Il évitait d’aller près de Cho et son ami, mais après avoir marcher au moins deux fois autours des autres pairs dans la salle il pensa qu’il ne pouvait pas continuer à l’ignorer.

‘Oh non’ dit Cho d'une manière plutôt extravagante lorsqu’il s’approcha. . '

Expelliarmious! Je veux dire, Expellimellius – oh désolé Marietta Les cheveux bouclés de son ami avaient prit feu ; Mariette l’éteignit avec sa propre baguette et regarda Harry pensant que c’était de sa faute.

‘Tu me rend nerveuse, Je le faisait très bien avant ! Cho dit à Harry d’un air piteux

‘C’était pas mal’ menti Harry mais elle ouvrit de grand yeux et dit ‘Bien, non, c’était nul, mais je sais que je peut le faire correctement, Je regardait ailleurs.’

Elle rie. Son amie la regarda plutôt aigrement et se retourna

‘Ne fais pas attention à elle ! ’ murmura Cho. ’Elle ne voulait pas réellement venir mais je l’ai faite venir avec moi. Ces parents lui ont interdit de faire quoi que se soit qui peu contrarié Umbridge. T’as vu – sa mère travaille pour le ministère ’.

‘Et tes parents ?’ demanda Harry

‘’Bien, il m’ont interdit de me mettre de mauvais côté fasse à Umbridge, aussi’ dit Cho se redressant fièrement. ’Mais si ils pensent que je ne vais pas me battre contre Tu-Sais-Qui après ce qui est arrivé à Cédric –‘

Elle s’arrêta, paraissant encore plus confuse, et un silence tomba dans la salle ; la baguette de Terry Boot vola près de l’oreille de Harry et toucha Alicia Spinnet sur le nez.


‘Bien, mon père est fervent supporter des actions contre le Ministère ! dit Luna Lovegood fièrement, juste derrière Harry ; évidemment elle avait écouté la conversation tandis que Justin Finch-Fletchley essayait de se dégager de sa robe qui lui avait passé par-dessus la tête. ‘Il dis toujours qu’il croirait n’importe quoi sur Fudge; je veux dire, le nombre de Gobelin que Fudge a assassiné ! Et bien sur l’utilisation du Département des Mystère pour fabriquer de terrible poison, qui est secrètement donné a ceux qui sont en désaccord avec lui. Et aussi il y a Umgubular Slashkilter.

‘Ne demande pas’ murmura Harry à Cho alors qu’elle ouvrait la bouche, perplexe. Elle rigola.

‘Hey, Harry,’ Hermione l’appela du fond de la salle, ‘as-tu vérifié l’heure ?’

Il regarda sa montre et il fut choquer de voir qu’il était déjà 9h moins 10, ce qui signifiait qu’il devait rentré dans leurs salle commune immédiatement ou risquer d’être pris et punis par Russard pour avoir enfreins les règles. Il souffla dans son sifflet, tout le monde arrêta d’envoyer des sorts ‘Expelliarmus’ et les dernières baguettes retombèrent par terre.

‘Bien, c’est assez bon’ dit Harry, ‘mais nous sommes en retard, nous ferrions bien de partir d’ici. Même heure, même lieu la semaine prochaine.

‘Plus tôt !’ dit Dean Thomas avec impatience et beaucoup de personnes firent un signe de tête en accord.

Angélina dit rapidement ‘La saison de Quidditch est sur le point de commencer, nous avons besoin aussi de nous entraîner’

‘Disons le prochain Mercredi soir, alors’ dit Harry, ‘Nous pourrions décidé d’un rendez vous supplémentaire. Venez, on ferrai bien d’y aller.

Il sortit la carte des maraudeur a nouveau et vérifia soigneusement le moindre signe d’un professeur su le 7e. Il les laissa partir par 3 et 4, regardant les points minuscules avec inquiétude pour voir s’il avait rejoint en toute sécurité leurs dortoirs : Les Pouffsouffles au sous-sol qui menait aussi au cuisine ; Les Serdaigle à un tour sur le côté ouest du château et les Gryffondor le long du couloir qui menait au portrait de la vielle dame.

‘C’était vraiment, vraiment bien, Harry’ dit Hermione, quand finalement ils ne furent plus qu’elle, Harry et Ron qui restait.

‘Ouais, vraiment !’ dit Ron avec enthousiasme, quand ils passèrent a travers la porte et regardant en arrière. ’Tu m’as vu désarmer Hermione, Harry ?’

‘Une seul fois seulement’ dit Hermione piquée ‘Je t’ai eut plus que tu m’a eut –‘


‘Je ne t’ai pas eut qu’une seule fois, Je t’ai eut au moins trois fois –‘

‘Bien si tu compte la fois où tu décolla tout seul et faisant tomber la baguette de ma main –‘

Ils se disputèrent tout le long du retour à la salle commue, mais Harry ne les écoutait pas. Il avait un œil sur la Carte du Maraudeur, mais il pensait aussi à Cho qui lui avait dit qu’il la rendait nerveuse.


Chapitre 19 : Le lion et le Serpent

Harry s'était senti comme s'il portait des genres de talismans à l'intérieur de son cœur les deux semaines suivantes, un dithyrambique secret qui supportait dans la classe d'Umbridge et même s’il est possible qu’il fasse un doux sourire pendant qu'il regardait dans ses yeux gonflés et horribles. Lui et les DA pouvaient lui résister sous son nez, faisant la chose qu’Umbridge et le ministère craignaient le plus, et toutes les fois qu'il devait lire le livre de Wilbert Slinkhard pendant ses leçons, il se rappela dans sa mémoire leurs plus récentes réunions satisfaisantes, il se rappelaient comment Neville avait désarmé Hermione avec succès, comment Colin Creevey avait maîtrisé l'empêchement du Jinx après de durs efforts après trois réunions, comment Parvati Patil avait produit une si bonne malédiction de Ratatinage lorsqu'elle avait réduit la table portant tous les Scrutoscopes pour épousseter.

Il était presque impossible de fixer une nuit régulière de la semaine pour les réunions de DA, car ils ont dû les séparer en trois partie: les pratiques de Quidditch, qui devaient souvent réarranger à cause des mauvaises conditions ; mais Harry n’avait pas de regret à propos de ça. Il eu un sentiment qui valait probablement mieux de maintenir la synchronisation de leurs réunions imprévisible. Si personnes ne l’observait, il serait difficile d’être un modèle.

Hermione a bientôt conçu une méthode très intelligente de communiquer l'heure et la date de la prochaine réunion à tous les membres au cas où ils devaient changer à brève échéance, parce que ça semblerait soupçonneux si les gens de différentes Maisons étaient vus en se croisant dans le grand Hall pour parler entre eux trop souvent. Elle a donné à chacun des membres du DA un faux Gallion (Ron était très excité dès qu’il a vu le panier et il a persuadé la première fois que c’était réellement de l'or).

'Tu vois les numéros autour du bord des pièces de monnaie?'disa Hermione en tenant une pièce de monnaie pour l'examen à la fin de leur quatrième réunion. La pièce de monnaie brillait beaucoup et jaunissait dans la lumière des torches. 'Sur de vrai Gallions qui est juste un numéro de série se rapportant au lutin qui moulent la pièce de monnaie.

Sur ces pièces de monnaie fausses, bien que, les nombres changent pour refléter l'heure et la date de la prochaine réunion. Les pièces de monnaie deviendront chaudes quand la date va se changer, ainsi si tu les portes dans une poche tu pourras le ressentir. Nous allons en prendre un chacun , et quand Harry fixera la date de la prochaine réunion, il changera les nombres sur sa pièce de monnaie, et comme j'ai mis un charme protéiforme sur eux, elles changeront l’heure comme le sien.'

Un silence blanc a salué les mots de Hermione. Elle a regardé autour tous les visages qui retournés vers elle, plutôt déconcertée.

Bien—Je pense que c’est une bonne idée, 'a-t-elle dit incertaine, 'Je voulais dire que même si Umbridge nous demandait pour vider nos poches, il n’y a rien de louche à cacher au sujet de porter un Gallion? Mais. . .bon, si tu ne veux pas les utiliser — '

'Tu peux faire un charme protéiforme?' a dit Terry Boot

'Oui, 'a dit Hermione.

'Mais c'est. . . c'est un normal NEWT, c’est tout., 'il a dit faiblement.

’Oh, 'a dit Hermione, essayant de regarder modestement. 'OH. . . puis. . . Oui, je suppose qu'il est.'

'Comment se fait-il que tu ne sois pas à Serdaigle?'demandant-il, regardant fixement Hermione avec quelque chose de merveilleux. 'avec un cerveau comme le vôtre?'

Bien, le Choixpeau magique a sérieusement considéré me mettre à Serdaigle pendant la Répartition, 'a dit Hermione brillamment, 'mais il a décidé à Gryffindor à la fin. Alors, allons-nous utilisez les Gallions ?'

Il y avait un murmure de consentement et tout le monde se déplaça en avant pour en prendre un du panier. Harry regarda de côté Hermione.

'Tu sais ce que ceux-ci me rappellent?'

'Non, qu’est-ce que c’est?'

Les cicatrices des Mangemorts. Voldemort toucha l'une d'entre elles, et toutes leurs cicatrices brûlent, et ils savent qu’ils le rejoint.'

'Bien. . . oui, 'a dit Hermione tranquillement, 'c’est de là j’ai eu l’idée. . . mais tu noteras que j'ai décidé de graver la date sur des morceaux de métal plutôt que sur la peau de nos membres.'

'Ouais. . . Je préfère ta manière !, 'a dit Harry, grimaçant, en glissant son Gallion dans sa poche. 'Je suppose que le seul danger avec ces derniers est que nous pourrions accidentellement les dépenser.'

'Grosse chance, 'a dit Ron, qui examinait son propre faux Gallion avec un air légèrement triste. Je n’ai pas de vrai Gallions pour le confondre avec.'

Pendant que le premier match de Quidditch de la saison, Gryffindor contre Serpentard, approchait, leurs réunions de DA ont été laissé tomber parce qu'Angelina a insisté pour des pratiques presque quotidiennes. Le fait que la Coupe de Quidditch n'avait pas été maintenue pour si longtemps, de plus, considérablement l'intérêt et l’excitation entourant le prochain jeu ; :Serdaigle et Poufsouffle prenaient un intérêt animé pour les résultats, pour eux, naturellement, sous une présence décente d’esprit sportif, ils ont été déterminés pour voir leur propre côté victorieux. Harry jouerait l'excédent des deux équipes l’année prochaine; et les directeurs des maisons des équipes concurrente, bien qu'ils aient essayé de la masqué, la réalisé est comble de fois, le professeur McGonagall s'est inquiété de battre les Serpentard lorqu’elle s'est abstenue de leur donner du travail la semaine amenant au match.

'Je pense que vous devez avoir assez de temps pour poursuivre avec cela jusqu’à maintenant', disa-t-elle avec noblesse. Personne ne pouvait tout à fait avoir cru leurs oreilles jusqu'à ce qu'elle ait regardé directement Harry et Ron et elle ait dit sinistrement,

'je ne suis pas habituer à voir la Coupe de Quidditch dans mes leçons , les garçons, et je ne veux vraiment pas devoir la remettre plus au professeur Rogue, ainsi, passez votre temps supplémentaire à pratiquer, vous voyez?'

Rogue était évidemment moins partisan ; il avait réservé le lancement de la pratique de Quidditch pour les Serpentards tellement souvent que les Gryffondors eu de la difficulté à jouer. Il tournait également une oreille sourde aux nombreuses tentatives de sortilège des Serpentard dans les couloirs contrairement aux joueurs de Gryffindor .

Quand Alicia Spinnet a tourné vers les corridors de l’infirmerie avec ses sourcils qui poussait si épaissement et vite qu’ils ont obscurci sa vision et a obstrué sa bouche, Rogue a insisté sur le fait qu'elle a du avoir essayé un charme de Cheveu-épaississement sur elle-même et refuser d'écouter les quatorze témoins oculaires qui ont insisté avoir vu le gardien des Serpentards : Miles Bletchley, donné un coup par derrière avec un Jinx tandis qu'elle travaillait dans la bibliothèque.

Harry s'est senti optimiste au sujet des chances de Gryffindors ; ils l’ont eu, après tout, ils n’ont jamais perdu contre l'équipe de Malfoy. Évidemment, Ron n'était toujours pas au niveau de Dubois, mais il travaillait extrêmement dur pour s'améliorer. Sa plus grande faiblesse était une tendance de perdre la confiance après qu'il ait fait une gaffe ; s'il a laissé un but, il devint agiter et dut donc probablement en manquer plus. D'autre part, Harry avait vu que Ron faisait un spectaculaire arrêt quand il était en pleine forme ; pendant une pratique mémorable il avait accroché un-remis à son balai et il avait donné un coup de pied sur le souaffle tellement dur et loin du but qu'il a monté la longueur du lancement et passa dans le centre du cercle à l'autre extrémité ; le reste de l'équipe a jugé que ceci était comparativement favorable à ca qu’a fait récemment Barry Ryan, le garde international irlandais, contre le poursuiveur supérieur de Pologne, Ladislaw Zamojski. Même Fred avait dit que Ron pourrait encore le faire et George qui était fier, et qu'ils étaient considérait sérieusement admettre qu’il était liés à eux, quelque chose qu’ils ont assuré qu'ils avaient essayé de nier pendant quatre années.

La seule chose qui inquiétait vraiment Harry était combien Ron permettait à la tactique de l'équipe de Serpentard de le déranger avant qu'ils aient même obtenu dessus au lancement. Harry, naturellement, a eu supporté leur sournois commentaire pour plus de quatre an, ainsi chuchote , 'Hé, Potty, j'ai entendu Warrington dire qu’il était pour te frapper de ton balai samedi', loin de refroidir son sang, ce qui lui a fait rire. le 'but de Warrington si pathétique je serais plus inquiété s'il visait pour la personne à côté de moi,

'lui ai répliqué Harry, ce qui fit rire Ron et Hermione et a essuyé le sourire narquois du visage de Pancy Parkinson.

Mais Ron n'avait jamais supporté une campagne implacable d’insultes, de railleries et d'intimidation. Quand certains Serpentard, de septième-années et en considérablement qu’ils était plus grand que lui, murmurant pendant qu'ils passaient dans les couloirs, 'Tu as obtenu ton lit réservé dans l’infirmerie, Weasley?' il n'a pas ri, mais a tourné dans une nuance sensible de vert. Quand Draco Malfoy a imité Ron qui avait laissé tomber le Souaffle (à chaque fois qu'ils ont relevé la vue de l'un l'autre), les oreilles de Ron ont rougeoyé et ses mains se sont agité gravement tellement qu'il était susceptible de laisser tomber quelque soit ce qu’il tenait .

Octobre s'est éteint dans des précipitations, les hurlement du vents et dans la pluie battante et novembre est arrivée, froid et gelé, avec des durs gels chaque matin et dans les courant d’air glaciales qui a mordus les mains et les visages exposées. Le ciel et le plafond du grand Hall ont tourné un gris pâle et nacré, les montagnes autour de Poudlard étaient couronnées de neige, et la température dans le château a chuté tellement bas que beaucoup d'étudiants ont porté leurs gants protecteurs épais de peau de dragon dans les couloirs entre les leçons.

Le matin du match a débuté lumineux et froid. Quand Harry s'est réveillé il regarda autour du lit de Ron et l'a vu en boulon se reposant tout droit, ses bras autour de ses genoux, regardant fixement dans l'espace.

'Tu vas bien?' lui dit Harry.

Ron a incliné la tête mais ne dit rien. Harry a été rappelé de force lorsque Ron avait accidentellement mis un charme de Lingot-vomissement sur lui ; il a juste regardé pâle et en sueur ce qu'il avait fait alors, pour ne pas mentionner peu enthousiasme il était peu disposé à ouvrir sa bouche.

'Tu a besoin juste d’un petit déjeuner, 'disa Harry tonifiant.

Le grand Hall était très nourrissant quand ils étaient arrivés, de l'entretien plus fort et d'humeur plus exubérante qu'habituelle. Car ils ont passé la table des Serpentards il y avait une croissance de bruit. Harry a semblé rond et a vu que, en plus des écharpes habituelles et des chapeaux verts et argentés, chaqu’un d'entre eux portaient un insigne argenté dans la forme de ce qui a semblé être une couronne. Pour quelque raison, un bon nombre d'entre eux ont ondulé Ron, riant tordant. Harry a essayé de voir ce qui a été écrit sur les insignes pendant qu'il marchait de près, mais il a été trop concerné pour obliger Ron à passer à leur table rapidement et à s'attarder assez longtemps pour les lire.

Ils ont reçu une bienvenue enthousiaste à la table des Gryffindors, où chacun portait du rouge et l'or, mais loin d’augmenter de Ron les acclamations ont semblé le bout de son moral ; il s'est effondré dessus un banc le plus proche regardant comme s'il faisaient face à son repas final.

Je dois être mental pour faire ceci, 'il a dit dans un chuchotement qui craque. 'mental.'

'Ne sois pas stupide, 'dit Harry fermement, lui passant un choix de céréales, Tu vas aller bien. Il est normal d'être nerveux.'

'Je suis un déchet, ' dit Ron coassé. 'Je suis moche. Je ne peux pas jouer pour sauver ma vie. À quoi je pensais?'

'Donner un coup de main, 'dit Harry sévèrement . 'Regardez ce sauveur quand tu as fait avec ton pied l'autre jour, même Fred et George ont dit que c’était brillant.'

Ron a tourné un visage torturé à Harry.

'C’était un accident, 'avait-il chuchoté. 'Je voulais dire que je ne voulais pas le faire—

J'ai glissé de mon balai quand aucun de vous ne me regardait et quand j'essayais de me remettre j’ai donné un coup de pied dans le souaffle par accident.'

'Bien, 'a dit Harry, récupérant rapidement de cette surprise désagréable, 'quelques plus d'accidents comme ça et le jeu se sera dans le sac, n'est-ce pas?'

Hermione et Ginny se sont assis face à face. Elles portaient des écharpes, des gants et des rosettes de couleur rouge et or.

'Comment tu te sens ?'demanda Ginny à Ron, qui regardait fixement maintenant dans le reste du lait au fond de son bol de céréale vide comme s’il a essayé de se noyer dedans.

'Il est simplement nerveux, 'a dit Harry.

'Bien, c'est un bon signe, je ne te sens jamais exécuter aussi bien dans les examens si tu n'es pas un peu nerveux, 'a dit Hermione chaleureusement.

'Salut, 'disa une voix vague et rêveuse derrière eux. Harry chercha: Luna Lovegood venait d’arriver en direction de la table des Serdaigles. Beaucoup de gens la regardaient fixement et quelques uns riaient et pointaient du doigt; elle arriva à obtenir un chapeau en forme d’une tête d'un lion grandeur nature, qui était perché périlleux sur sa tête.

'Je soutiens Gryffindor, 'a dit Luna, se dirigeant inutilement avec son chapeau.

'Regarder ce qu'il fait. . . '

Elle a atteint la table et elle a tapé le chapeau avec sa baguette magique. Il a ouvert sa bouche au loin et a donné un hurlement extrêmement réaliste qui a fait chacun un saut à proximité.


'Il est bon, n'est-ce pas?' dit Luna qui était heureuse. 'J'ai voulu l'avoir en train de mâcher un serpent pour représenter Serpentard, vous savez, mais je n’avais pas beaucoup de temps. Quoi qu'il en soit. . . bonne chance, Ronald!'

Elle était partie. Ils ne s’étaient pas tout à fait remis après le choc du chapeau de Luna avant qu'Angelina soit venu se dépêchant vers eux, accompagné de Katie et d’Alicia, dont les sourcils avaient été compatissant retournés à la normale par Madame Pomfresh.

'Quand tu es prêt, 'dit-elle, 'nous allons en bas au lancement, pour aller vérifier les conditions et aller se changer.'

'Nous serons là dans un peu temps, 'Harry les avez assurées. 'Ron veut juste un petit déjeuner.'

C’est devenu clair après dix minutes, cependant, Ron n'était plus capable de manger n'importe quoi en plus et Harry a pensé qu’il devait mieux descendre aux vestiaires. Dès qu’ils se sont levés, Hermione se leva aussi et elle prit le bras de Harry et l’attirait dans un autre côté. 'Ne laisse pas Ron voir ce qui est sur les insignes des Serpentards, 'a-t-elle chuchoté instamment.

