Ca n'est pas drôle, coupa monsieur Weasley. S'il continue à défier le ministère comme ça, il pourrait se retrouver à Azkaban. Et la dernière chose dont on ait besoin c'est que Dumbledore soit enfermé. Tant que vous savez qui sait que Dumbledore est dans les parages et qu'il devine ses plans, il fera très attention. Si Dumbledore est mis hors jeu, vous savez qui aura le champ libre.

Mais si Voldemort essaye de recruter plus de mangemorts, on finira bien par savoir qu'il est de retour non ? demanda désespérément Harry.

Voldemort ne se présente pas directement chez les gens, en frappant à leur porte, Harry, dit Sirius. Il leur joue des tours, leur jette des sorts, les fait chanter. Il est assez bien entraîné à faire ses coups en douce. De toute façon, la seule chose qui l'intéresse, c'est de rassembler des troupes. Il a aussi d'autres plans qu'il peut mettre rapidement en marche et c'est d'ailleurs là-dessus qu'il se concentre en ce moment.

Et à quoi pense-t-il alors, à part ses troupes ? demanda vivement Harry .

Il crut voir Sirius et Lupin s'échanger un rapide regard, avant que Sirius ne réponde.

A quelque chose qu'il ne peut obtenir qu'en le volant

Comme Harry continuait à avoir l'air déconcerté, Sirius reprit : Comme une arme. Quelque chose qu'il n'avait pas la dernière fois...

Quand il été au sommet de sa puissance ?


Oui

Quel genre d'arme ? demanda Harry. Quelque chose de plus puissant que Avada Kedavra ?

Ca suffit ! dit Mme Weasley dans l'embrasure de la porte.

Harry n'avait pas remarqué qu'elle était redescendue après avoir été coucher Ginny. Elle croisait les bras d'un air furibond.

Je veux que vous alliez tous au lit maintenant. Tous ! ajouta-t-elle en regardant Georges, Fred, Ron et Hermione.

Tu ne peux pas nous obliger, commença Fred.

Regardez-moi bien ! tempêta Mme Weasley. Elle tremblait légèrement en regardant Sirius. Vous avez donné à Harry beaucoup de détails. Si vous continuez vous auriez aussi vite fait de le faire rejoindre l'Ordre.

Bonne idée, dit Harry. Je veux le rejoindre ! Je veux me battre !

Non !

Ce n'était pas Mme Weasley, cette fois-ci, mais Lupin.

L'Ordre est constitué de sorciers confirmés, dit-il. Ca veut dire de sorciers qui ont quitté l'école, ajouta-t-il en regardant Fred et Georges qui avaient commencé à ouvrir la bouche. Il y a de tels dangers en jeu, que vous n'en avez pas la plus petite idée. Je pense que Molly a raison Sirius. On en a dit assez.

Sirius haussa à moitié les épaules mais ne protesta pas. Mme Weasley fit un signe impérieux à ses fils et à Hermione. Un par un, ils montèrent les marches et, Harry, se reconnaissant vaincu, ferma la marche.


Chapitre 6 : La noble et

très anciennes maison des blacks .

Mme Weasley les suivit jusqu'en haut, l'air sévère.

« Je veux que vous alliez tous directement au lit, sans parler, » dit-elle alors qu'ils atteignait le premier étage « Nous aurons une journée chargée demain. Je crois que Ginny est endormie, » ajouta-t-elle à Hermione « alors essaie de ne pas la réveiller. »

« Endormie, ouais, c'est ça, » dit Fred à mi-voix, après que Hermione leur ait souhaité bonne nuit et qu'ils montaient jusqu'au deuxième. « Si Ginny n'est pas couché en train d'attendre que Hermione lui raconte tout ce qui s'est dit en bas, alors je suis un Flobberworm. »

« Très bien, Ron, Harry, » dit Mme Weasley au deuxième étage, leur désignant la porte de leur chambre «Allez au lit »

« 'nuit, » dirent Harry et Ron aux jumeaux.

« Dormez bien, » dit Fred en leur faisant un clin d'œil.

Mme Weasley ferma la porte derrière Harry en un claquement sec. La chambre semblait, si c'était possible, plus sombre et plus obscure qu'elle l'avait semblé à première vue. La peinture vierge sur le mur respirait maintenant très lentement et profondément, comme si ses occupants invisibles étaient endormis. Harry mit son pyjama, enleva ses lunettes et entra dans son lit glacé pendant que Ron lançait des bonbons pour hibou sur le dessus de son armoire pour pacifier Hedwige et Coquecigrue, qui claquait du bec et froissait leurs ailes sans arrêt.

« On ne peut pas les laisser sortir tout les jour, » expliqua Ron alors qu'il enfilait son pyjama marron. « Dumbledore ne veut pas qu'il y a trop de hibou volant dans les environ, il crois que ça aurait l'air suspect. Oh ouais, j'avais oublié. »

Il coupa à travers la pièce jusqu'à la porte et le verrouilla.

« Pourquoi tu fais ça? »

« Kreacher, » dit Ron alors qu'il fermait la lumière. « La première nuit que j'ai passée ici, il est errait ici à trois heure du matin. Crois moi, tu ne veux pas te réveillez alors qu'il est là à rôder dans ta chambre. Quand même. » Il alla dans son lit, s'installa sous les couvertures puis se retourna pour regarder Harry dans l'obscurité; Harry pouvait voir son profil grâce au clair de lune filtrant à travers la vitre sale.

« Qu'est-ce que t'en pense? »

Harry n'avait pas besoin de demander à Ron ce que cela voulait dire. « Eh bien, il n'en ont pas dit bien plus que ce qu'on aurait pu déduire, n'est-ce pas? » dit-il, pensant à tout ce qui avait été dit en bas. « Je veux dire, tout ce qu'il nous ont vraiment révélé c'est que l'Ordre essaie d'empêcher les gens de rejoindre Vol- »

Ron inspira fortement.

« -demort » dit Harry fermement, « Quand va tu commencer à utiliser son nom? Sirius et Lupin le font. »

Ron ignora ce dernier commentaire.


« Ouais, tu as raison, » dit-il « On savait déjà environ tout ce qu'ils nous ont dit à force d'utiliser les Oreilles Extensibles. Le seul nouveau truc était- »

CRACK.

« Ouch! »

« Garde la voix basse, Ron, ou 'man va revenir. »

« Vous venez d'atterrir sur mes genoux! »

« Ouais, ben, c'est plus difficile dans le noir »

Harry vit les silhouettes embrouillées de Fred et Georges sauté en bas du lit de Ron. Les ressorts grincèrent et le matelas de Harry descendu de quelques pouces alors que Georges s'assoyait près de ses pieds.

« Alors, vous y êtes? » demanda Georges avidement.

« L'arme que Sirius a mentionnée? » dit Harry.

« Il s'est échappé plutôt » dit Fred avec plaisir, maintenant assis à côté de Ron. « On n'a pas entendu parler de ça sur nos vieilles Oreilles Extensible, non? »

« Qu'est ce que vous croyez que c'est? » dit Harry.

« Ça pourrait être n'importe quoi » dit Fred.

« Mais il n'y a rien de pire que l'Avada Kedavra » dit Ron « Qu'est-ce qui est pire que la mort? »

« Peut-être que c'est quelque chose qui peut tuer beaucoup de personne à la fois »

suggéra Georges.

« Peut-être que c'est une façon particulièrement douloureuse de tuer quelqu'un » dit Ron emplit de peur.

« Il a déjà le sort Crucio pour causer la douleur » dit Harry « il n'a pas n'a besoin de rien de plus efficace que ça »

Il y eut une pause et Harry su que les autres, comme lui, se demandait quelles horreurs cette arme pouvait pénétrer.

« Alors, qui croyez-vous qu'il a maintenant? » demanda Georges.

« J'espère qu'il est de notre côté » dit Ron, d'un ton un peu nerveux.

« Si c'est le cas, Dumbledore doit probablement la garder » dit Fred

« Où? » demanda Ron subitement « Poudlard? »

« Je parie que c'est ça! » dit Georges « C'est là qu'il avait caché la Pierre Philosophale »

« Une arme va être bien plus grosse que la Pierre par contre! » dit Ron

« Pas nécessairement » dit Fred.

« Ouais, la grandeur n'est pas une garantie de la puissance » dit Georges

« Regarde Ginny. »

« Qu'est-ce que tu veux dire? » dit Harry.

« Tu n'as jamais été à l'extrémité recevant son sort de Chauve-Souris , n'est-ce pas? »

« Shut! » dit Fred, se levant à moitié du lit « Écoutez! »

Ils se firent silencieux. Des pas montait l'escalier.

« Maman » dit Georges et sans plus de cérémonie il y eu un crack sourd et Harry sentit le poid au bout de son lit disparaître. Quelques secondes plus tard, ils entendirent le plancher craquer de l'autre côté de leur porte; Mme Weasley était simplement en train d'écouter, pour vérifier si oui ou non ils étaient en train de parler. Hedwidge et Coquecigrue hululèrent tristement. Le plancher grinça encore et il entendirent le son s'éloigner vers le haut des escaliers pour vérifier chez Fred et Georges.

« Elle ne nous fait pas du tout confiance, tu sais » dit Ron avec regret.


Harry était sûre qu'il serait incapable de s'endormir; la soirée avait été si emplie de choses auxquelles penser qu'il croyait entièrement qu'il restera allongé et éveillé pendant des heures à remuer tout ça. Il voulait continuer à parler avec Ron mais Mme Weasley redescendait maintenant en faisant grincer le plancher. Et quand elle fut partie il entendit distinctement les autres faisant leur chemin jusqu'à l'étage.

En fait, des créatures aux multiples jambes galopait doucement du côté extérieur de la porte de sa chambre, et Hagrid le professeur de Soin aux Créatures Magiques disait :

« Magnifique, n'est-ce pas, hein, Harry? On va étudier les armes cette étape-ci »

Et Harry vit que les créatures avaient des canons pour tête et roulaient pour lui faire face. Il se baissa. Et la prochaine chose qu'il su était qu'il était roulé en boule sous ses draps et la voix grave de Georges emplissait la pièces.

« 'Man dit de se lever, votre déjeuné est dans la cuisine et ensuite elle a besoin de vous dans la salle des portraits, il y bien plus de Doxys qu'elle ne le croyait et elle a trouvé un nid de Puffskeins mort sous le sofa. »

Une demie heure plus tard, Harry et Ron, qui s'était habillé et avait déjeuné rapidement, entrèrent dans la salle des portraits, une pièce longue au haut plafond située au premier étage avec des murs vert olive couvert de tapisserie sale. De petits nuages de poussière s'élevait du tapis chaque fois que quelqu'un y mettait le pied. Les longs rideaux verts mousses bourdonnaient comme s'ils fourmillaient d'abeilles invisibles. C'était autour de ceux-ci qu'étaient regroupé Mme Weasley, Hermione, Ginny, Fred et Georges tous ayant un air plutôt bizarre puisqu'ils avaient tous attaché un vêtement couvrant leur nez et leur bouche. Chacun tenait aussi une large bouteille de liquide noir avec un jet à un bout.

« Couvrez vous le visage et prenez un vaporisateur » dit Mme Weasley à Harry et Ron au moment préci où elle les vit, pointant deux autres bouteilles de liquide noir se trouvant sur une table aux pieds minces.

« C'est du Doxycide. Je n'ai jamais vu une infestation aussi grave. Qu' est-ce qu'a bien pu faire cet Elf de Maison pendant les 10 dernières années? »

Le visage d'Hermione était à moitié couvert par un torchon, mais Harry vit distinctement le regard plein de reproche qu'elle lança à Mme Weasley.

« Kreacher est très vieux, il ne pouvait sans doute pas se débrouiller- »

« Tu serais surprise à quel point Kreacher peut se débrouiller quand il le veut, Hermione. » dit Sirius, qui venait juste d'entrer dans la pièce transportant un sac gorgé de sang rempli de ce qui semblait être des rats morts.

« Je viens tout juste de nourrir Buck » ajouta-t-il en réponse au regard interrogateur d'Harry. « Je le garde en haut dans la chambre de ma mère. Peu importe »

Il laissa tomber le sac dans un fauteuil, puis se pencha pour examiner le meuble verrouillé qui, Harry remarqua alors pour la première fois, s'agitait légèrement.

« Bien, Molly, je suis presque certain que c'est un épouvantail » dit Sirius, jetant un coup d'œil dans le trou de la serrure « Mais peut-être que nous devrions laisser Fol Oeil y jeter un oeil avant qu'on le laisse sortir.

Connaissant ma mère, ça pourrait être quelque chose de bien pire. »


« Comme tu veux Sirius » dit Mme Weasley.

Tout les deux parlait prudemment d'une voix clair, polie qui signifiait assez clairement pour Harry que ni l'un ni l'autre n'avait oublié leur désagrément de la veille.

Une bruyante et soude cloche sonna tout en bas, suivit pas une cacophonie de cris et de gémissement semblable à ceux qui avait été déclenchés la nuit précédente lorsque Tonks s'était cognée sur le porte-parapluie.

« Je leur avait dit de ne pas utiliser la sonnette! » dit Sirius exaspéré, se dépêchant de sortir de la pièce. Ils l'entendirent tonner jusqu'en bas des escalier tandis que les cris aigue de Mme Black résonnait dans toute la maison une fois de plus.

« Tache de déshonneur! Espèce d'impur! Traître de sang! Enfant des sales! »

« Ferme la porte s'il te plaît Harry » dit Mme Weasley.

Harry prit autant de temps qu'il osa pour ferme la porte de la salle à dessin; il voulait écouter ce qui se passait en bas. Sirius s'était de toute évidence débrouiller pour fermer les rideau devant le portrait de sa mère car elle avait arrêter de crier. Il entendit Sirius marcher dans le Hall, puis le bruit des chaînes de la porte d'entrée, et puis la voix profonde qu'il recunnu comme celle de Kingsley Shacklebolt qui disait :

« Hestia vient de me relever, alors elle a la Cape de Maugrey maintenant, mais je dois laisser un rapport pour Dumbledore »

Sentant les yeux de Mme Weasley poser derrière sa tête, Harry ferma avec regret la porte de la salle à dessin et rejoignit le groupe.

Mme Weasley était penché sur les pages du livre Guide des Nuisibles de Gilderoy Lockhart qui était déposé ouvert sur le sofa.

« Bien. Vous devez tous faire attention, car les Doxys peuvent mordre et leur dents sont empoisonnées. J'ai une bouteille d'antidote ici, mais je préférerai que personne n'en ai de besoin. »

Elle se redressa, se positionna directement devant les rideaux et leur fit signe de s'approcher.

« Quand je dis le mot, commencer à vaporiser immédiatement » dit-elle « Je suppose qu'elles viendront en volant vers vous, mais il est écrit sur les vaporisateurs qu'un bon jet les paralysera. Quand elles seront paralysé, lancer les simplement dans ce seau. »

Elle s'éloigna soigneusement de leur champ de mire et éleva son propre vaporisateur.

« Très bien. Allez-y! »

Harry n'avait vaporiser que pendant quelque secondes quand une Doxy adulte vola hors d'un trou dans le matériel, ses ailles étaient brillante et bourdonnante comme un coléoptère, ses dents étaient aiguisées et à découvert, son corps de fée était couvert d'une fourrure noir épaisse et ses quatre petits bras se déplaçait avec fureur. Harry l'a visa en pleine figure avec un nuage de Doxycide. Elle gela en l'air et tomba avec un étonnamment sourd toc sur le tapis en dessous. Harry la prit et la lança dans le seau.

« Fred, qu'est-ce que tu fais? » dit Mme Weasley sèchement. « Vaporise celle là tout de suite et met la plus loin! »

Harry regarda au alentour. Fred tenait une Doxy luttant entre son index et son pouce.


« D'accord », dit Fred clairement en vaporisant la Doxy en plein visage pour qu'elle s'évanouisse, mais aussitôt que Mme Weasley leur eu tourné le dos, il la mit dans sa poche en un clin d'oeil.

« Nous voulons faire des expérience avec le venin de Doxy pour nos Collations Maladives » dit Georges à Harry en un murmure. En vaporisant adroitement deux Doxy en même temps alors qu'elles voltigeaient directement vers son nez, Harry s'approcha de Georges et marmonna du coin de sa bouche « C'est quoi une Collation Maladive? »

« Une sorte de bonbon pour te rendre malade » murmura Georges, gardant un oeil vague dans le dos de Mme Weasley « Pas sérieusement malade, bien sûr, juste assez pour te faire sortir d'une classe quand ça te tente. Fred et moi les avons développé tout l'été.

Leur extrémité a un code de couleur. Si tu manges la moitié orange des Pastilles Vomissantes, tu vomis. Aussitôt que tu es sorti du cours pour aller vers l'infirmerie, tu avales la moitié mauve qui te remet d'aplomb te permettant de poursuivre le loisir de ton choix pendant l'heure qui aurait été autrement dévoué à un ennui peu profitable. »

« Enfin, c'est ce que nous allons dire dans l'annonce de toute façon »

murmura Fred qui se tenait hors du champs de vision de Mme Weasley et qui glissait quelque Doxy vaporiser sur le plancher et les ajoutait à celle dans sa poche.

« Mais on doit les retravailler. Pour le moment nos cobaye ont quelque difficulté à arrêter de vomir suffisamment longtemps pour avaler la moitié mauve »

« Cobaye? »

« Nous » dit Fred « Nous le faisons chacun notre tour. Georges a fait les Fantaisie Sans-Connaissance, nous avons tout les deux essayer le Nougat Nez-Saignant. »

« Maman pensait que nous avions fait un duel » dit Georges

« Vous faites toujours votre boutique de farce et attrape alors » murmura Harry, prétextant qu'il ajustait le jet de son vaporisateur.

« Eh bien, nous n'avons pas eu la chance d'avoir une boutique encore » dit Fred, baissant encore la voix alors que Mme Weasley essuyait son sourcil avec une écharpe avant de retourner à l'assaut. « Alors nous fonctionnons par commande par la poste pour le moment. Nous avons mis des annonce dans la Gazette du sorcier la semaine dernière »

« Tout les remerciement te revienne, camarade » dit Georges « mais ne t'inquiète pas,

'Man n'en a pas la moindre idée. Elle ne lis plus la Gazette à cause que ça dit des mensonge sur toi et Dumbledore. »

Harry souris. Il avait forcé les jumeau à prendre le prix de mille Galion qu'il avait gagné au Tournoi des Trois-Sorcier pour les aider à réaliser leur ambition d'ouvrir une boutique de farce et attrape, mais il était tout de même content de savoir que le fait qu'il ai subventionné leur plan était encore inconnu de Mme Weasley. Elle ne croyait pas que de tenir une boutique était une bonne carrière pour deux de ses fils.

Le dé-Doxyage des rideau pris une bonne parti de la matinée. C'était passé midi que Mme Weasley enleva finalement son écharpe protectrice, s'écroula dans un fauteuil branlant et s'éleva aussitôt avec un cri de dégoût, s'étant assis sur le sac de rat mort. Les rideaux ne bourdonnaient plus. Ils pendait étouffer par la vaporisation intensive. Aux pied de ceux-ci, des Doxy était déposé dans un seau à côté d'un bol de leur ouf noir que reniflait maintenant Pattenrond et auquel Fred et Georges lançait des regards avides


« Je crois que nous nous attaquerons à ceux là après le dîner » Mme Weasley pointait aux fenêtres poussiéreuses des portes des placards se trouvant de chaque côté de la cheminée. Ils était remplis d'un assortiment d'objet bizarre : une sélection de poignard rouillées, des griffes, une peau de serpent roulé sur elle-même, de l'argenterie terni gravé en une langue que Harry ne pouvait comprendre et, le plus exécrable de tout, une bouteille de cristal dont le bouchon était orné d'une série d'opale et Harry était persuadé qu'elle était remplie de sang.

La sonnette sonna encore. Tout le monde regarda Mme Weasley.

« Restez ici » dit-elle fermement en attrapant le sac de rat alors que les cris aigus de Mme Black recommençait « Je vais ramener quelques sandwiches »

Elle quitta la pièce, ferma précautionneusement la porte derrière elle.

Aussitôt, tout le monde accouru vers la fenêtre pour regarder en bas à la porte. Ils pouvaient voir le dessus d'une tête rousse et d'un tas de chaudron empiler avec attention.

« Mundungus! » dit Hermione « Pourquoi il a apporter tout ces chaudrons? »

« Probablement qu'il voulait un endroit sûr où les mettre » dit Harry « C'était pas ce qu'il faisait la nuit où il devait me surveiller, trouver tout ces chaudrons illégaux? »

« Ouais, tu as raison » dit Fred alors que la porte d'entrée s'ouvrait; Mundungus souleva ses chaudron et disparu à l'intérieur

« Ça alors, Maman ne va pas aimer ça »

Lui et Georges se rendirent à la porte, restèrent derrière, et écoutèrent avec attention.

Les cris de Mme Black avaient cessé.

« Mundungus est en train de parler à Sirius et Kingsley » marmonna Fred, fronçant des sourcils avec concentration. « Je n'entend pas bien. Est-ce que vous croyez qu'on peut risquer les Oreilles Extensibles? »

« Ça pourrait valoir la peine » dit Georges « Je pourrais aller furtivement en haut et prendre une pair »

Mais à se moment précis il y eu une explosion de bruit en bas des marches qui rendirent les Oreilles Extensibles pas nécessaire. Tous pouvait entendre très exactement ce que Mme Weasley hurlait le plus fort qu'elle pouvait.

«CE N'EST PAS UN REPÈRE POUR CACHER DES BIEN VOLÉS!!! »

« J'aime entendre Maman crier après quelqu'un d'autre » dit Fred avec un sourire satisfait sur le visage alors qu'il ouvrait la porte d'un pouce pour permettre à la voix de Mme Weasley de mieux pénétrer dans la pièce. « Ça fait un si bon changement »

« COMPLÈTEMENT IRRESPONSABLE, COMME SI NOUS N'AVIONS PAS

D'AUTRES PROBLÈMES SANS VOUS QUI AMENEZ DES CHAUDRONS

VOLÉS DANS LA MAISON!!! »

« Les idiots, ils la laisse faire » dit Georges, secouant la tête.

« Il faut l'arrêter rapidement autrement elle accumule et elle en a pour des heures. Elle mourrais d'envie d'avoir une raison pour crier après Mundungus depuis qu'il était parti sans un mot alors qu'il devait te suivre, Harry. Et là voilà la mère de Sirius qui recommence. »

La voix de Mme Weasley se perdit parmi les cris perçant et clair des portraits dans le couloir. Georges ferma la porte pour noyer le bruit, mais avant qu'il ait pu le faire un Elfe de Maison se faufila dans la pièce. En dehors du chiffon dégoûtant lié à sa taille, il était complètement nu. Il avait l'air très vieux. Sa peau semblait plusieurs fois trop grande pour lui et bien qu'il était chauve comme tout les Elfe de Maison, il y avait une énorme quantité de poeil blanc qui sortait de ses oreilles de chauve-souris. Ses yeux étaient éraillés et couleur gris mer et son nez charnu était large et ressemblait à un nez de cochon. L'Elfe ne fit absolument pas attention à Harry et aux autres. Agissant comme s'il ne pouvait pas les voir. Il se déplaça comme un bossu, lentement et tenacement, jusqu'à l'autre extrémité de la pièce. Tout en marmonnant en un souffle, en une voix enroué et profonde comme le croassement d'une grenouille.

« Ça sent comme un égout et comme un criminel en plus, mais elle n'est pas mieux, espèce de traître de sang avec ses marmots détruisant la maison de ma Maîtresse, oh, ma pauvre Maîtresse, si elle savait, si elle savait les moisissure qu'ils ont laissé entré dans sa maison. Qu'est-ce qu'elle dirait au vieux Kreacher, ah, la honte. Des Sang de Bourbe et des Loup-garou et des traîtres et des voleurs, pauvre vieux Kreacher, qu'est-ce qu'il peut faire? »

« Bonjour Kreacher » dit Fred fortement, fermant la porte en un claquement. L'Elfe gela dans sa progression, arrêta de marmonner et afficha un très prononcé, et peu convainquant, état de surprise.

« Kreacher n'avait pas vu les jeune maître » dit-il se retourna et faisant une révérence à Fred. Toujours en regardant le tapis, il ajouta, très audiblement « Espèce d'enfant de traître »

« Pardon? » dit Georges « J'ai pas bien entendu cette dernière partie »

« Kreacher n'a rien dit » répondit L'Elfe avec une seconde révérence pour Georges, et ajouta à mi-voix et clairement « Et voilà son jumeau, petit monstres pas naturels, il le sont »

Harry ne savait pas s'il devait rire ou non. L'Elfe se redressa, les regardant tous avec malveillance, et apparemment convaincu qu'ils ne pouvaient pas l'entendre alors qu'il continuait à marmonner.

