Ce qu’en dira (vraisemblablement) la critique :
Je ne puis crier que trois mots : bravo, bravo et encore bravo !
Ce que j’aurais voulu pouvoir écrire.
On ne peut trouver langue aussi châtiée, intérêt aussi soutenu que dans les Guides Bleus… et encore !
L’Himalaya du roman noir ! Et encore je n’ai pas lu l’ouvrage dans le texte, mais par-dessus l’épaule d’un usager du métro.