Harry la regarda d'un air interrogateur, mais elle a secoué sa tête avec avertissement ; Ron avait juste chevauché, avoir l’air perdu et désespéré.

'Bonne chance, Ron, 'a dit Hermione, se tenant sur la pointe des pieds et l'embrassant sur la joue. 'et à toi, Harry — '

Ron sembla revenir légèrement en lui pendant qu'ils marchaient en arrière du grand Hall. Il toucha la tache sur son visage où Hermione l'avait embrassé, semblant d’être embarrassé, comme s'il n'était pas tout à fait sûr de ce qui s'était passé. Il sembla trop distrait pour faire attention aux autres autour de lui, mais Harry jeta un regard curieux sur les insignes en forme de couronnes pendant qu'ils passaient devant la table des Serpentards, et cette fois il a compris les mots gravés à l'eau forte dessus eux : Weasley est notre roi

Avec un sentiment désagréable qui pouvait signifier rien de bon, il dépêcha Ron à traverser l'entrée du hall, descendirent les escaliers en pierre et sortirent dans l'air glacial.

L'herbe givrée a craqué sous leurs pieds pendant qu'ils se dépêchaient à marcher sur les pelouses en pente vers le stade. Il n'y avait aucun vent du tout et le ciel était un blanc nacré uniforme, qui signifiait que la visibilité serait bonne sans inconvénient de lumière du soleil directe dans les yeux. Harry a précisé aux facteurs à encourager Ron pendant qu'ils marchaient, mais il n'était pas sûr que Ron écoutait.

Angelina s’était déjà changé et elle parlait au reste de l'équipe quand ils sont entrés.

Harry et Ron ont tiré sur leurs robes longues (Ron a essayé de faire le sien en arrière à avant pendant plusieurs minutes avant qu'Alicia ait pris la pitié de lui et elle est allée l’aider), alors ils étaient assis pour écouter l'entretien du pré-match tandis que la rumeur de l'extérieur de la voix se développait solidement plus forte pendant que la foule sortait du château vers le lancement.

'C’est bon, j’ai seulement juste découvert la ligne finale des Serpentards, 'a dit Angelina, consultant un morceau de parchemin. ' Les batteurs de l’année passée, Derrick et Bole, sont partis, mais il regarde comme si Montague leur avait remplacé leur habituels gorilles, plutôt que n'importe qui volait particulièrement bien. Ils sont deux types appelés Crabbe et Goyle, je ne sais pas beaucoup choses au sujet d'eux — '

'Nous savons , 'a dit Harry et Ron ensemble.

'Bien, ils ne me semblent pas assez intelligents pour dire l’extrémité du balai de l'autre,

'a dit Angelina, empochant son parchemin, 'mais alors j'ai été toujours étonné que Derrick et Bole sont parvenus à trouver leur chemin au-dessus du lancement sans poteaux indicateurs.'

'Crabbe et Goyle sont dans le même moule, 'assura Harry.

Ils pouvaient entendre de centaines de pieds montant les marches des bancs encaissant les tribunes des spectateurs. Certains chantaient, bien que Harry ne pouvait pas comprendre les mots. Il commençait à se sentir nerveux, mais il a su que ses papillons étaient rien a comparé à Ron, qui saisissait son estomac et il regardait fixement droit devant, encore avec sa mâchoire et son teint gris-pâle.

'Il est temps, 'a dit Angelina dans une voix calme, regardant sa montre. Et chacun. . .

bonne chance.'

L'équipe s'est levée, a épaulé leurs balais et marcha en rang hors des vestiaires et dans la lumière du soleil qui brille, l'hurlement des bruits les a salués dans lequel Harry immobile, pouvait entendre le chant, bien qu'il ait été insonorisé par les acclamations et des sifflements.

L'équipe de Serpentard se tenait en les attendant. Eux, aussi, portaient leurs insignes en forme de couronnes argentés. Le nouveau capitaine, Montague, est né comme le long des mêmes lignes que Dudley Dursley avec les avant-bras massifs comme des jambons velus. Derrière lui ont menacé Crabbe et Goyle, presque grand, clignotant stupidement à la lumière du soleil, balançant leurs nouveaux bâtons de batteur. Malfoy s'est tenu à un côté, la lumière du soleil brillant sur sa tête blanc-blonde. Il a attiré l'attention de Harry avec un sourire narquois, tapant l'insigne en forme de couronne sur sa poitrine.

'Capitaines, serrer vos mains, 'a commandé Madame Bibine, l'arbitre, car Angelina et Montague se sont atteints. Harry pouvait dire que Montague essayait d'écraser les doigts d'Angelina, bien qu'elle n'ait pas grimacé. 'Monter sur vos balais. . . '

Madame Bibine a placé son sifflet dans sa bouche et siffle.

Les boules ont été libérées et les quatorze joueurs montèrent vers le haut. Sur le coin de l’oeil de Harry a vu Ron se déplacer au loin vers les poteaux de but. Harry monta en flèche vers le haut, esquivant un Cognard, et il se mit au loin sur un recouvrement du lancement, regardant fixement autour pour un reflet d'or ; de l'autre côté du stade, Draco Malfoy faisait exactement la même chose.

'et c'est Johnson — 'Johnson avec le Souaffle, quelle joueuse cette fille, je l'avais dit pendant des années mais elle ne sortira jamais avec moi — '

JORDAN!' hurla professeur McGonagall.

' — juste un fait d'amusement, professeur, ajoute un peu d'intérêt — et elle est penché sur Warrington, elle a passé à Montague, elle — aïe — s’est frappée en derrière par un Cognard de Crabbe. . . Montague attrape le Souaffle, Montague se dirigeant pour lancer —un gentil Cognard de la part de Fred Weasley, un Cognard sur la tête de Montague, il laissa tomber le Souaffle, attrapé par Katie Bell, Katie Bell de Gryffindor renversa-passa à Alicia Spinnet et Spinnet s’éloigna — ' Le commentaire de Lee Jordan résonna dans le stade et Harry a écouté aussi dur qu'il pouvait par le vent sifflant dans ses oreilles et le vacarme de la foule, tout hurlant des hou !et des chants.

' — détours Warrington, évite le Cognard—l’a échappé belle, Alicia — et la foule aime ceci, écoutez-les, qu'est de qu’ils chantent?'

Et comme Lee a fait une pause pour écouter, la chanson forte et claire de la mer des verts et de l’argent dans la section des supporters des Serpentards:

'Weasley ne peut pas arrêter une chose,

Il ne peut pas bloquer un simple anneau,

C'est pourquoi tous les Serpentards chantent :

Weasley est notre roi.


'Weasley est né dans une poubelle

Il laisse toujours rentrer le Souaffle dedans

Weasley s'assurera que nous gagnons

Weasley est notre roi.'

' —Et Alicia passa en arrière à Angelina!'cria Lee, et pendant que Harry faisait une embardée, ses intérieurs se bouillirent à ce qu'il vient d’entendre, il a su que Lee essayait de

de couvrir les mots de la chanson. 'Allez, maintenant Angelina,— Comme si elle avait juste le gardien à battre ! — ELLE LE TIRE — — aaaah. . . '

Bletchley, le gardien des Serpentard, avait arrêté le but ; il a jeté le Souaffle à Warrington qui a lancé au loin, zigzaguant Alicia et Katie ; le chant en dessous s'est développé de plus en plus fort pendant qu'il attirait Ron de plus en plus proche.

'Weasley est notre roi,

Weasley est notre roi,

Il laisse toujours rentrer le Souafle dedans

Weasley est notre roi.'

Harry ne pouvait pas s'aider : abandonnant sa recherche du vif, il s’est retourné brusquement pour observer Ron, une seule figure à l'extrémité lointaine du lancement, planant avant les trois poteaux du but tandis que le Warrington massif avança à toute vitesse vers lui.

' — et c'est Warrington avec le Souaffle, Warrington vers le but, il est hors contrôle du Cognard avec juste le gardien en avant — '

Une grande augmentation de la chanson s'est levée des supporters de Serpentard ci-dessous :

'Weasley ne peut pas arrêter une chose,

Il ne peut pas bloquer un simple anneau. . . '


' ainsi c'est le premier essai pour le nouveau gardien de Gryffondor, Weasley, frère des batteurs, Fred et George, et un nouveau talent prometteur sur l'équipe —Voici, Ron!'

Mais le cri perçant de plaisir venait de l'extrémité des Serpentards : Ron avait plongé d'une manière extravagante, ses larges bras, et le Souaffle s’était élancé entre eux directement dans le cercle central de Ron.

Points pour Serpentard!' venu la voix de Lee parmi les encouragements et des Hou !

de la foule ci-dessous, 'de sorte que dix-zéro pour Serpentard —mauvaise chance, Ron.'

Les Serpentards a chanté encore plus fort :

'WEASLEY EST NÉ DANS UNE POUBELLE,

IL LAISSE TOUJOURS RENTRER LE SOUAFFLE

DEDANS. '.

' — et retour à Gryffindors en possession et c’est Katie Bell qui l’a'—cria Lee vaillamment, bien que le chant assourdissant maintenant ainsi qu'il pouvait à peine se faire entendre au-dessus de lui.

'WEASLEY S'ASSURERA QUE NOUS GAGNONS

WEASLEY EST NOTRE ROI. . . '

'Harry, QU’EST-CE QUE TU FAIS?'cria Angelina, monta en flèche et passa devant lui, continua avec Katie. 'VAS-Y ! '

Harry a réalisé qu'il avait été stationnaire dedans entre le ciel et la terre pendant plus d'une minute, observant le progrès du match sans épargner une pensée pour le lieu du vif ; horrifié, il est entré dans un piqué et a commencé à entourer le lancement encore, regardant fixement autour, essayant d'ignorer le chœur tonnant maintenant par le stade :

'WEASLEY EST NOTRE ROI,

WEASLEY EST NOTRE ROI. . . '

Il n'y avait aucun signe du Vif n'importe où qu'il a regardé ; Malfoy entourait toujours le stade juste comme il était. Ils ont passé un autre intermédiaire autour du lancement, allant dans des directions opposées, et Harry a entendu Malfoy chanter fort :

'WEASLEY EST NÉ DANS UNE POUBELLE. . . '

' — et c'est encore Warrington, 'hurla Lee, 'qui passa à Pucey, Pucey au loin après Spinnet, allez maintenant, Angelina, tu peux le prendre - s'avère toi pas — mais un gentil Cognard de la part de Fred Weasley que je veux dire, George Weasley, OH, ça ne fait rien, l'un d'entre eux, quoi qu'il en soit, Warrington laissa tomber le Souaffle et Katie Bell — heu elle l’échappa aussi — de sorte que Montague avait le Souaffle, le capitaine Montague de Serpentard prend le Souaffle et il le lança haut , allez les Gryffindors, bloquer le!'


Harry a bourdonné autour de l'extrémité du stade derrière les poteaux de but des Serpentards, se voulant pour ne pas regarder ce qui s'attaquait à l'extrémité pour Ron.

Pendant qu'il expédiait après la garde des Serpentards, il a entendu Bletchley chantant avec la foule ci-dessous :

'WEASLEY NE PEUT PAS ARRÊTER UNE CHOSE. . .

'

' — et Alicia esquivé de Pucey encore et lui se dirige directement pour le but, Ron l’arrête!'

Harry n'a pas dû regarder pour voir ce qui s'était produit :il y avait à un gémissement terrible de l'extrémité des Gryffindors, couplée les cris perçants frais et les applaudissements des Serpentard. Regardant vers le bas, Harry a vu juste le pug-fait face de Parkinson à l'avant des stands, elle est de nouveau au lancement pendant qu'elle conduisait les défenseurs de Serpentard qui hurlaient :

'C’EST POURQUOI TOUS LES SERPENTARD

CHANTENT

WEASLEY EST NOTRE ROI.'

Mais vingt-zéro n'était rien, il était temps pour Gryffindor de se rattraper ou attraper le vif. Quelques buts et ils seraient en tête comme d'habitude, Harry s’en était assurés, pendillant et tissant par les autres joueurs à la poursuite de quelque chose de brillant qui s'est avérée être le watchstrap de Montague.

Mais Ron laissa deux buts supplémentaires. Il y avait un bord de la panique en désir que Harry avait trouvé le vif maintenant. S'il pourrait juste l'obtenir bientôt et finir le jeu rapidement.

' — et Katie Bell des détours Pucey, canards Montague, écart, Katie de Gryffindor, et elle jette à Johnson, Angelina Johnson prend le Souaffle, elle est après Warrington, elle se dirige pour le but, avancant maintenant, Un POINTS — d'Angelina pour GRYFFINDOR ! Ils sont quarante à-dix, quarante-dix pour Serpentard et Pucey a le Souafle. . . '

Harry pouvait entendre le ridicule chapeau de lion de Luna qui rugissait parmi les acclamations de Gryffindor et a encouragé ;seulement trente points pour lui, ce n'étaient rien, qu’ils ont pu retirer facilement. Harry s’est penché sur un Cognard que Crabbe avait envoyé à monter en flèche dans sa direction et avait repris son récurage effréné du lancement pour le vif, gardant un oeil sur Malfoy au cas où il montrerait des signes après l'avoir repéré, mais Malfoy, comme lui, continuait à monter autour du stade, recherchant le vif. . .

' Pucey lance à Warrington, Warrington à Montague, Montague redonne à Pucey

—'Johnson intervient, Johnson prend le Souafle, Johnson à Bell, ceci semble bonne —

jevuex dire mauvaise— Bell a été frappé par un Cognard par Goyle de Serpentard et c’est Pucey qui est en possession encore. . . '

'WEASLEY EST NÉ DANS UNE POUBELLE


IL LAISSE TOUJOURS LE SOUAFLEDEDANS

WEASLEY S'ASSURERA QUE NOUS GAGNONS. . . '

Mais Harry l'avait vu enfin : le minuscule vif d'or flotter au dessus du sol près de la fin du lancement des Serpentard.

Il a plongé. . .

Dans une situation de seconde , Malfoy se déplaça hors du ciel sur la gauche de Harry, un vert et la tache floue d'argent se trouvant à plat sur son balai. . .

Le vif contourna le pied d'un des poteaux de but et fila au loin vers l'autre côté des supporters ; son changement de direction est allé vers à Malfoy, qui était plus proche ; Harry a tiré son Éclair de feu autour, lui et Malfoy étaient maintenant côte à côte. . .

Les pieds à terre, Harry enleva sa main droite de son balai, s'étendant vers le vif. . .

vers sa droite, le bras de Malfoy prolongé aussi, était atteinte, cherchant à tâtons. . .

Il était de plus en plus essoufflé , désespéré, Harry tâtonna avec le dos de sa main avec désespoir — Ses doigt se sont fermés autour de la minuscule balle qui lutte, les ongles de Malfoy —tâtonna le dos la main de Harry désespérément —Harry tira son balai vers le haut, tenant la boule qui lutte dans sa main et les supporters de Gryffindor ont crié leur approbation. . .

Ils ont été sauvés, il n'ont pas importé que Ron ait laissé ces buts, personne se rappelleraient aussi longtemps que Gryffindor avait gagné — '

VLAN.

Un Cognard frappa Harry carrément dans son petit dos et il vola en avant de son balai. Heureusement il était seulement cinq ou six pieds au-dessus de la terre, ayant plongé ainsi attraper le vif, mais il était essoufflé comme s’il était sur le terrain gelé. Il a entendu le sifflet aigue de Madame Bibine, un tumulte des supporter, des coups de sifflet, hurlements fâchés et sarcasmes, un son mat, puis la voix effrénée d'Angelina.

'Tout va bien?'

'Bien sûr que je le suis', a dit Harry sinistrement, prenant sa main et lui permettant de le tirer à ses pieds. Madame Bibine marchait vers un des joueurs de Serpentard au-dessus de lui, bien qu'il ne pourrait pas voir qui il était de cet angle.

'C'était ce brute de Crabbe, 'avait dit Angelina en colère, 'il a frappé fort le Cognard sur toi le moment où il a vu que tu as eu le vif — mais nous avons gagné, Harry, nous avons gagné!'

Harry a entendu un grognement derrière lui et il a tourné autour, tenant le vif étroitement dans sa main : Draco Malfoy avait débarqué étroitement par une face blanche avec la fureur, il parvenait toujours à ricaner.

'a sauvé la vie de Weasley, n’est ce pas?' dit il à Harry. 'je n'ai jamais vu un plus mauvais gardien. . . mais alors il est né dans une poubelle. . . As-tu aimé mon lyrique, Potter?'

Harry n'a pas répondu. Il s’est retourné pour rencontrer le reste de l'équipe qui étaient sur des paliers hurlant et donnant des coups de poings d’un air triomphant; tous excepter Ron, qui était descendu de son balai au-dessus des poteaux de but et il sembla faire à sa manière mais lentement et il était tout seul dans les vestiaires .


'Nous avons voulu écrire d’autres couples de vers!'disa Malfoy , comme Katie et Harry étreint par Alicia. 'Mais nous ne pourrions pas trouver des rimes pour les gros et les laids — Nous avons voulu chanter au sujet de sa mère— '

Parlons des raisins sures, 'a dit Angelina, jetant un regard dégoûté à Malfoy.

' — Nous ne pourrions pas nous adapter dans le perdant inutile non plus — pour son père, tu sais— '

Fred et George avaient réalisé de ce que Malfoy parlait. À mi-chemin en secouant la main de Harry, ils ont raidi, regardant en rond Malfoy.

'Laissez le!' dit Angelina immédiatement, prenant Fred par le bras. 'Laissez le, Fred, laissez le hurler, il est simplement fâché d’avoir perdu, le petit prétentieux—

' — Mais tu aimes les Weasleys, n’est-ce pas, Potter?' dit Malfoy, en ricanant. 'Passer les vacances là et tout, n’est-ce pas? Tu ne peut pas voir comment tu tiens la puanteur, mais je suppose que quand tu as été traîné par les Moldus, même le taudis des Weasleys sent bon — '

Harry tenait George. En attendant, elle prenait les efforts combinés d'Angelina, d'Alicia et de Katie d'arrêter Fred de sauter sur Malfoy, qui riait bouche grande ouverte. Harry a regardé autour pour voir Madame Bibine, mais elle réprimandait toujours Crabbe pour son attaque illégale de Cognard.

'Ou peut-être, 'a dit Malfoy, en lorgnant pendant qu'il soutenait au loin, 'peut se rappeler comme la maison mère a pué, Potter, et la porcherie de Weasley te la rappelle

— '

Harry ne se rendait pas compte qu’il avait libérer George, tout qu'il a su était qu’une seconde plus tard deux d’entre eux courait vers Malfoy. Il avait complètement oublié que tous les professeurs observaient : tout ce qu'il a voulu c’était causer du mal à Malfoy; ce n’était pas l’heure pour retirer sa baguette magique, il a simplement donné un coup de poing dans le dos, le poing saisissant le vif et le frappa aussi dur qu'il pouvait dans l'estomac de Malfoy — '

'Harry ! HARRY ! GEORGE ! NON ! '

Il pouvait entendre les voix des filles qui criait, Malfoy qui hurla, George qui jurait, un sifflet qui siffla et la foula qui beugla autour de lui, mais il ne s'est pas inquiété. Jusqu'à que quelqu’un à proximité a hurlé 'Impedimenta!' et il a été frappé en arrière par la force du charme, il abandonna la tentative de donner des coups de poings à chaque pouce à Malfoy qu'il pouvait le toucher.

'Qu’est-ce que tu pense que tu es en train de faire?'cria Madame Bibine, comme Harry a sauté sur ses pieds. Il me sembla que quelqu’un a été frappé avec Impediment Jinx ; elle tenait son sifflet une main et une baguette magique dans l'autre ;son balai été abandonné quelques pieds. Malfoy était en boule par terre, pleurnichant et gémissant, son nez saignait ; George une lèvre gonflée ; Fred était retenue de force par les trois poursuiveurs, et Crabbe jacassaiten arrière. 'Je n'ai jamais vu un comportement comme ça—Retournez au château, tous les deux ,Aller dans le bureau de la maison de votre directrice! Aller ! Maintenant.''

