Le passé simple du verbe extraire n’existe pas et je n’ai pas le temps de l’inventer ce matin car il faut que j’aille « au » dentiste !
On pense que c’était Balthazar le noirpiot des trois rois mages, mais la légende varie sur la question.
Calembour particulièrement désastreux, mais que l’auteur place néanmoins ici pour témoigner de son stoïcisme.
Si tu trouves cette parenthèse superflue ou trop longue, raye-la proprement, ce qui te donnera un beaucoup plus seyant : « … lorsque Mme Dumanche-Ackouihl paraît ».
Toujours éviter au max le verbe dire, m’a recommandé mon prof de français. D’où mes « rayonna-t-il, consentit-il, s’emporta-t-il, crut-il bon de préciser, fit-il valoir, ne manqua-t-il pas d’affirmer, tourna-t-il les talons, explosa-t-il, articula-t-il, etc. » C’est beau, la littérature. C’est contournable, c’est jonglable, privilégiable, désarticulable, enculable, etc.
Et alors ? C’est mon problème, non ?
Peut s’écrire également « sans suie », quand il est question d’un Noir.
Signé San-Antonio ! Depuis Victor Hugo, on n’a jamais fait mieux ! Ça, c’est de la littérature !
J’aurais pu les appeler carrément « cons », ils n’auraient pas sourcillé davantage !