé à la rue Mazarine. L’ensemble fut scindé en Grand Nesle, Petit Nesle, et séjour de Nesle ; sur ses diverses parties s’élevèrent ultérieurement les hôtels de Nevers, de Guénégaud, de Conti, des Monnaies. La Tour ne fut détruite qu’en 1663 pour permettre la construction du collège Mazarin ou des Quatre Nations, affecté depuis 1805 à l’Institut.

10

Le papier de coton, qu’on pense d’invention chinoise, et qui s’appela d’abord « parchemin grec » parce que les Vénitiens l’avaient trouvé en usage en Grèce, fit son apparition en Europe vers le Xème siècle. Le papier de lin (ou de chiffe) fut importé d’Orient un peu plus tard par les Sarrasins d’Espagne. Les premières fabriques de papier s’établirent en Europe au cours du XIIIème siècle. Pour des raisons de conservation et de résistance, le papier n’était jamais utilisé dans les documents officiels qui devaient supporter des « sceaux pendants ».

11

C’est à partir de ces assemblées instituées sous Philippe le Bel que les rois de France prirent l’habitude de recourir à des consultations nationales qui, par la suite, reçurent le nom d’États généraux, et d’où sont issues, à leur tour, après 1789, nos premières institutions parlementaires.

12

La notion du temps étant, au Moyen Âge, beaucoup moins précise qu’aujourd’hui, on employait pour désigner les différentes parties de la journée, la division ecclésiastique en prime, tierce, none et vêpres.

Prime commençait environ à six heures du matin. Tierce s’appliquait aux heures de la matinée. None au temps de midi et au milieu de la journée. Et vêpres ou la vêprée (avec une distinction entre haute et basse vêprée) à toute la fin du jour jusqu’au coucher du soleil.

13

Dans la répartition des juridictions religieuses établie au très haut Moyen Âge, Paris ne figurait que comme évêché. De ce fait, il n’apparaît pas dans la liste des vingt et une « métropoles » de l’Empire énumérées au testament de Charlemagne. Paris relevait, et continua de relever jusqu’au XVIIème siècle, de l’archidiocèse de Sens. L’évêque de Paris était suffragant de l’archevêque de Sens, c’est-à-dire que les décisions ou sentences prononcées par le premier venaient en appel devant l’officialité du second.

Paris ne prit rang d’archevêché que sous le règne de Louis VIII.

14

Les prévôts étaient des fonctionnaires royaux qui cumulaient les fonctions aujourd’hui réparties entre les préfets, les chefs de subdivisions militaires, les commissaires divisionnaires, les agents du Trésor, du fisc et de l’enregistrement. C’est assez dire qu’ils étaient rarement aimés. Mais déjà, à cette époque, en certaines régions, ils commençaient de partager leurs attributions avec des receveurs de finance.

15

La tenue des veuves de la noblesse, assez semblable au vêtement des religieuses, se composait d’une longue robe noire, sans ornement ni bijoux, d’une guimpe blanche enfermant le cou et le menton, et d’un voile blanc posé sur les cheveux.

16

Depuis la fin du XIème siècle et l’établissement de la dynastie normande, la noblesse d’Angleterre était en majeure partie de souche française. Constituée d’abord par les barons normands compagnons de Guillaume le Conquérant, renouvelée avec les Angevins et les Aquitains des Plantagenets, cette aristocratie conservait sa langue et ses habitudes d’origine.

Au XIVème siècle, le français était toujours le parler habituel de la cour, ainsi qu’en témoigne le Honni soit qui mal y pense prononcé par le roi Edouard III à Calais en rattachant la jarretière de la comtesse de Salisbury, parole qui devint la devise de l’ordre de la Jarretière.

La correspondance des rois était rédigée en français. De nombreux seigneurs anglais avaient d’ailleurs des fiefs dans les deux pays.

Notons aussi, à ce point de notre récit, que le roi Edouard III dans les deux premières années de sa vie, vint deux fois en France. Au cours du premier voyage, en 1313, il avait failli périr étouffé dans son berceau par la fumée d’un incendie qui s’était déclaré à Maubuisson. C’est son second voyage, fait avec sa mère seule, que nous relatons ici.

