Après la mort de Louis Bouilhet, Gustave Flaubert écrivit à propos de lui : « En perdant mon pauvre Bouilhet, j’ai perdu mon accoucheur, celui qui voyait plus clairement que moi-même. Sa mort m’a laissé un vide dont je m’aperçois chaque jour davantage. »
La Main d’Ecorché, publié en 1875 sous le pseudonyme de « Joseph Prunier ». Guy de Maupassant reproduisit La Main Ecorchée dans sa préface de la traduction en français, par Gabriel Mourey, des Poems and Ballads d’Algernon Swinburne (1891).
Au bord de l’eau fut publié dans l’édition du 20 mars 1876 de la revue La République des Lettres, sous le pseudonyme de « Guy de Valmont ».
Paul Alexis, Henri Céard, Léon Hennique et J. K. Huysmans.
Ces week-ends sont brièvement décrits par Guy de Maupassant dans quelques unes de ses chroniques.
Un peu plus de 30 ont précédemment été publiés en papier ; certains des livres de ces Œuvres complètes sont des regroupements de mon fait, ce qui porte ce nombre à 58.
Depuis 1981, environ, ont appelle ça « gauche-caviar ».
Auteur de l’extraordinaire, très dense et très volumineux Les origines de la France contemporaine ; une autre lecture que je recommande absolument, parce qu’elle est la seule qui raconte, sans ne jamais céder à l’auto-censure, les véritables évènements de la Révolution Française.
Edmond de Goncours se sentit personnellement attaqué par la critique de Maupassant à l’égard du « précieux » et de l’« artistique » en littérature, et il ne le lui pardonna jamais.