Des corbeaux et des corneilles. Des rats.

La brume et les nuages. Les insectes et la corruption.

Des événements étranges et des développements déconcertants.

Le monde ordinaire bouleversé et distordu. Tant de bizarreries !

Les morts arpentent la terre, et certains vivants peuvent les voir. D’autres en sont incapables, mais tous, de plus en plus nombreux, nous redoutons la nuit.

Ainsi ont été nos jours. Se déversant d’un ciel mort, ils se sont abattus sur nous comme une tempête, jusqu’à ce que d’une seule voix nous implorions : « Que ça commence enfin ! »


Journal d’un érudit inconnu,

entrée pour la fête de Freia, 1000 NE.

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