Harry et George tournèrent sur leurs talons et ils marchèrent sur le terrain du lancement, tous les deux haletant, ni l'un ni l'autre disant un mot à l'autre. L'hurlement et les sarcasmes de la foule se sont développés de plus en plus faibles jusqu'à ce qu'ils aient atteint l'entrée du hall, où ils pourraient rien entendre excepté le bruit de leurs propres marchepieds. Harry s'est rendu compte que quelque chose luttait toujours dans sa main droite, dont les articulations il avaient meurtri contre la mâchoire de Malfoy.

Regardant vers le bas, il a vu les ailes argentées du Vif dépasser entre ses doigts, luttant pour se dégager.

Ils avaient à peine atteint la porte du bureau du professeur McGonagalls quand elle, est venue marchant le long du couloir derrière eux. Elle portait une écharpe de Gryffindor, mais l’a retiré de sa gorge en serrant la main pendant qu'elle marcha à grandes enjambées vers eux, les regardant furieux.

'Dedans!' dit-elle furieusement, se dirigeant vers la porte. Harry et George sont entrés.

Elle marcha à grandes enjambées derrière son bureau et regarda leur face, tremblant avec fureur pendant qu'elle jetait l'écharpe de Gryffindor sur le plancher.

Bon?' dit-elle. 'Je n'ai jamais vu un spectacle si honteuse. Deux contre un !Expliquez-vous!'

'Malfoy nous a provoqués, 'a dit Harry brutalement

'Vous ont provoqué?' cria le professeur McGonagall, donnant un coup de poing dessus son bureau de sorte que son étain était devenu tartan, salissait le plancher avec du gingembre Newts. 'Il a juste perdu, n'est-ce pas ? Naturellement il a voulu te provoquer ! Mais ce qui sur terre il peut avoir justifié sur vous deux— '

'Il a insulté mes parents, ' gronda George. 'Et la mère de Harry.'

'Mais au lieu de laisser le soin à Madame Bibine de vous en sortir, vous avez décidé de donner un spectacle de Moldus se battant en duel, n’est-ce pas?' beugla professeur McGonagall. 'Avez-vous une idée que vous avez— ? '

'Hem, hem.'

Harry et George regardèrent autour. Dolores Umbridge se tenait devant la porte.

Elle porta un manteau vert fait de tissus en laine qui lui fit presque ressemblé a un crapaud géant, et souriait de manière horrible, maladive, sinistre qu’Harry était venu pour associer à la misère imminente.

'Pourrais-je vous aider, professeur McGonagall?'demanda le professeur Umbridge dans sa voix la plus douce.

Le sang lui monta dans le visage de professeur McGonagall.

'De l’aide?' avait-elle répété, dans une voix resserrée. 'Qu’est-ce que ça signifie, aider?'

Professeur Umbridge se déplaça en avant dans le bureau, en souriant avec son sourire maladif.

'Pourquoi, j'ai pensé que pourrez être reconnaissant pour un peu d'autorité supplémentaire.'

Harry n'aurait pas été étonné de voir des étincelles voler des narines du professeur McGonagall.

'Vous n’avez pas raison, 'dit-elle en se tournant vers d’Umbridge.

'Maintenant, vous deux, écoutez attentivement. Je ne m'inquiète pas de la provocation que Malfoy vous ont offert, je ne m'inquiète pas s'ils vous ont insulté chaque membre de votre famille que vous possédez, votre comportement était répugnant et je donne à chacun de vous la valeur d'une semaine de détentions ! Ne pas me regarder comme ça, Potter, tu le méritent ! Et si l'un ou l'autre de vous jamais — '

'Hem, Hem.'


Professeur McGonagall ferma ses yeux comme si elle priait pour la patience pendant qu'elle tournait encore son visage vers le professeur Umbridge.

'Oui?'

'Je pense qu'ils méritent plus que des détentions, 'a dit Umbridge, souriant toujours plus largement.

Les yeux du professeur McGonagall se sont soudainement ouverts.

'Mais malheureusement, 'dit-elle, avec une tentative de sourire réciproque qui avait un regard comme si elle a eu le tétanos, 'il ce trouve que je pense aux comptes, car ils sont dans ma Maison , Dolores.'

'Bien, réellement, Minerva, 'dit le professeur Umbridge avec un sourire affecté, 'je pensent que vous constaterez que ce que je pense. Maintenant, où est-elle ? Cornelius l'a juste envoyée. . . Je veux dire, 'elle donna rire faux lorsqu’elle fouillait dans son sac à main, 'le ministre la juste envoyé l. . . oh oui. . . '

Elle avait retiré un morceau de parchemin qu'elle tenait maintenant, dégageant sa gorge avant de commencer à lire ce qu'il a indiqué.

'Hum, hum. . . "Décret Éducatif Numéro Vingt-cinq".'

'Non pas encore!' hurla le professeur McGonagall violemment.

'Bien, oui, 'a dit Umbridge, en souriant. 'en fait, Minerva, c'était vous qui m'a incité à voir que nous avons eu besoin un autre d'amendement. . . tu te rappelles comment tu m'as dépassé, quand j'étais peu disposé à permettre à l'équipe de Quidditch de Gryffindor de reformer ? Comment as-tu pris le cas de Dumbledore, qui a insisté sur le fait que l'équipe soit permise de jouer ? Bien, maintenant, je ne pourrais pas avoir cela.

J'ai contacté le ministre immédiatement, et il était d'accord tout à fait avec moi que le haut inquisiteur doit avoir la puissance de dépouiller des pupilles des privilèges, ou elle

— c'est-à-dire, j' aurais moins d'autorité que les professeurs communs ! Et tu vois maintenant, pas toi, Minerva, comment j'étais en essayant d'arrêter la réformation d'équipe de Gryffindor ? Trempes redoutables. . . quoi qu'il en soit, je donnais lecture de notre amendement. . . hem,hem. . . "le haut inquisiteur aura dorénavant l'autorité suprême au-dessus de toutes les punitions, de sanctions et de déplacement des privilèges concernant les étudiants de Poudlard, et de la puissance de changer de tels punitions, sanctions et déplacements des privilèges qui ont été passé en commande par d'autres membres du personnel. Signé, Cornelius Fudge, le ministre de la magie, ordre de la première classe de MERLIN, etc., etc…" '

Elle a enroulé le parchemin et l'a mis de nouveau dans son sac à main souriant toujours.

'Ainsi. . . Je pense vraiment que je devrai à interdire ces deux de jouer Quidditch pour toujours, ' dit elle, en regardant Harry et George de dos.

Harry senti le vif flotter follement dans sa main.

'Nous interdire?' il a dit, et sa voix a semblé étrangement éloignée. 'du jeu. . . pour toujours?'

'Oui, M. Potter, je pense qu’une interdiction perpétuelle doit faire le tour, 'a dit Umbridge, son sourire s'élargissant encore plus pendant qu'elle l'observait lutter pour comprendre ce qu'elle avait dit. 'Toi et M. Weasley ici. Et je pense, pour être sûr, ce jumeau de jeune homme dois être arrêté, aussi — si ses co-équipier ne l'avaient pas retenu, je suis sûr qu’il aurait attaqué jeune M. Malfoy aussi bien. Je voudrai leurs balai confisqués, naturellement ; Je les maintiendrai sans risque dans mon bureau, pour m'assurer qu ‘il n’y ait aucune infraction à mon interdiction. Mais je ne suis pas peu raisonnable, professeur McGonagall, ' ensuite, se tournant de nouveau à professeur McGonagall qui se tenait maintenant comme si elle était découpé dans de la glace, la regardait fixement. Le reste de l'équipe peut continuer à jouer, je n'a vu aucun signe de violence de n'importe lequel d'entre eux . Bien. . . bon après-midi à vous.'

Et avec un regard de la plus grande satisfaction, Umbridge est parti de la salle, laissant un silence horrifié dans son sillage.

*

'Elle a interdit, ' dit Angelina dans une voix creuse, tard cette soirée dans la salle commune. 'A interdit. Aucun attrapeur et aucun batteur. . .Qu’est-ce que la terre va nous faire ?'

Elle ne s'est pas sentie comme s'ils avaient gagné le match du tout. Harry regarda partout là étaient les visages inconsolables et fâchés ; l'équipe elles-mêmes ont été effondrées autour du feu, tout indépendamment de Ron, qui n'avait pas été vu depuis la fin du match.

'Sont si injuste, 'a indiqué Alicia. 'Je veux dire, au sujet de ce qui est de Crabbe et ce Cognard qu'il a frappé après que siffler ait été sifé ? L'a interdit?'

'Non, 'a indiqué Ginny malheureuse ; elle et Hermione s'asseyaient de chaque côté de Harry. 'Il avait juste obtenu des lignes, j'a entendu Montague rire à son sujet au dîner.'

'et en interdisant Fred quand il n'a pas égalisé faire n'importe quoi!' dit Alicia furieusement, frappant son genou avec son poing.

'Ce n'est pas de ma faute, je n’ai rien fait, 'a dit Fred, avec un regard très laid sur son visage, J’aurais pu marteler ce sac à bave si vous trois n’aurez pas pu me tenir en arrière.'

Harry était malheureux et regarda la fenêtre foncée. La neige tombait. Le vif qu'il avait attrapé volait maintenant autour de la salle commune ; les gens observaient son progrès comme s’ils étaient hypnotisé et Pattenrond sautait d’une chaise à une autre chaise, essayant de l'attraper.

'Je vais au lit, 'a dit Angelina, marchant lentement sur ses pieds. 'Peut-être ceci se trouvere un cauchemar. . . peut-être je me réveillerai demain et apercevrais que nous n'avons pas encore jouée. . . '

Elle a été bientôt suivie par Alicia et par Katie. Fred et George sont allés dormir quelques heures plus tard, faisant la mine à chacun ils ont passé, et Ginny est allée ensuite. Seulement Harry et Hermione ont été restés près du feu.

'Tu as Ron vu?' Hermione a demandé dans une basse voix.

Harry a secoué sa tête.

'Je pense qu'il nous évite, 'a dit Hermione. 'Où tu penses qu’il est ?— ? '

Mais à ce moment précis, il y avait un bruit grinçant derrière eux comme la grosse Madame balançant en avant et Ron venait par le trou du portrait. Il était très pâle en effet et il y avait de la neige dans ses cheveux. Quand il a vu Harry et Hermione, il s'est arrêté tout d’un coup.

'Où tu étais ?' dit Hermione impatiemment.


'Marché, ' marmonna Ron. Il portait toujours ses affaires de Quidditch.

'Tu sembles congelé, 'a dit Hermione. 'Viens et assis-toi!'

Ron marcha au coin du feu et s’étendit sur une chaise plus loin que Harry, ne le regarda pas. Le vif vola au-dessus de leurs têtes.

'Je suis désolé, marmonna Ron, en regardant ses pieds.

'Pour quoi?' dit Harry.

'En pensant, je peux jouer au quidditch, 'a dit Ron. 'Je vais démissionner la première chose demain.'

'Si tu démissionnes, 'a dit Harry avec humeur, 'il manqueras trois joueurs à l'équipe.'

Et quand Ron le regardé a embarrassé Harry dit 'Je dois donné une interdiction pour le reste de ma vie. Fred et George aussi.'

'Quoi?' a jappé Ron.

Hermione lui raconta toute l’histoire; Harry ne pouvait pas soutenir pour le redire encore. Quand elle avait fini, Ron la regarda plus souffrant que jamais.

Tout ça c’est de ma faute— '

'tu ne m'as pas dit de donner un coup de poing à Malfoy , 'a dit Harry en colère.

' —Si je n'étais pas aussi terrible au Quidditch — '

' —Ça n’aurait rien arrivé avec ça .'

' — C'était cette chanson qui me blessa — '

' —Il voudrait pas blesser n'importe qui .'

Hermione s'est levé et se dirigea vers la fenêtre, loin de l'argument, observant la neige tourbillonner vers le bas contre le carreau.

'Regarde, il tombe,!' s’exclama Harry. 'Il est assez mauvais, sans toi se blâmant de tout!'

Ron n'a rien dit mais déposa ses yeux malheureux au bord humide de ses robes longues. Après un moment il a dit dans une voix mate, 'C'est le plus mauvais que je me suis jamais senti de ma vie .'

'Joind le club, 'a dit Harry amèrement.

'Bien, 'a dit Hermione, sa voix tremblant légèrement. 'Je peux penser à une chose qui pourrait vous encouragez tous les deux à aller mieux.'

'OH ouais?' dit Harry avec scepticisme.

'Ouais, 'a dit Hermione, tournant loin de la fenêtre qui faisait noire et qui neigeait des flocons de neiges, un large sourire écartant à travers son visage. 'Le retour de Hagrid'


Chapitre 20 : le récit d'Hagrid

Harry courut jusqu'au dortoir des garçons pour récupérer sa cape d'invisibilité et la carte du maraudeur dans sa valise, il fut si rapide que lui et Ron étaient prêts à partir au moins 5 minutes avant qu'Hermione se dépêche de revenir du dortoir des filles, portant un pull, des gants et un de ses chapeaux pour elfe fait main.

'Eh bien il fait froid dehors!' dit-elle pour sa défense, comme Ron claquait sa langue impatiemment Ils se faufilèrent à travers le trou du portrait et se couvrirent hâtivement de la cape - Ron avait tellement grandi qu'il devait maintenant s'accroupir pour éviter que ses pieds dépassent - alors, se déplaçant lentement et avec attention, ils progressèrent vers le bas à travers de nombreux escaliers, faisant des pauses pour vérifier sur la carte les marques de Rusard ou Mrs Norris. Ils étaient chanceux, ils ne virent personne à part Nick quasi sans tête, qui glissait distraitement fredonnant quelque chose qui ressemblait terriblement à "Weasley est notre roi". Ils se faufilèrent à travers la hall d'entrée puis dehors sur le sol silencieux et neigeux.

Avec un énorme battement de cœur, Harry vit de petites lumières dorées et carrées en face de lui et de la fumée serpentant au-dessus de la cheminée d'Hagrid. Il se mit à marcher rapidement, les deux autres se coudoyant et se heurtant derrière lui. Ils écrasèrent la neige joyeusement jusqu'à ce qu'ils atteignent la porte de bois de la maison.

Quand Harry leva son poing et cogna trois fois, un chien se mit à aboyer follement à l'intérieur.

'Hagrid, c'est nous!' appela Harry à travers la serrure

'J'aurai du le savoir !' dit une voix bourrue'

Ils se sourirent les uns les autres sous la cape, car ils pouvaient dire au son de la voix de Hagrid qu'il était content. 'Je suis à la maison depuis trois secondes.. Pousse-toi de la Crokdur. pousse toi, stupide chien.

le verrou fut tiré et la porte grinça en s'ouvrant et la tête d'Hagrid apparut par l'entrebâillement Hermione cria

'Par la barbe de merlin, moins fort!' Dit Hagrid précipitamment, scrutant follement au-dessus de leurs têtes 'vous êtes sous cette cape n'est ce pas? Bien rentrez rentrez!'

'Je suis désolée!' Haleta Hermione, comme ils serraient la main de Hagrid, entrant dans la maison et enlevant la cape pour qu'il puisse les voir. 'j'ai juste - oh Hagrid!'

'Ce n'est rien, ce n'est rien! Dit Hagrid à la hâte, fermant la porte derrière lui et se dépêchant d'aller fermer tous les rideaux, mais Hermione continua de le regarder fixement avec horreur la chevelure de Hagrid était couverte de sang coagulé et son oeil gauche était réduit à une fente bouffie au milieu d'un bleu noir violacé. Il y avait de nombreuses coupures sur son visage et ses mains, quelques-unes saignant toujours et il se déplaçait avec précaution, ce qui faisait suspecter à Harry qu'il devait avoir des côtes cassées. Il était évident qu'il venait juste de rentrer à la maison, une noire et épaisse cape de voyage pendait sur le dossier de sa chaise et une musette assez large pour transporter plusieurs petits enfants était appuyée contre le mur attenant à la porte.


Hagrid lui-même, deux fois la taille d'un homme normal, était maintenant en train de clopiner jusqu'au feu afin d'y poser une bouilloire de cuivre.

'Que t'es t'il arrivé ?' demanda Harry, pendant que Crokdur dansait autour d'eux essayant de leur lécher le visage

'Je vous l'ai dit, rien', dit Hagrid fermement, 'vous en voulez une petite tasse ?'

'Je t'en prie, ' dit Ron, 'tu es dans un sacré état !'

'Je vous dit que je vais bien’, dit Hagrid, se redressant et se tournant pour leur sourire à tous, mais grimaçant 'mince, c'est bon de vous revoir tous les trois - vous avez passé un bon été hein ?'

'Hagrid tu as été attaqué!'Dit Ron.

'Pour la dernière fois ce n'est rien!' dit Hagrid d'un ton ferme

'Dirais-tu que ce n'est rien si l'un d'entre nous arrivait avec une tête pareille ?' demanda Ron

'tu devrais voir Mme Pomfrey Hagrid dit Hermione avec inquiétude, certaines de ces coupures paraissent vilaines

'Je m'en arrange d'accord? Dit Harry de manière définitive il marcha jusqu'à l'énorme table de bois qui se trouvait au milieu de sa cabane et écarta d'un coup sec une serviette à thé qui y était étendue; en dessous se trouvait un steak cru, sanglant, verdâtre plus large qu'un pneu de taille moyenne

' tu ne vas pas manger ça n'est ce pas Hagrid? ' Dit Ron, se penchant pour jeter un coup d'oeil de plus près ' il semble empoisonné'

'c'est supposé ressembler à ça, c'est de la viande de dragon' dit Hagrid ' et je ne l'ai pas prise pour la manger il ramassa le steak et l'appuya contre le coté gauche de sa figure.

Du sang vert s'écoula goutte à goutte dans sa barbe et il émit un doux soupir de satisfaction

'C'est mieux. Ca aide pour les brûlures vous savez'

'Alors vas-tu nous dire ce qui t'est arrivé ?' Demanda Harry.

'Je ne peux pas Harry. C'est top secret.'

'Les géants t'ont frappé n'est ce pas Hagrid ? Demanda Hermione calmement.

Les doigts de Hagrid glissèrent du steak de dragon et il dégringola en faisant floc sur sa poitrine

'Géants?' Dit Hagrid, rattrapant le steak avant qu'il atteigne sa ceinture et remettant contre sa figure, 'qui a dit quoi que ce soit à propos de géants ? A qui avez vous parlé ?

Qui vous a dit ce que j'ai - qui a dit que j'avais été eh ?'

'Nous avions deviné' dit Hermione en s'excusant

'Ah oui vous aviez? Dit Hagrid, l'examinant sévèrement avec l'oeil qui n'était pas caché par le steak

'C'était un peu. Évident' dit Ron. Harry approuva

Hagrid les fixa du regard, puis renifla, jeta le steak sur la table et marcha jusqu'a la bouilloire qui sifflait à présent.

'Je n'ai jamais connu de gamins comme vous trois qui en savait plus qu'ils ne devraient'

murmura t'il, aspergeant d'eau

bouillante trois de ses seaux en forme de mug. ' Et je ne vous complimente pas non plus. Fouineur, on pourrait dire, se mêlant de ce qui ne les regarde pas' mais sa barbe tremblait

'Alors tu as été cherché les géants ? dit Harry, souriant en s'asseyant à table Hagrid plaça du thé en face de chacun d'eux; s'assit, rattrapa son steak et se le jeta de nouveau sur la figure.


'Oui ok' grommela t'il 'c'est ce que j'ai fait'

'et tu les a trouvés ?' dit Hermione

'eh bien ils ne sont pas durs a trouver pour être honnête, dit Hagrid, - ils sont plutôt grands, vous voyez'

'ou sont ils ? dit Ron

'montagnes' dit Hagrid peu loquace

'alors pourquoi les modus ?'

'ils les trouvent' dit Harry sombrement 'seulement leurs morts sont toujours imputées à des accidents de montagne'

il ajusta son steak pour qu'il couvre le pire de son bleu

'allez Hagrid, dit nous ce que tu a fait!'Dit Ron dit nous comment ça fait d'être attaqué par des géants et Harry te dira ce que ça fait d'être attaque par des détraqueurs'

Hagrid s'étouffa dans son mug et laissa tomber son steak en même temps, une Grande quantité de crachat, thé et sang de dragon aspergea la table comme Hagrid toussait et s'étranglait et le steak glissa et tomba en un doux splof sur le sol

'qu'est ce que vous voulez dire par attaqué par les détraqueurs ? Gronda Hagrid ?