« Et il y a la Sang de Bourbe se tenant là, fort, oh si ma Maîtresse le savait, et il y a ce nouveau garçon, Kreacher ne sait pas son nom. Ce qu'il fait Kreacher ne le sait pas. »

« C'est Harry, Kreacher » dit Hermione comme tentative « Harry Potter »

Les yeux pale de Kreacher s'agrandirent et il marmonna plus rapidement et plus furieusement que jamais.

« La Sang de Bourbe parle à Kreacher comme si elle était mon amie, si la Maîtresse de Kreacher le voyais en telle compagnie, oh, qu'est-ce qu'elle dirait. »

« Ne l'appelle pas Sang de Bourbe! » dirent Ron et Ginny en même temps, très frurieusement.

« Ce n'est pas grave » murmura Hermione « Il n'est pas dans sa bonne pensée, il ne sait pas ce- »

« Ne soit pas si gentille Hermione, il sait exactement ce qu'il dit » dit Fred regardant Kreacher avec haine.

Kreacher marmonait toujours, ses yeux sur Harry.

« Est-ce que c'est vraiment Harry Potter? Kreacher voit sa cicatrice, cela doit être vrai, c'est le garçon qui arrêta le Seigneur des Ténèbre, Kreacher se demande comment il a fait ça »


« C'est ça Kreacher » dit Fred

« Qu'est-ce que tu veux de toute façon? » demanda Georges Les yeux énormes de Kreacher se dirigèrent vers Georges.

« Kreacher fait le ménage » dit-il évasivement.

« L'histoire habituelle » dit une voix derrière Harry.

Sirius était de retour, il fixait l'Elfe depuis la porte. Le vacarme dans le Hall avait cessé; peut-être Mme Weasley et Mundungus avaient continuer leur argumentation dans la cuisine.

À la vue de Sirius, Kreacher fit une ridicule révérence très basse qui lui fit s'écraser son nez de cochon sur le sol.

« Debout » dit Sirius impatiemment « Maintenant, qu'est-ce que tu manigance ? »

« Kreacher fait le ménage » répéta l'Elfe « Kreacher vit pour servir la noble maison de Black »

« Et c'est de plus en plus noir chaque jour, c'est sale » dit Sirius.

« Maître à toujours aimé ses petites blagues » dit Kreacher, faisant encore une révérence, et continua à mi-voix « Maître est un espèce de porc ingrat qui a brisé le coeur de sa mère »

« Ma mère n'avait pas de coeur, Kreacher » dit Sirius d'un ton sec. « Elle se gardait en vie avec de la rancune »

Kreacher fit une autre révérence lorsqu'il dit :

« Comme Maître le dit » il murmura furieusement « Maître n'est pas digne de laver la saleté des botte de sa mère, oh, ma pauvre Maîtresse, qu'est-ce qu'elle dirait si elle voyait Kreacher en train de le servir, lui, comme elle le détestait, comme il était insatisfaisant »

« J'ai demander ce que tu manigançait » dit Sirius froidement « Toute les fois que tu te montre prétextant que tu fais le ménage, tu cache quelques chose dans tes appartements pour qu'on ne puisse pas le jeter »

« Kreacher ne déplacerait jamais quelque chose de sa place habituelle dans la maison du Maître » dit l'Elfe, et marmonna rapidement « Maîtresse ne pardonnerait jamais Kreacher si la tapisserie était jeté, pendant sept siècle elle a été dans la famille, Kreacher doit la sauver, Kreacher ne va pas laisser le Maître et les traître de sang et les marmots la détruire »

« C'est bien ce que je pensais » dit Sirius, regardant avec dédain le mur opposé « Elle doit avoir mi un autre Charme d'Affichage Permanant derrière, je n'en doute pas, mais si je peux m'en débarrasser, je vais le faire. Maintenant, va-t'en Kreacher »

Il semblerait que Kreacher n'osait pas désobéir à un ordre direct; néanmoins, le regard qu'il lança à Sirius lorsqu'il se traîna devant lui était emplit de la plus grande haine et il murmura durant tout le chemin pour sortir de la pièce :

« Il reviens de Azkaban et donne des ordre à Kreacher, oh, ma pauvre Maîtresse, qu'est ce qu'elle dirait si elle voyait la maison maintenant, la pourriture vivant dedans, ses trésors jeté au ordure, elle a jurer qu'il n' était pas son fils et il reviens, ils ont dit qu'il était un meurtrier aussi. »

« Continu de marmonner et je vais devenir un meurtrier! » dit Sirius, irrité, alors qu'il claquait la porte derrière l'Elfe.

« Sirius, il n'est pas bien » plaida Hermione « Je ne crois pas qu'il réalise que nous pouvons l'entendre »


« Il a été seul trop longtemps » dit Sirius « Suivant les ordres débiles du portrait de la mère et parlant à lui même, mais il a toujours été un sale petit- »

« Si tu pouvais juste le libérer » dit Hermione avec espoir « peut-être que- »

« Nous ne pouvons pas le laisse partir, il en sait trop à propos de l'ordre » dit Sirius brusquement « Et de toute façon, le choc le tuerait. Tu suggère qu'il quitte la maison, regarde comment il la protège. » Sirius marcha à travers la pièce jusqu'où était la tapisserie que Kreacher avait essayer de protéger qui pendait à la longueur du mur.

Harry et les autres le suivirent. Elle paraissait très vieille; elle était délavé et semblait avoir été rongée par des Doxys. Néanmoins, le fil doré avec lequel il avait été embelli brillait assez pour leur montrer un superbe arbre généalogique qui remontait (aussi loin que Harry pouvait le voir) jusqu'au moyen Âge. Des mots large, tout en haut, se lisait comme suit :

La noble et très ancienne maison de Black.

Toujours Pur.

« Tu n'es pas là! » dit Harry après avoir observé le bas de l'arbre de près.

« J'ai déjà été là » dit Sirius, pointant un petit trou rond carbonisé dans la tapisserie, comme une brûlure de cigarette. « Ma chère mère m'a enlevé après que j'ai fugué.

Kreacher murmure souvent cette histoire »

« Fugué? »

« Quand j'avais environ 16 ans » dit Sirius « J'en avais assez »

« Où es-tu allé? » demandant Harry en le fixant.

« Chez ton père » dit Sirius « Tes grands-parents ont été très bien à propos de ça; ils m'ont adopté un peu comme un deuxième fils. Ouais, je suis resté chez ton père pendant les vacances scolaires, et quand j'ai eu 17 ans, je me suis trouvé un endroit à moi. Mon oncle Alphard m'avait légué une grosse somme d'argent. Il a été effacé aussi, probablement à cause de ça. Peu importe, même après, j'ai toujours été bienvenu chez M et Mme Potter pour le déjeuner du dimanche, malgré tout.»

« Mais pourquoi tu t'es. »

« Enfuit » Sirius sourit amèrement et passa sa main dans ses longs cheveux mêler. «

Parce que je les détestais tous : mes parents, avec leur manie du sang pur, convaincu que d'être un Black te rendait pratiquement royal. Mon idiot de frère, suffisamment mou pour les croire. »

Sirius enfonça son doigt dans le bas de la tapisserie, au nom de Regulus Black. La date de sa mort (quelque 15 ans plus tôt) suivait la date de naissance.

« Il était plus jeune que moi » dit Sirius « Et un bien meilleur fils, comme on me le rappelait souvent »

« Mais il est mort » dit Harry.

« Ouais » dit Sirius « Stupide idiot. Il s'est allié aux mangemorts »

« Tu plaisantes ?!? »

« Allez Harry, tu n'as pas vu suffisamment de cette maison pour dire le genre de sorcier qu'était ma famille? » dit Sirius, irritable.

« Est-ce que. tes parents étaient de Mangemort aussi? »

« Non, non, mais crois-moi, ils croyait que Voldemort avait une bonne idée, ils étaient pour la purification de la race sorcier, tenir tête aux fils de Moldus et mettre les purs sang en charge. Il n'était pas les seuls, d'ailleurs, ils étaient même plusieurs, avant que Voldemort ne montre sa vraie nature, qui trouvaient qu'il avait une bonne idée des choses. Mais ils ont été surpris quand il ont vu à quel point il était prêt à accumuler du pouvoir. Je crois que mes parents ont cru que Regulus était un bon petit héros au départ. »

« il a été tué par un Auror? » s'essaya Harry.

« Oh non » dit Sirius « Non, il a été tué pas Voldemort. Ou sous les ordres de Voldemort plutôt. Je doute que Regulus ait été suffisamment important pour se faire tuer par Voldemort en personne. D'après ce que j'ai compris après sa mort, il était allé trop loin, il a paniqué à propos de ce qu'on lui demandait de faire et a essayer de s'en aller. Enfin, tu ne peux pas simplement donner ta démission à Voldemort. C'est la servitude à vie ou la mort. »

« Lunch » dit la voix de Mme Weasley.

Elle tenait sa baguette en avant d'elle, balançant un immense chariot remplit de sandwiches et de gâteau. Elle avait le visage rouge et semblait toujours fâchée. Les autres s'approchèrent en quête de nourriture, mais Harry resta avec Sirius qui se penchait sur la tapisserie.

« Je ne l'ai pas regarder depuis des années. Il y a Phineas Nigellus, mon arrière arrière-grand-père, le plus impopulaire Directeur que Poudlard n'a jamais eu et Araminta Mehflua, la cousine de ma mère, qui a essayer de faire passer une loi pour rendre la chasse aux moldus légale et ma chère tante Elladora qui a commencé la tradition d'avoir des Elfes de Maisons alors qu'elle était trop vieille pour pousser sont service à thé, et bien sûr, chaque fois que la famille produisait quelqu'un d'un peu décent, il était renié. Je vois que Tonks n'est pas là. Peut-être que c'est pour ça que Kreacher ne prend pas d'ordre d'elle. Il est supposer faire ce que n'importe qui dans la famille lui dit de faire.

« Toi et Tonks êtes apparenté? » demanda Harry, surpris.

« Oh, ouais, sa mère Andromeda était ma cousine préférée » dit Sirius, examina la tapisserie de plus près « Non, Andromeda n'est pas là non plus, regarde »

Il pointa un autre petit cercle brûler entre deux noms, Bellatrix et Narcissia.

« Les sœurs d'Andromeda sont encore ici car elles ont eu des jolis et respectables mariage de pur sang, mais Andromeda a épousé un enfant de Moldu, Ted Tonks, alors.

»

Sirius mima de faire exploser la tapisserie avec une baguette et rit aigrement. Harry, de son côté, ne riait pas; il était trop occupé à regarder les noms à la droite de la marque calcinée d'Andromeda. Une double ligne d'or rejoignait Narcissa Black avec Lucius Malfoy et il y avait une simple ligne verticale de leur nom jusqu'à celui de Draco.

« Tu es apparenté aux Malfoy! »

« Les familles de pur sang sont toutes reliées » dit Sirius « Si tu laisses tes enfants se marier seulement avec des sangs purs, ton choix est très limité; il n'en reste presque plus.

Molly et moi sommes cousin par alliance et Arthur est quelque chose comme mon cousin au deuxième degré qui a été renié. Mais pas la peine de les chercher ici, s'il y a un groupe de traître de sang, c'est les Weasley.

Mais maintenant Harry regardait les noms à gauche de Andromeda : Bellatrix Black qui était connectée par une double ligne à Rodolphus Lestrange.


« Lestrange » dit Harry à voix haute. Le nom avait allumer quelque chose dans son esprit; il l'avait vu quelque part, mais au moment où il se disait qu'il ne savait pas où, l'étrange sensation d'une boule dans l'estomac.

« Ils sont à Azkaban » dit Sirius rapidement.

Harry le regarda curieusement.

« Bellatrix et son mari Rodolphus y sont entré avec Barty Crouch Junior » dit Sirius avec la même voix brusque «Le frère de Ropholphus, Rabastan, était avec eux aussi. »

Puis Harry se rappela, il avait vu Bellatrix Lestrange dans le Pensieve de Dmbledore, cet étrange appareil dans lequel les pensées et les souvenirs pouvaient être rangés. C'était une grande femme avec des lourdes paupières, qui s'était tenue debout à son procès pour clamer sa continuelle allégeance à Lord Voldemort, sa fierté d'avoir essayé de la retrouver après sa chute et sa conviction qu'un jour elle serait récompensée de sa loyauté.

« Tu n'as jamais dit que c'était ta. »

« Est-ce que ça a la moindre importance que ça soit ma cousine? » trancha Sirius « Aussi loin que cela me concerne, ils ne sont pas de ma famille. Elle n'est sûrement pas de ma famille. Je ne l'ai jamais vu depuis le temps où j'avais ton âge, à moins de compter la fois où je l'ai aperçu alors qu'elle entrait à Azkaban. Tu crois que je suis fier d'être apparenté à des gens comme elle? »

« Désolé » dit rapidement Harry « Je ne voulais pas dire. J'étais juste surpris, c'est tout. »

« C'est pas grave, ne t'excuse pas » marmonna Sirius.

Il s'éloigna de la tapisserie, ses mains profondément enfouies dans ses poches.

« Je n'aime pas être de retour ici » dit-il, regardant l'autre côté de la salle de dessin «

J'aurais jamais pensé être encore pris dans cette maison »

Harry comprenais complètement. Il savait comment il se sentirait, quand il grandissait et pensait s'être libéré d'un endroit pour toujours, mais de retourner vivre au numéro 4, Privet Drive.

« C'est parfait comme quartier général, bien sûr » dit Sirius « Mon père a mis toutes les mesures de sécurité connues du genre sorcier ici de son vivant. Elle est incartable alors les Moldus ne pouvaient pas venir ou appeler, comme s'il l'avait jamais voulu et maintenant Dumbledore à ajouté sa protection, tu trouverais difficile de trouver une maison plus sûre quelque part. Dumbeldore est le Gardien du Secret pour l'Ordre, tu sais. Personne ne peut trouver nos quartiers généraux sauf s'il leur dit personnellement où c'est. Cette note que Moody t'as montrée la nuit dernière, elle était de Dumbledore »

Sirius eut un rire qui ressemblait à un court aboiement.

« SI mes parents pouvaient voir à quoi sert leur maison maintenant. Enfin, le portrait de ma mère doit te donner une idée »

Il se reforgea un moment, puis soupira.

« Ça ne me dérangerait pas si je pouvais juste sortir de temps en temps et faire quelque chose d'utile. J'ai demandé à Dumbledore si je pouvais t'escorter à ton audience. comme Snuffle, évidemment. Comme ça j'aurais pu te donner un peu de moral, qu'est-ce que t'en penses? »


Harry se sentit comme si son estomac venait de se noyer dans le tapis poussiéreux. Il n'avait pas pensé à l'audience depuis le dîner de la veille dans l'excitation de revoir les personnes qu'il aimait le plus, et d'entendre tout ce qui se passait, ça lui était complètement sorti de la tête.

Au mot de Sirius, cependant, le sentiment écrasant de la peur revint en lui. Il regarda Hermione et les Weasley, tous mangeant de bon appétit leurs sandwiches et pensa à comment il se sentirait s'ils devaient retourner à Poudlard sans lui.

« Ne t'inquiète pas » dit Sirius.

Harry le regarda et réalisant que Sirius l'observait.

« Je suis sûr qu'il vont éclaircir ton dossier. Il y a définitivement quelque chose dans le Statut de Discrétion à propos du droit de faire de la magie pour te sauver la vie »

Sirius souria malheureusement.

« Tu vas voir »

« Je me sentirait beaucoup mieux à propos de l'audience si je savais que je n'aurais pas à retourner chez les Dursley après » le pressa Harry.

« Ils doivent être terrible si tu préfère cet endroit » dit Sirius sombrement.

« Dépêchez-vous vous deux, ou il ne restera plus de nourriture » les appela Mme Weasley.

Sirius poussa un autre grand soupir, jeta un regard noir à la tapisserie, puis Harry et lui rejoignirent les autres.

Harry essaya du mieux qu'il pu pour ne pas penser à l'audience pendant qu'ils vidait les armoires aux portes vitrées cet après midi là. Heureusement pour lui, c'était un travail qui demandait beaucoup de concentration étant donné que plusieurs des objets à l'intérieur semblaient résister à se faire enlever de leur rayon poussiéreux. Sirius subit une mauvaise morsure d'une boîte à tabac en argent; après quelques secondes, sa main mordue avait développer une désagréable croûte qui la couvrait comme un gant brun et dur.

« C'est ok » dit-il, examinant sa main avec intérêt avant de la taper doucement avec sa baguette pour remettre la peau en son était normal. « Il doit y avoir de la poudre Wartcap dedans. »

Il lança la boîte sur le côté, dans le sac où ils déposaient les débris des armoires.; Harry vit Georges s'envelopper attentivement la main dans un linge quelques instant plus tard et mettre subtilement la boîte dans une poche déjà pleine de Doxy. Ils trouvèrent un désagréable instrument en argent, quelque chose qui avait plusieurs pattes qui aborda le bras de Harry comme une araignée. et lorsqu'il la souleva, elle essaya de crever sa peau.

Sirius la prit et l'écrasa avec un gros livre intitulé : les Noble de Nature : la Généalogie des Sorciers. Il y avait une boîte musicale qui émettait le tintement d'une chanson faiblement sinistre et ils se retrouvèrent tous curieusement faibles et fatigués jusqu'à ce que Ginny ait le bon sens de claquer fermement le couvercle. Il y avait un cadenas qu'aucun d'eux ne pouvait ouvrir, un certain nombre d'anciens sceaux, et, dans une boîte poussiéreuse, un Ordre de Merlin, Première Classe qui avait été donné au grand-père de Sirius pour service rendu au Ministère.


« Ça veut dire qu'il leur a donné beaucoup d'argent » dit Sirius en le contemplant, et jeta le métal dans le sac à ordure.

Plusieurs fois, Kreacher se glissa dans la pièce et essaya de faire passer en douce certaines choses sous son vêtement, marmonnant d'horribles malédictions chaque fois qu'il le prenait à faire ainsi. Quand Sirius arracha de sa prise un large anneau d'or portant l'armoirie des Black, Kreacher fondit carrément en larmes, furieux, il quitta la pièce en sanglotant et traitant Sirius de noms que Harry n'avait jamais entendu avant.

« C'était à mon père » dit Sirius en lançant l'anneau dans le sac. « Kreacher ne lui était pas aussi dévoué qu'à ma mère, mais je l'ai déjà pris en train de dérober un vieux pantalon de mon père la semaine dernière. »

Mme Weasley les garda tous très occupés durant les jours suivants. La salle de dessin prit trois jours à décontaminer. Finalement, le seule chose indésirable qui y restait était la tapisserie de l'arbre généalogique de la famille Black, qui résista à toute leur tentative de l'enlever du mur, et le bureau à dessin agité. Maugrey n'était pas passé par le quartier général jusqu'à maintenant, alors ils ne pouvaient être certains de ce qu'il y avait à l'intérieur.

Il se déplacèrent de la salle de dessin jusqu'à la salle à manger au rez-de-chaussée où ils trouvèrent des araignée aussi grosse que des soucoupe cachée dans le garde robe. (Ron quitta la pièce précipitamment pour se faire une tasse de thé et ne revint pas avant une heure et demie)

La porcelaine, qui portait les armoiries et la devise des Black, fut jeter sans cérémonie dans le sac par Sirius, et un destin semblable attendait une série de photographies dans des cadres d'argent ternis, tout ces occupants poussèrent des cris aigus alors que la vitre qui les recouvrait se brisa. Rogue pouvait référer à leur ouvrage comme étant du ménage, mais dans l'opinion d'Harry, ils faisaient vraiment la guerre à la maison, ce qui menait une très bonne bataille avec l'aide de Kreacher. L'Elfe de Maison n'arrêtait pas d'apparaître chaque fois qu'ils se rassemblaient, son marmonnement devenait de plus en plus offensant lorsqu'il essayait d'enlever tout ce qu'il pouvait des sacs à ordure. Sirius en était même jusqu'à le menacer avec des vêtement, mais Kreacher le fixait d'un oeil vague et dit : « Maître doit faire comme Maître le veut » avant de s'en retourner et de marmonner plus fort « mais Maître ne renvoira pas Kreacher, non, car Kreacher sait ce qu'il manigance, oh oui, il manigance contre le Seigneur des Ténèbres, oui, avec les Sang de Bourbe et les traîtres et les sales »

Ce à quoi Sirius, ignorant les protestation d'Hermione, saisit Kreacher par le derrière de son vêtement et le lança carrément hors de la pièce.

La sonnette était utilisée plusieurs fois par jour, ce qui était le signal de départ pour les hurlement de la mère de Sirius, et pour Harry et les autres d'essayer d'être aux écoutes des visiteurs, même s'ils glanaient très peu des bref coup d'oeil et mouvements des conversations qu'ils avaient la possibilité d'entendre avant que Mme Weasley les rappelle à l'ouvrage. Rogue s'infiltra dans et hors de la maison plusieurs fois, mais une chance pour Harry ils ne furent jamais face à face; Harry entraperçu aussi son enseignant de métamorphose, le Professeur Mc Gonagal, qui avait l'air très étrange dans une robe et un manteau moldu, et semblait elle aussi trop pressée pour traîner. Quelques fois, cependant, les visiteurs restaient pour aider. Tonks les rejoint pour un après-midi mémorable durant lequel une vieille goule meurtrière tapie dans les toilette à l'étage; et Lupin, qui restait à la maison avec Sirius, mais qu'il dut quitter durant de longues périodes pour faire de mystérieuses missions pour l'Ordre, les aida à réparer l'horloge de Grand-Père qui avait développé la mauvaise habitude de lancer de lourds boulons aux passants. Mundungus s'éleva d'un cran dans l'estime de Mme Weasley en secourant Ron d'un ancien assortiment de robes violettes qui avaient essayé de l'étrangler alors qu'il les enlevait du garde-robe.

En dehors du fait qu'il dormait toujours mal, ayant encore des rêves de corridors et de portes barrées qui faisaient picoter sa cicatrice, Harry essayait de s'amuser pour la première fois de l'été. Aussitôt qu'il était occupé, il était content; quand l'action diminuait, cependant, aussitôt qu'il baissait sa garde, ou s'étendait exhaussé dans son lit regardant des ombres brouillées à travers la plafond, la pensée de la menaçante audience au Ministère le retrouvait. La peur s'enfonçait à l'intérieur de lui comme des aiguilles, et il se demandait qu'est ce qui lui arriverait s'il était expulsé. L'idée était tellement terrible qu'il n'osait pas la formuler à voix haute, pas même devant Ron et Hermione, qui, même s'il les voyaient souvent murmurer ensemble et lançant des regards inquiets dans sa direction, firent comme lui et ne le mentionnèrent pas.

Quelques fois, il ne pouvait empêcher son imagination de lui montrer un Ministère sans visage qui brisait officiellement sa baguette en deux et le renvoyant chez les Dursley.

Mais il ne pouvait pas partir, il était déterminé sur ce point. Il reviendrait ici, à Grimmauld Place, et vivrait avec Sirius.

Il se sentait comme si une brique était tombé dans son estomac quand Mme Weasley se tourna vers lui durant le dîner de mercredi soir et lui dit calmement :

« J'ai repasser tes plus beaux vêtement pour demain matin, Harry, et je veux que tu te lave les cheveux se soir aussi. Un bonne première impression peut faire des miracles »

Ron, Hermione, Fred, Georges et Ginny arrêtèrent tous de parler et le regardèrent.

Harry hocha la tête et essaya de manger sa bouchée, mais sa bouche devint si sèche qu'il ne pouvait plus mastiquer.

« Comment je dois m'y rendre? » demanda-t-il à Mme Weasley, essaya de sonner indifférent.

« Arthur t'amène au travail demain » dit Mme Weasley gentiment.

M. Weasley fit un sourit encouragea à Harry de l'autre côté de la table.

« Tu pourras attendre dans mon bureau jusqu'à ce que ça soit l'heure de l'audience. » dit-il.

Harry regarda Sirius, mais avant qu'il ne puisse poser sa question, Mme Weasley y répondit.

« Professeur Dumbledore ne croit pas que c'est une bonne idée que Sirius t'accompagne, et je dois dire que je crois. »

« Qu'il a raison » dit Sirius au travers de sa mâchoire serrée.

« Il est venu hier soir, quand tu était au lit » dit M Weasley.

Sirius poignarda maussadement une patate avec sa fourchette. Harry baissa ses yeux vers son assiette. La pensée que Dumbledore avait été à la maison la veille de son audience et qu'il n'ai même pas demander à la voir, le faisait se sentir, si c'était possible, encore plus mal.