17

Le bachelier, dans la hiérarchie féodale, tenait le rang intermédiaire entre le chevalier et l’écuyer. Ce titre s’appliquait soit aux gentilshommes qui n’avaient pas les moyens de lever une bannière, c’est-à-dire une troupe personnelle, soit à de jeunes seigneurs en attente de recevoir la chevalerie. L’écuyer, au sens littéral, portait l’écu du chevalier, mais le mot était souvent employé comme terme générique pour désigner bacheliers et varlets.

18

On appelait chevaucheurs les courriers chargés des messages officiels. Les princes souverains, les papes, les grands seigneurs et les principaux dignitaires civils ou ecclésiastiques avaient chacun leurs propres chevaucheurs qui portaient costume à leurs armes. Les chevaucheurs royaux avaient droit de réquisition par priorité pour se procurer des montures de rechange en cours de route. Les chevaucheurs pouvaient facilement, en relayant, franchir cent kilomètres par jour.

19

Le terme de maltôte – du bas latin mala tolta, mauvaise prise, mauvaise levée – fut adopté par le peuple pour désigner un impôt sur les transactions institué par Philippe le Bel, et qui consistait en une taxe d’un denier à la livre sur le prix des marchandises vendues. Ce fut cette taxe de 0,50 %, si l’on comptait en livres tournois, et de 0,33 %, si l’on comptait en livres parisis, qui déclencha de graves émeutes et laissa le souvenir d’une mesure financière écrasante.

20

Le poison ainsi désigné était vraisemblablement le sulfo cyanure de mercure. Ce sel donne, par combustion, de l’acide sulfureux, des vapeurs mercurielles et des composés cyanhydriques pouvant déclencher une intoxication à la fois cyanhydrique et mercurielle.

Presque tous les poisons du Moyen Âge étaient d’ailleurs à base de mercure, matière de prédilection des alchimistes. Le nom de « serpent de Pharaon » est passé ultérieurement à un jouet d’enfant dans la fabrication duquel ce sel était utilisé.

21

Philippe le Bel peut être considéré comme le premier roi gallican. Boniface VIII, par la bulle Unam Sanctam, avait déclaré : «… que toute créature humaine est soumise au Pontife romain, et que cette soumission est une nécessité de son salut. » Philippe le Bel lutta constamment pour l’indépendance du pouvoir civil en matière temporelle. Au contraire, son frère Charles de Valois était résolument ultramontain.

22

Les Archives, au temps de Philippe le Bel, étaient une institution relativement récente. La fondation n’en remontait qu’à Saint Louis qui avait voulu qu’on groupât et classât toutes les pièces intéressant les droits et coutumes du royaume. Jusque-là les pièces étaient gardées, quand elles l’étaient, par les seigneurs ou par les communes ; le roi ne conservait par devers lui que les traités, ou les documents concernant les propriétés de la couronne. Sous les premiers capétiens, ces pièces étaient placées dans un fourgon qui suivait tous les déplacements du roi.

23

Institués vers le milieu du XIIIème siècle, les bourgeois du roi constituaient une catégorie particulière de sujets qui, en réclamant la justice du roi, se détachaient, soit de leurs liens de sujétion envers un seigneur, soit de leurs obligations de résidence dans une ville, et dès lors ne relevaient plus que du pouvoir central.

Cette institution prit un grand développement sous Philippe le Bel. On peut dire que les bourgeois du roi furent les premiers Français à avoir un statut juridique comparable à celui du citoyen moderne.

24

Assomme-le.

25

Oui…d’accord…faisons ainsi…

26

Frère…archevêque.

27

Ayez confiance.

28

Pour leur porter malheur.

29

La première « maison commune » de Paris, appelée d’abord Maison de la marchandise, puis, à partir du XIème siècle, Parloir aux Bourgeois, était située aux parages du Châtelet. Ce fut Étienne Marcel, en 1357, qui transféra les services municipaux et le lieu d’assemblée des bourgeois dans une maison de la place de Grève, à l’emplacement actuel de l’Hôtel de Ville de Paris.

30

Ce cri de taille-hors est l’origine du mot taïaut, toujours employé en vénerie, pour signaler qu’on voit l’animal, qu’il est « hors taille » ou, « hors taillis ».

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