L’enthousiasme provoqué par les livres de San-Antonio va crescendo. Voici quelques attestations puisées au hasard dans l’énorme courrier qui arrive chaque jour au commissaire par camions frigorifiques.
Je voudrais trouver un mot qui résume mon admiration.
Votre talent va croissant.
Bravo, San-Antonio.
Quand je reste un mois sans San-Antonio, je vois rouge !
Enfin un auteur qui n’en fait qu’à sa tête.
C’est Vérigoud !
Je reste sans voix.
Quand je lis San-Antonio, je me pose objectivement la question suivante :
— Pourquoi pas quarante et UN ?
Vos san-antoniaiseries nous font beaucoup de tort.
Lorsqu’un ouvrage de San-Antonio passe la porte de notre établissement, aussitôt les morues se dessalent.
Les bras m’en tombent.