Les histoires d’amitié sont comme les
histoires d’amour : les héros meurent à la fin.
C’est leur façon de bien finir.
Si tu avances, tu meurs.
Si tu recules, tu meurs.
Alors à quoi bon reculer ?
On n’a rien à gagner à emmerder
des gens qui n’ont rien à perdre.
Il ne faut jamais se torcher le cul avec un ticket de métro, surtout s’il a été poinçonné.
Combien de fois la carrière d’un vieux cycliste aura-t-elle été interrompue par le col du fémur ?
Je n’ai jamais rencontré de « porc d’agrément » et je le regrette. Quelle compagnie ce serait pour l’homme !