REMERCIEMENTS

Une fois encore, je dois remercier beaucoup de monde pour l’aide que j’ai reçue en écrivant ce livre.

Tous les professionnels qui m’ont apporté leurs conseils, leur soutien, leur amitié et m’ont sauvé du ridicule à plusieurs reprises : Nat Sobel, Judith Weber et l’équipe de Sobel Weber Associates ; Caspian Dennis et l’équipe d’Abner Stein Ltd ; Geoff Mulligan, Briony Everroad, Alison Hennessey et l’équipe de Harvill Secker et Vintage Books ; Bronwen Hruska, Juliet Grames et l’équipe de Soho Press.


Ceux qui m’ont généreusement offert leur savoir et leur expérience durant mes recherches : Ruth Dudley Edwards, qui m’a ouvert les couloirs du pouvoir irlandais et a fait preuve d’une merveilleuse écoute ; Mary McVeigh, pour qui le Dublin des années 60 n’a pas de secrets ; James Benn, qui m’a orienté vers de précieuses sources historiques et s’est montré un compagnon de voyage fantastique ; Jay Faulkner, pour l’initiation à l’escrime ; l’Armagh Branch Library et l’Irish & Local Studies Library où j’ai pu écrire et mener mes recherches. Toute erreur, toute liberté prise avec la réalité historique sont entièrement de ma responsabilité.


Mes amis et les membres de ma famille qui m’ont soutenu sans relâche : mon adorable femme Jo, qui réussit à me supporter même quand je ne le mérite pas ; notre fille Issy, qui m’a finalement permis de resserrer les fils de mon histoire ; les clans Neville et Atkinson, deux familles jamais avares d’encouragements ; mon meilleur ami et indéfectible conseiller en poésie, le Dr. James Morrow ; Betsy Dornbusch, sans qui j’aurais renoncé à écrire il y a des années ; David Torrans et tous ceux de No Alibis à Belfast, qui tiennent l’une des meilleures librairies de la planète ; Hilary Knight, qui travaille si dur pour moi ; mes nombreux amis dans le cercle du roman policier, dont la gentillesse n’a pas de limites ; notre fidèle Sweeny, avec ses poils et ses bonds d’excitation, qui m’a emmené faire de longues promenades quand je réfléchissais aux pages du lendemain.

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