Mon paf de pèlerin à la main, je poursuivrai ma route stoïquement.
Le Gros a puisé ce texte dans celui d’une chanson du début du siècle ; pardonnons-lui ce menu plagiat s’il peut faire avancer sa grosse affaire !
Evidemment : l’agent Bambois ! Quel con, ce Sana !
Si t’es pas aussi con que je le crains, grouille-toi d’aller acheter Le casse de l’oncle Tom ; y a déjà plein de gens qui sont morts de ne pas l’avoir lu !
Tu peux compter : les pieds y sont. En tout cas le sien !
Note aux pudibonds indignés : inutile de m’écrire, je ne lis pas les lettres, sauf celle de Mme de Sévigné.
Qu’on appelle « neige » en argot de salon.
Tout nous incite à supposer que Bérurier veut parler là d’un « état comateux ».
Astuce san-antoniaise, pauvrette, mais qui mérite un sourire. Merci.
Textuel. Un copain à moi a même acheté la plaque SANA 100.
Ce qui est résolument mensonger puisqu’au contraire je suis bidroitier.
Si tu collectionnes les alexandrins, je t’offre celui-là.
Je viens de penser que mon cher Bernard Royneau dirige une agence Avis, et moi qu’ai choisi Hertz ! Je te demande pardon, Bernard. Enlève l’étiquette jaune sur le minibus, colle-z’en une rouge à la place et remplace partout Hertz par Avis, je ne voudrais pas qu’il y ait quoi que ce soit entre nous !
Lapsus (la moi) consécutif à la rapidité d’écriture. Ce bâcleur d’Antonio veut dire que son écœurement va croissant.
Sana veut probablement parler de Clark Gable.
Je mets un « s » à pomme parce que celles de la gonzesse sont à l’intérieur dudit chemisier.
Du verbe apparoir, que pour le conjuguer, tiens, fume !
Attention : euphémisme, mets pas le pied dedans !
Ben oui, y en a un ! Il existe bien une marine suisse !