Aux femmes de ma vie,
à Christine, à Hélène, à Mauricette,
et à Salvadora, qui me l'a donnée.
En mémoire de Jean Théfaine,
qui m'avait fait promettre « d'en faire un livre »,
et de Marc Robine, qui avait montré la voie.
L'œuvre d'un homme, c'est l'explication de cet homme.
Ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.
La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin.
Le vrai tombeau des morts, c'est le cœur des vivants.
Y en a qui ont le cœur si large
Qu'on y entre sans frapper…
Y en a qui ont le cœur dehors
Et ne peuvent que l'offrir…
Allons il faut partir
N'emporter que son cœur
Et n'emporter que lui
Mais aller voir ailleurs…