Chapitre 7 : LE MINISTÈRE DE LA MAGIE

Harry se réveilla brusquement vers 5 heures et Demie c'était comme si quelqu'un avait hurlé dans son oreille. Apres quelques instants il resta immobile comme si la simple pensée de l'audience disciplinaire avait empli chaque particules de son cerveau, incapable de le supporter, Harry sauta du lit mit ses lunettes.

Madame Weasley avait repasser son jeans et son tee-shirt et les avaient déposés, fraîchement blanchi, au pied de son lit. Harry se dirigea vers ses vêtements. L'image blanche qui se trouvait sur le mur et qui étais voilée derrière un rideau rit de nouveau.

Ron était couché, étendu sur le dos, sa bouche grand ouverte, endormi. Il ne remua pas lorsque Harry traversa la salle, marcha hors de la pièce et ferma la porte doucement derrière lui. Il essaya de ne pas penser que la prochaine fois ou il verrait Ron, ils ne seront peut être plus des amis de Poudlard.

Harry marcha silencieusement vers le bas des escaliers et il passa devant les têtes des ancêtres de Kreacher, il se retrouva en bas dans la cuisine. Il avait prévu qu'elle soit vide, mais quand il atteignit la porte il entendît le grondement doux de voix se trouvant de l'autre côté. Il poussa la porte et vît Monsieur et Madame Weasley, Sirius, Lupin et Tonks presque comme s'ils l'attendaient à le voir apparaître d'une seconde à une autre.

Ils étaient tous entièrement habillé mise a apart Madame Weasley, qui portait toujours sa robe de chambre violette .

Elle se leva dès que Harry fît son apparition.

-Le petit déjeuner est servi dit-elle en dirigeant sa baguette vers le feu .

-Bonjour Harry, dit Tonks en baillant.

Ses cheveux étaient blonds et bouclés ce matin.

-Bien dormi?

-Ouais, dit Harry.

-Je suis resté éveillé toute la nuit dit-elle. En baillant une seconde fois

-Viens et assieds-toi..

Elle rapprocha une chaise en poussant celle d'a coté.

-Que veux-tu Harry , demanda Madame Weasley. Lard salé, muffins, oeuf-bacon ou toast ?

-Seulement...... seulement des toast merci répondit Harry .

Lupin jeta un coup d'oeil à Harry, puis dit à Tonks,

-Que disais-tu à propos de Scrimgeour ?

-Oh... ouais... bien, nous avons besoin d'être un peu plus prudent, On nous a posé de drôles de questions à moi et à Kingsley.

Harry se sentit soulagé de ne pas être obligé de répondre à des questions.

Son estomac se contractait.

Madame Weasley plaça des Toasts et la marmelade devant lui; il essaya de manger, mais c'était comme s il mastiquait du plancher.

Madame Weasley se plaça côté de lui et commença à arranger son tee-shirt, plissant dans l'étiquette et enlevant les plis se trouvant sur ses épaules.

Il aurait souhaité qu'elle ne fasse rien de cela .


-... Et je devrai prévenir Dumbledore que je ne pourrai pas me charger de la garde de nuit, demain. Je suis trop fatigué, dit Tonks en bâillant encore

-Je vous remplacerai, dit M Weasley.

-D’accord, De plus j'ai un rapport à finir.

M Weasley ne portait pas de robes de sorcier mais un pantalon en Denim et un vieu veston de grenadier.

Il se tourna vers Harry.

-Comment te sens tu?

Harry se renfrogna

-Tous sera bientôt fini. dit M Weasley sur un ton convaincant.

Dans quelques heures tu seras libre.

Harry ne dit rien.

L'audience se trouve à mon étage, dans le bureau de Amelia Bones. C'est la directrice du Service des Application de la loi Magique, et c'est elle qui te questionnera.

-Amelia Bones est correct, Harry. dit Tonks sérieusement. Elle est juste, elle t' écoutera.

Harry hocha la tête ,incapable de répondre quoi que ce soit.

-Ne perd jamais courage, dit Sirius brusquement.

-Reste poli, et tien toi en au fait. Harry hocha la tête une seconde fois.

-La loi est de ton côté, dit Lupin doucement. Les sorciers même mineurs ont le droit d'utiliser la magie dans des situations critiques.

Quelque chose de très froid coulait sur la nuque d'Harry. Durant un instant il cru qu'on lui lançait un Charme de Désillusion, Mais il se rendit compte que Madame Weasley peignait ses cheveux avec une brosse humide. Elle appuya très fort sur le sommet de sa tête.

-Il ne seront jamais lisses. dit-elle désespérément.

Harry secoua sa tête. M Weasley vérifia sa montre et se leva.

-Je pense que nous devrions partir maintenant, dit-il

-Nous arriverons à l'avance mais je pense qu'il serait préférable que tu patiente au ministère au lieu de te morfondre ici.

-D'accord, dit Harry automatiquement, il fît tomber son toast et se leva immédiatement.

-Tout ira bien Harry, dit Tonks en lui caressant le bras.

- Bonne chance, dit Lupin. Je suis sûr que tous se passera bien.

-Et si ce n'est pas le cas, dit Sirius dùn ton menaçant, j'irai voir cette Amelia Bones pour toi .

Harry sourit faiblement et Madame Weasley l'embrassé.

-Nous croiserons tous nos doigts, dit-elle.

-Merci....... dit Harry. Bien... À plus tard alors.

Il suivit M Weasley le long du couloir.

Il entendait la mère de Sirius ronchonnant dans son sommeil derrière un rideau.

M Weasley déverrouilla la porte et ils marchèrent tous deux dans la brume du matin.

-En temps normal, vous n'allez pas à votre travail à pied ? Demanda Harry pendant qu'

ils déambulaient dans le quartier.

-Non, d'habitude je transplane. Dit M Weasley. Mais évidemment c'est impossible car dans un premier temps tu ne peux pas puis ensuite il en est mieux ainsi. Nous arrivons bientôt... fait bonne impression, montre l'éducation que tu a reçu...


M Weasley garda sa main dans son veston pendant qu'ils marchaient. Harry savait qu'il avait sa baguette à porter de main.

Les rues étaient presque désertes, mais quand ils arrivèrent dans la petite station souterraine ils y avaient déjà tous les travailleurs matinaux.

Monsieur Weasley était enthousiaste comme jamais quand il se trouvait à proximité de Moldus, il avait des difficultés à se contenir.

-Simplement fabuleux, il chuchota, indiquant les distributeurs automatiques de billet.

-Merveilleusement ingénieux.

-Ils sont hors service dit Harry, désignant le panneau.

-Oui, mais même si... dit M Weasley, rayonnant. Ils achetèrent leurs billets dans le centre info. (Harry contrôla la transaction, étant donné que M Weasley n'était pas très bon avec l'argent de Moldu).Cinq minutes plus tard ils montèrent dans un train souterrain les menant directement à Londres.

M Weasley regarda à travers les fenêtres avec impatience et vérifia et revérifia la Carte Souterraine.

-Quatre autres arrêts, Harry.. Trois arrêts maintenant.. Deux arrêts pour aller, Harry... Ils sortirent à une station menant dans le cœur de Londres, et ils furent balayé du train par une marée d'hommes d'affaire et de femmes qui portaient des mallettes.

En haut de l'escalier, ils passèrent par le tourniquet. (M Weasley fût enchanté de la façon dont la machine avala son billet), et ils émergèrent dans une rue large ou se trouvaient d'imposants immeubles. La circulation était déjà à son comble.

-Où sommes nous ? dit M Weasley d'un air absent.

Harry pensa qu' ils s'étaient trompés station en dépit des informations perpétuelles que donnait la carte de monsieur Weasley.

Une seconde plus tard il dit:

-Ah oui... par là, Harry, et il le mena vers bas sur la route de côté.

-Désolé, dit-il, mais je ne viens jamais en train et tout paraît plutôt différent d'un point de vue Moldu. A vrai dire, je n'ai jamais utilisé l'entrée des visiteurs avant. Plus ils marchèrent, et moins les bâtiments paraissaient imposants, jusqu'à ce que finalement ils atteignirent une ruelle qui contenaient plusieurs bureaux usés ainsi qu'un bar débordant de monde.

Harry s'était imaginé un emplacement plus impressionnant pour le Ministère de la Magie.

-Nous y sommes, dit M Weasley, désignant avec joie une vieille cabine téléphonique rouge, à qui il manquait plusieurs volets de verre devant un mur plein de graffiti.

-Après toi, Harry.

Il ouvrit la porte de la cabine téléphonique.

Harry marcha à l'intérieur, se demandant ce que cela pouvait bien représenter pour les sorciers.

M Weasley se plia près de Harry et ferma la porte. C'était un peu serré, Harry était bloqué contre le combiné de téléphone, qui était tordu et pendait contre le mur comme si un vandale avait essayé de l'arracher. M Weasley atteignit le combiné.

-M Weasley, je pense que c'est hors service, dit Harry .

-Non, non, je suis sûr que non..... c'est beau, dit que M Weasley, tenant le récepteur pardessus sa tête et en scrutant le cadran.


-Voyons le numéro... six... il composa le numéro, deux... quatre... et un autre quatre... et un autre deux... Quand le cadran a ronronna à la place de la tonalité.

Une voix de jeune femme semblait sortir de la cabine téléphonique et non pas du récepteur que tenait M Weasley à la main, mais cela semblait ordinaire que la femme invisible se tienne à côté d'eux.

-Bienvenu au Ministère de la Magie. S'il vous plaît annoncer votre nom et le but de votre visite.

-Heuh... ..dit M Weasley, Incertain de devoir parler dans le récepteur. Il opta finalement pour un compromis en tenant le tuyau à son oreille, Arthur Weasley, du département des Usages Impropre et des Objets Moldus, accompagné de Harry Potter, qui a été demandé pour assister à une audience disciplinaire...

-Merci, a dit la voix de la femme.

-S'il vous plait le jeune homme doit prendre l'insigne et l'attacher à sa robe. Il y eut un déclic et un cliquetis, et Harry vît tomber quelque chose du toboggan métallique où d'habitude se retourne les pièces.

Il ramassa l'objet, c'était un insigne d'argent, carré avec inscrit dessus

"Harry Potter, Audience Disciplinaire" .

Il accrocha l'insigne au devant de son TEE-SHIRT alors que la voix de la femme parlais toujours.

-Il a été exigé que le garçon se soumette à une recherche et présente sa baguette pour l'enregistrement au bureau de sécurité, qui se trouve à la fin de l'Atrium.

Le plancher de la cabine téléphonique frémi.

Ils s'enfonçaient lentement dans le sol. Harry regardait avec appréhension le trottoir qui semblait s'élever au dessus de la cabine téléphonique.

L'obscurité les rattrapaient.

Alors qu'ils ne pouvaient rien voir, ils entendirent un bruit terne comme si la cabine téléphonique faisait une descente vers le centre de la terre.

Après une minute, bien que cela parut beaucoup plus long à Harry, un rai de lumière dorée illumina ses pieds et, s'élargit, vers le haut de son corps.

La lumière frappa ses yeux qui clignotèrent à cause de la lumière vive.

-Le Ministère de la Magie vous souhaites une agréable journée, dit la voix de la femme.

La porte de la cabine téléphonique s'ouvrit et M Weasley en est sorti, suivi par Harry, dont la bouche était grande ouverte.

Ils se tenaient à la fin d'un très long et splendide couloir. Ou se trouvait un plancher de bois extrêmement poli et sombre. Le plafond bleu pale était magnifiques avec des symboles dorés célestes et immenses qui faisait office de panneau d'affichage.

Les murs se trouvant de chaque côté, ont été lambrissés dans le bois sombre brillant et contenaient beaucoup de cheminées dorés .

Chaque seconde une sorcière ou un sorcier émergeaient d'une cheminée se trouvant à gauche avec un léger bruit.

Sur la droite , de courtes fils se formaient, attendant le départ.. A mi-chemin en bas du couloir, se trouvait une fontaine. Des statues dorées, plus grandes les unes que les autres, se tenaient au milieu d'une mare circulaire.

La Plus grande était un sorcier qui avait un regard noble et qui pointait sa baguette droit en haut dans l'air. Près de lui se trouvaient une belle sorcière, un centaure, un lutin et un elfe de maison .


Les trois derniers le regardait avec adoration.

Les jets scintillants de l'eau volaient de leurs fines baguettes, le point de la flèche du centaure, la pointe du chapeau du lutin et chacune des oreilles de L'elfe de maison, pour que le sifflement des jets d'eau soient ajoutée aux bruits secs du transplanage et le cliquetis des pas des centaines de sorcières et de sorciers, la plupart mélancolique, se rendaient vers un pont d'or. A la fin du couloir.

-Par là, dit M Weasley.

Ils rejoignirent un groupe d'employés du ministère, une partie portaient chancelants un grands nombres de parchemin, et les autres serviettes éprouvées; les autres lisaient calmement le Daily Prophet pendant qu'ils marchaient. Quand il passèrent la fontaine Harry vît des Mornilles argentées

et des Noises en bronze au fond de la mare. Ainsi qu'un petit panneau sal ou l'on pouvait lire:

TOUS LES BÉNÉFICES DE LA FONTAINE DES FRÈRES MAGIQUES

SERONT DONNES A L'HÔPITAL STE-MANGOUSTE POUR LES MALADIES

ET LES BLESSURES MAGIQUES.

Si je ne suis pas expulsé de Poudlard, je mettrai dedans dix Galions, s'est retrouvé à penser désespérément Harry.

-Par ici Harry, a dit M Weasley, et ils marchèrent le long du ruisseau avec les employés du Ministère se dirigeant vers le pont d'or.

Assis à un bureau de gauche, en dessous d'un panneau de Sécurité, un sorcier mal rasé et qui portait une robe bleu pale les regarda arriver et mis son journal de côté.

-J'escorte un visiteur dit M. Weasley attrapant Harry.

-Passe par ici, a dit le sorcier dans une voix ennuyée.

Il prit une tringle dorée longue, mince et flexible qui ressemblait à une antenne de voiture, et l'a passa de haut en bas, devant et derrière Harry.

-La baguette, a grogné le sorcier de sécurité à Harry,

Mettant l'instrument hors de sa main. Harry présenta sa baguette. Le sorcier la laissa tombé sur un instrument de cuivre étrange, qui ressemblait à quelque chose comme une série d'échelles avec seulement un bout. Il commença à vibrer. Une bande étroite de parchemin vînt expédier d'une fente dans la base. Le sorcier a déchiré le parchemin et la lu..

-Onze pouces, une plume de phoenix, a été utilisé depuis 4 ans. Cèst ça ?

-Oui, dit Harry nerveusement.

-Je garde ceci, a dit le sorcier, plaçant le parchemin sur une petite lance de cuivre. Vous recevez ceci à votre retour, a t-il ajouté, poussant la baguette à Harry.

-Merci.

-Pour sur; dit le sorcier lentement.

Ses yeux avaient regarder l'insigne d' argent sur la poitrine de Harry puis ensuite son front.

-Merci, Eric, a dit M Weasley fermement, il saisit Harry par l'épaule il l'éloigna du bureau. Bousculé légèrement par la foule, Harry fut mené dans un plus petit couloir par M Weasley à un endroit où au moins vingt ascenseurs se tenaient derrière les grilles dorés.

Harry et M Weasley rejoignerent la foule dans l'ascenseur le plus près. Un grand sorcier barbu qui tenait une grande boîte de carton et qui émettait des grincements parla.

-Bien, Arthur a dit le sorcier, hochant à M Weasley.

-Qu'avez vous reçu là-bas, Bob a demandé M Weasley, regardant la boîte.

-Nous n'en sommes pas sûrs, a dit le sorcier sérieusement. Nous avons pensé que C'était un poulet des marécages énorme jusqu'à ce qu'il commence à craché du feu. Ca mà tout l'air d'une infraction sérieuse de l'Interdiction sur L'élevage d'animaux d'expérimentation. Avec un grand cliquetis, un ascenseur descendit devant eux; la grille doré glissa vers l'extérieur et Harry et M Weasley sont entrèrent dans l'ascenseur avec le reste de la foule. Harry se trouva bloqué contre le mur du fond. Plusieurs sorcières et sorciers le regardèrent curieusement et il fixa ses pieds pour éviter d'attirer l'attention, aplatissant Sa frange pour cacher sa cicatrice. Les grilles glissèrent fermement avec un bruit sourd et il se mît a monter lentement, pendant que la même voix de femme entendu dans la cabine téléphonique résonna encore:

-Le niveau Sept, le Service des Jeux et des Sports Magiques, incorporant le siège social de la ligue de Quidditch Anglaise et Irlandaise, le Club Officiel de Gobstones et le Bureau des Brevets Risible. Les portes d'ascenseur se sont ouvertes. Harry jeta oeil dans couloir, avec les diverses affiches d'équipes de Quidditch clouer de travers sur les murs.

Un des sorciers dans l'ascenseur, portait une brassée de manches à balai, se dégagea avec difficulté et disparu en bas dans le couloir. Les portes refermées, l'ascenseur monta encore et la voix de la femme annonça:

-le Niveau Six, le Service de Transport Magique, incorporant l'Autorité de Réseau de Cheminette, le Poste de contrôle de la régulation des balais, le Bureau de Portoloin et le Centre de Test d'Apparition. De nouveau les portes d'ascenseur ont ouvert et quatre ou cinq sorcières et sorciers sont sorti; en même temps, plusieurs avions de papier ont foncé dans l'ascenseur. Harry dévisagea ses avions en se demandant quèlle était leur utilité alors quìls planaient au dessus de sa tête; ils étaient d'une couleur violette pâle et il pouvait voir le Ministère de la Magie affranchie le long du bord de leur aile.

-Ce sont des notes inter-départementales, lui marmonna M. Weasley. Nous avons utilisé des hiboux, mais le désordre était incroyable... des lettres partout dans les bureaux...

Comme ils montaient encore, le battement des ailes des notes faisait osciller la lampe du plafond de l'ascenseur. -Niveau Cinq, Service de coopération magique internationale, incorporant les corps d'échange magique standard international, le bureau de loi international magique et le Siège de la confédération britannique internationale. Quand les portes se sont ouvertes, deux des notes ont fait un zoom vers la sortie avec quelques-uns des sorcières et des sorciers, mais plusieurs autres notes ont fait leur entrées.

-Le niveau Quatre, le Service pour le Règlement et le Contrôle des Créatures Magiques, La corporation des bêtes, la division des Êtres et des esprits, le Bureau de Liaison de Gobelin et le Bureau des pestes Consultatif. Excusez-moi a dit le sorcier qui porte le poulet qui crache le feu et il sorti de l'ascenseur suivi par un petit troupeau de notes. Les portes se refermèrent encore.


-Le niveau Trois, le Service d'Accidents et des Catastrophes Magiques, y compris l'Escouade de recouvrement des accidents magique, les sièges des oubliators et le Comité d'Excuse Digne pour Moldu. Tout le monde quitta l'ascenseur sur ce plancher sauf M Weasley, Harry et une sorcière qui lisait un morceau extrêmement long du parchemin qui traînait par terre. Les notes restantes ont continué à planer vers la lampe comme l'ascenseur montait encore, alors les portes se sont ouverte et la voix a fait son annonce.

-Le niveau Deux, le Service d'Application de la loi Magique, y compris le bureau de l'usage de la magie interdit, le Siège des Aurors et les Services d'Administration de Wizengamot.- -Cèst à nous, dit M Weasley, et ils suivirent la sorcière hors de l'ascenseur dans un couloir pleines de portes.

-Mon bureau est de l'autre côté du plancher.

-M Weasley dit Harry, quand ils passèrent devant une fenêtre par laquelle les rayons du soleil passaient, nous ne sommes plus sous terre ?

-Nous y sommes toujours a dit M Weasley. Ce sont des fenêtres enchantés. L'Entretien magique décide ce que nous verrons tous les jours. Nous avons eu deux mois d'ouragan la dernière fois qu'ils ont demandé une augmentation de salaire...

Juste au coin, Harry. Ils tournèrent au coin, marchèrent devant quelques portes en chênes et émergèrent dans une salle en désordre divisé en box, ou résonnait des discours et des rire.

Les notes faisaient un zoom vers les box comme de petites fusées miniature. Un panneau de travers se trouvant sur le bureau le plus proche disait: "les Siège principaux des Aurors".

Harry regarda furtivement par l'embrasures des portes quand ils passèrent . Les Aurors avaient couvert leurs murs avec toutes sortes d'images de sorciers et de photographies de leurs familles, ainsi que des affiches de leurs équipes préférés de Quidditch et des articles du Daily Prophet. Un homme écarlate avec une queue de cheval plus longue que Bill était assis avec les pieds sur son bureau dictant un texte à sa plume à papote. Un petit plus loin une sorcière avec une pièce par-dessus un oeil discutait par dessus son cubicule avec Kingsley Shacklebolt.

-Bonjour Weasley, dit Kingsley négligemment, comme sìl ne se connaissait pas beaucoup.

-Je voudrais vous parler, vous avez une seconde ?

-Oui, si cèst vraiment pour une seconde dit M Weasley, je suis plutôt pressé. Ils parlèrent comme s'ils se connaissaient à peine et quand Harry ouvrit sa bouche pour dire bonjour à Kingsley, M Weasley lui marcha sur son pied.

Ils suivirent Kingsley le long du rang jusque dans le dernier cubicule. Harry reçu un choc lorsqu'il vit sur le bureau une affiche du visage de Siruis. Les coupures de journal et les vieilles photographies - même celles ou Sirius était témoins du mariage de ses parents couvraient les murs. Le seul espace sans photo de Sirius était une carte du monde dans lequel de petites épingles rouges luisait comme les bijoux.

-Ici, a dit Kingsley brusquement à M Weasley, poussant une pile de parchemin dans sa main..


-J'ai besoin de beaucoup d'information sur le vol de véhicule Moldu qui se sont produit dans le dernier des douzes mois. Nous avons reçu l'information que Black pourrait toujours utiliser sa vieille motocyclette. Kingsley fit un clin dòeil à Harry et ajouta dans un chuchotement, Donner lui la revue, il pourrait la trouver intéressante.

-Et que ça ne prenne pas trop longtemps, Weasley, le retard sur ce rapport de jambe de feu a tenu notre investigation en haut pour un mois.

-Si vous aviez lu mon rapport vous sauriez que le terme est des armes à feu, a dit M

Weasley froidement. Et j'ai peur que vous devrez attendre l'information sur les motocyclettes; nous sommes extrêmement occupé actuellement. Il a baissa sa voix et dit,

-Si vous pouvez partir avant sept heure, Molly fait un ragoût. Il a appelé Harry d'un geste et ils sortirent du cubicule pour passer par une deuxième série de portes de chêne, dans un autre passage, ils tournèrent à gauche, marchèrent le long d'un autre couloir, une autre tour droite dans un couloir faiblement éclairé et distinctement usé, et atteignirent finalement un cul de sac, où sue le coté se trouvait une porte entrouverte, révélant un cagibi, et sur la droite une porte ou on pouvait lire sur une plaque de cuivre ternie: "l'Usage Impropre d'Objets de Moldu".

Le bureau miteux de M. Weasley sembla être légèrement plus petit que le cagibi. Deux bureaux avaient été mit en un et il y avait à peine l'espace pour les déplacement à cause de tous les classeurs à tiroirs qui débordait le long des murs, sur lesquels chancelaient des tas de fichiers.

Le petit coin de mur disponible reflétais la passion de M. Weasley.

Plusieurs affiches de voitures, y compris celui d'un moteur démonté; deux illustrations de boîte aux lettres qu'il semblait avoir coupé de livres des enfants de Moldu; et un diagramme montrant comment déboucher un bouchon. Une photographie de la famille de Weasley se tenait à côté du bureau. Harry remarqua que Percy semblait avoir disparut.

-Nous n'avons pas reçu de fenêtre, dit M Weasley en ôtant son veston de grenadier et le plaçant sur le dos de sa chaise.

-Nous l'avons demandé, mais ils ne semblent pas penser que nous avons besoin de cela.

- Assieds-toi Harry, Perkins nèst pas encore arriver.

Harry s'asseya dans la chaise derrière le bureau de Perkins pendant que M Weasley feuilleta la pile de parchemin que Kingsley Shacklebolt lui avait donné.

-Ah, a t-il dit, souriant, quand il extirpa une copie d'une revue a autorisé

: Le Quibbler du milieu de la pile, oui... Il feuilleta le pamphlet.

-Oui, il a raison, je suis sûr que Sirius trouvera que cèst très amusant oh dieu, qu'est ce que ceci; une lettre avait fait une entrée par la porte ouverte pour se reposer sur le grille-pain.

M Weasley l'a ouverte et l'a lu à haute voix.

-Troisième toilette publique régurgitatrice rapportée dans Bethnal Vert, examiner immédiatement. Ceci devient ridicule...

-Une toilette régurgitant .....