Tu ne savais pas ? demanda Hermione les yeux grands ouverts

'Je ne sais rien de ce qui est arrivé depuis que je suis parti, j'étais en mission secrète, je ne voulais pas de hiboux me suivant le long du chemin - fichus détraqueurs ! Vous n'êtes pas sérieux ?

'Si je le suis, ils se sont montrés dans little wingings et ont attaqué mon cousin et moi et ensuite le ministère de la magie m'a expulsé

'QUOI?'

'et j'ai eu à subir une audience et tout çà mais dis nous à propos des géants d'abord'

'Tu a été expulsé!'

'Parle nous de ton été et je te parlerai du mien'

Hagrid lui porta un regard attentif au moyen de son unique oeil, Harry lui répondit avec une expression de résolution innocente sur le visage

'bon d'accord' dit Hagrid d'une voie résignée

il se pencha et tira le steak de dragon hors de la bouche de Crokdur

' oh Hagrid ne fais pas ça ce n'est pas hygiénique' commença Hermione, mais Hagrid avait déjà remis la viande sur son oeil gonflé

il prit une autre gorgée de thé pour se donner du courage puis dit ' bien nous sommes partis juste après la fin des classes

'madame maxime est venue avec toi alors ? Coupa Hermione

'oui c'est vrai' dit Hagrid et une expression plus douce apparut sur les quelques centimètres de son visage qui n'étaient pas masqués par sa barbe ou son steak vert

'oui c'était juste nous deux. Et je vais vous dire elle n'a pas peur d'être ébouriffée olympe. Oui, c'est une belle femme bien habillée et sachant ou nous allions je me demandais comment elle allait se sentir a propos de grimper sur des rochers, dormir dans des caves et le reste mais elle ne s'est pas plainte une seule fois tu savais ou tu allais ? Tu savais où étaient les géants ? Répéta Harry

'eh bien Dumbledore le savait et il nous l'a dit' dit Hagrid

'ils sont cachés? Demanda Ron 'c'est un secret où ils sont?

'Pas vraiment dit Hagrid, secouant sa tête en bataille c'est juste que le plupart des sorciers se fichent de savoir où ils sont tant qu'ils sont loin d'eux. Mais il est difficile d'arriver où ils sont (pour les humains en tous cas) alors nous avions besoin des instructions de Dumbledore.

ça nous a pris un mois pour y aller un mois ? dit Ron, comme s'il n'avait jamais entendu parler d'un voyage durant un temps aussi longuement ridicule mais pourquoi ne pouviez vous pas attraper un porteloin ou quelque chose ?

Il y avait une étrange expression dans l'œil valide d'Hagrid comme il examinait Ron, presque de pitié

'nous sommes surveillés Ron' grogna t'il

'que veux tu dire?'

Tu ne comprends pas,' dit Hagrid. Le ministère garde un oeil sur Dumbledore et quiconque qu'ils estiment ligué avec lui et

'nous savons cela ' dit Harry rapidement impatient à l'idée d'entendre la suite de l'histoire d'Hagrid

'nous savons a propos du ministère de la magie surveillant Dumbledore'

'alors vous ne pouviez pas utiliser la magie pour y aller? Demanda Ron semblant abasourdi ' vous avez agis comme des modus tout le chemin ?

Eh bien pas exactement tout le chemin, dit Hagrid prudemment 'nous devions juste faire attention car olympe et moi sortons un peu du lot

Ron fit un bruit étouffé entre le Ronflement et le reniflement et pris à la hâte une gorgée de thé

'ainsi nous ne sommes pas difficiles à suivre. Nous prétendions aller en vacances alors nous sommes passés par la France puis nous avons fait comme si nous allions à l'école d'olympe car nous savions que nous étions filés par quelqu'un du ministère. Nous devions ralentir car nous ne sommes pas supposés utiliser la magie et nous savions que le ministère cherchait une raison pour nous arrêter. Mais nous sommes arrivés à échapper à l'imbécile qui nous suivait vers Dee jhon ---

'ooooh, Dijon ? dit Hermione excitée, 'j'y suis allée en vacances, as tu vu ----?

Elle se tut quand elle vit la tête de Ron

'nous avons tenté un peu de magie après ça et ce n'était pas un mauvais voyage. Nous sommes tombés sur un couple de trolls fous à la frontière de la Pologne et j'ai eu un petit différend avec un vampire dans un pub de Minsk, mais à part ça sa n'aurait pas pu être plus tranquille'

' et puis nous avons atteint l'endroit, et nous avons commencé à cheminer à travers les montagnes, cherchant des signes des

géants, nous devions laisser tomber la magie en nous approchant d'eux , en partie car ils n'aiment pas les sorciers et nous ne voulions pas qu'ils nous retirent leur soutien trop tôt, et en partie aussi car Dumbledore nous avait averti que tu sais qui était déterminé à rallier les géants. Il a dit que c'était étrange qu'il ne leur ait pas déjà envoyé un messager et de faire attention à nous comme nous approchions plus près au cas ou des mange morts seraient autour

Hagrid fit une pause et pris une longue rasade de thé

'continue' dit Harry avec insistance

'nous les avons trouvés' dit carrément Hagrid. ' Nous sommes arrivés sur une crête une nuit et ils étaient étendus en dessous de nous. De petits feux brûlaient en dessous d'une ombre énorme c'était comme de regarder de petits morceaux de la montagne bouger

' quelle taille faisaient ils ? demanda Ron en chuchotant

'environ 6 mètres' dit Hagrid 'blasé', certains sont plus gros que les autres, peut être 7.5métres

'et combien y en avait il là ? demanda Harry

'j'en ai compté 70 ou 80' dit Hagrid

'c'est tout ?' dit Hermione

'ouais' dit Hagrid tristement, 'il en reste 80, et il y en avait des tas avant, il devait y avoir une centaine de tribus différentes dans le monde mais ils ont commencé à disparaître depuis longtemps. Les sorciers en ont tué quelques-uns, mais pour la plupart ils se sont entre-tués et maintenant ils meurent plus vite que jamais. Ils ne sont pas faits pour vivre groupés ensemble.

Dumbledore dit que c'est notre faute, ce sont les sorciers qui les ont forcés à partir et à vivre à bonne distance de nous, et ils n'avaient d'autre choix que de se soutenir pour leur propre protection' alors tu les a rencontrés et quoi?'

'Eh bien nous avons attendu le matin, nous ne voulions pas nous faufiler furtivement vers eux dans le noir pour notre propre sécurité dit Hagrid. Vers 3 heures du matin ils s'endormirent où ils étaient assis. Nous n'avons pas osé dormir. D'une part nous voulions être surs qu'aucun ne se réveille et vienne jusqu'à nous et d'autre part les Ronflements étaient incroyables. Ils ont causé une avalanche au matin.

' en tous cas, une fois le jour arrivé, nous sommes descendus le savoir'

'Juste comme ça? Dit Ron, frappé d'effroi 'vous avez juste marché droit dans un camp de géants

'Eh bien Dumbledore nous avait dit comment faire, dit Hagrid ' donner au gurg des présents, montrer du respect vous savez'

'Donner des présents à quoi? Demanda Harry.

'Oh le gurg signifie le chef'

'Comment pouvait tu dire lequel était le chef ? demanda Ron

' Harry grommela d'amusement'

'Pas de problème' dit il ' il était le plus grand, le plus laid et le plus fainéant assis là', attendant que les autres lui amènent à manger, Des chèvres mortes et autres choses comme ça. Son nom était Karkus. Je lui donnerai 6m60, 6m90 et le poids de deux éléphants males. La peau comme celle d'un rhinocéros

'Et vous avez juste marché jusqu'à lui ? 'Dit Hermione à bout de souffle.

Eh bien quand il était étendu dans la vallée. Ils étaient dans un creux entre quatre assez grosse montagnes vous voyez, à coté d'un lac de montagne et Karkus était étendu à coté du lac, hurlant après les autres pour qu'ils le nourrisse lui et sa femme.

Olympe et moi sommes descendus des montagnes'

'Mais ils n'ont pas essayé de vous tuer dès qu'ils vous ont vus? Demanda Ron d'un air incrédule

'C'était définitivement dans l'esprit de certains' dit Hagrid haussant les épaules mais nous avons fait ce que Dumbledore nous avait dit, c'est à dire de tendre nos présents haut et de garder nos yeux sur le grug et d'ignorer les autres. Alors c'est ce que nous avons fait.

Et les autres devinrent calmes et nous regardèrent passer comme nous avancions droit aux pieds de Karkus et déposions nos présents à ses pieds en face de lui

'Qu'est ce qu'on peut offrir à un géant ? demanda Ron 'amanger?'

Non il se nourrit tout seul, dit Hagrid. Nous lui avons apporté de la magie. Les géants aiment la magie quand ce n'est pas contre eux. En tous cas ce premier jour nous leur avons apporté une branche de feu de Gubraithian'

Hermione dit 'waw' doucement mais Harry et Ron froncèrent les sourcils tous les deux, perplexes.

'Une branche de?'

'Feu éternel dit Hermione agacée ' vous devriez le savoir depuis le temps. le professeur flitwick l'a mentionné au moins deux

fois dans son cours'

'bien de toute façon, dit Hagrid rapidement, intervenant avant que Ron ait eu le temps de répondre, Dumbledore avait enchanté cette branche pour qu'elle brûle éternellement, ce qui n'est pas à la portée de tous les sorciers, et donc je l'ai posée dans la neige devant Karkus et j'ai dit ; "un présent pour le grug de la part d'Albus Dumbledore qui vous envoie ses salutations respectueuses"'

'et qu'a répondu Karkus ?' demanda Harry

' rien' dit Hagrid. Il ne parlait pas anglais

'tu plaisantes'

'aucune importance, dit Hagrid imperturbable 'Dumbledore nous avait averti que ça pouvait arriver. Karkus en connaissait assez pour nous'

'Et a t'il aimé le présent? demanda Ron

'Oh oui, il devint comme fou quand il comprit ce que c'était' dit Hagrid, tournant son steak de dragon de l'autre coté pour presser la face la plus froide sur son oeil gonflé.

Très content. Alors quand j'ai dit Albus Dumbledore demande au gurg de parler avec ses messagers quand ils reviendront demain avec un autre présent'

'pourquoi ne pouviez vous pas leur parler ce jour là? Demanda Hermione Dumbledore voulait que nous prenions notre temps, dit Hagrid. Leur montrer que nous tenions nos promesses. Nous reviendrons demain avec un autre présent, et donc nous sommes revenus avec un autre présent. Pour donner une bonne impression vous voyez ? Et leur donner du temps pour tester notre premier cadeau et trouver s'il était acceptable, leur donnant envie d'en avoir plus.

Dans tous les cas, les géants comme Karkus, surchargez-les d'informations et ils vous tueront juste pour simplifier les choses. Alors nous nous sommes inclinés hors du chemin et sommes partis et nous sommes trouvés une jolie petite cave pour passer cette nuit et le matin suivant nous sommes revenus et cette fois nous avons trouvé Karkus assis nous attendant l'air avide

Et vous lui avez parlé ?


Oh oui, d'abord nous lui avons présenté un joli casque de combat de gobelin indestructible vous savez et puis nous nous sommes assis et nous avons parlé Qu'a t'il dit?

Pas grand chose dit Hagrid, écouté principalement. Mais il y avait de bons signes. Il avait entendu parler de Dumbledore,

entendu qu'il plaidait contre l'assassinat des derniers géants d'Angleterre. Karkus semblait très intéressé par ce que Dumbledore avait à dire. Et quelques autres, particulièrement ceux qui parlaient un peu anglais, se sont réunis autour et ont écouté aussi. Nous avions de l'espoir lorsque nous sommes partis ce jour là. Nous avons promis de revenir le lendemain matin avec un autre cadeau.., mais cette nuit là tout alla mal.

'Que veux tu dire?' dit Ron vivement

'bien comme j'ai dit ils ne sont pas faits pour vivre ensemble les géants, dit Hagrid tristement. Pas en groupe importants comme ça. Ils ne peuvent pas s'empêcher de s'entre-tuer chaque semaine Les hommes s'affrontent et les femmes aussi, les rescapés des anciennes tribus s'affrontent entre eux et ça même sans querelle à propos de la nourriture ou des meilleurs feux ou des endroits où ils dorment. On pourrait penser que voir leur race s'éteindre les ferait réfléchir mais.'Hagrid soupira profondément.

Cette nuit là un combat commença, nous avons vu ça depuis l'entrée de notre cave en regardant en bas dans la vallée. Ça a continué pendant des heures, vous n'imagineriez pas le bruit. Et quand le soleil se leva, la neige était écarlate et sa tête enfoncée dans le lac'

'La tête de qui?' hoqueta Hermione

'Celle de Karkus' dit Hagrid lourdement. Il y avait un nouveau gurg, Gologomath.

Soupira t'il profondément. 'eh bien nous n'avions pas prévu qu'il y aurait un nouveau gurg deux jours après que nous ayons établi un contact chaleureux avec le premier, et nous avions un curieux sentiment que Golgomath ne serait pas aussi heureux de nous entendre, mais nous devions essayer

'vous êtes descendus lui parler? Dit Ron d'un air incrédule. 'Après l'avoir regardé arracher la tête d'un autre géant ?'

bien sur que nous l'avons fait, dit Hagrid, nous n'avions pas fait tout ce chemin pour abandonner après deux jours ! Nous sommes descendus avec le prochain cadeau que nous avions prévu de donner à Karkus.'

' j'ai su que c'était inutile avant d'avoir ouvert la bouche. Il était assis là, portant le casque de Karkus, nous regardant de biais comme nous nous approchions. Il était fort, l'un des plus grands là bas, chevelure noire, les dents de la même couleur et un collier d'os humains apparemment pour certains d'entre eux. Bien je l'ai regardé, j'ai tendu un grand rouleau de peau de dragon devant moi et dit : "un présent pour le gurg des géants - 'tout de suite après je me suis retrouvé pendu en bas par les pieds dans les airs, deux de ses compagnons m'avait attrapé'

Hermione se couvrit la bouche des mains

'Comment t'en es tu sorti ?' demanda Harry

'Je n'aurai pas pu si olympe n'avait pas été là' dit Hagrid' elle a sorti sa baguette magique et exécuté un des plus rapides sorts que j'ai jamais vu! Elle a touché les deux qui me tenaient avec un sort de conjonctivite et ils m'ont lâché immédiatement mais nous étions en danger alors, car nous avions utilisé la magie contre eux et c'est ce que les géants détestent chez les magiciens. Nous devions nous enfuir à toutes jambes et nous savions que nous ne pourrions plus venir dans le camp'

'mince Hagrid' dit Ron tranquillement

'Alors pourquoi est ce que ça vous a pris autant de temps pour revenir si vous étiez la bas seulement trois jours ?' Demanda Hermione nous ne sommes pas partis au bout de trois jours ! Dit hagrid indigné. Dumbledore comptait sur nous!

'Mais tu a dit qu'il n'y avait aucun moyen de revenir!

Pas le jour, nous ne pouvions pas non. Nous devions réfléchir un peu. Nous avons passé deux jours étendu dans la cave à regarder. Et ce que nous avons vu n'était pas bon''

'A t'il fait sauter d'autres têtes ? Demanda Hermione dégoûtée.

'non j'aurai aimé qu'il le fasse'

'Que veux tu dire?'

'je veux dire que nous avons bientôt découvert qu'ils n'étaient pas contre tous les sorciers, juste contre nous'

'Mange morts?' dit Harry rapidement

'Ouais' dit Hagrid sombrement. 'Deux d'entre eux le visitait chaque jour, amenant des cadeaux au gurg qui ne les suspendaient pas à l'envers, eux.

'Comment savais-tu que c'était des mange morts? Demanda Ron

'Car j'ai reconnu l'un d'entre eux gronda Hagrid, Macnair vous vous souvenez de lui? Le type qu'ils avaient envoyé pour tuer Buck ? Un maniaque. Il aime tuer autant que Golgomath pas étonnant qu'ils s'entendent bien

'Alors Macnair a persuadé les géants de se joindre à tu sais qui ? Dit Hermione désespérée.

'Ne montes pas sur tes grands chevaux, je n'ai pas encore fini mon histoire! Dit Hagrid indigné, qui considérant qu'il n'aurait rien voulu leur dire du tout en premier lieu, semblait maintenant y prendre plaisir. 'Moi et olympe en avons parlé et nous sommes tombés d'accord, que le chef semble préférer tu sais qui ne signifiait pas que tous le préférerait. Nous devions essayer de persuader certains autres, ceux qui n'avaient pas voulu de Golgomath comme gurg

'Comment pouviez vous savoir lesquels c'étaient ? Demanda Ron

'Eh bien c'étaient ceux qui avaient été réduits en bouillie' dit Hagrid patiemment. Ceux qui avaient un peu de bon sens se tenaient en dehors du chemin de Golgomath, se cachant dans les caves autour comme nous. Alors nous avons décidé que nous allions fureter dans les caves la nuit et voir si nous ne pouvions pas en persuader quelques-uns uns.

'Vous avez fureter dans des caves sombres à la recherche de géants ? dit Ron avec une voix respectueuse

'Bien, ce n'étaient pas les géants qui nous inquiétaient le plus' dit Hagrid. Nous étions plus concernés par les mangemorts.

Dumbledore nous avait prévenu que nous ne devions pas nous embrouiller avec les mange morts si nous ne pouvions pas

l'éviter, et le problème était qu'ils savaient que nous n'étions pas loin. ' je soupçonne Golgomath de leur avoir dit à notre propos. La nuit, quand les géants dormaient et que nous voulions ramper entre les caves, Macnair et l'autre se faufilaient autour des montagnes, nous cherchant. J'ai eu du mal à empêcher olympe de leur sauter dessus dit Hagrid, les coins de sa bouche soulevant sa barbe broussailleuse.

'Elle voulait les attaquer'. C’est quelque chose quand elle est énervée olympe.

Enflammée vous savez?? Je suppose que c'est son coté français.’

Hagrid regarda fixement le feu les yeux embués. Harry lui laissa 30 secondes de souvenirs avant de racler sa gorge fortement.

'Alors qu'est il arrivé? Avez vous approchés des autres géants?'

'Quoi? Oh. Oh ouais, nous l'avons fait. Ouais, la troisième nuit après que Karkus soit tué nous avons rampé hors de la cave où nous nous cachions et nous sommes dirigés vers quelques caves, en gardant nos yeux ouverts pour les mange morts et au bout de la sixième, nos avons trouvé trois géants cachés

'la cave devait être pleine' dit Ron

'il n'y avait plus de place pour y glisser un Kneazle,' dit Hagrid

'Ils ne vous ont pas attaqués quand ils vous ont vus?' Demanda Hermione.

'Ils l'auraient probablement fait s'ils avaient été en condition' dit Hagrid,' mais ils étaient méchamment blessés, tous les trois, Golgomath et sa bande les avait battus jusqu'à l'inconscience; Ils se s'étaient réveillés et avaient rampé jusqu'au premier refuge qu'ils aient trouvés. En tous cas, l'un d'eux parlait un peu anglais et il a traduit pour les autres, et ce que j'ai dit n'a pas semblé recevoir un mauvais écho. Alors nous sommes revenus souvent visiter les blessés. J’estime que nous en avions convaincus 6 ou 7 à un moment

'6 ou 7? Dit Ron. 'Eh bien ce n'est pas si mauvais - vont ils venir ici et commencer à combattre tu sais qui avec nous ?

Mais Hermione dit 'que veux tu dire par a un moment Hagrid?'

Hagrid la regarda tristement

'la bande a Golgomath a fait un raid dans les caves, ceux qui ont survécu ne voulaient plus avoir affaire à nous après ça

'alors. Alors il n'y a aucun géant qui vienne? Dit Ron, semblant désappointé

'aucun' dit Hagrid, poussant un profond soupir comme il tournait son steak et en appuyait la face la plus froide sur sa figure. 'Mais nous avons fait ce que nous voulions faire, nous leur avons apporté le message de Dumbledore et certains d'entre eux l'ont entendu et j'espère que certains s'en souviendRont. Juste, peut être que ceux qui ne veulent pas rester autour de Golgomath partiront hors des montagnes, et il y a une chance pour qu'ils se souviennent que Dumbledore fut amical avec eux. Peut être qu'ils viendront.

La neige recouvrait le rebord de la fenêtre maintenant. Harry prit conscience que ses genoux étaient trempés à travers sa robe de sorcier. Crokdur bavait, la tête sur les genoux d'Harry

'Hagrid?' dit Hermione calmement après un moment.

