Ma première pensée est pour Pascaline, évidemment. Pour sa patience, ses épuisantes relectures. Sa présence.
Et puis, bien sûr, merci à tous :
à Samuel, pour ses innombrables conseils et dépannages (parfois en haute voltige) qui ont été des alliés sûrs et précieux. Merci à lui d’avoir si bien compris qu’ici le sens primerait sur l’exactitude… Aucune des erreurs qui subsistent ne lui est évidemment imputable ;
à Gérald, pour ses remarques utiles à un moment où le texte le méritait ;
à Joëlle de Cubber pour ses conseils médicaux et sa réactivité ;
à Éric Prungnaud, dont la lecture et les observations ont été un réconfort au moment qui convenait ;
à Cathy, mon affectueux sponsor ;
à Gérard Guez, pour son accueil et son affection ;
et à Charles Nemes qui m’a proposé le titre de ce livre lors d’un repas (d’ailleurs pas si arrosé que ça).
Évidemment un grand, grand merci à toute l’équipe de Calmann-Lévy.
Enfin, les lecteurs auront peut-être reconnu quelques références à Alain, Bergson, Céline, Derrida, Louis Guilloux, Hawthorne, Kant, Norman Mailer, Javier Maria, Michel Onfray, Marcel Proust, Sartre, Scott Fitzgerald et quelques autres.
Toutes ces références doivent être considérées comme des hommages.