-Toilette Anti Moldu, a dit M Weasley, fronçant les sourcils. Nous en avions deux la semaine dernière, celle dans Wimbledon et celle dans le château Éléphant. Les Moldus tire la chasse d'eau et au lieu que tous disparaissent.....enfin, tu peux imaginer. Les pauvres appellent les plombers.... je crois. Tu sais, celui qui répare les tuyaux et ces choses.

-Les plombiers répondit Harry

-Exactement, oui, mais bien sûr ils ne savent pas quoi faire. J'espère seulement que nous pourrons attraper celui qui fait cela.

-Est-ce les aurors qui les attrapent ?

-Oh non, ceci est trop insignifiant pour les Aurors, c'est la Patrouille d'Application de la loi Magique ordinaire.. ah, Harry, Voila Perkins. Un vieux sorcier à l'apparence timide avec les cheveux blancs entra dans la salle, haletant.

-Oh, Arthur! Dit-il désespérément, sans regarder Harry. Merci bon Dieu, je n'ai pas su quoi faire de mieux, sauf attendre ici pour vous. J'ai envoyé un hibou à votre maison mais vous l'avez évidemment manqué. Un message urgent

est venu il y a dix minutes

-je sais ,la toilette régurgitant, dit M Weasley.

-Non, non, ne ce pas est la toilette, c'est l'audience du garçon Potter ils ont changé le temps et le lieu. Il commence à huit heures maintenant et c'est en bas dans la vieille Salle d'audience Dix

-En bas dans la vieille.. mais ils m'ont dit.. par la barbe de Merlin! M.

Weasley regarda sa montre, poussa un cri et sauta de sa chaise.

-Vite, Harry, nous aurions dû être là-bas il y a cinq minutes! Perkins s'est aplati contre les classeurs à tiroirs comme M Weasley quitta le bureau en courant, Harry sur ses talons.

-Pourquoi avoir changé l'heure demanda Harry haletant, quand ils passèrent le cubicule des Aurors; les gens regardèrent dehors et les dévisagèrent.

-Je n'en ai pas la moindre idée, si tu l'avais manqué, cela aurait été catastrophique!

M Weasley s'arrêta à côté des ascenseurs et tapota impatiemment sur le bouton menant vers le bas

-Plus vite! L'ascenseur sòuvrit et ils se ruèrent à lìntérieur. Chaque fois qu'il s'arrêta, M

Weasley maudit furieusement les incapables de cet établissement et appuya furieusement sur le bouton 9.

-Ces salles d'audience n'ont pas été utilisées depuis des années, a dit M Weasley avec colère. Je ne comprend pas pourquoi ils le font là-bas à moins que.. mais non....

une sorcière grassouillette qui portait un gobelet fumant entra dans l'ascenseur, M

Weasley n'a pas élaboré sa réponse.

-L'Atrium, a dit la voix de la femme et les grilles dorés glissèrent ouvertes, montrant a Harry au loin les statues dorées se trouvant dans la fontaine. La sorcière grassouillette sortit et un sorcier très mélancolique entra.

-Bonjour, Arthur, dit-il dans une voix sépulcrale quand l'ascenseur commença à descendre.

-On ne vous vois pas souvent par ici

-Affaires urgentes Bode, a dit M Weasley, qui rebondissait en lançant des regards soucieux à Harry.

-Ah, oui, dit Bode, examinant Harry sans ciller. Bien sûr. Harry avait peine à contenir son émotion et le regard de Bode ne làidait pas du tout.


-Le service de Mystères a dit la voix de la femme.

-Vite, Harry, a dit M. Weasley .Quand les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, et ils se retrouvèrent dans un couloir qui était différent de ceux au-dessus. Les murs étaient nus; il n'y avait aucune fenêtres et aucune portes en dehors d'une unique qui était noire et se trouvait à la fin du couloir.

Harry avaient prévu de la traverser.

M Weasley le saisit par le bras et le traîna vers la gauche, où se trouvait une ouverture menant à un escalier.

-En bas ici, en bas ici, haleta M Weasley, montant deux marches à la fois. L'ascenseur ne descend pas aussi loin... pourquoi ils le font en bas là-bas je... Ils atteignirent le bas des marches et coururent le long d'un autre couloir, qui était très ressemblant à celui qui mène au cachot de Rogue à Poudlard, avec les murs de pierre rudes et les torches entre crochets. Les portes qu'ils passèrent étaient en bois lourde avec des boulons et des serrures en fer.

-Salle d'audience.. Dix.. Je pense... nous y sommes presque... oui. M Weasley trébucha sur le pas d'une porte sombre avec une serrure en fer immense et tomba contre le mur.

-Continue, a-il haleté, indiquant la porte avec son pouce. Entre là-bas.

-Vous, Vous ne venez pas avec moi ?

-Non, non, je n'ai pas la permission. Bonne chance!

Harry avait le coeur qui battait violemment sur sa pomme d'adam. Il avala difficilement, tourna la poignée de la porte en fer lourd et marcha dans la salle d'audience.


chapitre 08 : L'Audience

Harry avait sursauté; il ne pourrait pas s'aider. Le grand cachot d'où il était entré était horriblement familier. Il n`était pas seul lorsquìl l'avait vu auparavant, il avait été ici auparavant. Cet endroit était la pièce qu'il avait visitée à l'intérieur de la Pensive de Dumbledore, la place où il avait regardé les Lestranges être condamné à emprisonnement à vie à la prison dÀzkaban. Les murs étaient faits de pierre sombre, allumée faiblement par des torches. Des bancs vides se trouvaient de chaque côté de lui, mais devant, dans les gradins, se trouvaient un grand nombre de personnes. Ils avaient parlé à voix basses, mais comme la lourde porte s`était brusquement fermée derrière Harry, un silence menaçant tomba. Une voix virile et froide retentit à travers la salle d'audience.

-Vous êtes en retard.

-Désolé, dit Harry nerveusement, je - je ne savais pas que l`heure avait été changé.

-Ce n'est pas la faute du Wizengamot , dit la voix. Un hibou vous a été envoyé ce matin.

Prenez votre siège..

Harry fit tomber son regard sur la chaise dans le centre de la pièce, les bras de cette dernière étaient recouvert par des chaînes. Il avait vu ces chaînes sauter à vie et lien quiconque s'était assis entre eux. Ses pas retentissaient comme il marchait à travers le sol de pierre. Quand il s'assis sur le bord de la chaise, les chaînes précautionneusement tintèrent menaçamment, mais ne le lièrent pas. Se sentent plutôt malade, il regarda les gens qui s`étaient assis au banc au-dessus. Il y avait approximativement cinquante d'entre eux,en tout, aussi loin qu'il pouvait voir, qui portait des robes couleur prune avec un argent minutieusement travaillé "W" sur la poitrine du côté gauche et tous se baissèrent pour le dévisager. Quelques-uns avec une expression très austère, dàutres semblaient davantage curieux.

Dans le centre de la ligne de devant était assis Cornelius Fudge, le Ministre de la Magie.

Fudge était un homme corpulent qui portait souvent un chapeau vert-lime, pourtant, aujourd'hui il avait dispensé de làpporter; il avait également dispensé son sourire indulgent, ce même sourire quìl avait porté auparavant lors des conversations avec Harry. Une magicienne avec une mâchoire carré portant ses cheveux gris très courts s`était assis à la gauche de Fudge; elle portait un monocle et regardait Harry dùn air sinistre. À la droite de Fudge, une autre magicienne s`y trouvait, mais elle s'installait si profondément sur le banc que son visage était dans lòmbre.

-Très bien. dit Fudge. La présence de l'accusé nous permet désormais de débuter. Êtes-vous prêt? demanda-t-il en sàdressant à la rangée dèn-dessous.

-Oui, Monsieur. dit une voix passionnée que Harry connaissait. C`était le frère de Ron, Percy qui était assis sur le banc de devant. Harry regardait Percy, en attendant quelque signe de reconnaissance de sa part, mais aucun ne vint. Les yeux de Percy, derrière sa monture de lunettes, étaient fixés sur son parchemin, une plume était en équilibre dans sa main.

-Làudition disciplinaire du douzième d'août." dit Fudge dans une voix sonore, et Percy commença à prendre des notes, une à la fois, "les fautes ont eu lieu sous le Décret pour la Restriction Raisonnable de Sorcellerie Mineure et le Statut International de Secret par Harry James Potter, résident à nombre quatre, Privet Drive, Little Whinging,Surrey.

-Interrogateurs: Cornelius Oswald Fudge, Ministre de la Magie,; Amelia Susan Bones, Tête du Département de Mise en application de la Loi sur la Magie,; Dolores Jane Umbridge Sous-secrétaire au Ministre. Scribe du court, Percy Ignatius Weasley.

-Témoin pour la défense, Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore. dit une voix calme derrière Harry qui détourna sa tête si rapidement, qu'il sèst presque fait un torticolis.

Dumbledore marchait à grands pas à travers la pièce et portait une longue robe bleu de minuit et une expression parfaitement calme. Sa longue barbe et ses cheveux couleur argent luisaient sous la lumière de la torche lorsquìl arriva au même niveau qùHarry et regarda Fudge à travers ses lunettes demie-lune qui reposait à mi-chemin en bas de son nez très tordu .

Les membres du Wizengamot marmonnaient. Tous les yeux étaient maintenant sur Dumbledore. Quelques-uns semblaient contrariés, dàutres effrayés légèrement; deux assez âgé cependant, les magiciens dans la rangée du bas ont levé leurs mains et applaudissaient.

Une émotion puissante avait augmenté dans poitrine de Harry à la vue de Dumbledore, il se sentait plus fort, la sensation pleine d'espoir semblable à celle que la chanson du phoénix lui avait donné plus tôt. Il voulu saisir le regard de Dumbledore , mais Dumbledore ne regardait pas dans sa direction; il continuait à regarder Fudge, évidemment rendu nerveux.

-Ah! dit Fudge qui le regarda déconcerté . .Dumbledore. Oui. Vous euh... avez obtenu euh... notre message que l'heure et euh... l'endroit avait été changé, alors.

-Jài dû le manquer. dit Dumbledore gaiement. .Cependant, dû à un chanceux hasard je suis arrivé au Ministère trois heures plus tôt, donc aucun mal nèst fait..

-Oui, bien je suppose que nous avons besoin d'une autre chaise. Weasley, pourriez-vous

?

-Non, ne vous en faites pas . dit Dumbledore agréablement; il pris alors sa baguette, lui donna un petit coup, et un fauteuil moelleux de la perse apparut de nulle part près de Harry. Dumbledore s'assis, réunissant les pointes de ses longs doigts et observe Fudge avec une expression d'intérêt poli. Le Wizengamot marmonnait encore et sàgitait constamment; seulement, lorsque Fudge commença à parler de nouveau, ils sìnstallèrent.

-Oui. dit encore Fudge, en cherchant ses notes. Bien, alors. Donc. Les charges. Oui.

Il dégagea alors un morceau de parchemin parmi les nombreuses pages qui se trouvaient devant lui, pris un souffle profond, et lu,"Les charges contre l'accusé sont comme suit: Qu'il a fait sciemment, délibérément et dans la pleine conscience de l'illégalité de ses actions, ayant reçu un avertissement écrit antérieur du Ministère de Magie, sur une charge semblable, produit un Charme Patronus dans une région habité par des Moldus, en la présence d'un Moldu, sur la seconde d'août à vingt heures passé de trois minutes neuf qui constituent une offense sous le Paragraphe C du Décret pour la Restriction raisonnable de Sorcellerie Mineure, 1875, et aussi sous la Section 13 de la Confédération Internationale de Sorciers. Statut de Secret."


-Vous êtes Harry James Potter, de nombre quatre, Privet Drive, Little Whinging, Surrey.

dit Fudge, en lançant un regard furieux à Harry sur le sommet de son parchemin.

-Oui. dit Harry.

-Vous avez reçu un avertissement officiel du Ministère pour utiliser la magie illégalement il y a trois années, n' est-ce pas?

-Oui, mais.

-Et cependant vous avez conjuré un Patronus sur la nuit de la seconde d'août. dit Fudge

-Oui. dit Harry, mais.

-Vous savez que vous n'êtes pas autorisé à utiliser la magie à l'extérieur de l`école pendant que vous êtes sous l'âge de dix-sept ans.

-Oui, mais.

-Vous savez que vous étiez dans une région plein de Moldus.

-Oui, mais.

-Vous étiez pleinement informé que vous étiez à proximité dùn Moldu au moment où vous avez fait usage de la magie.

-Oui. dit Harry furieusement, mais je l'ai utilisé seulement parce que nous étions.

La magicienne avec le monocle lui coupa la parole dùne voix retentissante.

-Vous avez produit un Patronus à part entière.

-Oui, dit Harry, parce que...

-Un Patronus corporel.

-Un quoi? demanda Harry

-Jàvais lìntention de dire que votre Patronus avait une forme clairement définie, c'était plus que vapeur ou fumée.

-Oui. dit Harry, en se sentant impatient et légèrement désespéré, cèst un cerf, cèst toujours un cerf..

-Toujours! a tonné Madame Bones. Vous avez déjà produit un Patronus auparavant.

-Oui, dit Harry, je lài dû le faire pour une année..

-Et vous aviez quinze années.

-Oui, et.

-Vous avez appris ceci à école.

-Oui, Professeur Lupin me là appris durant ma troisième année, à cause du...

-Impressionnant, dit Madame Bones, assise à le dévisager, un vrai Patronus à son âge est très impressionnant en effet..

Quelques-uns des sorciers et magiciens autour d'elle marmonnaient encore; quelques-uns firent un signe de la tête, mais dàutres fronçaient les sourcils et secouaient leur tête.

-Ce nèst pas une question de comment la magie était impressionnante. Dit Fudge dans une voix irritable, en fait , le pire c'est, que le garçon l'a fait devant les yeux dùn Moldu!

Ceux qui avaient alors froncé les sourcils ont murmuré en accord, mais c'était la vue de Percy qui avait fait un petit signe de tête affirmatif d'une piété suffisante qui a aiguillonné Harry à prendre la parole. -Je l'ai fait à cause du Détraqueur!. dit-il à haute voix, avant que n'importe qui lìnterrompe encore. Il s`était attendu à plus de protestations, mais le silence qui est tombé a paru être d'une façon ou d'une autre plus dense qu'avant.

-Détraqueurs! dit alors Madame Bones après un moment. .Quèst-ce que ça signifie, garçon.


-Je veux dire il y avait deux Détraqueurs dans le bas de l`étroite ruelle et ils sont allés vers moi et mon cousin!.

-Ah! dit encore Fudge, en souriant d'un air affecté désagréablement en regardant autour du Wizengamot, comme pour les inviter à partager la plaisanterie. Oui. Oui, je pensais que nous avions entendu quelque chose comme ceci..

-Des Détraqueurs dans Little Whinging. dit Madame Bones , dans un ton de grande surprise. Je ne comprend pas.

-Pas vous, Amelia. dit alors Fudge, avec un sourire d'un air encore affecté. Allez que j'explique .Il a dû réfléchir cet été et décider que des Détraqueurs ferait une histoire très agréable, très agréable en effet. Les Moldus ne voient pas les Détraqueurs, cèst un garçon Hautement commode, très commode donc cèst seulement votre parole et aucuns témoins.

-Je ne suis pas un menteur!. dit Harry à voix haute, alors quùne autre manifestation de marmonnage débuta dans làudience. Il y en avait deux, ils venaient de chaque bout de l'allée, tout est devenu sombre et froid et mon cousin les a sentis et a couru pour lui...

-Assez, assez!. dit Fudge, avec une apparence très hautaine sur son visage. Je suis désolé dìnterrompre cela qui, je suis sûr aurait été une histoire très bien répétée.

Dumbledore clarifia sa gorge. Le Wizengamot tomba encore silencieux.

-En fait, nous avons un témoin de la présence de Détraqueur dans ce passage étroit dit-il , autre que Dudley Dursley, je précise..

Le visage dodu de Fudge parut ralentir, comme si quelqu'un avait laissé sortir de l'air en lui.

Il dévisagea Dumbledore un moment ou deux, alors, avec l'apparence d'un homme qui se retire, et dit, "Nous nàvons pas obtenu que le temps d`écoute à plus dàuditoires, je suis effrayé, Dumbledore. Je veux négocier rapidement.

-Je peut être dans lèrreur. dit Dumbledore agréablement, mais je suis sûr que sous le Wizengamot Charte de Droits, l'accusé a le droit de présenter des témoins pour son ou ses cas, nèst-ce pas la politique du Département de Loi Magique Mise en application, Madame Bones? a-t-il continué, en adressant à la magicienne portant le monocle.

-Vrai, dit le Madame Bones. Parfaitement vrai..

-Oh, très bien, très bien. Lança Fudge.Où est cette personne.

-Je l'ai apporté avec moi. dit Dumbledore. Elle est juste derrière la porte. Je peux?

-Non, Weasley, allez-y. Aboya Fudge à Percy qui descendit les marches de pierre du balcon du juge et passa précipitament près de Dumbledore et de Harry sans leur jeter le moindre regard. Un moment plus tard, Percy était revenu, suivi par Mrs Figg. Elle semblait apeuré et plus toqué que jamais. Dumbledore s'était levé et donna sa chaise à Mrs Figg, en faisant apparaître un deuxième pour lui-même.

-Le nom au complet.dit à haute voix Fudge, quand Mrs Figg s'était perchée nerveusement sur le bord de son siège.

-Arabella Doreen Figg. dit Mrs Figg dans sa voix tremblotante.

-Et qui exactement êtes-vous.dit Fudge, dans une voix haute et perçante.

-Je suis une résidente de Little Whinging, près d'où Harry Potter vit. Dit Mrs Figg.

-Nous nàvons aucun enregistrement de magicien ou sorcier qui vivent dans Little Whinging, autre que Harry Potter. dit la Madame Bones. Cette situation a toujours été attentivement dirigé, donnée.


-Je suis un crakmol. dit Mrs Figg. .Mais vous ne les avez pas enregistré, voyez-vous.

-crakmol . Eh. dit Fudge, la fixant attentivement. .Nous devons vérifier cela. Vous pouvez donner des détails de votre naissance avec mon auxiliaire Weasley.

Incidemment, les crakmols voient ils les Détraqueurs. a-t-il ajouté, en regardant de gauche à droite le long de la rangée.

-Oui, nous pouvons!. dit Mrs Figg avec indignation.

Fudge la regardait avait un air méprisant, ses sourcils surélevé. .Très bien. dit-il.

-Quel est votre histoire?

- J` était sorti pour acheter la nourriture du chat au magasin du coin au bout de Promenade Wisteria, autour approximativement de neuf heures, sur le soir de la seconde d'août. a bredouillé Mrs Figg , comme si elle avait appris ce qu'elle disait par coeur, quand jài entendu un problème en bas de l`étroite ruelle entre Croissant du Magnolia et La promenade Wisteria. En approchant de la bouche de l`étroite ruelle, j'ai vu courir des Détraqueurs.

-Courir, dit Madame Bones. Les détraqueurs ne courent pas, ils glissent..

-Cèst ce que jài voulu dire. dit Mrs Figg, qui paraissaient les joues rosées .Ils glissaient le long de l'allée vers ce qui a ressemblé à deux garçons..

-À quoi ressemblaient-ils.dit Madame Bones, en resserrant ses yeux alors que le bord du monocle disparut dans sa chair.

-Bien, lùn était très grand et l'autre plutôt maigre.

-Non, non. dit Madame Bones impatiemment. .Les Détraqueurs... décrivez-les..

.Oh, dit Mrs Figg, le rougeoiement rose progressait maintenant dans son cou. Ils étaient grands. Grands et portaient des manteaux..

Harry sentit un affaissement horrible dans le noyau de son estomac. Peu importait ce que Mrs Figg pouvait dire, lui, il gardait lìmage du visage des Détraqueurs et une image ne pourrait jamais transporter la vérité de ce que ces existences étaient comme: le chemin surnaturel qu'ils ont déplacé, en planant de quelques pouces sur la terre; ou leur odeur pourri; ou ce terrible bruit crépitant qu'ils ont fait comme sìls avaient sucé l'air environnant.

Dans la deuxième rangée, un sorcier trapu avec une grande moustache noire s'était appuyée près de l'oreille de sa voisine et chuchotait, cette dernière était une magicienne aux cheveux crépu. Elle a souri d'un air affecté et fit un signe de la tête.

-Grand et porter des manteaux. a répété Madame Bones froidement, pendant que Fudge reniflait dérisoirement. Je vois. N'importe quoi autrement.

-Oui. a dit Mrs Figg. .Je les ait sentis. Tout est devenu froid, et c'était une très chaude nuit d`été, vous remarquerez. Et j'ai senti comme si tout le bonheur était parti de ce monde et je me suis souvenu de choses épouvantable.

Sa voix a secoué et est morte. Madame Bones élargit légèrement les yeux .

Harry pouvait voir des marques rouges sous ses sourcils, où le monocle avait été enfoncé.

-Quèst-ce que les Détraqueurs ont fait? a-t-elle demandé, et Harry a alors senti un peu d'espoir.

-Ils sont allés vers les garçons. a dit Mrs Figg, sa voix était plus forte et plus confiante maintenant, le rougeoiement rose refluait loin de son visage.Lùn d'eux était tombé.


Làutre reculait, essayant de repousser le Détraqueur. C'était Harry. Il a essayé deux fois et a produit seulement une vapeur dàrgent. Sur la troisième tentative, il a produit un Patronus qui a imputé en bas le premier Détraqueur et alors, avec cet encouragement, il a chassé le deuxième loin de son cousin. Et c'est ce qui s'est passé. Mrs Figg a fini, quelque peu faiblement.

Madame Bones a abaissé ses yeux et a regardé Mrs Figg en silence. Fudge ne la regardait pas du tout, mais parcourait nerveusement ses papiers. Finalement, il a élevé ses yeux et dit, plutôt agressivement, "Cèst ce que

vous avez vu, nèst-ce pas?".

-C'est ce qui s'est passé! a répété Mrs Figg.

-Très bien dit Fudge. Vous pouvez partir..

Mrs Figg lança un regard effrayée en direction de Fudge à Dumbledore, elle sèst alors levé et partit vers la porte. Harry entendit un bruit sourd se refermer derrière elle.

-Pas un témoin très persuasif. dit Fudge à haute voix.

-Oh, je ne pense pas. dit Madame Bones, dans sa voix mugissante. Elle a certainement décrit les effets d'une attaque de Détraqueur très correctement. Et je ne peux imaginer pourquoi elle dirait qu'ils étaient là si ils n`y étaient pas...

-Mais des Détraqueurs qui divague dans un faubourg Moldu et apparaissent soudainement à un sorcier. renifla Fudge. Les chances sur cela doivent être mêmes, très minces. Même Verpey ne voudrait pas parier dessus.

-Oh, je ne pense pas que chacun de nous croit que les Détraqueurs soient là par coïncidence. dit légèrement Dumbledore.

Le magicien qui était assis à la droite de Fudge, avec son visage dans lòmbre, s`était déplacé légèrement mais tout le monde était encore silencieux.

-Et qu'est-ce que celà est supposé signifier. demanda Fudge avec un ton glacé.

-Cèst que je pense que cet ordre leur a été ordonné. dit Dumbledore.

-Je crois que nous pouvons làvoir dans un dossier si quelqu'un avait rangé une paire de Détraqueurs à Little Whinging!. aboya Fudge.

-Pas si les Détraqueurs prennent des ordres de quelqu'un dàutre que le Ministère de la Magie ces jours-ci. dit Dumbledore tranquillement. Je vous ait déjà donné mes vues sur cette matière, Cornelius..

-Oui, vous avez. dit Fudge avec force, .et je n'ai aucune raison de croire que vos vues sont n'importe quoi dàutre que fond de cale, Dumbledore. Les Détraqueurs restent dans Azkaban et font tout ce que nous leur demandons à..

-Alors. dit Dumbledore, tranquillement mais clairement, nous devons nous demander pourquoi quelqu'un dans le Ministère a rangé une paire de Détraqueur dans cette ruelle étroite sur la seconde d'août..

Dans le silence complet qui a salué ces mots, le magicien à droite de Fudge s'appuya en avant ce qui permit à Harry de le voir pour la première fois. Elle avait une regard semblable à celui dùn grand, pâle crapaud. Elle était plutôt accroupie avec un visage général, flasque, avait un petit cou comme Oncle Vernon et une bouche très large, lâche.

Ses yeux étaient grands, ronds et légèrement ballonnant. Même le petit arc du velours noir se perchant sur ses cheveux courts bouclés lui faisait penser à une grande mouche qui s'accrochait sur une longue langue collante.

-Le tribunal reconnaît Dolores Jane Umbridge, Sous-secrétaire Aîné au Ministre. dit Fudge

La magicienne a parlé avec une voix de petite fille, haute qui a étonné Harry,; il s`était attendu à un coassement.