'Mm?'

'As tu.. Y avait il le moindre signe de. As tu entendu quoique ce soit à propos de. De. Ta mère pendant que tu étais là bas ?'

L'œil ouvert d'Hagrid se posa sur elle et Hermione parue plutôt effrayée.


'Je suis désolée. Je. Oublie ça -'

'morte, grogna Hagrid, morte il y a des années m'ont ils dit

'oh. Je suis. Je suis désolée ' dit Hermione d'une toute petite voix Hagrid haussa ses épaules massives

'pas besoin' dit il brièvement. 'Je ne me souviens pas beaucoup d'elle. Ce n'était pas une bonne mère

Ils étaient silencieux une fois encore. Hermione jeta de nerveux coups d'œil à Harry et Ron, souhaitant clairement qu'ils parlent.

'mais tu ne nous a toujours pas expliqué comment tu t'es mis dans cet état, Hagrid' dit Ron, montrant la tête ensanglantée d'Hagrid

ou pourquoi tu es de retour autant en retard,' dit Harry' Sirius a dit que madame maxime est revenue il y a longtemps

'Qui t'a attaqué? Dit Ron

'je n'ai pas été attaqué! Dit Hagrid catégoriquement. 'J'ai-'

mais le reste de ses mots furent noyés dans un soudain martèlement à la porte.

Hermione eut un hoquet, son mug s'échappa

de ses doigts et s'écrasa sur le sol. Crokdur glapit. Tous les 4 fixèrent leurs yeux sur la fenêtre à coté de la porte d'entrée.

L'ombre de quelqu'un de petit et épais se dessina à travers les fins rideaux

'c'est elle' murmura Ron

'Venez la dessous! Dit Harry rapidement, attrapant la cape d'invisibilité, il l'enroula autour de lui-même et d'Hermione pendant que Ron se précipitait autour de la table et plongeait sous la cape également. Serrés les uns contre les autres, ils reculèrent dans un coin. Crokdur aboyait comme un fou à la porte. Hagrid semblait complètement embrouillé

'Hagrid, cache nos mugs!'

Hagrid attrapa ceux d'Harry et de Ron et les cacha sous un coussin dans le panier de Crokdur Crokdur était maintenant en train de sauter sur la porte, Hagrid le poussa en dehors du chemin avec son pied et ouvrit Le professeur Umbridge se tenait dans l'entrée, portant sa cape de tweed verte et un chapeau assorti avec des cache oreilles.

Les lèvres pincées, elle s'appuya en arrière pour pouvoir voir la figure d'Hagrid, elle atteignait à peine son nombril.

'Alors,' articula t'elle lentement et très fort comme si elle parlait à quelqu'un de sourd.

Vous êtes Hagrid n'est ce pas ?'Sans attendre de réponse elle se mit à déambuler dans la pièce, ses yeux protubérants cherchant dans toutes les directions.

'Vas t'en' dit-elle d'une voix claquante, agitant son sac à Crokdur, qui lui sautait dessus en essayant de lui lécher le visage.

'Euh, je ne veux pas être grossier' dit Hagrid, la fixant des yeux, 'mais qui diable êtes vous'

'mon nom est Dolorès Umbridge'

Ses yeux parcoururent la cabane. Deux fois elle regarda fixement directement dans le coin Harry se tenait, pris en sandwich entre Ron et Hermione

'Dolorès Umbridge? Dit Hagrid, semblant complètement confus. Je pensais que vous travailliez au ministère - ne travaillez-vous pas avec Fudge ?

J’étais la sous secrétaire du ministre oui' dit Umbridge, maintenant détaillant la cabane, notant chaque petit détail à l'intérieur, de la besace contre le mur au manteau de voyage abandonné. Je suis maintenant le professeur de défense contre les forces du mal

'c'est brave de votre part, dit Hagrid, beaucoup aurait refusé de prendre ce poste.

'et haute inquisitrice de Poudlard ne donnant pas l'impression de l'avoir entendu parler

'qu'est ce que c'est ? demanda Hagrid, fronçant les sourcils

'précisément ce que j'allais demander ' dit Umbridge, montrant les tessons de porcelaine sur le sol qui avaient été le mug d'Hermione

'oh dit Hagrid, avec un regard inutile vers le coin où Harry, Ron et Hermione restaient cachés, 'oh, c'était . C’était Crokdur. Il a cassé une tasse. Alors j'ai du utiliser celui là à la place. Hagrid montra le mug avec lequel il venait de boire, une main toujours serrée sur son steak de dragon pressé sur son oeil. Umbridge lui fit face, étudiant chaque détail de son apparence à la place de la cabine.

'j'ai entendu des voix' dit elle tranquillement

'j'étais en train de parler à Crokdur vaillamment

'Et il vous répondait ?'

' eh bien a sa manière' dit Hagrid, incommodé. Quelquefois on dirait que Crokdur est presque assez humain

Il y a trois paires d'empreintes dans la neige menant de la porte du château à votre cabane' dit Umbridge

Hermione hoqueta, Harry plaqua sa main sur sa bouche. Heureusement Crokdur respirait l'ourlet de la robe du professeur

Umbridge et elle ne sembla pas avoir entendu

'eh bien je viens juste de revenir, dit Hagrid approchant son énorme main de sa musette,

'peut être que quelqu'un est passé plus tôt et m'a manqué'

il n'y a pas de trace de pas partant de la porte de votre cabane.

Eh bien je. je ne sais pas comment ça se fait. 'Dit Hagrid tirant nerveusement sur sa barbe et regardant encore vers le coin

où Harry, Ron et Hermione se tenaient, comme cherchant de l'aide.'

Umbridge tourna en Rond sur toute la surface de la cabane, regardant autour d'elle avec attention. Elle se pencha et observa sous le lit. Elle ouvrît les placards d'Hagrid. Elle passa à moins de 5 cm de l'endroit où Harry, Ron et Hermione se tenaient pressés contre le mur, Harry sentit vraiment son estomac se dénouer à mesure qu'elle s'en allait.

Après avoir regardé prudemment dans l'énorme chaudron qu'Hagrid utilisait pour cuisiner, elle fit encore un autre tour et dit, 'que vous est il arrivé ? Comment avez vous reçu toutes ces blessures ?' Hagrid enleva rapidement le steak de dragon de sa figure, ce qui d'après Harry, était une erreur, car le bleu noir et violacé autour de son oeil était maintenant clairement visible, sans oublier la

grande quantité de sang coagulé sur sa figure.

'Oh j'ai eu une sorte d'accident' dit il sans conviction.

'Quelle sorte d'accident?'

'Je. Je suis tombé'


' vous êtes. Tombé' répéta t'elle froidement


'oui c'est exact. D'un … du balai d'un de mes amis. Je ne vole pas moi même. Bien regardez ma taille, je ne connais pas de balai qui puisse me porter.

Un ami à moi élève des chevaux Abraxan, je ne sais pas si vous en avez déjà vu, belles bêtes, ailées, vous savez, j'en ai chevauché un une fois et c'était -'

' Où étiez vous? Demanda Umbridge, coupant fraîchement le bavardage d'Hagrid

'Où j'ai ?'

'Été oui, dit elle. La saison d'études a commencé il y a deux mois. Un autre professeur a du assurer vos cours. Aucun de vos collègues n'a été capable de me donner d'information sur l'endroit où vous vous trouviez. Vous n'avez pas laissé d'adresse. Où avez vous été ?'

'il y eut une pause pendant laquelle Hagrid la fixa de son œil récemment découvert Harry pouvait presque entendre son cerveau travailler avec acharnement

'J’étais parti pour ma santé' dit-il

'Pour votre santé' répéta le professer Umbridge. Ses yeux explorant la figure d'Hagrid, décolorée et enflée, le sang de dragon coulant goutte à goutte doucement et silencieusement sur son gilet. 'Je vois'

'Ouais' dit Hagrid ' un peu d'air frais vous voyez -

' Oui en tant que garde chasse de l'air frais doit être difficile à se procurer' dit Umbridge doucement

' la petite partie de la tête d'Hagrid qui n'était ni noire ni violette rougit'

' Eh bien changement de paysage, vous savez'

'Paysages montagneux? Dit Umbridge rapidement

'Elle sait pensa Harry désespéré

'Montagnes ? Répéta Hagrid, réfléchit clairement à toute vitesse. Non, sud de la France pour moi. Un peu de soleil et… et de mer.

'Vraiment?' dit Umbridge. 'Vous n'avez pas beaucoup de bronzage

'Euh … eh bien… j'ai la peau sensible' dit Hagrid, tentant un sourire conciliant'

Harry nota que deux de ses dents étaient tombées.

Umbridge le regarda froidement, son sourire s'évanouissant. Elle remonta son sac à main un peu plus haut sur son coude et dit 'j'informerais, bien sur, le ministère de votre retour tardif'

'Bien' dit Hagrid, acquiescent d'un signe de tête

'Vous devriez savoir également qu'en tant que grand inquisiteur il est de mon malheureux mais nécessaire devoir d'inspecter mes camarades professeurs. Ainsi j'ose dire que nous nous reverrons bientôt'

Elle se tourna brusquement et marcha jusqu'à la porte.

'Vous nous inspectez? Répéta Hagrid d'un air incompréhensif, la regardant partir.

'Oh oui' dit Umbridge doucement, le regardant en retour avec la main sur la poignée de la porte. Le ministère est déterminé à éliminer les professeurs ne convenant pas, Hagrid.

Bonne nuit.'

Elle partit, fermant la porte derrière elle


Avec un claquement sec. Harry allait rejeter la cape d'invisibilité mais Hermione lui attrapa le poignet

'Pas encore' lui souffla t'elle a l'oreille. Elle n'est peut être pas encore partie Hagrid semblait penser la même chose, il marcha d'un pas lourd à travers la pièce et tira le rideau de 2.5 cm à peu près.

'Elle repart au château, dit il à vois basse. 'Mince… inspecter les gens, vraiment?'

Oui dit Harry, ôtant la cape, Trelawney est déjà mise à l'épreuve

'Hum. Quelles sortes de chose as tu prévu de faire avec nous en classe Hagrid?

Demanda Hermione

'oh ne vous inquiétez pas à propos de ça, j'ai de très bonnes leçons prévues' dit Hagrid avec enthousiasme, reprenant son steak de dragon de la table et le remettant sur son œil.

J'ai prévu quelques créatures pour votre année de buse, vous verrez elles ont quelque chose de vraiment spécial

'erm.. Spécial dans quel sens? Tanta Hermione

'Je ne le dis pas' dit Hagrid joyeusement. Je ne veux pas vous gâcher la surprise.

'Regarde Hagrid, dit Hermione avec insistance oubliant toute précaution, le professeur Umbridge ne sera pas contente du tout si tu amènes en classe quelque chose de trop dangereux

Dangereux? Dit Hagrid semblant stupéfié. Ne soyez pas idiots je ne vous donnerais pas quelque chose de dangereux! Je veux dire, eh bien, ils savent se contenir

'Hagrid, tu dois passer l'inspection d'Umbridge, et pour cela, ce serait vraiment mieux si elle te voyait noue enseigner comment s'occuper des Porlocks, comment faire la différence entre les Knarls et les hérissons, des choses comme ça! Dit Hermione sincèrement

Mais ce n'est pas très intéressant Hermione, dit Hagrid. Ce que j'ai est beaucoup plus impressionnant. Je les ais entraînés pendant des années Je pense avoir la seule horde domestiquée de grande Bretagne

'Hagrid… s'il te plait…' dit Hermione, une trace de vrai désespoir dans la voix

'Umbridge cherche une excuse pour se débarrasser des professeurs qu'elle pense trop proches de Dumbledore. S'il te plait Hagrid apprends-nous quelque chose d'ennuyeux qui tombera probablement pour nos BUSE.

Mais Hagrid bailla pratiquement ouvertement et jeta un regard d'un seul œil de désir vers son vaste lit dans le coin

'Écoutez, ce fut une longue journée et il est tard, tapotant gentiment Hermione sur l'épaule, dont les genoux lâchèrent et qui cogna le sol avec un bruit mat

'Oh désolé -'

Il la remit debout par le haut de sa robe. 'Ecoutez, ne vous faites pas de soucis, je vous promets que j'ai de très bonnes choses prévues pour vos prochaines leçons maintenant que je suis de retour… vous devriez mieux rentrer au château, et n'oubliez pas d'effacer vos empreintes derrière vous!'

'je ne sais pas si tu l'a convaincu' dit Ron peu après avoir vérifié que la route était dégagée. Ils retournèrent au château à travers la neige qui s'épaississait, ne laissant pas de traces derrière eux grâce à un charme d'oblitération qu'Hermione exerçait pendant qu'ils marchaient


'Alors je reviendrais demain' dit elle déterminée

Jusqu’à faire le plan de ses leçons pour lui si je le dois. Je me fiche qu'elle vire Trelawney mais elle ne se débarrassera pas d'Hagrid!".


Chapitre 21 : l'œil du serpent

Hermione avançait avec difficulté jusqu'à la cabane d'Hagrid à travers 40 cm de neige ce dimanche matin

Harry et Ron auraient voulu venir avec elle, mais leurs montagnes de devoirs avaient encore atteint une hauteur alarmante, alors ils étaient restés à contre cœur dans la chambre commune, essayant d'ignorer les cris joyeux qui montaient jusque là depuis la cour dehors, où les élèves s'amusaient à patiner sur le lac gelé, à faire du toboggan, et, pire que tout, à envoyer des boules de neige en visant la tour de Gryffondor, touchant durement la fenêtre.

Oh! Beugla Ron, finalement perdant patience et collant sa tête à la fenêtre, je suis un préfet et si une boule de neige frappe encore une fois cette fenêtre - OUCH!

Il retira sa tête brusquement, sa figure couverte de neige

'Ce sont Fred et Georges ' dit-il amèrement, claquant la fenêtre derrière lui

'Cons…'

Hermione revint de chez Hagrid juste avant manger, grelottant légèrement, ses robes trempées jusqu'aux genoux.

'Alors?' dit Ron, levant la tête comme elle entrait. 'tu as planifié ses leçons pour lui?'

Eh bien j'ai essayé' dit elle lourdement, s'enfonçant dans une chair à coté d'Harry. Elle sortit sa baguette, lui imprima un petit mouvement compliqué et de l'air chaud en sortit du bout; elle la pointa ensuite vers ses robes, qui commencèrent à fumer en séchant. Il n'était même pas là quand je suis arrivée, j'ai frappé pendant au moins une demi heure.

A ce moment là il est arrivé, marchant d'un pas lourd, de la forêt.

Harry gémit. La forêt interdite regorgeait du genre de créatures à même de faire renvoyer Hagrid. 'Qu’est ce qu'il garde là? L'a t'il dit? Demanda t il.

Non dit Hermione misérablement. Il a dit qu'il voulait qu'ils soient une surprise. J'ai essayé d'expliquer à propos d'Umbridge, mais il ne comprenait pas. Il n'arrêtait pas de dire que personne de sensé ne préférerait étudier les Knarls que les chimères - oh je ne pense pas qu'il possède des chimères ajouta t'elle en réponse à l'air Choqué de Ron et Harry, 'mais ce n'est pas faute d'essayer, d'après ce qu'il a dit sur la difficulté de s'en procurer des œufs. Je ne sais pas combien de fois je lui ait dit qu'il ferait mieux de suivre le plan de Gobe Planche, je crois honnêtement qu'il n'a pas écouté la moitié de ce que j'ai dit

Il est d'une drôle d'humeur vous savez. Il ne veut toujours pas dire comment il a reçu ces blessures

La réapparition d'Hagrid à la table des professeurs le jour suivant ne fut pas accueillie avec beaucoup d'enthousiasme par tous les élèves. Certains comme Fred, Georges et Lee, rugirent de plaisir et se précipitèrent entre les bancs entre les tables de Gryffondor et Poursouffle pour serrer l'énorme main d'Hagrid, d'autres comme Parvati et Lavande, échangèrent des regards déprimés et secouèrent la tête. Harry savait que beaucoup d'entre eux préféraient les leçons du professeur Gobe Planche, et le pire était qu'une petite partie impartiale de lui-même savait qu'ils avaient de bonnes raisons.

L'idée de Gobe Planche d'une classe intéressante n'était pas celle où il y avait un risque pour quelqu'un de perdre sa tête

Ce fut avec une certaine appréhension qu'Harry, Ron et Hermione se dirigèrent vers chez Hagrid ce mardi, fortement enveloppés contre le froid. Harry était inquiet, non seulement à propos de ce qu'Hagrid pouvait avoir décidé de leur apprendre, mais aussi par rapport à comment le reste de la classe, particulièrement Malfoy et ses copains, réagiraient si Umbridge les regardait.

Pourtant, le haut inquisiteur n'était en vue nulle part à mesure qu'ils luttaient contre la neige en direction d'Hagrid, qui les attendait à l'orée de la forêt.

Il n'avait pas l'air rassurant, les bleus violets de samedi soir étaient maintenant nuancés de vert, de jaune et certaines de ses coupures semblaient toujours saigner. Harry ne pouvait pas comprendre ça. Hagrid avait-il été attaqué par une créature dont le venin empêchait les blessures qu'elle infligeait de guérir ? Comme pour compléter le tableau, Hagrid transportait ce qui ressemblait à une moitié de vache morte sur son épaule.

'Nous travaillons là-dedans aujourd'hui! Dit Hagrid aux élèves approchant, montrant les arbres sombres derrière lui de la tête.

'un peu plus protégé! De toute façon ils préfèrent le noir'

'qu'est ce qui préfère le noir ? Harry entendit dire Malfoy brusquement à Crabbe et Goyle, une trace de panique dans la voix. 'Qu'est ce qui préfère le noir - vous avez entendu ?'

'Harry se souvint de la seule autre fois ou Malfoy était entré dans la forêt jusque là, il n'avait pas été brave alors, non plus. Il se sourit à lui-même, après le match de Quidditch, tout ce qui pouvait gêner Malfoy était parfait pour lui.

'Prêts ? Dit Hagrid gaiement en regardant la classe autour de lui. ' Eh bien, j'avais gardé un voyage dans la forêt pour votre 5ème année. J'ai pensé que nous allions aller voir ces créatures dans leur habitat naturel. Maintenant, ce que nous allons étudier est très rare, je crois que je suis la seule personne en Grande Bretagne qui ait réussi à les dresser

'Et vous êtes sur qu'ils sont dressés n'est ce pas?' Dit Malfoy, la panique dans sa voix encore plus présente. 'Ce ne serait pas la première fois que vous apportez quelque Chose de sauvage en classe, n'est ce pas ?'

Les Serpentard murmurèrent leur agrément et quelques Gryffondor semblaient penser que Malfoy avait là un juste argument

'Bien sur qu'ils sont dressés' dit Hagrid, se renfrognant et hissant la vache morte un peu plus haut sur son épaule.

'Alors qu'est ce qui est arrivé à votre visage ? demanda Malfoy

'Mêle-toi de tes affaires! Dit Hagrid avec colère. Maintenant si vous avez fini de poser des questions stupides suivez-moi !'

il se tourna et marcha droit dans la forêt. Personne ne semblait très disposé à le suivre.

Harry jeta un regard vers Ron et Hermione, qui soupirèrent mais approuvèrent, et tous les trois se mirent en route derrière Hagrid, menant le reste de la classe Ils marchèrent pendant à peu près dix minutes jusqu'à ce qu'ils atteignent un endroit où les arbres étaient si serrés qu'il faisait aussi noir qu'au crépuscule et qu'il n'y avait pas de neige du tout sur le sol. Avec un grognement, Hagrid déposa sa demi vache sur le sol, recula et fit face à la classe, la plupart avançaient lentement d'arbre en arbre vers lui, observant autour nerveusement comme s'ils s'attendaient à être attaqués à tout moment

'Regroupez-vous, regroupez-vous' encouragea Hagrid. 'Maintenant ils vont être attirés par l'odeur de la viande mais je vais les appeler de toute façon, car ils aimeront savoir que c'est moi.

