Sources Le vrai du faux

Ne cherchez pas Sean Lorenz dans les musées et les galeries d’art contemporain, il est la cristallisation de plusieurs peintres dont j’apprécie le travail, et qui n’ont heureusement pas connu un destin aussi tragique.

Inutile aussi de vous rendre quai Voltaire pour explorer la boutique de Jean-Michel Fayol, son personnage, fictif, m’a été en partie inspiré par la lecture d’articles sur l’entreprise Kremer Pigmente, créée par Georg Kremer, ainsi que par celle de médias en ligne évoquant la collection de pigments du Straus Center for Conservation and Technical Studies à Cambridge, dont on dit qu’elle est unique au monde.

Enfin, certains d’entre vous auront remarqué dans ce roman le passage furtif de personnages ou l’évocation de lieux nés dans mes précédents livres. J’espère que ces quelques clins d’œil vous feront sourire. Ils sont en tout cas, chers lecteurs, le témoignage de ma reconnaissance pour votre présence fidèle.

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