-Je suis sûr jài dû mal vous comprendre, Professeur Dumbledore. a-t-elle dit, avec un sourire affecté qui a laissé ses grands yeux ronds aussi froid que jamais. Donc, je suis peut-être idiote. Mais il m'a semblé pendant un minuscule moment comme si vous suggériez que le Ministère de la Magie avait attaqué ce garçon!.

Elle sèxclama dùn rire qui a fait dresser les cheveux de Harry sur sa tête. Quelques autres membres du Wizengamot ont ri avec elle. Il ne se put pas qu'aucun d'eux n'ait été vraiment amusé.

-Si c'est vrai que les Détraqueurs prennent des ordres du Ministère de la Magie, et c'est aussi vrai que deux Détraqueurs ait attaqué Harry et son cousin, logiquement quelqu'un au Ministère peut avoir rangé les attaques.

dit Dumbledore poliment. Bien sûr, ces particuliers Détraqueurs qui ont pu être à l'extérieur de contrôle du Ministère.

-Il n`y a aucuns Détraqueurs qui soient à l'extérieur de contrôle du Ministère!. a cassé net Fudge qui avait la brique tournée rouge.

Dumbledore a incliné sa tête dans un petit arc.

-Alors indubitablement le Ministère fera une pleine enquête du pourquoi deux des Détraqueurs se soient retrouvés loin d'Azkaban et pourquoi ils ont attaqué sans authorisation..

-Ce n'est à vous de décider ce que le Ministère de la Magie fait ou ne fait pas, Dumbledore!. a cassé net Fudge, maintenant une ombre de magenta de qui Oncle Vernon aurait été fier.

-Bien sûr, nèst-ce pas?. a dit Dumbledore avec douceur. Jèxprimait simplement ma confiance que cette matière n'ira pas en investiture.

Il jeta un coup d'oeil à Madame Bones qui rajusta son monocle et le dévisagea en fronçant les sourcils légèrement.

-Je rappellerait tout le monde que le comportement de ces Détracteurs, si en effet ils n'est pas inventions de lìmagination de ce garçon , n'est pas le sujet de cette audition!.

dit Fudge .Nous sommes ici pour examiner les offenses d`Harry Potter sous le Décret pour la Restriction raisonnable de Sorcellerie Mineure!.

-Bien sûr que nous le sommes, dit Dumbledore, .mais la présence de Détraqueurs dans cette ruelle étroite est très pertinente. Clause Sept des états du Décret que la magie peut être utilisé dans des circonstances exceptionnelles, et comme ces exceptionnelles circonstances incluent des situations qui menacent la vie du sorcier ou magicien , ou tous magiciens, sorciers ou Moldu présentent au temps du.

-Nous sommes familiers avec la Clause Sept, merci beaucoup!. s'est emmêlé Fudge.

-Bien sûr vous l`êtes. dit Dumbledore courtoisement. Alors nous sommes en accord avec cela.


-Harry a utilisé le Charme Patronus en ces automnes dòù les circonstances précisé entrent dans la catégorie de circonstances exceptionnelles que la clause d’écrit. Si il y avait des Détraqueurs que je doute..

-Vous avez entendu un témoin. Interrompit Dumbledore. -Si vous doutez encore de sa véracité, rappelez-la, questionnez-la encore. Je suis sûr quèlle ne désapprouverait pas..

-Je - que - pas -. a soufflé en rafales Fudge, en jouant du violon avec les papiers devant lui. Cèst que je veux en finir avec ça aujourd'hui, Dumbledore!.

-Mais naturellement, vous ne voudriez pas vous soucier de combien de temps a eu un témoin, si l'alternative était un déni de justice sérieux. Dit Dumbledore.

-Vous avez tout faux!!!. dit Fudge au sommet de sa voix. Dumbledore, en essayant de couvrir en haut son mauvais emploi flagrant de magie hors de scolarité je suppose vous avez oublié le Planez Charme qu'il a utilisé il y a trois années.

-Ce n`était pas moi, c'était un elfe de maison! dit Harry.

-Vous voyez. rugit Fudge, faisant des gestes en direction de Harry. Il logeait l'elfe! Dans une maison Moldu! Je vous demande..

-L'elfe de maison en question est dans l'emploi d'École de Poudlard actuellement. dit Dumbledore. Je peux l'appeler ici dans un instant pour donner des évidences si vous souhaitez..

-Jài- pas - je nài pas obtenu de temps d`écoute pour loger des elfes! En tout cas, ce nèst pas le seul, il a gonflé sa tante, pour égard à Dieu!. cria Fudge, en frappant son poing sur le banc de juge et renversa une bouteille d'encre.

-Et vous n'avez pas engagé de poursuites à cette occasion par bonté, je présume. Même les meilleurs sorciers ne peuvent pas contrôler toujours leurs émotions. dit Dumbledore tranquillement, comme Fudge essayait de brosser l'encre de ses notes.

-Et je nài pas commencé sur ce qu'il atteint jusqu'à l'école même..

-Mais, comme le Ministère n'a aucune autorité pour punir des étudiants de Poudlard pour les manques à école, le comportement de Harry nèst pas pertinent à cette audition.

Dumbledore dit, aussi poliment que jamais, "Mais maintenant avec une suggestion de fraîcheur derrière ses mots."

-Oho! dit Fudge ' Pas notre affaire ce qu'il fait à école, eh! Vous le pensez mais...

-Le Ministère n'a pas le pouvoir dèxpulser des étudiants de Poudlard, Cornelius, comme je vous l'ai rappelé dans la nuit de la seconde d'août, ' dit Dumbledore. ' Ni le fait ou le droit de confisquer des baguettes jusqu'à ce que les charges aient été avec succès prouvé; encore, comme je vous ait rappelé dans la nuit de la seconde d'août.

Dans votre hâte admirable à assurer que la loi soit soutenue, vous paraissez, par inadvertance je suis sûr, avoir, eu vue sur vous quelques lois. '

- Les lois peuvent être changées, ' dit sauvagement Fudge.

- Bien sûr ils peuvent, ' dit Dumbledore, en inclinant sa tête. ' Et vous paraissez certainement faire beaucoup de changements, Cornelius. Pourquoi, dans les dernières semaines depuis que je vous ait demandé de laisser le Wizengamot, est-il devenu prioritaire de négocier avec une simple matière de magie mineure au détriment des criminels!

Quelques sorciers au-dessus d'eux se déplaçaient incommodément dans leurs sièges.

Fudge se tourna légèrement et sàssis plus profondément. La magicienne à sa droite, cependant, regardait fixement Dumbledore, son visage était tout à fait sans expression.

-Dàussi loin que je sois informé, ' Dumbledore continua, ' il n'y a aucune loi cependant en place qui dit que le travail de cette court soit de punir Harry pour chaque morceau de magie quìl a jamais exécuté. Il a été chargé avec une offense spécifique et il a présenté sa défense. Tout ce que lui et moi pouvons faire cèst maintenant dàttendre votre verdict. '

Dumbledore réunit encore le bout de ses doigt et ne dit plus un mot.

Fudge lui lança un regard furieux. Harry jeta un coup d'oeil à Dumbledore, en cherchant le réconfort; il n'était pas sûr si Dumbledore était juste dans ses dires au Wizengamot.

Cependant, le temps était maintenant venu de prendre une décision. Dumbledore paraissait indifférent à la tentative de Harry qui voulait croiser son regard. Il continua à regarder les bancs où le Wizengamot entier était plongé dans les conversations.

Harry regardait ses pieds. Son cœur qui paraissait avoir enflé dùne dimension anormale, cognait en haut sous ses côtes. Il lui avait semblé que l'audition avait duré plus longtemps quèn réalité. Il n'était pas tout à fait sûr qu'il avait fait bon impression. Il n'avait pas parlé beaucoup. Il aurait dû sèxpliquer plus clairement au sujet des Détraqueurs, au sujet de comment il était tombé, au sujet de comment Dudley avait presque été embrassé . Deux fois il avait regardé Fudge et ouvert sa bouche pour parler, mais son cœur se resserrait laissant des passages d'air et les deux fois il avait pris simplement un profond souffle et avait regardé ses chaussures.

Puis le murmure cessa. Harry voulait lever les yeux vers les juges, mais il découvrit qu’il était beaucoup, beaucoup plus facile de continuer à regarder ses lacets.

‘Ceux en faveur de lever toutes les charges contre l’accusé ?’ dit Mme Bones d’une voix forte

‘Harry leva la tête. Il y avait des mains en l’air, beaucoup de mains… plus de la moitié !

Respirant très vite, il essaya de compter, mais avant qu’il ait pu finir, Mme Bones avait dit, ‘et ceux en faveur de la culpabilité ?’

Fudge leva la main, ainsi qu’une demi-douzaine d’autres, incluant la sorcière à sa droite, le sorcier moustachu et une sorcière aux cheveux frisés au second rang.

Fudge regarda autour de lui, paraissant avoir quelque chose de large coincé dans la gorge, puis baissa sa main. Il prit une profonde respiration et dit, d’une voix déformée par la rage contenue,’très bien, très bien…. Lavé de toutes les accusations’

‘Excellent’ dit Dumbledore brusquement, se levant sur ses pieds, tirant sa baguette magique et faisant disparaître les deux chaises. ‘Bien, je dois y aller. Bonne journée à tous’ et sans regarder une seule fois Harry, il quitta le donjon Chapitre 9 : les malheurs de Mme Wealsey

Le départ précipité de Dumbledore pris Harry complètement par surprise. Il resta assis où il était dans la chaise enchaîné, luttant avec ses sentiments se choc et de soulagement.

Le Wizengamot se levait tous, parlant, rassemblant leur feuille et les rangeant plus loin.

Harry se leva. Personne ne semblait lui accordé la moindre part de leur attention, sauf une sorcière avec une face de crapaud assise à la droite de Fudge qui le regardait fixement plutôt que Dumbledore.

L’ignorance, il essaya de capter le regard de Fudge, ou de Mme Bone, voulant demander s’il pouvait partir mais Fudge semblait plutôt déterminé à ne pas faire attention à Harry, et Mme Bones était occupé avec sa mallette, alors il fit quelque tentative vers la sortie et, puisque personne ne le rappelais, opta pour une marche très rapide. Il fit les dernier pas à la course, força la porte ouverte et heurta presque M. Weasley, qui se tenait tout à fait à l’extérieur, ayant l’air pale et inquiet

« Dumbledore n’a pas dit… »

«Acquitté » dit Harry, fermant la porte derrière lui « de toutes charges! »

Radieux, M. Weasley prit Harry par les épaules.

« Harry, c’est fantastique! Enfin, bien sûr, il ne pouvait pas te juger coupable, c’était évident, mais même à ça, je ne peux pas prétendre que j’étais… »

Mais M. Weasley se tue, car la porte de la cour venait juste de s’ouvrir encore.

Le Wizengamot se vidait.

« Par la barbe de Merlin! » s’exclama M. Weasley étonné, poussant Harry sur le côté pour laisser tous passer.

« Tu était jugé par la cour au complet »

« Je crois bien » dit Harry doucement.

Un ou deux sorcier firent un signe de tête à Harry alors qu’il passait et quelque uns, incluant Madame Bones, dirent « Bonjour Arthur » à M. Weasley, mais la plupart évitait leur regard. Cornelius Fudge et la sorcière à face de crapaud étaient pratiquement les derniers à quitter le donjon. Fudge agit comme si M Weasley et Harry faisait parti du décor, mais encore, la sorcière regarda Harry sans le quitter des yeux alors qu’elle passait. Le dernier de tous était Percy. Comme Fudge, il ignora complètement son père et Harry; il marcha devant eux tenant un large rouleau de parchemin et une poignée de plume de réserve, son dos droit et son nez en l’air. Les traits de la bouche de M.

Weasley se raidirent un peu, mais en dehors de cela il ne donna aucun signe qu’il venait de voir son troisième fils.

« Je vais te ramener immédiatement, comme ça tu pourras dire aux autres la bonne nouvelle » dit-il, faisant signe à Harry de s’avancer alors que Percy disparaissait dans les escaliers pour le Niveau 9.

« Je vais te déposer en allant voir c’est toilette à Bethnal Green. Allez, viens »

« Alors, qu’est ce que vous devez faire à propos des toilette ? » demanda Harry, souriant.

Tout semblait soudainement cinq fois plus drôle qu’a l’ordinaire. Il commençait à réaliser : il était acquitter, il allait retourner à Poudlard.

« Oh, c’est un très simple contre sort » dit M Weasley alors qu’il montait l’escalier « Mais ce n’est pas autant qu’à réparer les dommages, c’est plutôt l’attitude derrière le vandalisme, Harry. Harceler des Moldus peut sonner pour certain sorcier comme quelque chose de drôle, mais c’est l’expression de quelque chose de bien plus profond et mauvais, et, moi, je… »

M Weasley s’arrêta en plein milieu de sa phrase. Il venait tout juste d’atteindre le corridor du Niveau 9 et Cornelius Fudge se tenait à quelques lieux d’eux, parlant calmement à un grand homme avec une chevelure luisante et un visage pale et pointu.

Le second homme se retourna au son de leur pas. Lui aussi s’arrêta en plein milieu de sa conversation, ses yeux gris et froid rétrécirent et fixèrent le visage de Harry.

« Bien, bien, bien… Patronus Potter » dit Lucius Malefoy froidement Harry se sentit perdre son souffle, comme s’il avait marché dans quelque chose de solide. La dernière fois qu’il avait vu ces yeux froids c’était dans un interstice d’une cagoule de Mangemorts, et la dernière fois qu’il avait entendu cette voix c’était dans un cimetière alors que Lord Voldemort le torturait. Harry ne pouvait pas croire que Lucius Malfoy osait le regarder en face; il ne pouvait pas croire qu’il était là, au Ministère de la Magie, et que Cornelius Fudge lui parlait, alors qu’Harry avait prévenu Fudge il y a longtemps que Malfoy était un Mangemort.

« Le Ministre était justement en train de me parler de votre échappatoire chanceuse, Potter » dit M. Malefoy d’un ton traînant « Plutôt étonnant la facilité avec laquelle vous continuer à vous tirer de chaque mauvaise passe… comme un serpent, en fait. »

M Weasley agrippa l’épaule de Harry en avertissement.

« Ouais » dit Harry « Ouais, je suis bon pour m’échapper »

Lucius Malfoy leva les yeux jusqu’au visage de M Weasley.

« Et Arthur Weasley aussi! Que fais-tu ici, Arthur? »

« Je travaille ici » dit M Weasley brusquement.

« Pas ici certainement » dit M Malfoy, levant ses sourcils et jetant un coup d’œil à la porte par dessus l’épaule de M Weasley « Je croyais que tu étais au deuxième étage… Ne fais-tu pas quelque chose qui comporte de prendre subtilement des artefact Moldu et les emmené chez toi et de les ensorceler? »

« Non » coupa M Weasley, ses doigts mordant dans l’épaule à Harry à présent. « Qu’estce que vous faites ici de toute façon? » demanda Harry à M Malfoy.

« Je ne crois pas que les affaires privés entre moi-même et le Ministre ne te concerne aucunement » dit M Malfoy lissant le devant de sa robe. Harry entendit distinctement le gentil cliquetis de se qui sonnait comme une poche remplie d’or.

« Vraiment, simplement parce que vous êtes le garçon préféré de Dumbledore, vous ne devez pas vous attendre à la même indulgence des autres… Pourrions nous aller en haut, dans votre bureau, monsieur le Ministre ? »

« Certainement » dit Fudge, tournant le dos à Harry et M Weasley « De ce côté, Lucius »

Ils quittèrent à grand pas ensemble, parlant à voix basse. M Weasley n’enleva pas sa main de l’épaule de Harry tant qu’ils ne furent pas disparus dans l’ascenseur.

« Pourquoi n’étaient ils pas dans le bureau de Fudge s’ils avaient des affaires privés à régler ensemble? » explosa Harry furieusement « Qu’est-ce qu’il faisait ici? »

« Essayait de se glisser furtivement jusqu’à la cour, si tu veux mon avis » dit M Weasley, ayant l’air très agiter et jetant des coups d’œil par dessus son épaule comme pour être sur qu’ils ne pouvaient être entendu. « Essayant de trouver si oui ou non tu allait être expulsé. Je laisserai une note à Dumbledore quand je te déposerai, il doit savoir que les Malfoy ont encore parler à Fudge »

« Quelle affaire privée doivent-ils discuter ensemble, de toute façon? »


« De l’or je suppose » dit M Weasley furieusement « Malfoy a donné généreusement pour un paquet de chose pour des années… Le fait de connaître des bonnes personnes… ensuite il peut demander des faveurs… Des lois qu’il ne veut pas qu’elles soient passées… Oh, il est très bien connecter, Lucius Malfoy »

L’ascenseur arriva; il était vide en dehors d’une volée de mémos qui claquèrent leurs ailes près de la tête de M Weasley alors qu’il appuyait sur le bouton pour le Atrium et les portes claquèrent en se fermant. Il les repoussa d’un geste de la main, irritable.

« M Weasley » dit Harry lentement « Si Fudge rencontre des Mangemort comme Malfoy, si il les voit seul, comment savons-nous qu’ils n’ont pas mit l’Imperius sur lui. »

« Ne crois pas que ça ne nous ait pas venu à l’esprit, Harry. » Dit M Weasley calmement

« Mais Dumbledore pense que Fudge agit en parfait accord avec lui même pour le moment, ce qui, comme Dumbledore le dit, n’est pas beaucoup de réconfort. Il est mieux de ne pas en parler maintenant, Harry »

Les portes coulissantes s’ouvrirent et ils firent un pas à l’extérieur dans le Atrium à présent quasiment déserté. Éric le gardien était dissimulé derrière son Daily Prophet à nouveau. Ils avaient marché passer la fontaine d’or avant que Harry se souvienne.

« Attendez » dit-il à M Weasley, et, sortant son sac d’argent de sa poche, il retourna à la fontaine. Il regarda le beau visage du sorcier, mais de près, Harry trouvait qu’il avait l’air fou et faible. La sorcière affichait un sourire insipide comme si elle faisait un concours de beauté, et, d’après ce que Harry savait des gobelins et des centaures, il n’était pas du genre à se faire prendre en train d’admirer avec autant de sentiment à un humain, peu importe sa description. Seulement l’attitude de servitude rampante de l’Elfe semblait convaincante. Avec un sourire à la pensée de ce que dirait Hermione dirait si elle pouvait voir la statue de l’Elfe, Harry retourna son sac à l’envers et de le vida pas que de dix galions, mais de son contenu complet dans l’eau.

« Je le savait! » hurla Ron, sautant de joie dans les airs « Tu t’en sort toujours avec ces trucs! »

« Ils étaient obliger de t’acquitter » dit Hermione, qui avait eu l’air positivement sur le point de s’évanouir quand Harry était entré dans la cuisine et tenait maintenant une main tremblante devant ses yeux « Il n’y avait rien contre toi, rien du tout.. »

« Tout le monde semble plutôt soulagé, en revanche, considérant que vous saviez tous que j’aillais m’en sortir » dit Harry, souriant.

Mme Weasley essuyait son visage sur son tablier et Fred, Georges et Ginny faisait une espèce de danse guerrière sur un chant qui allait comme suit :

« Il s’en ai sorti, il s’en ai sorti, il s’en ai sorti!!!! »

« C’est assez! Assoyez-vous! » Cria M Weasley, bien que elle aussi souriait. « Écoute, Sirius, Luciux Malfoy était au Ministère… »

« Quoi?!?! » Coupa Sirius.

« Il s’en a sorti, il s’en ai sorti, il s’en ai sorti!!!! »

« Silence vous trois! Oui, Nous l’avons vu parlant à Fudge au Niveau 9, ensuite ils sont montés au bureau de Fudge ensemble. Dumbledore doit savoir… »

« Absolument » dit Sirius « Nous allons lui dire, ne t’inquiète pas »

« Bien, je ferais mieux d’y retourner, il y a une toilette vomissante qui m’attend à Bethal Green. Molly, je serais en retard, je dois recouvrir pour Tonks, mais Kingsley pourrait venir pour le dîner… »


« Il s’en ai sorti, il s’en ai sorti, il s’en ai sorti!!!! »

« C’est assez. Fred! Georges! Ginny! » Dit Mme Weasley, alors que M Weasley quittait la cuisine. « Harry, vient et assied toi, cher, mange quelque chose, tu as à peine déjeuner »

Ron et Hermione s’assirent en face de lui, semblant le plus heureux qu’il ne l’avait jamais été depuis leur arrivée à Grimmauld Place et le sentiment de bonheur vertigineux d’Harry, qui avait été éprouver d’une façon ou d’un autre lorsqu’il avait rencontre Lucius Malfoy, augmenta encore. La sombre maison semblait plus chaude et plus accueillante tout d’un coup; même Kreacher semblait moins laid alors qu’il fourrait son nez de cochon dans la cuisine pour enquêter sur l’origine de tout ce bruit.

« Bien sûr, une fois que Dumbledore était de notre côté, il n’y avait aucune chance qu’ils te déclarent coupable » dit Ron joyeusement, qui servait maintenant de généreuse portion de patates pillées dans les assiettes de chacun.

« Ouais, il a fait pencher la balance » dit Harry.

Il se disait que ça sonnerait plutôt ingrat, pour ne pas dire enfantin de dire « J’aurai aimé qu’il me parle, en revanche. Ou même qu’il m’ait regardé »

Et à cette pensée, la cicatrice sur son front lui brûla tant qu’il écrasa sa main dessus.

« Qu’est-ce qu’il y a? » Dit Hermione, semblant alarmée.

« Cicatrice » marmonna Harry « Mais ce n’est rien… Ça arrive tout le temps maintenant… »

Aucun des autres n’avait remarqué quoi que ce soit; tout le monde se servait de la nourriture tout en jubilant sur la fuite de justesse de Harry; Fred, Georges et Ginny chantait toujours. Hermione semblait plutôt anxieuse, mais avant qu’elle ne puisse dire quoi que se soit, Ron disait joyeusement :

« Je paris que Dumbledore va venir ce soir, pour célébrer avec nous, tu sais »

« Je ne crois pas qu’il puisse, Ron » dit Mme Weasley, mettant un énorme plat de poulet rôti en face de Harry « Il est vraiment très occupé pour le moment »

« IL S’EN EST SORTI, IL S’EN EST SORTI, IL S’EN EST SORTI!!! »

« TAISEZ-VOUS! » Rugit Mme Weasley.

Au courant des prochains jours, Harry ne pouvait s’empêcher de remarquer qu’il y avait une personne au numéro douze, Grimmauld Place, qui ne semblait pas totalement content qu’il aille retourner à Poudlard. Sirius avait sembler très heureux alors qu’il entendait la nouvelle pour la première fois serrant fort la main de Harry et étant radieux tout comme les autres. Bientôt, cependant, il était de moins bonne humeur et plus maussade qu’avant, parlant moins à tout le monde, même à Harry, et passant des plus en plus de temps enfermé dans la chambre de sa mère avec Buck.

« Tu ne dois pas te sentir coupable! » Dit Hermione sévèrement, après que Harry ait confié quelques-unes de ses sentiments à elle et Ron pendant qu’il nettoyait à la brosse un placard moisi, quelque jours plus tard.

« Tu dois aller à Poudlard et Sirius le sait. Personnellement, je crois qu’il est égoïste »

« Tu es dure, Hermione » dit Ron, fronçant les sourcils alors qu’il essayait d’enlever un bout de moisissure qui s’était attacher fermement à son doigt « Tu ne voudrais pas être prise dans cette maison sans compagnie »

« Il va avoir de la compagnie! » dit Hermione « C’est le quartier général de l’Ordre du Phénix, n’est-ce pas? Il s’est juste fondé de l’espoir pour que Harry vienne vivre ici avec lui »


« Je ne crois pas que c’est vrai » dit Harry, essorant son linge « Il ne m’a jamais donné une réponse directe quand je lui demandais si je pouvais »

« Il ne voulais pas se fonder de faux espoirs d’avantage » dit Hermione sagement. « Et il doit se sentir un peu coupable lui-même, car je crois qu’une part de lui voulait vraiment que tu sois renvoyé. Alors vous auriez été des rejeté de la société ensemble »

« Bien sûr que non! » dirent Harry et Ron ensemble, mais Hermione haussa à peine les épaules.

« Comme vous voulez. Mais quelque fois je crois que la mère de Ron a raison et que Sirius se confond si tu es toi ou ton père, Harry »

« Alors tu crois qu’il est malade mental » dit Harry, s’échauffant.

« Non, je crois juste qu’il a été très seul sur une très longue période » dit Hermione simplement.

À ce moment, Mme Weasley entra dans la pièce derrière eux.

« Toujours pas fini » dit-elle enfonçant sa tête dans le placard.

