(Si vous faites partie de ces lecteurs qui lisent les remerciements avant de lire le reste, sachez que ceux-là révèlent le dénouement de mon intrigue…)
MERCI…
À mes filles et à mon mari qui, tous les ans pendant mes phases d’écriture, endurent avec une infinie patience mon épuisement chronique, mes plaintes, mon incapacité à écouter qui que ce soit, le grand huit imprévisible de mes émotions et mes errances en pyjama ou en jogging, les cheveux gras et le regard hagard. Je n’ai pas de soutien plus précieux dans l’écriture que ceux qui me supportent au quotidien.
À mes parents pour leur soutien et leur enthousiasme sans faille au fil des années, pour leurs retours toujours honnêtes et bienveillants, souvent les plus précieux pour améliorer mes manuscrits et leur foi en ma capacité qui me donnent des ailes, depuis que je suis toute petite.
À mes frères, Olivier, Clément et Paul, les meilleurs frères du monde, les plus cool, les plus gentils, les plus tout (j’ai enquêté, c’est officiel) et qui prennent le temps de me lire, même quand ils ne l’ont pas.
Et bien sûr, pour ce roman de la sororité, à mes (belles-)sœurs :
À Camille Vareille qui réussit tout, qui n’a peur de rien et qui m’inspire l’envie de faire toujours mieux et plus, plutôt que de regarder Netflix sur le canapé,
À Inès Vareille, dont la gentillesse et la générosité n’ont d’égales que la force de conviction qu’elle met à obliger chaque personne qu’elle rencontre à lire la totalité de mes romans et pour avoir été l’une des premières personnes à lire et à commenter ce livre,
Et, bien sûr, à Olivia Vareille qui, dans la nuit du 13 au 14 septembre 2020 a traversé la Manche à la nage en 13 h 28 minutes (tout à fait légalement, avec un bateau, dans le bon sens, mais sans combinaison) et qui a non seulement inspiré cette histoire, mais a répondu avec moult détails à toutes mes questions de débutante sur le sujet.
Un très grand merci à toute l’équipe des éditions Charleston qui défend mes romans avec autant d’enthousiasme que de talent :
À Karine Bailly de Robien et Pierre-Benoît de Veron, pour le renouvellement de leur confiance à chaque nouvel opus.
À Laury-Anne Frut, pour ses observations toujours fines, intelligentes et franches depuis 2015 (et merci d’avoir laissé la vie sauve à ce pauvre Esteban, je te connais, je sais qu’il a failli y passer…).
À Danaé Tourrand-Viciana, pour son enthousiasme à la lecture des premiers chapitres de ce roman, ses remarques, et sa vision de long terme.
À Alice Bercker, qui effectue le pénible travail des dernières retouches et des derniers allers-retours avec une patience et un souci du détail admirables.
À Caroline Obringer pour sa bonne humeur et sa redoutable efficacité, à Christine Cameau pour son travail d’édition, à Virginie Lancia, Laure Paradis, Émeline Loysier et Stefania Zuin, pour tout leur travail de promotion.
À Sophie Rouvier et Tonie Behar, pour vos retours sur ce texte qui ont participé à le rendre meilleur et pour être la meilleure équipe d’écriture qui soit. Pas sûre que j’aurais fini ce roman dans les temps sans notre Boot Camp WhatsApp !
À Carène Ponte, Isabelle Lagarrigue, Cynthia Kafka et Mélusine Huguet, pour vos retours constructifs et bienveillants sur ce texte qui m’ont permis de sensiblement améliorer mes premières versions.
À mes cousins du Pas-de-Calais, Patrice et Marie-Josée Covens-Lemaire, qui m’ont fait découvrir avec disponibilité et gentillesse le cap Gris-Nez, Audresselles et Ambleteuse, lors d’une journée ensoleillée de visite passionnante qui m’a permis de m’imprégner de l’atmosphère de la si belle côte d’Opale.
À tous ceux qui soutiennent de près ou de loin mes histoires et mes personnages auprès des lecteurs, ceux qui m’écrivent et me motivent au quotidien : libraires passionnés, journalistes, influenceurs et influenceuses, amis et membres de ma famille plus ou moins proches qui recommandent ou offrent mes romans à ceux qui leur sont chers.
Et enfin, merci à toi, cher lecteur, chère lectrice, d’avoir passé ces quelques heures avec moi et d’avoir eu la patience et l’enthousiasme de me lire jusqu’au bout de ces remerciements.