Il se tourna, secoua sa tête en bataille pour enlever ses cheveux de sa figure et poussa un étrange cri perçant qui résonna à travers les arbres noirs comme le cri d'un oiseau monstrueux. Personne ne rie: la plupart d'entre eux semblaient trop effrayés pour faire le moindre bruit. Hagrid poussa le cri perçant une nouvelle fois. Une minute passa pendant laquelle la classe continua d'observer nerveusement au-dessus de leurs épaules et autour des arbres pour apercevoir ce qui devait approcher Et alors, comme Hagrid secouait ses cheveux pour la troisième fois et déployait son énorme poitrine, Harry poussa Ron du coude et lui montra un espace noir entre deux sortes d'arbres noueux.

Une paire d'yeux blancs, sans expression et luisants devenait de plus en plus grande à travers l'obscurité et un moment plus tard, une tête ressemblant à celle d'un dragon, un cou et le corps squelettique d'un grand et noir cheval ailé émergea des ténèbres. Il examina la classe pendant quelques secondes, faisant siffler sa longue queue noire, puis pencha sa tête et commença à arracher la chair de la vache à l'aide de ses dents pointues.

Une grande vague de soulagement souleva Harry. Là au moins était la preuve qu'il n'avait pas imaginé ces créatures, qu'elles étaient réelles. Hagrid les connaissait aussi. Il regarda Ron avec insistance, mais Ron regardait toujours autour dans les arbres et après quelques secondes il murmura,'pourquoi Hagrid n'appelle t'il pas encore?'

La plupart du reste de la classe avaient des expressions aussi perplexes et nerveuses que celle de Ron et regardaient toujours partout ailleurs que le cheval qui se tenait à 30 cm d'eux

Il y avait seulement deux autres personnes qui semblaient les voir: un maigre Serpentard qui se tenait juste derrière Goyle regardait le cheval d'un air dégoûté, et Neville, dont les yeux suivaient la progression du balayage de la longue queue noire du cheval

'Oh, et en voila un autre! Dit Hagrid fièrement, comme un second cheval noir apparut d'entre les arbres sombres, repliant ses ailes semblables à du cuir plus près de son corps et plongea sa tête pour se rassasier de viande. 'Maintenant …. Levez les mains? Qui peut les voir ?

Incomparablement ravi de sentir qu'il allait au moins pouvoir comprendre le mystère de ces chevaux, Harry leva la main. Hagrid lui fit un signe de tête.

'Oui. Oui, je savais que tu en serait capable Harry' dit il sérieusement. 'Et toi aussi Neville, hein? Et -'

'Excusez-moi ' dit Malfoy ricanant, 'mais qu'est ce que nous sommes censés voir exactement ?'


Pour toute réponse Hagrid pointa le doigt à la carcasse de vache sur le sol. Toute la classe regarda intensément pendant quelques secondes, puis plusieurs personnes s'exclamèrent et Parvati poussa un cri perçant

Harry compris pourquoi. Des morceaux de chair s'ôtant tous seul des os et disparaissant dans l'air devaient sembler très étranges en fait.

'Qu'est ce qui fait ça ?' Demanda Parvati d'une voix terrifiée, disparaissant derrière l'arbre le plus proche. 'Qu'est ce qui la mange?'

Des théstrals dit Hagrid fièrement et Hermione fit un doux 'oh!' De compréhension près de l'épaule d'Harry. Poudlard en possède un troupeau entier ici. Maintenant qui sait

- ?

'Mais ils portent vraiment, vraiment malheur ! coupa Parvati, alarmée. Ils sont censés apporter toutes sortes de malheurs aux personnes qui les voient. Le professeur Trelawney me l'a dit une fois.

Non, non, non dit Hagrid. Ce ne sont que des superstitions, ils ne portent pas malheur, ils sont très intelligents et utiles! Bien sur ceux ci n'ont pas beaucoup de travail, principalement tirer les carrosses de l'école à moins que Dumbledore fasse un long voyage et ne veuille pas transplaner - et voici un nouveau couple, regardez -

Deux chevaux de plus avancèrent tranquillement depuis les arbres, l'un d'eux passa très près de Parvati, qui frissonna et se serra plus près de l'arbre, disant 'je pense que j'ai senti quelque Chose. Je pense que c'est près de moi!

'Ne t'inquiètes pas, il ne te feront pas de mal, dit Hagrid patiemment. Bien maintenant qui peut me dire pourquoi certains peuvent les voir et d'autres non ?

'Hermione leva la main'

'Vas y ' dit Hagrid, lui souriant

Les seules personnes qui peuvent voir les théstrals, dit-elle, sont les personnes qui ont vu la mort

'C’est exactement ça' dit Hagrid solennellement, dis points pour Gryffondor.

Maintenant, les théstrals -'

'Heum, heum'

Le professeur Umbridge était arrivé. Elle se tenait à quelques pas de Harry, portant son chapeau vert et sa cape, son bloc notes prêt. Hagrid, qui n'avait jamais entendu la fausse toux d'Umbridge auparavant, regardait fixement avec intérêt le théstrals le plus proche, pensant à l'évidence qu'il avait fait ce son

'heum, heum.'

' oh bonjour!' dit Hagrid, souriant, ayant repéré l'origine du bruit

' vous avez reçu la note que je vous ai envoyé à votre cabane ce matin ? dit Umbridge, de la même voix forte et lent qu'elle avait utilisé avec lui plus tôt, comme si elle s'adressait à quelqu'un à la fois d'étranger et de très lent. Vous disant que j'inspecterais votre leçon ?

'Oh oui ' dit Hagrid 'heureux que vous ayez trouvé l'endroit! Bien comme vous pouvez le voir - où, je ne sais pas, pouvez vous ? Nous étudions les théstrals aujourd'hui

'Pardon? Dit le professeur Umbridge d'une voix forte, mettant sa main autour de son oreille et fronçant les sourcils. 'Qu’avez vous dit ?'

Hagrid paru un peu embrouillé


'Euh théstrals! Dit t'il fortement 'grand euh chevaux ailés, vous savez!'

il agita ses gigantesques bras avec espoir. Le professeur Umbridge leva ses sourcils et grommela en prenant des notes sur son bloc. 'Doit … recourir…. A … un langage…

par signes'

‘Bien. En tous cas' dit Hagrid, se tournant à nouveau vers la classe et semblant légèrement perplexe ' hem qu'est ce que je disais ?'

'Paraît avoir… une pauvre ….mémoire….à court terme" grogna Umbridge assez fort pour que tout le monde l'entende

Drago Malfoy paraissait fêter Noël était arrivé avec un mois d'avance; Hermione, au contraire, était devenue écarlate de rage contenue

'oh oui dit Hagrid, jetant un regard mal à l'aise au bloc notes d'Umbridge, mais continuant vaillamment. Oui j'allais vous dire comment nous en possédons un troupeau.

Oui nous avons démarré avec un mâle et cinq femelles. Celui ci, il tapota le premier cheval qui était apparu, son nom est Ténébrus, c'est mon favori, le premier qui soit né dans la forêt

'Vous êtes au courant dit Umbridge, le coupant, que le ministère de la magie a classé les théstrals comme dangereux ?

'Le cœur d'Harry coula comme une pierre, mais Hagrid rie seulement tout bas.

'Les théstrals ne sont pas dangereux! Bien sur ils peuvent vous enlever un morceau si vous les embêtez

'Montre des signes … de plaisir… à l'idée…. De violence' grogna Umbridge, griffonnant sur son bloc à nouveau

'Non vous plaisantez! Dit Hagrid semblant un peu inquiet maintenant. ' Je veux dire, un chien mordra si vous le harcelez, n'est ce pas - mais les théstrals ont juste mauvaise réputation à cause du lien avec la mort - les gens ont l'habitude de penser qu'ils sont de mauvais présage, ils ne comprennent pas n'est ce pas?

Umbridge ne répondit pas, elle finit d'écrire sa dernière observation, puis regarda Hagrid et dit, encore très fort et très lentement, 's'il vous plaît continuez à enseigner comme d'habitude. Je vais marcher' elle mima la marche (Malfoy et Pansy Parkinson avaient des accès silencieux de rire) parmi les élèves (elle montra les membres de la classe) et leur poser des questions. Elle montra sa bouche pour indiquer l'action de parler Hagrid la regarda, montrant clairement qu'il ne comprenait pas pourquoi elle faisait comme si elle ne comprenait pas l'anglais normal. Hermione avait des larmes de rage dans les yeux à présent

'Mégère, vieille sorcière malfaisante! Murmura t'elle comme Umbridge marchait vers Pansy parkinson. Je sais ce que tu es en train de faire, abominable, tordue, vicieuse -'

'Heum en tous cas, dit Hagrid, luttant pour reprendre le cours de sa leçon, donc les théstrals bien, il y a plein de Choses bonnes à leur propos …. "

'Trouvez vous, dit le professeur Umbridge d'une voix retentissante à Pansy Parkinson

'que vous comprenez quand le professeur Hagrid parle ?'

Comme Hermione, Pansy avait des larmes dans les yeux, mais c'était des larmes de rire; en fait, sa réponse était presque car elle essayait de réprimer ses gloussements

'Non… parce que…. Bien… ça ressemble…. A des grognements la plupart du temps Umbridge écrivit sur son calepin. Les quelques parties non meurtries du visage de Hagrid s'empourprèrent mais il essaya de faire comme s'il n'avait pas entendu la réponse de Pansy.

'Euh …. Oui…. Les avantages des théstrals. Bien, une fois qu'ils sont apprivoisés comme ceux ci, vous ne vous perdrez plus jamais. Surprenant sens de l'orientation, dites leur juste où vous voulez aller -'

'En supposant qu'ils puissant vous comprendre bien sur' dit Malfoy d'une voix forte, et Pansy Parkinson s'écroula d'éclats de rire renouvelés. Le professeur Umbridge sourit avec indulgence puis se tourna vers Neville.

'Vous pouvez voir les théstrals Londubat n'est ce pas ?' dit-elle Neville approuva

'Qui avez vous vu mort ? dit-elle d'un ton indifférent

Mon… mon grand père' dit Neville

Et que pensez vous d'eux ? dit-elle, agitant sa main trapue vers les chevaux, qui à présent avait arraché un bon morceau de la carcasse jusqu'à l'os Heum dit Neville nerveusement, avec un regard à Hagrid. Bien, ils sont… eux…OK…'

Les étudiants …sont…trop….intimidés…pour …admettre…. Qu'ils sont…..effrayés, murmura Umbridge, prenant encore une note sur son calepin

'Non ! dit Neville, paraissant contrarié. Non je n'ai pas peur d'eux !

C’est tout à fait bien, dit Umbridge, tapotant Neville sur l'épaule avec ce qu'elle voulait évidemment faire passer pour un sourire compréhensif, bien que ça ressemblait plus à un regard mauvais pour Harry. Bien Hagrid, elle se tourna pour le regarder en haut encore, parlant une fois de plus avec cette voix forte, lente, 'je pense que j'en ai assez pour travailler. Vous recevrez (elle mima prendre quelque Chose en l'air en face d'elle) le résultat de votre inspection' (elle montra le bloc notes) sous 10 jours. Elle leva 10 petits doigts gros et courts, puis, son sourire plus large et crapoteux que jamais auparavant sous son chapeau vert, elle se faufila parmi eux, laissant Malfoy et Pansy parkinson avec des accès de rires, Hermione tremblante de rage et Neville semblant confus et bouleversé

Cette répugnante, menteuse, vicieuse vieille gargouille! Explosa Hermione une demi heure plus tard, comme ils revenaient au château à travers les passages qu'ils avaient faits plus tôt dans la neige. 'Vous voyez ce qu'elle essaie de faire ? C’est sa rancune contre les métis - elle essaie de faire passer Hagrid pour une espèce de troll stupide, juste parce que il a eu une géante comme mère et oh, ce n'est pas juste, ce n'était vraiment pas une bonne leçon du tout - je veux dire, bien, si cela avait été les Scrout à pétard encore, mais les théstrals sont biens, pour Hagrid, ils sont même très bien Umbridge a dit qu'ils étaient dangereux' dit Ron

Bien c'est comme Hagrid dit, ils peuvent prendre soin d'eux mêmes, dit Hermione impatiemment et je suppose qu'un professeur comme gobe planche ne nous les aurait pas montré avant nos NEWT, mais, bien, ils sont très intéressants n'est ce pas ?

Le fait que certains puissent le voir et d'autres non ! J’aimerais pouvoir Vraiment? Dit Harry rapidement

Elle le regarda frappée d'horreur

Oh Harry - je suis désolée - non bien sur je ne voudrais pas - c'était vraiment quelque Chose de stupide à dire'


C'est bon dit il rapidement 'ne t'inquiètes pas'

Je suis vraiment surpris qu'autant de personnes puisse les voir dit Ron. Trois dans la classe -

Ouais Weasley, nous nous demandions, dit une voix malicieuse. Aucun d'entre eux ne les avait entendus dans la neige Malefoy, Crabbe et Goyle marchaient juste derrière eux.

Penses tu que si tu vois quelqu'un mourir tu pourrais mieux voir le souaffle ?

Lui Crabbe et Goyle rugirent de rire tout en continuant leur chemin jusqu'au château, puis entonnèrent en cœur "Weasley est notre roi'. Les oreilles de Ron tournèrent à l'écarlate.

'ignore les, juste ignore les' insista Hermione, sortant sa baguette magique et lançant le sort pour produire de l'air chaud encore une fois, afin qu'elle puisse leur faire fondre un chemin plus facile à travers la neige immaculée entre eux et les maisons vertes Décembre arriva, amenant encore plus de neige et une réelle avalanche de travail pour les 5ème année. Les devoirs de préfet de Ron et Hermione devinrent également de plus en plus pénibles à mesure que noël approchait. Ils devaient superviser les décorations du château (tu essaies de placer une guirlande pendant que Peeves tient l'autre bout et essaie de t'étrangler avec' dit Ron), de surveiller les 1ère et 2ème années qui passait leur temps morts à l'intérieur à cause du froid mordant (et ce sont de petits morveux insolents, tu sais, nous n'étions définitivement pas aussi culottés quand nous étions en 1ère année' dit Ron) et de patrouiller dans les couloirs en équipe avec Argus Rusard, qui soupçonnait que l'esprit des vacances pourrait se manifester par des duels de sorciers (il a de la merde comme cerveau celui là' dit Ron furieusement. Ils étaient si occupés qu'Hermione avait même arrêté de tricoter des chapeaux d'elfes et s'inquiétait qu'elle en soit à ses trois derniers.

Tous ces pauvres elfes que je n'ai pas libéré encore, devant rester ici pour noël parce qu'il n'y avait pas assez de chapeaux !

Harry qui n'avait pas le cœur de lui dire que Dobby prenait tout ce qu'elle faisait, se pencha plus bas sur son essai d'histoire de la magie. En tous les cas, il ne voulait pas penser à noël. Pour la première fois de sa vie d'écolier, il voulait vraiment passer les vacances loin de Poudlard. Entre son interdiction de Quidditch et ses soucis à propos de Hagrid mis en probation, il se sentait irrité d'être ici en ce moment. La seule Chose qu'il attendait vraiment était les réunions du DA, et elles devraient s'arrêter pendant les vacances, comme presque tout le monde du DA passerait leur temps avec leurs familles.

Hermione allait skier avec ses parents, ce qui amusait beaucoup Ron, qui n'avait jamais entendu parler s'enroulant d'étroits morceaux de bois aux pieds pour descendre les montagnes en glissant. Ron retournait à la maison au terrier. Harry endura plusieurs jours d'envie avant que Ron dise, en réponse à une question d'Harry lui demandant comment il allait rentrer pour noël. 'Mais tu viens aussi ! Je ne te l'ai pas dit ? Maman a écrit et m'a dit de t'inviter il y a des semaines !

Hermione roula des yeux, mais l'esprit de Harry planait : la pensée de noël au terrier était réellement merveilleuse, bien que légèrement ternie par la culpabilité d'Harry de ne pas pouvoir passer les vacances avec sirius.

Il se demanda s'il serait possible qu'il persuade Mme Weasley d'inviter son parrain pour les fêtes. Bien qu'il doute que Dumbledore permette à Sirius de quitter Grimmauld place de toute façon, il ne pouvait s'empêcher de penser que Mme Weasley ne le voudrait pas.

Sirius n'avait pas pris contact avec Harry du tout depuis sa dernière apparition dans le feu, et bien qu'Harry sache qu'avec la surveillance constante d'Umbridge il ne serait pas sage d'essayer de le joindre, il n'aimait pas savoir Sirius seul dans la vieille maison de sa mère, peut être mangeant un biscuit tout seul avec Kreacher Harry arriva tôt dans la chambre des nécessités pour la dernière réunion du DA avant les vacances et il était très heureux de l'avoir fait car quand les torches s'enflammèrent il vit que Dobby avait pris sur lui de décorer l'endroit pour noël. Il pouvait dire que c'était l'elfe qui l'avait fait car personne d'autre n'aurait étendu une centaine de bijoux dorés au plafond, chacun montrant une photo de la tête d'Harry et portant la légende 'aies un joyeux noël'

Harry avait juste réussi à enlever le dernier avant que la porte s'ouvre en craquant et que Luna Lovegood entre, paraissant aussi rêveuse qu'a l'ordinaire.

Bonjour dit elle vaguement, regardant autour ce qui restait des décorations Elles sont jolies, est ça toi qui les a poser là haut ?

Non dit Harry, c'était Dobby l'elfe de maison

Gui dit Luna rêveusement montrant un large buisson de graines blanches lace pratiquement au dessus de la tête d'Harry. Il sauta hors de dessous le gui. Bien pensé dit Luna très sérieusement. C'est souvent infesté de Nargles Harry fut sauvé de la nécessité de demander ce qu'était les nargles par l'arrivée d'Angelina, Katie et alicia. Toutes les 3 étaient essoufflées et paraissaient très roides Bien, dit Angelina lourdement, enlevant son manteau et le jetant dans un coin, nous vos avons finalement remplacés

Me remplacer ? dit Harry sans expression

Toi Fred et Georges dit elle impatiemment nous avons un autre attrapeur!

Qui ? dit Harry rapidement

Ginny Weasley dit Katie

Harry la regarda bouche bée

Oui je sais dit Angelina tirant sa baguette magique et pliant son ras, mais elle est assez bonne en fait. Rien de comparable à toi bien sur dit elle lui jetant un regard méchant, mais comme on ne peut pas t'avoir…

Harry se mordit la langue pour ne pas répondre. Imaginait elle une seconde qu'il ne regrettait pas son expulsion de l'équipe cent fois plus qu'elle ?

Et qui sont les batteurs? Demanda t'il essayant de garder la même voix

'Andrew Kirke,' dit Alicia sans enthousiasme, 'et Jack Sloper. Aucun d'eux n'est brillant, mais compare au reste des idiots qui se sont présentés…

L’arrivée de Ron, Hermione et Neville mis fin à cette conversation déprimante, et en moins de 5 minutes la pièce fut assez remplie pour empêcher Harry de voir les regards brûlants, pleins de reproches d'Angelina

Ok dit ils les rappellent à l'ordre. J'ai pensé que ce soir nous pourrions juste revoir les Choses que nous avons faites jusqu'à présent, car c'est la dernière réunion avant 3

semaines et qu'il n'y a aucun intérêt à commencer quelque Chose de nouveau avant un break de 3 semaines -

Nous ne faisons rien de neuf ? dit zaccharias Smith, dans un murmure assez fort pour être entendu dans toute la pièce. Si j'avais su ça je ne serais pas venu'


Nous sommes tous désolés qu'Harry ne t'ai pas prévenu alors dit Fred fortement Plusieurs personnes pouffèrent de rire. Harry vit Cho sourire et ressenti la familière sensation de picotement dans son estomac, comme si il avait manqué une marche en descendant un escalier

Nous pouvons nous exercer par paire. Dit Harry. Nous allons commencer avec le sort d'Impediment pendant 10 minutes puis nous sortirons des coussins et essaierons le sort de Stupéfixion à nouveau

Ils se divisèrent tous en obéissant, Harry se mit avec Neville comme d'habitude. La pièce fut bientôt pleine d'impedimenta ! Les gens se figeaient une minute à peu près, pendant laquelle leur partenaire regardait aux alentours sans but les autres paires au travail, puis il se dégelait et prenait leur tour dans le sort.