« Je croyais que tu venais pour nous dire de prendre une pause! » Dit Ron amèrement «

Est-ce que tu sait la quantité de mousse qu’on a enlevé depuis qu’on n’est arrivé? »

« Vous étiez si empressé d’aider l’Ordre » dit Mme Weasley « Vous pouvez faire votre part en faisant en sorte que les quartier généraux soit un peu plus vivable »

« Je me sens comme un Elfe de Maison » grommela Ron.

« Bien, maintenant tu comprend quelle affreuse vie ils mènent, peut-être que tu vas être un peu plus actif dans la S.A.L.E! » dit Hermione avec espoir pendant que Mme Weasley les quittait.

« Tu sais, peut-être que ça ne serait pas une mauvaise idée de montrer aux personne comme c’est horrible de laver tout le temps… Nous pourrions faire un récurage de financement dans la chambre commune de Gryffondor, tout les avancement pour la S.A.L.E, ça augmenterait la conscience du problème de même que nos fonds »

« Je te payerai seulement pour que tu la ferme à propos de la S.A.L.E » marmonna Ron, irrité, mais de sorte que seul Harry puisse l’entendre.

Harry se retrouva à rêvé en plein jour de Poudlard de plus en plus comme la fin des vacances approchait; il ne pouvait pas attendre pour voir Hagrid de nouveau, pour jouer au Quidditch, même pour flâner jusqu’au jardin aux serres d’Herbiologie; ça serait une récompense de quitter cette poussiéreuse maison qui sentait le renfermé où la moitié des placard était toujours verrouillé et où Kreacher soufflait des insultes hors de l’ombre alors que tu passait, mais Harry faisait attention pour ne pas mentionner tout cela à porté de voix de Sirius.

Le fait était que vivre dans le quartier général du mouvement anti-Voldemort n’était pas exactement aussi intéressant ou excitant que Harry ne s’y était attendu avant qu Harry ne l’expérimente. Malgré tout il y avait des membre de l’Ordre du Phénix qui allait et venait régulièrement, quelques fois restant pour les repas, d’autres fois seulement pour quelques minutes de conversation murmurée, Mme Weasley s’assurait que les autres était bien hors de portées de voix (soit Extensible ou normal) et personne, pas même Sirius, ne semblait croire que Harry n’avait besoin de savoir quoi que ce soit de plus que ce qu’il avait entendu la nuit de son arrivée.

Pendant la dernière journée de vacances, Harry balayait les reste de nourriture de Hedwidge sur le dessus de la commode quand Ron entra dans leur chambre transportant deux enveloppes.


« La liste des livre est arrivée » dit-il, lançant une des enveloppes en l’air pour Harry, qui était debout sur une chaise. « Il était à peu près temps, je pensait qu’ils avaient oublié, d’habitude elles arrivent bien plus tôt que ça »

Harry balaya la dernière des restant dans un sac de vidange et lança le sac par dessus la tête de Ron dans la poubelle dans le coin, qui l’avala et l’ingurgita bruyamment. Il ouvrit sa lettre. Elle contenait deux pièce de parchemin : une était l’habituelle rappel que l’école commençait au premier jour de septembre; l’autre lui indiquait quel livre il aurait besoin pour l’année à venir.

« Seulement deux nouveaux » dit-il, lisant la liste, le livre Standard des Sortilèges, Niveau 5, par Miranda Goshawk, et la Magie Théorique Défensive, pas Wilbert Slinkhard.

Crack.

Fred et Georges apparurent tout à côté d’Harry. Il était tellement habitué qu’ils le fassent maintenant qu’il ne tomba même pas de sa chaise.

« Nous nous demandions simplement si vous aviez reçu le livre de Slinkhard » dit Fred pour faire la conversation.

« Parce que ça veut dire que Dumbledore à trouvé un nouveau professeur de Défense Contre les Forces du Mal » dit Georges.

« Il était à peu près temps aussi » dit Fred.

« Qu’est ce que vous voulez dire? » demanda Harry, sautant à côté d’eux.

« Eh bien, nous avons entendu ‘Man et ‘Pa en parler avec nos Oreille Extensible il y a quelques semaines » Fred raconta à Harry » et d’après ce qu’ils disaient, Dumbledore avait beaucoup de difficulté à trouver quelqu’un pour faire le travail cette année »

« Pas très étonnant, ce l’est, quand on regarde ce qui est arrivé au quatre dernier » dit Georges.

« Un renvoyé, un mort, un qui a perdu la mémoire, et un emprisonné dans une malle pour neuf mois » dit Harry, les décomptant sur ces doigts « Ouais, je vois ce que vous voulez dire »

« Qu’est-ce qui se passe avec toi, Ron? » demanda Fred.

Ron ne répondit pas. Harry regarda au alentour. Ron se tenait debout très droit et sa bouche légèrement ouverte, bouche bée devant sa lettre de Poudlard.

« Qu’est-ce qu’il y a? » Dit Fred impatiemment, faisant le tour pour voir la parchemin par dessus l’épaule de Ron.

La bouche de Fred s’ouvrit soudainement aussi.

« Préfet » dit-il, observant la lettre, incrédule. « Préfet »

Georges s’avança, prit l’enveloppe dans l’autre main de Ron et la retourna à l’envers.

Harry vit quelque chose écarlate et or tomber dans la paume de Georges.

« Impossible » dit Georges avec une voix étouffée.

« Il y a eue une erreur » dit Fred, arrachant la lettre de la prise de Ron et la tenant devant la lumière comme s’il vérifiait le filigrane « Personne sain d’esprit ne ferait de Ron un préfet »

Les têtes des jumeau tournèrent dans la direction de Harry.

« Nous croyions que tu en étais un! » Dit Fred avec un ton de voix qui suggérait que Harry leur avait joué un tour d’une façon ou d’une autre.

« Nous croyions que Dumbledore t’aurait évidemment choisi! » dit Georges indigné.

« Tu as gagné le Tournoi des Trois Sorcier et tout et tout » dit Fred.

« J’imagine que toute les truc de fou ont compté contre lui » dit Georges à Fred


« Ouais » dit Fred lentement « Ouais, tu as causé trop de problème, l’ami. Enfin, au moins un de vous deux à les bonnes priorités »

Il marcha à grande enjambé vers Harry et lui tapa dans le dos alors qu’il donnait à Ron un regard mordant.

« Préfet Ronny-chéri le Préfet »

« Ohh, ‘Man va en être folle » gémit Georges, poussant le badge de Préfet vers Ron comme s’il avait peur que ça le contamine.

Ron, qui n’avait toujours pas dit un mot, prit le badge, l’observa pour un long moment, puis le tendit à Harry comme s’il demandait muettement pour la confirmation que c’était un authentique. Harry le prit. Un large P était superposé au lion de Gryffondor. Il avait vu un badge du genre sur la poitrine de Percy à sa toute première journée à Poudlard. La porte s’ouvrit brusquement. Hermione entra en pleure dans la pièce, les joues rouges et les cheveux emmêlés. Il y avait une enveloppe dans sa main.

« Est-ce que… Est-ce que vous avez eu… »

Elle vit le badge dans les mains de Harry et laissa passer un petit cri

« Je le savait » dit-elle excitée, brandissant sa lettre « Moi aussi, Harry, moi aussi! »

« Non » dit Harry rapidement, repoussant le badge dans la main de Ron « C’est Ron, pas moi… »

« C’est… Quoi? »

« Ron est Préfet, pas moi » dit Harry.

« Ron?!?! » Dit Hermione, sa mâchoire tombante « Mais… Es-tu sûr, je veux dire… »

Elle devint rouge quand Ron la regarda avec un air défiant sur le visage.

« C’est mon nom qu’il y a sur la lettre » dit-il.

« Je… » Dit Hermione, ayant l’air complètement déconcerté « Je… enfin… Wow! Bien joué, Ron! C’est vraiment… »

« Inattendu » dit Georges, hochant de la tête

« Non » dit Hermione, rougissant encore plus « Non, ce n’est pas… Ron a fait beaucoup de… Il est très… »

La porte derrière elle s’ouvrit un peu plus et Mme Weasley recula dans la pièce transportant une pile de robes fraîchement lavées.

« Ginny dit que les liste des manuels sont finalement arrivée » dit-elle, regardant les enveloppes tout autour alors qu’elle se dirigeait vers le lit et qu’elle commençait à séparer les robes en deux piles. « Si vous me les donner je vais les emmener jusqu’au Chemin de Traverse cet après-midi pour prendre vos livres pendant que vous ferez vos bagage. Ron, je vais devoir te prendre d’autres pyjamas, ils sont rendu au moins six pouces trop court, je ne peux pas croire que tu puisse grandir aussi vite. Quelle couleur tu les veux? »

« Prend lui s’en des rouge et or pour assortir avec son badge » dit Georges souriant d’un air affecté.

« Assortir avec quoi? » Dit Mme Weasley d’un ton absent, roulant une paire de bas marron et la déposant sur la pile de Ron.

« Son badge » dit Fred, avec l’air de quelqu’un qui veut faire passer le pire rapidement «

Son merveilleux brillant nouveau badge de Préfet »

Les mot de Fred prirent un moment à pénétrer la préoccupation de Mme Weasley avec les pyjama.

« Son… Mais… Ron, tu n’es pas… »


Ron montra son badge.

Mme Weasley poussa un petit cri pareil à celui d’Hermione.

« Je n’en crois pas mes yeux! Je n’en crois pas mes yeux! Oh, Ron, c’est merveilleux! Un Préfet! C’est tout le monde dans la famille! »

« Et qu’est-ce qu’on est, Fred et moi, les voisins d’à côté? » Dit Georges indigné alors que sa mère le poussait sur le côté et enlaça ses bras autour de son plus jeune fils.

« Attend que ton père entende ça! Ron, je suis fière de toi, quelle bonne nouvelle, tu pourrais devenir Préfet en Chef tout comme Bill et Percy, c’est la première étape! Oh, quelle belle chose a arrivée en plein milieu de tous nos soucis, je suis toute excitée, oh Ronnie!

Fred et Georges faisait tout les deux de drôle de sons derrière son dos mais Mme Weasley ne s’en rendi pas compte; les bras serré autour du cou de Ron, elle l’embrassait sur toute la figure, qui était devenu plus écarlate que son badge.

« ‘Man… arrête… ‘Man desserre ta prise… » Marmonna-t-il, essaya de la repousser. Elle le laissa parti et dit, essoufflé :

« Alors qu’est-ce que ça va être? Nous avons donné un hibou à Percy, mais tu en as déjà un, bien sûr… »

« De quoi tu parles? » Dit Ron, ayant l’air de quelqu’un qui n’en croyait pas ses oreilles.

« Tu dois avoir une récompense pour ça! » Dit Mme Weasley doucement « Que pense tu d’un nouvelle assortiment de robe? »

« Nous lui en avons déjà acheter » dit Fred amèrement, qui semblait sincèrement regretter sa générosité.

« Ou un nouveau chaudron, les vieux de Charlie rouille beaucoup, ou un nouveau rat, tu as toujours aimé Croûtard… »

« ‘Man » dit Ron avec espoir « Est-ce que je pourrais avoir un nouveau balai? »

Le visage de Mme Weasley s’assombrit un peu; les balais étaient chers.

« Pas un très bon! » Ron se dépêcha d’ajouter « Juste… Juste un nouveau, pour faire changement »

Mme Weasley hésita, puis sourit.

« Bien sûr que tu peux! Bon, je suis mieux d’y aller si je dois acheter un nouveau balai aussi. Je vous verrais plus tard… Petit Ronnie un Préfet! Et n’oubliez pas de paqueter vos valises… Un préfet, oh, comme je suis contente! »

Elle donna un autre bec sur la joue de Ron, respira bruyamment, sorti rapidement de la pièce.


Fred et George s’échangèrent un regard complice.

-Tu ne penses pas que nous devrions tèmbrasser, n' est-ce pas, Ron. Dit Fred dans une voix faussement inquiète.

-Nous pourrions lui faire une révérence, si tu préfères. Dit George.

-Oh, taisez-vous. Dit Ron, en se renfrognant.

-Ou quoi, Dit Fred, en souriant sarcastiquement. Tu vas nous mettre en retenue.

-Jàimerais voir ça. Ricanait George.

-Il peut si vous ne faites pas attention! dit Hermione furieusement.

Fred et George se mirent à rire, et Ron marmonna, "Laisse tomber, Hermione. "

-Nous allons devoir surveiller nos gestes, dit George à Fred, en prétendant trembler, avec ces deux-là ces deux sur notre cas. Ouais, il semble que nos jours de hors-la-loi soient finalement terminés. Dit George, en secouant la tête.

Et avec une autre remarque sarcastique, les jumeaux disparurent.

-Ces deux-là! dit furieusement Hermione, en regardant le plafond, au travers duquel ils pouvaient maintenant entendre Fred et George rire dans la pièce du haut.

"Ne fait pas attention à eux, Ron, ils sont seulement jaloux!"

-Je ne pense pas quìls le soient. Dit Ron, en regardant aussi le plafond. "Ils ont toujours dit que seulement les crétins deviennent encore des préfets". Il ajouta sur une note plus joyeuse," ils nàuront jamais de nouveaux balais!" Jèspère que je vais pouvoir aller avec Maman et le choisir. Ils ne seront jamais capable de mòffrir un Nimbus, mais il y a le nouveau Cleansweep qui est bon. Ouais, je pense que je vais y aller et lui dire que j'aime le Cleansweep, seulement pour quèlle le sache »

Il s'était précipité hors de la pièce, en laissant Harry et Hermione seuls.

Pour quelques raisons, Harry ne cherchait pas à regarder Hermione. Il retourna à son lit, prit la pile de robes propres que Mrs Weasley y avait déposé et traversa la chambre jusqùà sa malle.

-Harry. Dit Hermione peu sûre dèlle.

-Félicitation, Hermione. Dit Harry, si chaleureusement que ça ne semblait pas sincère, et, ne la regardant toujours pas, "Brillant. Préfet. Bravo.»

-Merci. Dit Hermione. Euh! Harry, pourrais-je tèmprunter Hedwige pour que je puisse le dire à Maman et Papa? Ils seront vraiment heureux. Que je devienne préfet est quelque chose qu'ils peuvent comprendre.

-Bien entendu, aucun problème. Dit Harry, avec une voix cordialement horrible,

"Prend-la!".

Il s'appuya sur sa malle, prenant les robes pour les insérer dans le fond et prétendant fouiller pour trouver quelque chose pendant que Hermione passait devant le placard et appelait Hedwige en bas. Quelques moments passèrent; Harry entendit la porte se refermer mais resta penché, à écouter; les seuls sons qu'il pouvait entendre étaient l'image vierge sur le mur qui ricanait encore et la poubelle qui toussait dans le coin où les hiboux faisaient leurs besoins.

Il se redressa et regarda derrière lui. Hermione était sortit et Hedwige était partit.

Harry se dépêcha à traverser la pièce, ferma la porte, et alors retourna lentement à son lit et sàffaissa dessus, regardant fixement en ayant la tête ailleurs vers le pied du placard.

Il avait complètement oublié que des préfets étaient choisis dans la cinquième année. Il s`était trop inquiété au sujet de la possibilité d'être expulsé pour penser au fait que les badges étaient envoyés

à certains étudiants. Mais sìl s'en était souvenu; s'il avait pensé à ça; qu'est-ce qu'il aurait espéré.

-Pas ça, dit une petite et honnête voix à l'intérieur de sa tête.

Harry détourna son visage et l'enfouit dans ses mains. Il ne pourrait pas se mentir; s'il avait su que l'insigne du préfet était sur sa route, il se serait attendu quèlle lui revienne, pas Ron. Était-il devenu aussi arrogant que Drago Malefoy? Se pensait-il supérieur aux autres? Croyait-il vraiment quìl était meilleur que Ron?

-Non, dit la petite voix d'un air provocant.


Harry se questionnait sur ce qui était vrai, en se questionnant sur ses propres sentiments.

-Je suis le meilleur au Quidditch, dit la voix. Mais je ne suis pas le meilleur en tout.

C'était sans aucun doute vrai, pensa Harry; il n'était pas meilleur que Ron dans les cours en classe. Mais était-ce à propos de lèxtérieur des cours. À propos des aventures que lui, Ron et Hermione avaient eu depuis quìl avaient commencé à Poudlard ensemble, en risquant souvent beaucoup plus que lèxpulsion.

Bien, Ron et Hermione étaient avec moi la plupart du temps, dit la voix dans la tête de Harry.

Pas tout le temps, cependant, se disait Harry. Ils n'ont pas lutté Quirrell avec moi. Ils n'ont pas suivit Jédusor et le Basilic. Ils ne se sont pas débarrassés de tout ces Détraqueurs la nuit où Sirius s'est échappé. Ils n'étaient pas dans ce cimetière avec moi, la nuit où Voldemort est revenu…

Et la même impression d'illusion làccabla alors.

Jèn ait fait plus quèux sans aucun doute, pensait Harry avec indignation. Jèn ait fait plus que l'un ou l'autre!

Mais peut-être, dit la petite voix, peut-être Dumbledore ne choisit pas des préfets parce quìls se sont mis en charge dùne situation dangereuse, peut-être il les choisit pour autre raison. Ron doit avoir quelque chose que tu nàs pas.

Harry ouvrit ses yeux et dévisagea à travers ses doigts le placard, se souvenant de ce que Fred avait dit, Personne de sain dèsprit ne voudrait faire de Ron un préfet.

Harry émit un léger rire. Lìnstant dàprès, en pensant à ses pensées, il ne fut pas très fier de lui.

Ron n'avait pas demandé que Dumbledore lui donne l'insigne de préfet. Ce n'était pas la faute de

Ron. Il était, Harry, le meilleur ami au monde de Ron, aller bouder parce quìl nà pas eu une insigne, rire avec les jumeaux dans le dos de Ron, ruiner son amitié avec Ron quand, pour la première fois, il avait battu Harry à quelque chose.

À cet instant, Harry entendit les pas de Ron dans lèscalier. Il se leva, redressa ses lunettes, et afficha un sourire sur son visage comme Ron passait la porte.

-Je lài eu! dit-il tout heureux. Elle a dit que quèlle allait acheter le Cleansweep si elle peut.

-Génial! dit Harry, soulagé dèntendre que sa voix avait arrêté de sonner fausse.

-Écoute Ron, bravo, mon ami...

Le sourire de Ron sèffaça.

-Je ne pensait jamais que ce serait moi! dit-il, en secouant sa tête. Je pensais que ce serait toi!

-Nan! Jài déjà causé trop de problèmes. Dit Harry, en répétant les propos de Fred.

-Ouais. Dit Ron, ouais, je suppose… nous devrions faire notre malle, nèst-ce pas.

C'était bizarre comme soudainement leurs objets semblaient être éparpillés depuis leur arrivée.

Ils prirent tout l'après-midi pour ranger leurs livres et affaires s`étendant dans toute la maison et les ranger à l'intérieur de leur malle.

Harry remarqua que Ron avait déplacé son insigne de préfet, quìl avait tout dàbord placé sur sa table de chevet, pour la mettre dans la poche de ses pantalons, et enfin la ranger sur une de ses robes soigneusement pliées, comme pour voir l'effet du rouge sur le traditionnel noir.


Seulement quand Fred et George ajoutèrent quìls lui offrait de l'attacher sur son front avec un Charme Collant Permanent, il l'enveloppa tendrement dans une de ses chaussettes marron et l'enferma dans sa malle quìl avait pris le soin de verrouiller.

Mrs Weasley revint du Chemin de Traverse vers six heures, chargé de livres et portait un long paquet enveloppé dans un épais papier marron que Ron lui saisit avec vigueur.

-Je ne pensais pas lòuvrir maintenant, des gens arrivent pour le dîner, je voudrais que vous descendiez tous en bas. Dit-elle, mais lorsqu'elle fut partie Ron déchira le papier avec frénésie et examina chaque pouce de son nouveau balai, une expression de ravissement apparut alors sur son visage.

Dans le sous-sol Mrs Weasley avait pendu une bannière écarlate au-dessus de la table à manger déjà chargée qui disait:

FÉLICITATIONS

RON ET HERMIONE

LES NOUVEAUX PRÉFETS

Elle avait un regard pétillant et était de bonne humeur comme Harry entrait et voyait làmpleur de la fête.

-Je pensais que nous devions avoir une petite réception, pas un repas servi à table. Dit-elle à Harry, Ron, Hermione, Fred, George et Ginny comme ils entraient dans la pièce.

Ton père et Bill sont sur le chemin, Ron. Je leur aie envoyé des hiboux et ils étaient bien excités. Ajouta-t-elle toute rayonnante.

Fred roula ses yeux.

Sirius, Lupin, Tonks et Kingsley Shacklebolt était déjà là et Maugrey Fol-Oeil arriva désarçonné peu après qùHarry se soit pris un Bière au beurre.

-Oh, Alastor, je suis heureuse que vous soyez ici. Dit Mrs Weasley, comme Maugrey enlevait son manteau de voyageur. "Nous nous demandions si vous pourriez jeter un coup d'oeil dans le secrétaire dans la pièce de dessin et nous dire quèst-ce quìl y a dedans. Nous ne voulions pas l'ouvrir au cas où ce serait quelque chose de vraiment désagréable.

-Pas de problème Molly.

Lòeil de Maugrey dùn bleu électrique pivota vers le haut et dévisagea fixement le plafond de la cuisine.

-La pièce de dessin. Grogna-t-il, comme la pupille se contractait. Bureau dans le coin Ouais,

je le vois...ouais, cèst un épouvantail. Voulez-vous que je monte et que je me débarrasse de lui, Molly?

-Non, non, Je vais le faire moi-même plus tard. Dit Mrs Weasley toute rayonnante, vous avez votre boisson. Nous sommes ici pour une petite célébration, actuellement. En montrant la bannière écarlate.

-Quatre préfets dans la famille! Dit-elle tendrement, en caressant les cheveux de Ron.


-Préfet, eh! Grogna Maugrey, son oeil normal sur Ron et son oeil magique, pivota autour de lui et sàttarda fixement dùn côté de sa tête. Harry avait la sensation inconfortable quìl le regardait et s'est éloigné vers Sirius et ensuite vers Lupin. "Bien, félicitations". Dit-il, en lançant un regard furieux encore à Ron avec son oeil normal «

les figures dàutorité attirent toujours des problèmes, mais je suppose que Dumbledore pense que vous supportez la plupart des problèmes majeurs ou il ne vous aurait pas nommé »

Ron le regardait plutôt effrayé vu par cette perspective mais fut exempté de répondre par l'arrivée de son père et de son frère aîné. Mrs Weasley était dans une telle humeur joviale qu'elle ne s'était pas plainte même s'ils avaient apporté Mundungus avec eux; il portait un long manteau qui a paru bizarrement grumeleux et déclina l'offre de l'enlever et le mettre avec le manteau de Maugrey.

Bien, je pense qu'un toast serait de convenance. Dit Mr Weasley, quand tout le monde eut une boisson. Il leva son verre. À Ron et Hermione, les nouveaux préfets de Gryffindor!

Ron et Hermione semblaient rayonner comme tout le monde buvait à leur santé, et ils applaudirent.

-Je nài jamais été préfet moi-même. Dit Tonks qui se trouvait derrière Harry comme tout le monde se déplaçait vers la table pour les aider avec la nourriture. Ses cheveux étaient rouge tomate et mi-long aujourd'hui; elle ressemblait à Ginny mais plus vieille.

"Ma responsable de Maison disait quìl me manquait certaines qualités nécessaires...

-Comme quoi? dit Ginny qui choisissait une pomme de terre cuite au four.

-Comme la capacité d`être soi-même. Dit Tonks.

Ginny rit; Hermione la regarda comme si elle ne savait pas si elle devait sourire ou pas et a décidé de prendre une grande gorgée de Bièreaubeurre pour finir par s`étouffer.

-Et au sujet de vous, Sirius. Demanda Ginny, en tapant dans le dos d`Hermione.

Sirius qui était juste à côté de Harry laissa sortir son rire habituel.

-Non, on ne m'aurait jamais nommé préfet, j'ai passé trop de temps en retenue avec James. Lupin était un bon garçon, et il a obtenu l'insigne.

-Je pense que Dumbledore a pu espérer que je serais capable d'exercer quelque contrôle sur mes meilleurs amis. Dit Lupin. Une mission que jài visiblement raté...

L'humeur de Harry sàméliora soudainement. Son père n'avait pas été préfet non plus.

Tout à coup, la réception parue beaucoup plus agréable; il alla se servir, en se sentant doublement affectueux avec tout le monde dans la pièce.

Ron était extasié au sujet de son nouveau balai et en parlait à qui voulait lèntendre.

-Zéro à soixante-dix en dix secondes, pas mauvais, nèst-ce pas. Quand vous pensez que la Comète Deux cent soixante fait seulement zéro à soixante et ça avec un vent arrière décent selon le Which Broomstick.


