Evidemment : il est complètement glabre !
Note pour mes potes de l’imprimerie : laissez le tréma sur Päris, ils en foutent sur presque tous les mots en Finlande. Merci.
Du verbe « forcener », 1er groupe. Se conjugue comme empaffer.
Je le connais ; hormis le vitriol et l’huile de ricin, il n’y a rien de plus horrible à avaler au monde !
Tu l’as dans l’os, hein ? Tu croyais que j’allais refaire le coup de « l’ineffable de La Fontaine » ? Je me renouvelle, moi, mon pote ; c’est le secret de la durée.
Comme ne va pas manquer de l’écrire Bertrand Poirot-Delpech.
Les romans de notre futur collègue sont certes grivois, mais on s’instruit à leur lecture. Ils constituent l’ultime source culturelle pour la jeunesse.
A ne pas confondre avec « récurrente » qui signifie : revenir en arrière.
San-Antonio a pour habitude de donner ce patronyme à tous les sujets russes dont il ignore le vrai nom.