À Marguerite Desguine,
cette prose à enfermer
dans son armoire à poisons.
Affectueusement
La persécution étant une maladie au moins aussi répandue que le rhume des foins ou la blennorragie, des dégourdis croient se reconnaître dans mes bouquins et portent le pet.
J’insiste énergiquement sur le fait que mes personnages sont fictifs. Toute ressemblance avec des tordus existants ou ayant existé ne serait, comme dit l’autre, qu’une coïncidence.