Hermione étant en sérieuse conversation avec Lupin au sujet de ses vues sur les droits des elfes de maisons.

-Je veux dire, cèst le même genre d'absurdité que la ségrégation des loup-garou, nèst-ce pas.

Mrs Weasley et Bill avaient leur discussion habituelle au sujet de cheveux de Bill.

-Ça devient vraiment hors de contrôle, et tu es si beau, ils étaient tellement plus beaux avant, tu ne trouves pas Harry. .

-Oh! Je ne sais pas. Dit Harry, alarmé de se faire demander une telle question; il partit loin d'eux en direction de Fred et George qui étaient coincés avec Mundungus.

Mundungus cessa de parler quand il vit Harry, mais Fred lui fit un clin d'oeil et lui fit signe de sàpprocher

-OK. Dit-il à Mundungus, nous pouvons avoir confiance en Harry, il est notre commanditaire.

-Regarde ce que Dung a obtenu pour nous. Dit George, en ouvrant sa main pour le montrer à Harry. C'était plein de ce qui ressemblait à des gousses noires ratatinées. Un crépitant bruit faible venait

de ces derniers, bien qu'ils fussent complètement stationnaires.

-Des graines de Venomous Tentacula. Dit George. Nous avons besoin d'eux pour les Boîte-à-lunch

Tireuses mais ils sont de Classe C de Substance Non-Commerciable donc nous avons un petit problème...

-Dix Galions le paquet, alors Dung. Dit Fred.

-Nous avons tous un problème je suis allé les chercher dit Mundungus, son visage, injecté de sang, ses yeux s`étiraient même plus largement. Je suis désolé, messieurs, mais je ne prend pas de Knut sous vingt.

-Dung aime bien plaisanter. Dit Fred à Harry.

-Ouais, sa meilleure a été six Faucilles pour un sac de Knarl piquantes. Dit George.

-Soyez prudent. Les prevint Harry.

-Quoi? dit Fred. Maman s'occupe, en roucoulant sur Ron le Préfet, nous sommes OK.

-Mais Maugrey pourrait avoir un oeil sur vous. Leur signala Harry.

Mundungus jeta un coup d'oeil nerveusement sur son épaule.

-Cèst un bon point. Grogna-t-il. Dàccord, messieurs, cèst dix, si vous les prenez rapidement;

-Bravo, Harry! Dit Fred avec entrain, quand Mundungus eut vidé ses poches dans les mains grandes ouvertes des jumeaux et déguerpit en direction de la nourriture.

-Nous sommes mieux de monter en haut. Harry les regarda partir, se sentant légèrement troublé. Il lui était soudainement venu à l'esprit que Mr et Mrs Weasley voudraient savoir comme Fred et George finançaient leur affaire de magasin de farces et attrapes quand, il était inévitable, ils le fonderont finalement.

Donner aux jumeaux ses gains quìl avait gagné à la Coupe de Feu avait semblé une chose simple à faire sur le moment, mais il ne voulait pas que ça mène à une autre querelle familiale et un autre éloignement comme avec Percy.

Est-ce que Mrs Weasley continuerait dàvoir lìmpression que Harry était bon et le considérer comme son fils si elle pensait que Fred et George commençaient une carrière qu'elle qualifiait dìnadéquate.


Se tenant là où les jumeaux l'avait laissé, sans rien mis à part un poids de culpabilité dans le

creux de son estomac, Harry entendit son nom.

Kingsley Shacklebolt dont la voix profonde était perceptible parmi les conversations disait:

-Pourquoi Dumbledore nà pas nommé Potter comme préfet.

-Il a eu ses raisons. Répondit Lupin.

-Mais il aurait dû montrer sa confiance en lui. Cèst ce que jàurais fait. Persista Kingsley, "spécialement avec le Daily Prophet, qui lènvoie promener un peu à chaque jour.

Harry ne regardait pas autour de lui; il ne voulait pas que le Lupin ou Kingsley sachent quìl avait

entendu. Avec une mauvaise humeur bien palpable, il rejoignit Mundungus derrière la table. Sa joie dàssister à la réception s'était évaporé aussi rapidement qu'elle était venu; il souhaitait maintenant être dans son lit.

Maugrey Fol-Oeil reniflait une cuisse de poulet avec ce qui lui restait de son nez; évidemment il ne pourrait détecter toute trace de poison.

-Le manche provient dùn chêne Espagnol avec un anti-maléfice vernis et un control de vibration encastré. Disait Ron à Tonks.

Mrs Weasley bâilla largement.

-Bien, je pense que je devrais me débarrasser de cet épouvantail avant de mèn retourner dans... Arthur, je serai pas parti trop longtemps, dàccord, Harry, cher. Elle quitta la cuisine. Harry déposa son assiette et se demanda s'il pourrait la suivre sans attirer l'attention.

-Ça va, Potter. Grogna Maugrey.

-Ouais, bien. Menti Harry.

Maugrey prit une grande gorgée, son oeil magique le dévisageait de côté.

-Viens ici, jài trouvé quelque chose qui pourrait tìntéresser. Dit-il.

De la poche intérieure de sa robe Maugrey sortit une vieille photographie de magiciens en lambeaux. .

-LÒrdre du Phénix original. Grogna Maugrey. Je lài trouvé hier soir quand je cherchais ma Cape dÌnvisibilité de rechange.

Harry prit la photographie. Il y avait un petit groupe de personnes, quelques-uns lui faisaient signe, dàutres soulevaient leurs lunettes.

-Cèst moi. Dit Maugrey, en pointant son image sur la photo. Le Maugrey dans la photo était facilement reconnaissable, pourtant ses cheveux étaient légèrement moins gris et son nez était intact. "Et ici cèst Dumbledore à côté de moi, Dedalus Diggle sur l'autre côté, ici cèst Marlene McKinnon, elle a été tuée deux semaines après avoir pris cette photographie, ils allaient chercher sa famille entière. Cèst Frank et Alice Longdubat.

Harry regardait fixement Alice Longdubat; il reconnaissait très bien ce visage rond, amical, bien qu'il ne lèût jamais rencontrée, parce qu'elle était l'image de son fils, Neville.

-Pauvres diables. Grogné Maugrey. Ils seraient mieux morts que le sort quìl leur a été réservé; et ça, cèst Emmeline Vance, tu l'as rencontrée, et ici cèst Lupin, évidement..., Benjy Fenwick, il l'ont attrapé aussi, nous avons seulement trouvé des morceaux de lui ici et là. Ajouta-t-il, en appuyant sur l'image, et les personnes photographiées affilèrent obliquement, afin que ceux qui ont été cachés puissent se déplacer vers le devant.


-Ici cèst Edgar Bones le frère dÀmélia, ils allaient le chercher lui et sa famille, aussi, il était un grand sorcier Sturgis Podmore, Caradoc Dearborn, a disparu six mois après, nous n'avons jamais retrouvé son corps Hagrid, bien sûr, Doge Elphias, tu l'as rencontré, j’avais oublié qu’il portait ce stupide chapeau. Gideon Prewett, il a été tué par cinq MangeMort lui et son frère Fabian, ils ont lutté comme des héros... bougez un peu... Les personnes dans la photographie se bousculèrent et ceux cachés loin derrière vinrent se mettre au premier rang.

Cèst le frère de Dumbledore, Aberforth, je ne lài rencontré seulement quùne fois, ce type-là assez étrange cèst Dorcas Meadowes, Voldemort là tué personnellement.

Sirius, lorsquìl avait encore les cheveux courts...et...voilà. Est-ce que ça t’intéresse?

Le coeur de Harry semblait battre à tout rompre. Sa mère et son père rayonnaient, ils étaient assis de chaque côté d'un petit homme que Harry reconnu. C`était Queudver, celui qui avait trahi ses parents. Au lieu de les aider il avait rejoint Voldemort et ainsi provoquer leurs morts.

-Eh? dit Maugrey.

Harry leva les yeux vers le visage de Maugrey très marqué par une cicatrice.

Évidement, Maugrey avait lìmpression quìl venait de donner à Harry toute une joie.

-Ouais. Dit Harry, en essayant encore une fois de sourire. J`écoutais..., jàvais juste besoin de me souvenir..., je....

Il fut épargné d'inventer une excuse.

Sirius dit, "Qu' est-ce que vous faites là, Fol-Oeil."

Maugrey se tourna vers lui. Harry partit et traversa la cuisine, passant la porte pour monter en haut des escaliers avant que n'importe qui puisse le rappeler.

Il ne savait pas pourquoi il avait eu un tel choc; il avait vu des images de ses parents avant, et il avait rencontré Queudver mais les voir comme ça, quand il ne s`y attendait pas, personne nàimerait cela, il se sentait en colère.

Et lorsquìl les avait vu entouré par tous ces autres visages heureux Benjy Eenwick qui avait été trouvé en morceaux et Gideon Prewett comment il était mort en héros, et les Longdubats qui avaient été torturés jusqùà la folie,...Maugrey pouvait trouver ça intéressant. Lui, Harry, trouvait ça perturbant.

Harry marcha sur la pointe des pieds jusquèn haut des escaliers. Il traversa le couloir devant lui, mais comme il approchait il entendit des bruits. Quelqu'un sanglotait dans la pièce de dessin.

-Allo. Dit Harry.

Il n'y eut aucune réponse mais les sanglots continuaient. Il ouvrit la porte de la salle de dessin.

Quelqu'un tremblait contre le mur sombre, sa baguette à la main, la totalité de son corps tremblait avec les sanglots. Quelqu'un était étendu sur la vieille moquette poussiéreuse dans une pièce plus sombre, il était mort, c`était Ron.

Tout paru disparaître autour de Harry; il a senti comme s'il tombait sur le sol; son cerveau semblait frigorifié. Ron mort, non, il ne peut pas...

Mais après un moment, il se rendit compte que ce n`était pas. Ron était en bas.

-Mrs Weasley. Dit Harry nerveusement.


-Rrriddikulus! Sanglota Mrs Weasley, en pointant sa baguette sur le corps de Ron.

CRAK

Le corps de Ron se transforma en celui de Bill, couché sur le dos, ses yeux grands ouvert et

vide. Mrs Weasley sanglota plus difficilement que jamais.

-Rriddikulus! Sanglota-t-elle encore.

CRAK

-Le corps de Mr Weasley avait remplacé celui de Bill, ses lunettes étaient tombées, un filet de sang coulait sur son visage.

-Non! Gémit Mrs Weasley. Riddikulus .Non Riddikulus! RIDDlKULUS

CRAK

Les jumeaux étaient morts. CRAK. Percy était mort. CRAK. Harry était mort.

-Mrs Weasley, sortez dìci! Cria Harry, en dévisageant son propre corps par terre. Allez quelqu'un va venir...

-Quèst-ce qui se passe?

Lupin arriva, en courant dans la pièce, suivi de Sirius, puis Maugrey arriva en clopinant derrière eux. Lupin regarda Mrs Weasley puis Harry mort sur le plancher et paru comprendre à lìnstant. Il sortit sa baguette, et dit, très clairement:

-Riddikulus!

Le corps de Harry disparut. Un orbe argenté pendait dans l'air sur la tache où il s'était allongé. Lupin a encore une fois agité sa baguette et l'orbe a disparu dans un souffle de fumée.

-Oh! Oh! Oh! Dit Mrs Weasley, et elle craqua dans une tempête de larmes, son visage, dans les mains.

-Molly. Dit Lupin tristement, en marchant vers elle. .Molly non...

Lìnstant dàprès, elle sanglotait sur l`épaule de Lupin.

-Molly, c'était juste un épouvantail. Dit-il pour la calmer, en lui caressant la tête, .juste un épouvantail stupide.

-Je les vois morts tout le temps! Gémit Mrs Weasley dans son épaule. Tout le temps! Je rêve à ça!

Sirius regardait la moquette où l`épouvantail se trouvait, le corps de Harry, allongé.

Maugrey regardait Harry qui évitait son regard. Il sentit lòeil magique de Maugrey le suivre tout le long quìl traversait la cuisine.

-Ne le dites pas à Arthur. Dit Mrs Weasley, épongeant ses yeux frénétiquement avec ses poignets. Je ne veux pas qu’il sache que je suis idiote.

Lupin lui donna un foulard et elle se moucha.

-Harry, je suis si désolé. Qu'est-ce que tu dois penser de moi. Dit-elle toute tremblante.

Pas même capable se débarrasser d'un épouvantail.

-Ne soyez pas stupide. Dit Harry, en essayant de sourire.

-Je suis tellement inquiète. Dit-elle, ses larmes coulaient encore de ses yeux. La moitié de la famille est dans lÒrdre, cèst un miracle si nous traversons tous cette histoire et Percy qui ne nous parle pas, si quelque chose d`épouvantable se passe et que nous ne nous réconcilions pas avec lui. Et quèst-ce qui va se passer si Arthur et moi sommes tués, qui va s'occuper de Ron et Ginny.

-Molly cèst assez; dit Lupin fermement. Ce nèst pas comme la dernière fois. L'Ordre est mieux préparé, nous avons obtenu une avance, nous savons que Voldemort sàpproche.

Mrs Weasley sursauta d'effroi au son de ce nom.


-Oh, Molly, allez, le temps est venu de s`habituer à entendre son nom. Regardez, je ne peux promettre quàucun de nous ne va être blessé, personne ne peut le promettre, mais nous sommes

beaucoup mieux préparé que nous l`étions la dernière fois. Vous n’étiez pas dans l'Ordre alors, vous

ne pouvez comprendre. La dernière fois nous avons été surpassés vingt à un par les Mangemorts et ils nous choisissaient un à un.

Harry pensait encore à la photographie de ses parents, leurs visages radieux. Il savait que Maugrey le regardait encore.

-Ne vous inquiétez pas au sujet de Percy. Dit abruptement Sirius. Il reviendra. Cèst seulement une question de temps avant que Voldemort ne passe à làction; une fois cela fait, la totalité du Ministère va demander que nous leur pardonnions. Et je ne suis pas sûr dàccepter leurs excuses. Ajouta-t-il amèrement.

-Et pour savoir qui va s'occuper de Ron et Ginny si vous et Arthur mourriez. Dit Lupin, souriant légèrement, quèst-ce que vous pensiez, que nous les ferions mourir de faim?

Mrs Weasley sourit timidement.

-Je suis idiote. Marmonna-t-elle encore, en épongeant ses yeux.

Mais Harry, ferma la porte de sa chambre derrière lui quelques dix minutes plus tard. Il pourrait voir encore ses parents rayonner sur la vieille photographie, ignorant que leurs vies, comme beaucoup de ceux autour d'eux, se refermaient.

Lìmage de l`épouvantail qui représentait le cadavre de chaque membre de la famille de Mrs Weasley chacun leur tour continuait à faire briller ses yeux.

Sans prévenir, la cicatrice sur son front lui brûlait encore et son estomac lui faisait horriblement mal.

-Va tèn!Dit-il fermement, en frottant la cicatrice comme la douleur s'éloignait.

-Premier signe de folie, parler à sa tête. Dit une voix rusée provenant dùn tableau sur le mur.

Harry l'ignora. Il se senti plus vieux qu'il ne s`était jamais senti dans sa vie et il lui paru extraordinaire qu'à peine une heure plus tôt, il s'était inquiété au sujet d'un magasin de farces et attrapes et de qui avait un insigne de préfet.


Chapitre 10 : Luna Lovegood

Harry fût préoccupé durant toute la nuit .Il rêva de ses parents auxquelles il essayait de parler; ensuite il rêva de Mme Weasley qui portait le corps inanimé de Kreatcher, et pour finir il vît Ron et Hermione qui portaient des couronnes, mais encore une fois Harry se retrouva une nouvelle fois a descendre un couloir qui se terminait par une porte verrouillée. Il se réveilla brusquement avec sa cicatrice qui lui faisait mal. Pour une fois Ron était déjà habillé et il lui parlait.

« ...Tu devrais te dépêcher, maman est dynamique ce matin, elle dit que nous allons manquer le train… »

Il y avait beaucoup de coup dans la maison. De ce qu'il pu entendre pendant qu'il s'habillait à toute vitesse, Harry compris que Fred et George ont enchanté leurs malles pour les faire voler en bas pour éviter de les porter, et le résultat fût qu'elles dévalèrent les escaliers et frappèrent Ginny en plein vole . Mme Black et Mme Weasley criaient toutes deux plus fort l'une que l'autre.

« - VOUS AURIEZ PU FAIRE DE SERIEUX DOMMAGES, VOUS ETES DES

IDIOTS... »

« - VOUS ETES DES JUMEAUX REPUGNANTS, DEBARRASSER LE

PLANCHER DE LA MAISON DE

MES ANCETRES »

Hermione débarqua à toute vitesse dans la pièce qui paraissait tendue, tandis que Harry mettait ses baskets. Hedwige se balançait sur son épaule, et elle portait Pattenrond qui se tortillait dans ses bras.

« Maman et papa viennent de renvoyer Hedwige. »

Le hibou voltigeait au dessus et se posa sur le haut de sa cage

« Vous êtes prêt? »

« Presque. »

« Et Ginny comment va t'elle? » demanda Harry, en ajustant ses lunettes.

« Mme Weasley l’a soignée, » dit Hermione.

« Mais maintenant Fol Oeil se plaint que nous devons pas partir à moins que Sturgis Podmore arrive ici, autrement la garde serai trop maigre. »

« La Garde? » Dit Harry.

« Nous devons aller à King Cross avec une garde? »

« TU dois aller à King Cross avec une garde, » le corrigea Hermione

« Pourquoi ? » dit Harry irrité. Je pensais que Voldemort ne faisait que duper et corrompre, ou êtes vous en train de me dire qu'il va sauter par derrière une poubelle et essayer de le faire ?'

« Je ne sais pas, c'est juste ce que Fol Oeil à dit,’ dit Hermione en regardant sa montre perplexe. »

« Mais si nous ne partons pas bientôt nous allons certainement manquer le train...

« VOUS VOUS DIVISEREZ, DESCENDEZ ICI MAINTENANT, SVP ! » Beugla Mme Weasley et Hermione sauta comme si elle venait de s'ébouillanter et se pressa hors de la salle.


Harry saisit Hedwige, la fit enter dans sa cage brusquement, et descendit les escaliers après Hermione, traînant sa malle. Le portrait de Mme Black hurlait avec fureur mais personne ne prenait la peine de fermer les rideaux au-dessus d'elle; tout le bruit dans le hall était sujet à la réveiller encore une fois, quoi qu'il en soit.

« Harry, tu dois venir avec moi et Tonks » cria avec excédent Mme Weasley au dessus des répétitifs « SANG DE BOURBE ! VERMINE ! CRÉATURES DU MAL! »

« Laissez votre malle et votre hibou, Alastor va aller traiter les bagages...oh, pour l’amour de Dieu, Sirius, Dumbledore a dit non ! »

Un chien noir était apparu du côté de Harry pendant qu'il grimpait au-dessus des divers malles encombrant le hall pour arriver jusqu’à Mme Weasley.

« OH honnêtement...dit Mme Weasley désespérément. 'Bien, si vous en assumer les conséquences ! »

Elle ouvrit la porte avant et fit un pas dehors dans la lumière du soleil faible de septembre. Harry et le chien la suivirent. La porte se ferma derrière eux et les hurlements furent immédiatement coupés.

« Où Est Tonks? » Demanda Harry, regardant autour pendant qu'ils descendaient les marches en pierre du numéro douze, qui disparu aussitôt qu’ils atteignirent le trottoir.

« Elle nous attend juste au dessus ici » dit Mme Weasley raide, évitant les yeux du chien noir qui marchait près de Harry. Une vieille femme les salua sur le coin. Elle était extrêmement courbé les cheveux gris et portait un chapeau pourpre formé comme un pâté en croûte de porc.

« Potter, Harry, » dit elle, en clignant de l'oeil. « On ferait mieux de s’activer, non Molly ? » Ajouta elle en vérifiant sa montre.

« Je sais, je sais, » Gémie Madame Weasley, pressant ses pas,

« Mais Fol Oeil veux attendre Sturgis… Si seulement Arthur aurait pu avoir des voitures du ministère encore… Mais Fudge ne le laisserait pas emprunter tellement il est passé d'encre sous nos ponts ces jours ci … Comment les Moldus peuvent voyager sans magie... »

Mais le grand chien noir aboya vivement et sauta autour d'eux, chassant les pigeons puis attaquant sa propre queue. Harry ne pu s'empêcher de rire. Sirius avait été emprisonné dans la maison si longtemps. Mme Weasley pinça ses lèvres presque d'une manière identique à sa tante Pétunia. Cela leur a pris vingt minutes pour se rendre à King Cross pendant cette heure Sirius effraya un couple de chats ce qui divertissait Harry. Une fois à l'intérieur de la gare ils s'attardèrent près de la barrière entre les quais neuf et dix jusqu'à ce que le passage soit parfaitement vide, puis chacun d'entre eux se pencha contre et passa facilement à travers le quai

neuf trois quarts, où ils virent la vapeur du Poudlard Exprès au-dessus d'un quai ou se trouvaient les étudiants partants et leurs familles. Harry inhala cette odeur qui lui était familière et il sentit son excitation monter... Il retrouvait vraiment...

« J’espère que les autres seront la à temps » dit Mme Weasley impatiemment, regardant derrière elle la voûte de chemin de fer enjambant le quai, par laquelle les nouvelles arrivées viendraient.

« Joli chien, Harry ! » Appela un garçon grand avec des dreadlocks.

« Merci, Lee » dit Harry, grimaçant, comme Sirius remuait sa queue effréné.

« OH bien » dit Mme Weasley, qui sembla soulagée, « Voila Alastor avec les bagages, regardez… »

Un chapeau d'un bagagiste cachait ses yeux disproportionnés, Maugrey approchait boitant à travers passage poussant un chariot chargé avec leurs malles.

« Tout est ok » murmura il à Mme Weasley et à Tonks « Je ne pense pas que nous avons été suivis… »

Quelques secondes plus tard, M. Weasley émergea sur le quai neuf trois quart avec Ron et Hermione. Ils avaient presque déchargé le chariot à bagage de Maugrey quand Fred, George et Ginny rappliquèrent avec Lupin.

« Aucun ennui ? » Grogna Maugrey

« Rien » indiqua Lupin

« Je rapporterai toujours Sturgis à Dumbledore » dit Maugrey, « C’est la deuxième fois il n'a pas rappliquer en une semaine.

Prendre quelqu’un d’aussi peu fiable que Mondigus…'

« Bien, faites attention à vous » dit Lupin, serrant la main à tous.

Il atteint Harry et lui donna une tape sur l’épaule.

« Vous aussi, Harry, faites attention. »

« Ouais, gardez votre tête froide et vos yeux ouvert » dit Maugrey, secouant la main de Harry aussi.

« Et n'oubliez pas, tous autant que vous êtes, faites attention à ce que vous écrivez .En cas de doute, n’écrivez pas c’est tout. »

« Ca a été un plaisir de tous vous rencontrer » dit Tonks, étreignant Hermione et Ginny.

« Nous nous verrons bientôt, je présume »

Un sifflement d’avertissement retentit; les étudiants encore sur la plate-forme commençaient à se dépêcher pour rejoindre le train.

« Vite, vite » dit Mme Weasley avec perplexité, les étreignant au hasard et attrapant Harry deux fois,

« Écrivez. . . Soyez bon. . . Si vous avez oublié n'importe quoi nous vous l'enverrons sur ... sur le train, maintenant, dépêchez vous… »

Pendant un bref moment, le grand chien noir s'éleva sur ses jambes de derrière et plaça ses pattes avants sur les épaules de Harry, mais Mme Weasley poussa Harry loin vers la porte du train sifflant,

« Pour l’amour du ciel, agissez comme un chien, Sirius ! »

« A bientôt » cria Harry par la fenêtre ouverte tandis que le train commençait à se déplacer, alors que Ron, Hermione et Ginny ondulaient près de lui. Les figures de Tonks, Lupin, Maugrey et M. et Mme Weasley se rétrécissaient rapidement mais le chien noir bondissait à côté de la fenêtre, remuant sa queue; les personnes restées sur le quai riaient en le voyant chasser le train, alors ils passèrent un virage et Sirius était parti.

« Il n’aurais pas du venir avec nous » dit Hermione avec une voix inquiétée.

« Oh, Relax » dit Ron, « Il n'a pas vu le jour pendant des mois, pauvre type. »

« Bien » dit Fred, battant ses mains ensemble, « Ne pouvons pas faire la causette toute la journée, nous avons des affaires à discuter avec Lee. « A plus tard » et lui et George disparurent en bas du couloir sur la droite. Le train prenait toujours plus de vitesse, si bien que les maisons en dehors de la fenêtre clignotaient, et oscillaient où il se trouvaient. « On va chercher un compartiment, alors ? » demanda Harry. Ron et Hermione échangèrent des regards.