Neville s'était amélioré au delà de toute espérance. Après un moment, quand Harry eut dégelé 3 fois en peu de temps, il mit Neville avec Ron et Hermione encore une fois afin de pouvoir marcher autour de la pièce et regarder les autres. Quand il passa devant Cho, elle lui sourit, il résista à la tentation de marcher vers elle plusieurs fois Après 10 minutes d'Impediment, ils étalèrent des cousins sur tout le sol et commencèrent à pratiquer la Stupéfixion encore une fois. L'espace était vraiment trop réduit pour leur permettre de pratiquer ce sort tous en même temps, la moitié du groupe observait les autres pendant un temps, puis ils échangeaient les rôles.

Harry se sentait gonflé de fierté en les regardant. Neville stupéfixa Padma Patil plutôt que Dean qu'il visait mais c'était un raté plus proche que d'habitude, et tous les autres avaient fait d'énormes progrès

À la fin de l'heure, Harry appela à une pause

Vous êtes très bons dit il leur souriant. Quand nous reviendront des vacances, nous pourrons commencer quelques unes des Choses difficiles - peut être même les Patronus Il y eut un murmure d'excitation. La pièce commença à se vider par les habituels groupes de 2 ou 3, la plupart des gens souhaitèrent à Harry un joyeux noël en s'en allant.

Se sentant joyeux, il ramassa les coussins avec Ron et Hermione et les empila soigneusement. Ron et Hermione partirent avant lui, il hésita un peu, car Cho était toujours ici et il espérait recevoir un 'joyeux noël ' de sa part.

'Non tu y vas' l'entendit t'il dire à son amie Marietta et son cœur lui donna un Choc qui sembla se répercuter dans la région de sa pomme d'Adam

il prétendit redresser sa pile de coussins. Il était presque sur qu'ils étaient seuls maintenant et attendait qu'elle parle. A la place, il entendit un sanglot. Il se tourna et vit Cho qui se tenait au milieu de la pièce, des larmes coulant sur sa figure.

'Qu---?"

Il ne savait pas quoi faire. Elle se tenait juste là, pleurant en silence

'Qu’est ce qu'il y a ? dit il d'une voix faible

Elle secoua la tête sécha ses larmes avec sa manche

Je suis désolée' dit elle troublée. Je suppose. .c'est juste… apprendre toutes ces Choses… je me demande… si… s'il avait su tout cela… serait il encore en vie'


Le cœur d'Harry coula jusqu'à sa place d'origine et s'installa finalement quelque part autour de son nombril. Il aurait du le savoir. Elle voulait parler de Cédric Il savait tout cela, dit Harry lourdement, il était très bon où il n'aurait jamais pu aller au milieu de ce labyrinthe mais si Voldemort veut vous tuer alors vous n'avez aucune chance

Elle hoqueta au son du nom de Voldemort, mais regarda fixement Harry sans ciller Tu as survécu alors que tu n'étais qu'un bébé' dit elle calmement Oui, bien, dit Harry d'un ton las, se déplaçant vers la porte, ' je ne sais pas pourquoi ni personne d'autre, alors il n'y a pas de quoi être fier

'Oh ne pars pas! Dit Cho, semblant prête à pleurer encore. 'Je suis vraiment désolé de tout mélanger comme ça… je ne voulais pas…'

Elle hoqueta encore. Elle était très jolie même si ses yeux étaient rouges et bouffis.

Harry se sentit complètement malheureux. Il aurait été si content avec juste un 'joyeux noël'

'Je sais que ça doit être horrible pour toi' dit elle essuyant ses larmes sur sa manche encore une fois. 'Moi mentionnant Cédric, quand tu l'as vu mourir… je suppose que tu voudrais juste oublier ?

Harry ne trouva rien à dire à cela, c'était assez vrai, mais il se sentait sans cœur de le dire Tu es un très bon professeur tu sais, dit Cho avec un faible sourire. Je n'avais jamais été capable de Stupéfixer quoique ce soit avant'

Merci dit Harry maladroitement

Ils se regardèrent l'un l'autre pendant un long moment. Harry sentait un brûlant désir de s'enfuir de la pièce et en même temps une complète incapacité à bouger ses pieds

'Gui' dit Cho calmement, montrant le plafond au dessus de sa tête Ouais dit Harry. Sa bouche était très sèche. Probablement rempli de Nargles, cependant.

'Que sont les Nargles ?'

Aucune idée, dit Harry. Elle s’était rapprochée. Son cerveau semblait avoir été stupéfixé.

Tu devras le demander à Loony. Luna je veux dire

Cho fit un drôle de bruit à mi chemin entre un sanglot et un rire. Elle était encore plus près de lui maintenant. Il aurait pu compter les tâches de rousseur sur son nez.

Je t'aime beaucoup Harry

Il ne pouvait plus penser. Un frémissement se répandait en lui, paralysant ses bras, jambes et son cerveau

Elle était bien trop près. Il pouvait voir toutes les larmes accrochées à ses cils…

Il retourna dans la chambre commune une demi heure plus tard pour trouver Hermione et Ron assis dans les meilleurs fauteuils au coin du feu, presque tous les autres étaient allés au lit

Hermione écrivait une très longue lettre, elle avait déjà rempli la moitié d'un rouleau de parchemin, qui se balançait depuis le haut de la table. Ron était étendu sur le tapis de la cheminée, essayant de finir son devoir de transfiguration Qu'est ce qui t'a retenu? Demanda t'il, comme Harry s'enfonçait dans le fauteuil à coté d'Hermione. Harry ne répondit pas. Il était en état de Choc. Une partie de lui voulait dire à Ron et Hermione ce qui venait de se passer, mais une autre voulait garder le secret jusqu'à la mort.

Est ce que ça va Harry ? demanda Hermione l'observant par dessus le bout de sa plume Harry haussa les épaules à contre cœur. En vrai, il ne savait pas si ça allait bien ou pas.

Qu'est ce qu'il y a ? dit Ron, se hissant sur son coude pour mieux regarder Harry. Qu'est ce qui s'est passé ?

Harry ne savait pas vraiment comment commencer à leur dire, et il ne savait toujours pas s'il le voulait. Juste quand il décida de ne rien dire du tout, Hermione prit les Choses en main

Est ce Cho ? dit elle d'un ton professionnel. Est ce qu'elle t'a coincé après la réunion ?

Engourdi par la surprise, Harry approuva d'un signe de tête. Ron pouffa de rire, s'arrêtant quand Hermione croisa son regard

Alors heu. Qu'est ce qu'elle voulait? Demanda t'il de sa voix moqueuse habituelle Elle ' commença Harry, d'une voix plutôt rauque, il racla sa gorge et réessaya. Elle euh'

Vous êtes vous embrassés ? demanda Hermione rapidement.

Ron s'assis si rapidement qu'il répandit sa bouteille d'encre sur tout le tapis. Ignorant complètement cela, il regarda avidement Harry

Alors? Demanda t'il

Harry regarda l'expression de curiosité et d'hilarité mélangées de Ron et le léger froncement de sourcils d'Hermione et acquiesça

Ha

Ron fit un geste triomphal avec son poing et partit dans un rire rauque qui fit sursauter quelques secondes années à l'air timide à coté de la fenêtre Un sourire réticent apparut sur la figure d'Harry comme il regardait Ron se rouler sur le tapis

Hermione jeta un regard de profond dégoût à Ron et retourna à sa lettre.

Alors dit Ron finalement, regardant Harry. Comment était ce ?

Harry considéra cela pendant un moment

Mouillé, dit il sincèrement

Ron fit un bruit qui aurait pu montrer sa jubilation ou son dégoût, c'était difficile à dire Car elle pleurait. Harry continua lourdement

Oh dit Ron, son sourire s'effaçant légèrement. 'Es tu si mauvais pour embrasser ?'

Je sais pas dit Harry qui n'avait pas considéré cela, et se sentit immédiatement soucieux.

Peut être que je le suis

'Bien sur que non' dit Hermione distraitement, écrivant toujours sa lettre Comment le sais tu ? demanda Ron très brusquement

Car Cho passe la moitié de son temps à pleurer ces derniers jours dit Hermione vaguement

Elle le fait à l'heure des repas, partout.

On penserait que s'embrasser la réjouirait dit Ron souriant Ron dit Hermione avec digne, plongeant la pointe de sa plume dans son encrier. Tu es la personne la plus insensible que j'ai jamais eu la malchance de rencontrer Qu'est ce que c'est censé vouloir dire? Dit Ron indigné. Quelle sorte de gens pleure pendant que quelqu'un l'embrasse ?

Oui dit Harry, légèrement désespéré, qui ferait cela ?

Hermione les regarda tous les deux avec presque une expression de pitié sur le visage Ne comprenez vous pas les sentiments de Cho en ce moment? Demanda t'elle Non dirent Harry et Ron ensemble


Hermione soupira et baissa sa plume

Bien, évidemment, elle se sent triste à cause de la mort de cédric. Et je pense qu'elle se sent troublée car elle aimait Cédric et aime maintenant Harry, et elle n'arrive pas a savoir qui elle aime le plus. Puis elle se sent coupable, pensant que c'est une insulte à la mémoire de Cédric d'embrasser Harry, et elle sera inquiète à propos de ce que tout le monde pourrait dire à propos d'elle si elle commence à sortir avec Harry. Et elle ne peut certainement pas changer ses sentiments envers Harry car il a été celui qui était avec Cédric quand il est mort, alors c'est vraiment tout mélangé et douloureux. Oh et elle a peur d'être jetée hors de l'équipe de Quidditch de Serdaigle car elle a très mal volé Un silence figé accueilli la fin de ce discours, puis Ron dit 'une personne qui pourrait ressentir tout ça à la fois exploserait'

Juste parce que tu à le niveau émotionnel d'une cuillère à thé ne signifie pas que c'est notre cas à tous' dit Hermione méchamment attrapant sa plume à nouveau

'C’est elle qui a tout commencé' dit Harry. Je n'aurais pas - elle est juste venue à moi - et juste après elle pleurait sur moi - je ne savait pas quoi faire Ne te reproches rien mon pote, dit Ron paraissant alarmé à cette seule pensée Tu dois juste être gentil avec elle dit Hermione, anxieusement. 'Tu as été gentil avec elle n'est ce pas ?'

Eh bien dit Harry, une déplaisante chaleur lui grimpant au visage, '' je l'ai un peu -

poussée dans le dos'

Hermione semblait se retenir de lever les yeux au ciel avec une extrême difficulté Bien je suppose que ça aurait pu être pire dit elle vas tu la voir encore ?

Je le dois toujours n'est ce pas? Dit Harry. Nous avons les réunions du DA non ?

Tu vois ce que je veux dire dit Hermione impatiemment

Harry ne dit rien. Les mots d'Hermione ouvraient une entière nouvelle perspective de possibilités effrayantes. Il essaya d'imaginer aller quelque part avec Cho au préau lard peut être - et être seul avec elle quelques heures durant. Bien sur, elle attendait qu'il lui demande de sortir après ce qui venait juste de se passer… cette idée serra son estomac douloureusement

Oh dit Hermione de loin, plongée dans sa lettre une fois encore, tu auras plein d'occasions de lui demander de sortir

Et s'il ne veut pas lui demander? Dit Ron avec une expression roublarde inhabituelle sur le visage

Ne soit pas stupide dit Hermione vaguement. Harry l'aime depuis longtemps n'est ce pas Harry ?

Il ne répondit pas. Oui il aimait Cho depuis longtemps, mais chaque fois qu'il avait imaginé une scène les impliquant tous les 2, il se représentait toujours une Cho qui s'amusait, opposée à la Cho qui sanglotait sans s'arrêter sur son épaule As qui écris tu cette lettre de toute façon? Demandait Ron à Hermione, essayant de lire le bout de parchemin qui traînait maintenant sur le sol. Hermione le hissa hors de vue Viktor

Krum?


Combien de Viktor connaissons nous?

Ron ne dit rien mais paru contrarié. Ils s'assirent en silence pendant 20 autres minutes, Ron finissant son essai de transfiguration avec de nombreux grognements d'impatience et face à lui, Hermione écrivant fermement jusqu'au dernier bout du parchemin, l'enroulant précautionneusement et le scellant, Harry regardant le feu, espérant plus que tout que la tête de Sirius apparaisse et lui donne des conseils sur les filles. Mais le feu craqua simplement de moins en moins, jusqu'a ce que les braises rouges s'effondrent en poussière et regardant autour, Harry vit qu'ils étaient une fois encore les derniers dans la chambre commune

Bien bonne nuit dit Hermione, baillant largement comme elle se rendait à l'escalier des filles

Qu'est ce qu'elle trouve à Krum ? demanda Ron, comme lui et Harry grimpait les escaliers des garçons

Eh bien dit Harry considérant le sujet, je suppose qu'il est plus vieux n'est ce pas…. Et c'est un joueur de Quidditch international…

Oui mais à part ça, dit Ron, semblant irrité, je veux dire, il est plutôt grognon non ?

Un peu oui dit Harry, dont les pensées étaient toujours sur Cho Ils enlevèrent leurs robes et mirent leurs pyjamas en silence, Dean, Seamus et Neville étaient déjà endormis. Harry posa ses lunettes sur sa table de chevet et se mit au lit mais ne tira pas les rideaux, à la place il regarda le bout de ciel visible à travers la fenêtre à coté du lit de Neville. S'il avait su, à ce moment là la nuit dernière, que dans 24 heures il aurait embrassé Cho Chang

'Nuit' grogna Ron quelque part sur sa droite

'Nuit' dit Harry

Peut être la prochaine fois… s'il y avait une prochaine fois…. Elle serait plus joyeuse. Il aurait du lui demander de sortir, elle s’attendait sûrement et maintenant elle était fâchée contre lui…. Où elle était étendue dans son lit, toujours pleurant sur Cédric ? Il ne savait que penser. Les explications d'Hermione avaient compliqué les Choses à comprendre plutôt que de les faciliter

C’est ce qu'ils devraient nous apprendre ici, pensa t'il, se tournant dans tous les sens, comment le cerveau des filles marche… c'était plus utile que la divination de toute façon…

Neville renifla dans son sommeil. Un hibou hulula quelque part dans la nuit. Harry rêva qu'il était de retour dans la chambre du DA. Cho l'accusait de l'avoir attirée ici sous de faux prétextes, elle disait qu'il lui avait promis 150 cartes de Choco grenouilles si elle venait. Harry protesta… Cho cria, " Cédric me donnait des tonnes de cartes de Chocolat, regarde ! Et elle tira une poignée remplie de carte de l'intérieur de sa robe et les jeta en l'air. Puis elle se changea en Hermione, qui dit, 'tu lui as promis, tu sais, Harry… je pense que tu devrais lui donner quelque Chose d'autre à la place… que penses tu de ton éclair de feu ? Et Harry protesta qu'il ne pouvait donner l'éclair de feu car Umbridge l'avait déjà, et de toute façon l'affaire était ridicule, il était seulement venu à la chambre du DA pour suspendre quelques boules de noël de la forme de la tête de Dobby…

Le rêve changea…


Son corps semblait lisse, puissant et souple. Il glissait entre des barres de métal brillantes, parmi des pierres noires et froides…il était sur le sol, rampant sur son ventre…il faisait noir, pourtant il pouvait voir les objets autour de lui briller d'étranges et vibrantes couleurs… il tournait la tête… à un premier regard, le couloir parut vide.

.mais non… un homme était assis sur le sol plus loin, son menton s'affaissant sur sa poitrine, sa silhouette brillant dans le noir…

Harry tira la langue… il goûta le parfum de l'homme dans l'air… il était en vie mais somnolent… assis en face de la porte à la fin du corridor…

Harry désirait ardemment mordre l'homme…. Mais il devait maîtriser son impulsion…

il avait de plus importantes Choses à faire

Mais l'homme s'agita… un manteau d'argent tomba de ses jambes comme il se levait d'un bond, et Harry vit sa silhouette vibrante et floue s'élever au dessus de lui, vit une baguette tirée d'une ceinture… il n'avait pas le Choix… il se dressa haut depuis le sol et frappa une, deux, trois fois, plongeant ses crocs profondément dans la chair de l'homme, sentant ses côtes se briser sous ses mâchoires, sentant le chaud jaillissement de sang…

L’homme hurlait de douleur… puis il se tu… il s'affaissa en arrière contre le ur… du sang éclaboussait le sol…

Son front lui faisait terriblement mal…. Il faisait mal comme une brûlure

'Harry! HARRY!'

il ouvrit les yeux. Chaque centimètre de son corps était couvert de sueur froide, les couvertures de son lit étaient enroulées autour de lui il se sentait comme si un tisonnier chauffé à blanc avait été appuyé sur son front

'Harry!'

Ron se tenait devant lui, paraissant extrêmement effrayé. Il y avait plus de visages au pied du lit d'Harry. Il agrippa sa tête dans ses mains, la douleur l'aveuglait… il roula et vomis au bord de son matelas

Il est vraiment malade dit une voix effrayée. On devrait appeler quelqu'un ?

'Harry! Harry!'

Il devait le dire à Ron, c'était très important qu'il lui dise… .Prenant de grandes bouffées d'air, Harry se remit dans son lit, s'obligeant à ne plus rendre à nouveau, la douleur l'aveuglait à moitié

Ton père, haleta t'il, la poitrine pesante. Ton père a été attaqué'

Quoi dit Ron incompréhensive ment

Ton père ! Il a été mordu, c'est sérieux, il y avait du sang partout'

Je vais chercher de l'aide, dit la même voix effrayée, et Harry entendit des pas courant hors du dortoir

Harry, mon pote, dit Ron de façon incertaine, tu…tu étais juste en train de rêver..

Non dit Harry furieusement, il était crucial que Ron comprenne Ce n'était pas un rêve. Pas un rêve ordinaire. .j'étais là, je l'ai vu… je l'ai fait…'

Il pouvait entendre Dean et Seamus murmurer mais il n'y fit pas attention. La douleur dans son front s'apaisait doucement, bien qu'il transpirait encore et frissonnait fiévreusement. Il eut à nouveau des hauts le cœur et Ron sauta en arrière hors du chemin


Harry tu n'es pas bien dit il secoué Neville est allé chercher de l'aide Je vais bien suffoqua Harry, essuyant sa bouche sur son pyjama et tremblant de façon incontrôlée. Il n'y a rien qui n'aille pas avec moi, c'est ton père dont tu dois te soucier-nous devons trouver où il est- il saigne comme un fou - j'étais - c'était un énorme serpent

Il essaya de sortir du lit mais Ron le repoussa dedans, Dean et Seamus chuchotaient toujours quelque part non loin. Une minute passa ou bien 10, Harry ne le savait pas, il resta juste assis ici tremblant, sentant la douleur s'éloigner très lentement de sa cicatrice…. Puis il y eut des bruits de pas précipités venant des escaliers et il entendit la voix de Neville à nouveau

Par ici professeur

Le professeur MacGonagal arriva précipitamment dans le dortoir dans sa robe en tartan, ses lunettes bancales sur le bord de son nez osseux

'Qu’est ce qu'il y a Potter? Ou cela vous fait il mal ?

Il n'avait jamais été aussi content de l'entendre, c'était un membre de l'ordre du phœnix dont il avait besoin maintenant, pas de quelqu'un lui faisant des histoires et lui prescrivant des potions inutiles.

C'est le père de Ron, dit il s'asseyant à nouveau. Il a été attaqué par un serpent et c'est sérieux, je l'ai vu

Que voulez vous dire vous l'avez vu ? dit le professeur Macgonagall, ses sourcils noirs se rétrécissant

Je ne sais pas. J’étais endormi et puis j'étais là..

Vous voulez dire que vous avez rêvé cela ?

Non ! dit Harry en colère, aucun d'eux ne comprendrait il ? je faisais un rêve au début à propose de quelque Chose de complètement différent, quelque Chose de stupide… et puis ceci l'a interrompu. C'était réel, je ne l'ai pas imaginé. M Weasley était endormi sur le sol et il a été attaqué par un gigantesque serpent, il y avait un tas de sang, il s'est écroulé, quelqu'un doit trouver où il est…

Le professeur Macgonagall le regardait fixement à travers ses lunettes de travers comme horrifié de ce qu'elle voyait

Je ne mens pas et je ne suis pas fou ! Lui dit Harry, sa voix s'enflant en un cri. Je vous aie dit, je l'ai vu arriver !

Je vous crois Potter dit le professeur Macgonagall brusquement. Mettez votre robe -

nous allons voir le directeur


Chapitre 22 : L'hôpital St Mungo's pour maladies et blessures liées à la magie Harry était tellement soulagé qu’elle le prenne au sérieux qu’il n’hésita pas un instant a sortir de son lit, à enfiler sa robe de chambre et a remettre ses lunettes sur son nez.