« Heu » dit Ron.

« Nous sommes - bien - Ron et moi sommes censés aller dans le compartiment des préfets » dit maladroitement Hermione.

Ron ne regardait pas Harry; il semblait être devenu intensément intéressé par les ongles sur sa main gauche.

« Oh » dit Harry. « Ok, très bien. »

« Je ne pense pas que nous devrons rester là tout le voyage » dit Hermione rapidement.

« Nos lettres ont indiqué que nous obtenons juste des instructions du préfet et de la préfet en chef et donc patrouiller alors les couloirs de temps en temps.

« Bien » dit encore Harry. « Bien, Je - Je pourrais vous voir plus tard alors. »

« Ouais, certainement, » dit Ron, jetant un regard fuyant et anxieux à Harry.

« C'est ennuyeux de devoir descendre là bas, je préférerais- mais nous devons- je comprends, ça ne me plaît pas, je ne suis pas Percy’ finit il d’un air provoquant.

« Je sais que tu ne l’es pas, » dit Harry en souriant. Mais comme Hermione et Ron traînait leur malle, Pattenrond et Coquecigrue mis en cage vers le fond du train, Harry se sentit perdu. Il n'avait jamais voyagé dans le Poudlard Exprès sans Ron. « Viens ici » lui dit Ginny, « Si nous bougeons un peu, nous te feront peut-être une place. »

« D’accord » dit Harry, ramassant la cage de Hedwige dans une main et la poignée de sa malle dans l'autre. Ils traversèrent avec peine le bas du couloir, regardant par les portes vitrées lambrissées dans les compartiments qu'ils passaient, lesquels étaient déjà pleins.

Harry ne pouvait pas s’empêcher de remarquer qu'un bon nombre de gens le regardait par arrière avec un grand intérêt et que plusieurs d'eux poussaient du coude leurs voisins et le montraient. Après qu'il ait rencontré ce comportement dans les cinq wagons consécutifs il se rappela que la gazette du sorcier disait à ses lecteurs tout l'été qu'il n’était qu’un mensonge ambulant. Il se demandait sourdement si les personnes le regardant maintenant et chuchotant ont cru les histoires. Dans le tout dernier wagon ils rencontrèrent Neville Lomdubat, un camarade de Harry en cinquième année à Gryffindor, avec un visage rond brillant qui continuait de tirer sa malle tout le long tout en maintenant une prise sur son crapaud, Trevor.

« Bonjour, Harry » haleta il. « Bonjour, Ginny... tout est complet… Je n’ais pas trouvé un siège vide... »

« Que est ce que tu dis ? » Dit Ginny, qui avait serré Neville en passant pour regarder le compartiment derrière lui. « Il y a de la place dans ce compartiment, il y a seulement Luna Lovegood dedans »

Neville marmonna quelque chose au sujet de ne pas vouloir déranger quelqu’un.

« Ne sois pas idiot » dit Ginny en riant « Elle est très bien. »

Elle ouvrit la porte et rentra à l'intérieur. Harry et Neville suivirent.

« Bonjour Luna » Dit Ginny, « Il n’y a pas de problèmes si nous prenons ces sièges?'

La fille près de la fenêtre leva les yeux. Elle avait des cheveux étendus, blonds et sales, des sourcils très pâles et yeux protubérants qui lui donnait un regard surpris permanent. Harry su immédiatement pourquoi Neville avait choisi de passer ce compartiment. La fille laissait paraître une aura de mal être. Peut-être était-ce le fait qu'elle avait collé sa baguette magique derrière son oreille gauche pour la bonne garde, ou qu'elle avait choisi de porter un collier de bouchon de liège de Bierrabeurre, ou qu'elle lisait un magazine à l'envers. Ses yeux se posèrent au-dessus de Neville puis sur Harry.

Elle inclina la tête.

« Merci » dit Ginny en lui souriant.

Harry et Neville rangèrent les trois malles et la cage de Hedwige dans le support à bagage et s’assirent. Luna les observa au-dessus de son magasine à l'envers, qui s'appelait le chicaneur. Elle ne semblait pas devoir cligner autant que les humains normaux. Elle regardait et regardait Harry, qui avait pris le siège en face d'elle et qui le regrettait maintenant.

« A tu passer un bon été, Luna ? » Demanda Ginny.

« Oui » dit Luna l’air rêveur, sans déplacer ses yeux de Harry.

« Oui, il fut tout à fait agréable tu sais, tu es Harry Potter ajouta elle.

« Je sais qui je suis » dit Harry. Neville se mit a rire. Luna tourna ses yeux pâles sur lui maintenant.

« Et je ne sais pas qui tu es. »

« Je ne suis personne » dit Neville à la hâte.

« Non tu n’est pas- » dit Ginny brusquement. « Neville Lomdubat-Luna Lovegood, Luna est de mon age, mais à Serdaigle. »

« L'esprit est démesurément le plus grand trésor de l'homme » dit Luna.

Elle souleva son magazine à l'envers assez haut pour cacher son visage et elle tomba silencieuse. Harry et Neville se regardèrent l'un l'autre avec leurs sourcils érigés. Ginny réprima un rire bébête.

Le train crépita en avant, les expédiant dans la campagne. C'était une journée bizarre au climat incertain ; pendant un moment le compartiment était en plein soleil tandis qu’après ils passaient sous des nuages gris et sinistres.

« Devinez ce que j’ai eu je pour mon anniversaire ? » Dit Neville.

« Un Autre Rappeltout ? » Dit Harry, se rappelant le cadeau de la grand-mère de Neville qu’elle lui avait envoyé dans un effort d'améliorer sa mémoire insondable.

« Non, indiqua Neville, je pourrais faire avec, bien que, j'ai perdu le dernier vieux il y a... Non, regarde ceci…

Il plongea sa main qui ne gardait pas une prise ferme sur Trevor dans son sac d'école et après un peu de bric-à-brac il retira ce qui semblait être un petit cactus gris dans un pot, sauf qu’il était couvert de ce qui ressemblait à des ébullitions plutôt qu’à des épines.

« Mimbulus mimbletonia »dit il fièrement.

Harry regarda la chose. Il palpitait légèrement, lui donnant le regard plutôt sinistre d'un certain organe interne malade.

« Il est vraiment vraiment rare » dit Neville, rayonnant. « Je ne sais pas s'il y a une en serre chaude à Poudlard même. J’ai hâte de le montrer au professeur Chourave. Mon grand oncle Algie l'a

obtenu pour moi dans l’Assyria. Je vais voir si je peux l’élever. »

Harry savait que la matière favorite de Neville était l’étude des plantes magiques mais d’après lui il ne voyait pas ce qu’il voulait avec cette petite plante stupéfiante ‘


« Fait elle – heu- quelque chose ? » demanda il.

« Des tonnes de choses! » Dit Neville fièrement. « Il a un mécanisme défensif étonnant ici, prends Trevor pour moi… »

Il déposa le crapaud sur les genoux de Harry et a pris une plume de son sac d'école. Les yeux sautants de Luna Lovegood apparurent au-dessus de son magazine toujours à l'envers, pour voir ce que Neville faisait. Neville tenait le Mimbulus mimbletonia au niveau des ses yeux, sa langue entre ses dents, il choisit son emplacement, et piqua la plante avec le bout de sa plume. Du liquide gicla de chaque furoncle ; des jets puant, gras et vert foncé. Ils frappèrent le plafond, les fenêtres, et éclaboussèrent le magazine de Luna Lovegood; Ginny, qui c’était protégé son visage juste à temps avec ses bras, semblait porter un chapeau vert gluant, mais Harry, dont les mains avaient été occupées à empêcher l'évasion de Trevor, en reçut une en plein visage. Il sentit comme du fumier.

Neville, dont le visage et le torse étaient également trempés, secoua sa tête pour faire enlever le plus gros de ses yeux..

« D-Désolé » haleta il. « Je n'ai pas essayé cela avant… Pas réalisé que ce serait aussi…

Ne vous inquiétez pas, Stinksap n’es pas toxique » ajouta il nerveusement, tandis que Harry crachait une bouchée sur le sol.

À ce moment précis la porte de leur compartiment s’ouvrit

« Oh… Bonjour Harry » dit une voix nerveuse. « Um... Mauvais moment peut être ?'

Harry essuya les verres de ses lunettes avec sa main libre de Trevor. Une très jolie fille avec de longs et brillants cheveux noirs se tenait devant la porte lui souriant: Cho Chang, l’attrapeur de l'équipe de Serdaigle de Quidditch.

« Oh...Bonjour » dit Harry d’un air vide.

« UM... » Dit Cho. « Bon... j’ai juste pensé que je dirais bonjour... Salut alors. »

Le visage plutôt rose, elle ferma la porte et partit. Harry s'effondra en arrière dans son siège et gémit. Il voudrait que Cho le découvrît assis avec un groupe des personnes très sympas riant à une plaisanterie qu'il venait juste de dire; il n'aurait pas choisi de s'asseoir avec Neville et Luna Lovegood, de saisir un crapaud et de s'égoutter de Stinksap.

« Ca ne fait rien » dit Ginny d’une manière consolante

« Regardez, on peut facilement se débarrasser de tout ceci. » Elle sortit sa baguette magique.

« Scourgify ! »

Le Stinksap disparut.

« Désolé » dit Neville encore une fois, avec une petite voix.

Ron et Hermione ne rappliquèrent pas pendant presque une heure, d'ici là le chariot à nourriture était déjà passé. Harry, Ginny et Neville avait fini leurs pâtés en croûte de potiron et étaient occupé à échanger les cartes des chocogrenouille quand la porte du wagon s’ouvrit et ils rentrèrent, accompagnées de Pattenrond et de Coquecigrue hululant dans sa cage.

« Je suis affamé » dit Ron, rangeant Coquecigrue à côté de Hedwige, saisissant une chocogrenouille de Harry et se jetant dans le siège à côté de lui. Il déchira l'emballage, mordit la tête de la grenouille et se pencha en arrière, les yeux fermés comme s'il avait eu un matin très épuisant.

« Bien, il y a deux préfet de cinquième année dans chaque maison »dit Hermione, semblant complètement contrarié alors qu’elle s’asseyait. « A chaque fois un garçon et une fille. »

« Et devine qui est le préfet de Serpentard ? » dit Ron, toujours avec ses yeux fermaient.

« Malefoy » répondit Harry immédiatement, certain que sa pire crainte serait confirmée.

« Sur » dit Ron amèrement, enffonçant le reste de la grenouille dans sa bouche et en prenant une autre.

« Et il complète avec cette vache de Pansy Parkinson »dit Hermione méchamment.

« Comment elle a obtenu le titre de préfet alors qu’elle est plus épaisse qu'un troll...

« Et à Poursouffle?' demanda Harry.

« Ernie Macmillan et Hannah Abbott »répondit Ron d’une voix pâteuse.

« Et Anthony Goldstein et Padma Patil pour Serdaigle » indiqua Hermione.

« Tu es allé au Bal de Noël avec Padma Patil » dit une voix distraite.

Chacun tourna son regard vers Luna Lovegood, qui regardait imperturbablement Ron par dessus le chicaneur. Il avala sa bouchée de chocogrenouille.

« Ouais, je sais ce que j’ai fais » dit il, paraissant à demi surpris.

« Elle ne s’est pas vraiment amusée, » l’informa Luna.

« Elle ne pense pas que tu l'es bien traitée, parce que tu ne voulait pas danser avec elle.

Je ne pense pas que je m’en serais bien occupé

personnellement » ajouta elle pensivement « Je n'aime pas beaucoup danser... »

Elle s’échappa derrière Le chicaneur une nouvelle fois. Ron regarda la couverture avec la bouche ouverte et pendante pendant quelques secondes, puis regarda autour vers Ginny demandant une sorte

d'explication, mais Ginny avait mise ses doigts dans sa bouche pour arrêter un rire nerveux. Ron secoua sa tête, stupéfait, puis vérifia sa montre.

« Nous sommes censés patrouiller les couloirs fréquemment » précisa il à Harry et Neville, « Et nous pouvons donner des punitions si les gens se conduisent mal. J’ai hâte de pouvoir punir Crabbe et Goyle pour quelque chose...

« Tu n'es pas censé abuser de ta position Ron ! » dit Hermione sévèrement.

« Ouais, c’est vrai parce que Malefoy n’en abusera pas du tout lui, »dit Ron ironiquement.

« Alors tu vas descendre à son niveau ? »

« Non, je vais juste m'assurer que j'attraperais ses copains avant qu'il attrape les miens. »

« Pour l’Amour de Dieu, Ron »

« Je ferai écrire des lignes à Goyle, ça le tuera, il déteste écrire, ‘ dit Ron content. Il baissa d’un ton pour imiter les grognements de Goyle et, grimaçant comme si il avait du mal à se concentrer, et mima l'écriture dans l’air.

« Je...ne… doit… pas… ressembler….au… derrière...d’un… babouin »

Tout le monde rit, mais personne ne rit plus fort que Luna Lovegood. Elle laissa sortir un cri d’hilarité qui réveilla Hedwige qui battait des ailes en signe d’indignation et qui fait sauter Pattenrond dans la soute à bagage, sifflant. Luna rit si fort que son magazine échappa de ses mains, glissé le long de ses jambes et tomba sur le plancher.

« C’était drôle ! »

Ses yeux importants baignaient dans des larmes pendant qu'elle reprenait son souffle, fixant Ron. Complètement perplexe, il regarda les autres tout autour, qui riaient maintenant de l'expression du visage de Ron et au rire désespérément prolongé de Luna Lovegood, qui basculait d’avant en arrière

« Prends tu le (mickey) ? » Demanda Ron, en fronçant les sourcils.

« Derrière...de Babouin ! » suffoqua t’elle, se tenant les côtes.

Chacun observait Luna rire, mais Harry, jetant un coup d'oeil au magazine traînant sur le plancher, nota quelque chose qui le fit se pencher. À l'envers il était difficile de dire ce qu'était l'image sur la couverture, mais Harry réalisa maintenant que c’était une assez mauvaise BD animé représentant Cornelius Fudge ; Harry l'avait seulement identifié grâce à son chapeau melon vert. Un de mains de Fudge était serré autour d'un sac d'or; l'autre main étranglait un gobelin. Le dessin animé était légendé : Jusqu’ou ira Fudge pour s’emparer de Gringotts?

En dessous étaient énumérés les titres d'autres articles du magazine.

Corruption dans la Ligue de Quidditch :

Comment les Tornados Prennent les Commandes

Secrets Révélés des Ruines Antiques

Sirius Black : Vilain ou Victime ?

« Puis-je jeter un coup d’œil à ceci ? » demanda avidement Harry à Luna.

Elle lui fit un signe de tête, fixant toujours chez Ron, essoufflée par le rire. Harry ouvra le magazine et lu attentivement l'index. Jusqu'à ce moment il avait complètement oublié le magazine que Kingsley avait remis à M. Weasley pour Sirius, mais ça devait être cette édition du Chicaneur. Il trouva la page, et se tourna avec enthousiasme vers l'article. Là aussi, Un dessin animé plutôt mauvais illustrait l’article, Harry n'aurait pas su que c’était censé être Sirius s'il n'avait pas eu cette légende. Sirius se tenait sur une pile d’os humains avec sa baguette magique entre ses mains.

Le titre de l'article indiquait :

SIRIUS- BLACK COMME IL EST PEINT?

Meurtrier sanglant ou innocent chanteur à sensation ?

Harry du lire cette première phrase plusieurs fois avant qu'il ait été convaincu qu'il ne l'avait pas mal comprise. Depuis quand Sirius a il été chanteur à sensation?

Pendant quatorze années, Sirius Black a été cru coupable du meurtre de douze Moldus innocents et d'un magicien. L'évasion audacieuse de Black d'Azkaban il y a deux ans a mené à la plus grande poursuite jamais conduis par le Ministère de la Magie. Personne ne s’est jamais interrogé si il mérite de nouveau d'être repris et remis au Détraqueurs.

MAIS LE MÉRITE T’IL?

Une nouvelle preuve saisissante a récemment émergé que Sirius Black a pu ne pas avoir commis les crimes pour lesquels il a été envoyé à Azkaban. En fait, dit Doris Purkiss de Little Norton, Black ne peut pas même avoir été présent aux massacres.

« Quelles personnes savent que Sirius Black est en fait un faux nom »dit Mme Purkiss.

« L’homme que les gens considèrent être comme Sirius Black est réellement Stubby Boardman, chanteur vedette du très populaire groupe Hobgoblins, qui s'est retiré de la vie publique après avoir été heurté à l'oreille par un navet lors d’un concert dans l’église de Little Norton il y a presque quinze ans. Je l'ai identifié dès le moment où j'ai vu sa photo dans les journaux. Maintenant, Stubby ne pourrait pas probablement avoir commis ces crimes, étant donné que le jour en question il s’avère justement qu’il appréciait un dîner romantique en ma compagnie. J'ai écrit au Ministre de la Magie et j’en attends maintenant qu’il donne son pardon à Stubby, alias Sirius. »

Harry finit de lire et regarda la page d’un air incrédule. Peut-être que c'était une plaisanterie, pensa-il, peut-être que les articles imprimés sont souvent plein d’article parodique comme celui ci. Il tourna quelques pages en arrière et trouva l’article sur Fudge.

Cornelius Fudge, le Ministre de la Magie, a nié qu'il ait eu le projet de prendre la relève à la direction de la Banque des Sorciers, Gringotts, quand il a été élu Ministre de la Magie il y a 5 ans. Fudge a toujours insisté sur le fait qu'il ne veut rien davantage que 'coopérer paisiblement 'avec les gardiens de notre or.

MAIS LE VEUT IL VRAIMENT ?

Des sources proches du Ministre ont récemment révélé que la plus chère ambition de Fudge était de s’emparer des approvisionnements d'or gobelin et qu'il ne hésitera pas à employer la force si besoin est.

« Ca ne serait pas la première fois, non plus » dit une source du ministère.

« Cornelius "Pilleur-de-Gobelin" Fudge, c’est de cette façon que ses amis l’appellent. Si vous pouviez l'entendre quand il pense que personne l’écoute, oh, il parle toujours des gobelins et de ce qu'il est en fait; il les a noyé, il les a laissé tomber du haut de bâtiments, il les a empoisonné, il les a fait cuire en pâtés en croûte… » Harry ne lu pas davantage.

Fudge pourrait avoir beaucoup de défauts mais Harry trouvait ça extrêmement dur de l’imaginer ordonner de transformer des gobelins en pâtés en croûte. Il feuilleta le reste du magasine. Faisant une pause au bout de quelques pages, il lu : une accusation selon laquelle les Tornados de Tutshill auraient gagner la Ligue de Quidditch par une combinaison de chantage, de trifouillage de balai illégal et de torture; une entrevue avec un magicien qui prétend avoir volé sur lune avec un Cleansweep Six et rapporté un sac des grenouilles de lune pour le prouver; et un article sur les ruines antiques qui ont au moins le mérite d’expliquer pourquoi Luna avait lu Le Chicaneur à l'envers. Selon le magazine, si vous tourniez les ruines sur leurs têtes ils indiqueraient un charme pour transformer les oreilles de votre ennemi tourner en des (kumquats). En fait, comparé au reste des articles du Chicaneur, la suggestion que Sirius pourrait vraiment être le chanteur vedette du groupe Hobgoblins était tout à fait raisonnable.

« Quelque chose de bon là dedans ? » Demanda Ron comme Harry fermait le magazine.

« Bien sur que non » dit Hermione de façon cinglante avant que Harry puisse répondre.

« Les sottises du chicaneur, chacun sait ça. »

« Excusez-moi » dit Luna; sa voix avait soudainement perdu son ton rêveur.

« Mon père en est le rédacteur ‘

« Je - Oh, » dit Hermione paraissant embarrassé.

« Bien...Il y a quelques articles intéressants... Je veux dire…. C'est tout à fait… »

« Je le récupère merci » dit Luna froidement, et en se penchant en avant, elle l’enleva des mains de Harry. Feuilletant rapidement jusqu’à la page 57, elle retourna le magazine une nouvelle fois à l'envers encore et disparu derrière, juste au moment ou la porte du compartiment s’ouvrit pour la troisième fois. Harry regarda autour; il s’était attendu à ça, mais ce n’est pas la vue de Drago Malefoy lui souriant d’un air affecté entre ses copains Crabbe et Goyle, qui le rendrait plus agréable.

« Quoi ? » lança il agressivement, avant que Malefoy puisse ouvrir sa bouche.

« Les manières, Potter, ou je devrais te donner une retenue » dit Malefoy d’une voix traînante, dont les cheveux blonds lisses et le menton aigu étaient justes comme son père. « Tu vois, je suis, à la différence de toi, un préfet, ce qui signifie que j’ai, à la différence de toi, le pouvoir de distribuer des punitions. »

« Ouais »dit Harry, « Mais toi tu es, à la différence de moi, un con, donc sort d’ici et laisse-nous seuls. » Ron, Hermione, Ginny et Neville riaient.

Malefoy pinçait ses lèvres.

« Dis-moi, comment c’est de se faire battre par Weasley Potter ? » Demanda t’il

« Ferme la Malefoy » rétorqua Hermione brusquement.

« Il semble que j’ai touché un point sensible »dit Malefoy en souriant.

« Bien fais attention à toi, Potter, parce que je te suivrais comme ton chien au cas où vous feriez un pas de travers. »

« Sort d’ici ! » Dit Hermione, en se levant.

Ricanant, Malefoy donna à Harry un dernier regard malveillant et parti, avec Crabbe et Goyle qui marchaient lourdement dans son sillage. Hermione claqua la porte du compartiment derrière eux et tourna son regard vers Harry, qui su immédiatement qu'elle avait, comme lui, compris, ce que Malefoy voulait dire, et avait été comme troublé par ça.

« Donne-nous une autre chocogrenouille » dit Ron, qui n'avait clairement rien noté.

Harry ne pouvait parler librement devant Neville et Luna. Il échangea un autre regard nerveux avec Hermione, puis regardé fixement hors de la fenêtre. l pensait à Sirius venant avec lui à la gare ce qui le fait un peu rire, mais soudainement cela lui sembla insouciant, si dangereux… Hermione avait raison... Sirius n’aurais pas du venir. Qu’est ce que si passerait si M. Malfoy avait remarqué le chien noir et l’avait dit à Drago. Et si il avait déduit que les Weasley, Lupin, Tonks et Maugrey savait où Sirius se cachait? Où est-ce que l'utilisation du mot « chien » de la part de Malefoy était une coïncidence? Le temps demeurait flou alors qu'ils voyageaient toujours plus vite vers le nord. La pluie éclaboussait les fenêtres puis le soleil fit une faible apparition avant que les nuages l'aient écarté une fois de plus. Quand l'obscurité tomba et les lampes s’allumèrent à l'intérieur des compartiments. Luna enroula Le Chicaneur, le rangeant soigneusement dans son sac et commença à fixer dans les yeux chacun des occupants du compartiment. arry se reposait, son front pressé contre la fenêtre de train, essayant d'obtenir un premier aperçu éloigné de Poudlard, mais c'était une nuit sans lune et la fenêtre dégoulinante de pluie était encrassée.

« Nous devrions arriver » dit Hermione enfin, et tous ouvrirent leurs malles avec difficulté pour en tirer leurs robes d’école .Elle et Ron épinglèrent leurs insignes de préfet soigneusement sur leurs poitrines. Harry vu Ron vérifier maladroitement son allure dans la fenêtre noire.

Enfin, le train commença à ralentir et ils entendirent l’habituel vacarme au dessus et en dessous comme tout le monde que tout le monde se ruait pour récupérer leurs bagages et animaux de compagnie, prêt à descendre. Comme Ron et Hermione étaient censés diriger tout ceci, ils disparurent du wagon une nouvelle fois, laissant Harry et les autres s'occuper de Pattenrond et Coquecigrue.


« Je peux porter ce hibou, si tu veux » dit Luna à Harry, montrant Coquecigrue tandis Neville rangeait soigneusement Trevor dans une poche intérieure.

« OH- Heu- Merci » dit Harry, lui confiant la cage et hissant Hedwige plus solidement dans ses bras.

Ils sortirent du compartiment sentant la première bouffée d'air frais de la nuit sur leurs visages alors qu'ils joignaient la foule dans le couloir.

Lentement, ils progressèrent jusqu’aux portes. Harry pouvait sentir l’odeur des pins alignés tout le long du chemin menant au lac. Il descendit sur le quai et regardé tout autour, écoutant l'appel familier : « Premières –années » ici …… « Premières - années

… »

Mais personne n’arriva. A la place, une voix tout à fait différente, vive et féminine, exigeait, ’Premières années alignés ici s’il vous plaît ! Toutes les premières années devant moi ! ’

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