'Weasley, tu devrais venir toi aussi,' dit Professeur McGonagall.

Ils suivirent Professeur McGonagall devant les figures silencieuses de Neville, Dean et Seamus, à l’extérieur du dortoir, en bas des escaliers en spirale de la salle commune, puis par le trou dans le mur qui menait au couloir du portrait de la Grosse Dame.

Plus il approchait plus Harry sentait la panique le gagner, il voulait courir pour prévenir Dumbledore le plus vite possible que Mr Weasley saignait, Harry trouvait qu’il marchait si lentement, qu’est ce qu’il était pour arriver à Mr Weasley si ces crocs (Harry se concentra fort pour ne pas dire « ses crocs ») étaient empoisonnés. Ils passèrent devant Mrs Norris,qui tourna ses yeux lumineux sur eux et posa un léger soufflement , mais Professeur McGonagall lui lança un, 'Chut' puis,Mrs Norris s’enfuit furtivement dans l’ombre Quelques minutes plus tard ils rejoignirent la gargouille qui gardait l’entré du bureau de Dumbledore.

'Fizzing Whizzbee. Dit Professeur McGonagall.

La gargouille prit vie et glissa d’un coté, le mur derrière elle se sépara en deux et fit apparaître un escalier de pierre en forme de spirale qui montait continuellement comme un escalier roulant. Tous les trois embarquèrent sur l’escalier, le mur se referma et ils montèrent jusqu'à ce qu’ils atteignent une porte massive en chêne avec un heurtoir en forme de griffon.

Bien qu’il soit maintenant passé minuit, des voix se faisait entendre de l’autre coté de la porte, on aurait dit que Dumbledore était entrain de s’entretenir avec plus d’une douzaine de personne.

Professeur McGonagall frappa trois coups à l’aide du marteau à porte en forme de griffon et les voix cessèrent subitement. La porte s’ouvrit par elle même et Professeur McGonagall laissa Harry et Ron entrer. La pièce était plongée dans une semi obscurité, d’étrange instrument argent était déposé sur les tables silencieux et émanant parfois de la fumée. Plusieurs portraits d’anciens directeurs et directeurs de Poudlard couvraient les murs. Derrière la porte, dormait un magnifique oiseau rouge et or de la grosseur d’un cygne.

'Oh, c’est vous, Professeur McGonagall… et… ah.'

Dumbledore était assis dans une majestueuse chaise derrière son bureau; il était penché sur divers papiers illuminer par plusieurs chandelles. Il portait une magnifique robe de chambre brodée violet et or par dessus un haut de pyjama blanc comme neige, et, bien qu’il semblait venir de se réveiller ses yeux d’un pénétrant bleu regardaient attentivement le Professeur McGonagall.

'Professeur Dumbledore, Potter a eu… bien, un cauchemar,' dit Professeur McGonagall. « Il a dit que…'

'Ce n’était pas un cauchemar dit rapidement Harry.


Professeur McGonagall jeta un coup d’œil rapide à Harry, fronça légèrement les sourcils.

'Très bien, alors, Potter, vous raconterez vous même votre histoire au directeur.'

'Je…euh.., je dormait…' dit Harry, Il était terrifié et désespéré a l’idée que Dumbledore ne comprenne pas se qu’il voulait dire et devint très irrité quand il s’aperçu que le directeur ne le regardait pas mais examinait son propre doigt. « Mais ce n’était pas un rêve ordinaire… c’était vrai… j’ai vu ce qu’il c’est passé…' Il pris une grande respiration,

'Le père de Ron

- Mr Weasley – vient d’être attaqué par un énorme serpent.’

Les mots résonnèrent dans l’air puis, après qu’il les est dit, ils lui sonnèrent subitement ridicule et même comique. Il fit alors une pause, Dumbledore pencha sa tête vers l’arrière et regarda le plafond pensivement .Ron le teint livide regarda Dumbledore puis Harry consterné.

'Comment as-tu vu cela?' demanda Dumbledore calmement, sans regarder Harry

'Euh…Je ne sais pas,' dit Harry, plutôt en colère– qu’est-ce que cela voulait dire? « Dans ma tête, je suppose '

Tu m’as mal compris,' dit Dumbledore, toujours sur le même ton calme. « Je voulais dire si tu pouvais te souvenir où tu étais positionné lorsque l’attaque c’est produite? Si tu étais au coté de la victime ou encore, regardant la scène d’en haut »

C’était une question si curieuse qu’Harry se dit que Dumbledore connaissait déjà la réponse…

'J’était le serpent,' dit-il. 'J’ai vue la scène du point de vue du serpent.'

Personne ne parla durant un moment, puis Dumbledore, qui regardait maintenant la figure livide de Ron, demanda d’une voix sèche, « Arthur était-il sérieusement touché?'

'Oui,' dit Harry catégoriquement pourquoi était-il si lent avant d’agir, est-ce qu’ils étaient conscient qu’une personne peut perdre beaucoup de sang après avoir été mordu par de tels crocs.

Et pourquoi Dumbledore ne va pas voir lui même ce qu’il c’est produit?

Puis, Dumbledore se leva si brusquement qu’il fit sursauté Harry, et il s’adressa à un des vieux portrait accroché au plafond 'Everard? dit-il brusquement. 'Et vous aussi, Dilys!'

Un magicien au toupet noir et une vieille sorcière avec de grands cheveux frisés argentés apparus dans le cadre à coté de lui, tous les deux semblait venir d’être réveillé d’un très profond sommeil.

'Vous m’écoutez ?' dit Dumbledore.

Le sorcier hocha la tête en signe d’approbation ; la sorcière ajouta, 'Naturellement.

L’homme a les cheveux rouge et porte des lunettes,' dit Dumbledore. 'Everard, tu donneras l’alerte, fait en sorte qu’elle soit reçue par les bonne personnes -'

L’homme acquiesça et ils se déplacèrent en longueur hors de leur cadre, mais au lieu d’émerger dans les images voisines (comme il était habitude de voir à Poudlard) aucun ne réapparu.

Un des portrait ne contenait maintenant rien d’autre qu’arrière plan noir et l’autre un fauteuil capitonné. Harry nota que plusieurs autres directeurs et directrices accrochées aux murs somnolait et même ronflait tout en jetant de petit regard, Harry compris alors que c’était eu qu’il entendait parlé avant d’entrer dans le bureau de Dumbledore.

'Everard and Dilys étaient tous deux de très célèbre directeurs de Poudlard,'dit Dumbledore


, passant devant Harry, Ron et Professeur McGonagall se dirigeant vers le magnifique oiseau perché derrière la porte.

«Leur renommé est telle que l’on retrouve des portraits d’eux accroché au mur d’a peu près toutes les institutions importantes de sorciers. De cette façon ils sont libre de se déplacer d’un portrait à l’autre, ils peuvent donc nous avertir de ce qu’il arrivé autre part

…"

'Mais Mr Weasley peut être n’importe où!' dit Harry.

S’il vous plaît asseyez-vous tous les trois ! dit Dumbledore, comme s’il n’aurait pas entendu Harry, 'Everard et Dilys ne devraient pas être de retour avant quelques minutes Professeur

McGonagall, si vous pouviez apporter d’autres chaises.'

Professeur McGonagall sortit sa baguette de la poche de sa robe de chambre et l’oscilla

;3 chaises apparurent de nul part,. Harry s’assit et jeta un œil à Dumbledore.

Il était en train de flatter les plumes d’or de la tête de Fawkes avec un doigt.

Le phœnix se réveilla immédiatement.. Il étira sa belle tête et observa Dumbledore à l’aide de ses grands yeux sombres.

'Nous avons besoin »dit Dumbledore calmement à l’oiseau 'd’un avertissement.’

Il y eu alors un flash de feu et l’oiseau disparu..

Dumbledore était maintenant penché un des fragiles instruments argent dont la fonction était inconnue à Harry, .Dumbledore s’assit derrière son bureau pris sa baguette et taponna doucement le bout sur un des instruments. L’objet commença à émettre un tintement métallique rythmé. Une fine fumée vert pale s’émana du minuscule tube sur le sommet. Dumbledore regardait la fumée d’un air penseur, les sourcils plissés.

Après quelque seconde la petite traînée verte s’épaissi et s’envola dans les air…elle se transforma alors en un serpent à la bouche grande ouverte, prêt à attaquer. Harry se demandait si l’instrument était en train de confirmer son histoire, il regarda Dumbledore dans l’espoir d’un signe d’approbation, mais il ne le regarda même pas. 'Naturellement, naturellement,' murmura Dumbledore se parlant à lui même, observant l’épaisse fumée sans toutefois démontrer le moindre signe de surprise. Mais dans des essences divisées?'

Harry trouva cette question sans queue ni tête. Le serpent de fumée se sépara soudainement en deux serpents distincts, qui continuaient d’onduler dans l’obscurité.

Avec un sourire de satisfaction, Dumbledore redonna un coup avec sa baguette magique sur l’instrument ; le claquement métallique diminua puis s’arrêta complètement et les deux serpent de fumée s’évaporèrent dans l’air.

Dumbledore replaça son instrument à sa place sur la table. Harry s’aperçu que plusieurs des anciens directeurs dans leur portrait les suivait des yeux mais, à chaque fois qu’Harry regardait dans leur direction, il faisant semblant de dormir .Harry voulu demander à quoi pouvait servir l’étrange instrument argent, mais avant qu’il puisse ouvrir la bouche le sorcier

Everard réapparu dans son portrait, légèrement essoufflé.

'Dumbledore!'

'Que sont les nouvelles?' dit Dumbledore en premier.

'J’ai hurlé que j’avais entendu quelqu’un courir,'dit le sorcier tout en s’essuyant le front sur le rideau situé en arrière de lui, 'j’ai dit que j’avais entendu quelqu’un bouger l’étage en dessus -


Il n’était pas sure s’il devait me croire mais il finir tout de même par aller voir-vous savez il n’y a pas de portrait en bas .Ils l’ont monté quelques secondes plus tard. Il n’avait pas l’air en très bon état, il était couvert de sang, j’ai couru jusqu’au portrait de Elfrida Cragg pour avoir un vue sur où il l’amenait-'

Bien' dit Dumbledore pendant que Ron tremblait comme une feuille. Dilys risque donc de l’avoir vu arriver, alors -'

Et, un moment plus tard, la sorcière aux cheveux frisés argentés réapparu dans son portrait, et s’effondra dans son fauteuil et, 'Oui, Il l’on apporté à l’hôpital St Mungo, Dumbledore… ils ont passé juste devant mon portrait… il avait l’air mal en point…'

Merci,' dit Dumbledore. Puis il se tourna vers le Professeur McGonagall.

'Minerva, j’ai besoin que vous aillez réveiller les autre membre de la famille Weasley.'

'Bien sur…'

Professeur McGonagall se leva de sa chaise et se dirigea vers la porte. Harry tourna la tête et croisa le regard terrifié de Ron

'Et Dumbledore –que fait-on a propos de Molly?' ajouta Professeur McGonagall, faisant une pause à la sorti du bureau.

Ce sera le travail de Fawkes une fois qu’il aura fini de s’assurer que personne n’approche

' dit Dumbledore. 'Mais elle est sûrement déjà au courant… elle possède une excellente horloge…'

Harry devina que Dumbledore parlait de l’horloge, qui ne disait pas l’heure mais où était et la condition des divers membres de la famille Weasley, et s’imagina que l’aiguille désignant Mr Weasley pointait présentement danger de mort. Mais il était vraiment tard et Mrs Weasley était sûrement en train de dormir, peu de chance qu’elle regarde son horloge. .Harry se remémora tristement comment Mrs Weasley avait réagit quand l’épouvantail avait pris la forme de Mr Weasley, inerte les lunettes cassées, la figure pleine de sang … mais Mr Weasley ne va pas mourir … il ne peut pas…

Dumbledore cherchait maintenant quelque chose dans une étagère derrière Ron et Harry. Il fini par trouver une vielle bouilloire noircie, qu’il déposa sur son bureau. Il leva sa baguette et murmura 'Portus!' Pendant un moment la bouilloire trembla, et émit une lumière bleutée, puis elle redevint inerte et plus solide que jamais.

Dumbledore se dirigea vers un nouveau portrait, un sorcier à la barbe pointu et habillé aux couleurs de Serpentard. Vers t argent, qui faisait paraissait dormir si profondément qu’il n’entendait pas la voix de Dumbledore qui l’appelait.

'Phineas. Phineas.'

Les autres portrait autour ne firent plus assemblant de dormir il regardait tous ce qui se passait. Le sorcier quant à lui faisait toujours assemblant de dormir, et quelque des autres portrait, exaspéré crièrent aux aussi son nom.

'Phineas! Phineas! PHINEAS!'

Il ne pouvait plus prétendre plus longtemps ne pas entendre, il ouvrit donc grand les yeux.

'Quelqu’un m’a appelé?'

'J’ai besoin que tu ailles une fois de plus visiter votre autre portrait, Phineas,' dit Dumbledore. J’ai un nouveau message à transmettre.'


'Visiter mon autre portrait?' dit Phineas d’une voix dégoûté puis poussa un long bâillement qui sonnait faux.

(Il balaya la salle des yeux et porta une attention particulière à Harry).

'Oh, non, Dumbledore, Je suis trop fatigué cette nuit.'

Quelque chose dans la voix de Phineas sonnait plutôt familier à Harry, où pouvait-il déjà avoir entendu cette voix ? Mais avant qu’il puisse se pencher sur la question, les portraits se mirent tous à se plaindre et protester bruyamment.

'Insubordination, sir!'Rugit un sorcier corpulent au nez rouge, brandissant les points.

'Négligence du devoir!'

'Nous sommes tous honoré de servir le présent directeur de Poudlard !'

Se lamenta un vieux et frêle magicien que Harry reconnaisse en tant que le prédécesseur de Dumbledore, Armando Dippet. 'Honte à vous, Phineas!'

'Dois-je le persuader, Dumbledore?' dit une sorcière qui brandissait une baguette si épaisse que l’on aurait dit une branche de bouleau. .

'Oh, très, bien,' dit le sorcier dénommé Phineas, regardant la baguette avec appréhension, 'Il va sûrement bientôt détruire mon portrait, c’est ce qu’il a fait à une grande partie de la famille. -'

'Sirius sait qu’il ne faut pas détruire votre portrait,' dit Dumbledore, et réalisa au même moment qu’il avait déjà entendu la voix de Phineas ; dans un cadre apparemment vide de sa chambre à Grimmauld Place. 'Vous allez l’informer que Arthur Weasley vient d’être gravement blessé et que les enfants Weasley ainsi que Harry Potter vont arriver à la maison bientôt. . Avez-vous compris?'

'Arthur Weasley, blessé, femme et enfants et Harry Potter vont arriver,'

Répéta Phineas d’une voix ennuyé. « Oui, oui… très bien »

Il se dirigea vers un coté de son portrait et disparu de leur vue en même temps que la porte du bureau s’ouvra. Fred, George et Ginny arrivèrent accompagnés du Professeur McGonagall, tous les trois avait l’air choqué, désorienté et encore endormi.

'Harry – Qu’est ce qu’il ce passe?' demanda Ginny effrayée. 'Professeur McGonagall à dit que tu aurais vu papa atteint -'

'Votre père à été blessé au cours d’un mission dans le cadre de son travail au sein de l’ordre du

Phœnix,' dit Dumbledore, avant que Harry puisse parlé. 'Il a été envoyé à l’hôpital St Mungo pour maladies et blessures magiques. Je vais vous renvoyer chez Sirius, ce qui est plus près de l’hôpital que le Terrier. Vous y verrez votre mère.’

'Comment allons nous y rendre?' demanda Fred secoué. Par la poudre de cheminette?'

« Non,' dit Dumbledore, La poudre n’est pas un moyen sure pour le moment, son trafic est son observation. Vous allez prendre ce portoloin. 'Il pointais la vielle bouilloire qui reposait sur la table. 'Nous allons seulement attendre que Phineas Nigellus soit de retour…Je veux être sure que la voie est libre avant de vous y envoyer -'

Tout à coup il eut un flash de feu dans le milieu de la pièce, ne laissant derrière lui rien d’autre qu’une plume d’or qui flotta en douceur jusqu’au sol..

'C’est un avertissement de Fawkes,' dit Dumbledore, attrapant la plume avant qu’elle ne touche le sol.

'Professeur Umbridge sait que vous n’êtes plus au lit … Minerva, allez à sa rencontre-racontez lui n’importe quoi -'


Professeur McGonagall partie sur le champ.

'Il dit qu’il serait enchanté.' Dit une voix morne derrière Dumbledore; le sorcier Phineas était de retour en face de sa bannière de Serpentard. . Mon petit -petit -petit-fils est toujours prêt à recevoir des invités.'

'Venez ici,' dit Dumbledore à Harry et les Weasley. 'Faites vite avant que quelqu’un ne nous trouve.'

Harry et les autres se rassemblèrent autour du bureau de Dumbledore.

'Vous avez tous déjà utilisé un port au loin au par avant?' demanda Dumbledore, tous acquiescèrent, et touchèrent une partie de la bouilloire. 'Bien. À trois, alors ….1…..2….

'

Tous arriva en une fraction de seconde, durant l’interminable pause avant que Dumbledore dise 'trois',

Harry le regarda et le regard bleu de Dumbledore arrêta de regarder le port au loin et ce posa sur Harry. La cicatrice de Harry commença alors à lui faire terriblement mal comme si cette vielle blessure venait de rouvrir. Bien qu’il ne le veule pas vraiment un sentiment très fort le submergea, une haine très puissante ; il voulait frapper, mordre, insérer ses terribles crocs dans l’homme en face de lui.

'…trois.'

Harry senti une secousse puissant, le sol disparu de dessous ses pieds, sa main était toujours collée à la bouilloire; il se frappait les uns contre les autres, il furent expédié un remous de couleurs et de rafales de vent, la bouilloire les guidait… tout à coup ses pieds frappèrent le sol si violemment que ses genoux fléchirent et ils entendirent une voix crier : ‘arrière, enfants de traîtres de sang. Est il vrai que leur père est mourant?'

'DEHORS!' rugit une seconde voix.

Harry se remis sur ses pied et regarda autour de lui, il était dans la cuisine du numéro 12

Place Grimmauld .La seule source de lumière, qui provenait du feu de cheminer et d’une chandelle mourante, éclairait les reste d’un souper solitaire. Kreacher était en train de disparaître derrière la porte du hall, les regardant du coin de l’œil pendant qu’il réajustait sa taie d’oreiller qui lui servait de vêtement. Sirius vint à leur rencontre, l’air anxieux. Il n’était pas rasé et portait toujours ses vêtements de jour.

'Qu ‘est ce qu’il ce passe?' Dit-il, tout en aidant Ginny à se relever.

Nigellus a dit que Arthur avait été gravement blessé —'

'Pose les questions à Harry,' répondit Fred.

'Oui ça serait bien de savoir ce qu’il ces réellement produit,' enrichit George.

Les jumeaux et Ginny regardèrent vers lui. Les bruit de pied de Kreacher' s’était arrêté dans l’escalier.

'C’était -' Harry commença; c’était plus difficile à raconter leur qu’à McGonagall et Dumbledore. 'J’ai eu –une sorte – de vision. »

Et il leur raconta tous ce qu’il avait vue nonobstant le fait qu’il voyait la scène en tant que le serpent. Ron le teint livide, croisa son regard mais n’ajouta rien. Une fois que Harry eu terminé son récit Fred, George et Ginny continuèrent de le regarder en silence.

Harry ne savait pas si c’était son imagination qui lui jouait des tours mais il avait la réelle sensation qu’ils le dévisageaient d’un air accusateur. Bien, s’ils étaient pour le blâmer pour juste avoir vu l’attaque, il avait bien fait de ne pas leur dire qu’il était le serpent.

'Est-ce que maman est ici?' dit Fred, tourné vers Sirius.


'Elle ne sait probablement pas encore ce qu’il vient de se produire .Nous voulions surtout vous faire sortir de Poudlard sans que Umbridge interfère. J’espère que la lettre de Dumbledore mettra Molly au courant rapidement.’

'Nous devons nous rendre à St Mungo immédiatement,' dit Ginny. Elle regarda ses frères qui étaient tous encore en pyjama. 'Sirius, pourriez vous nous prêter des vêtement ou n’importe quoi ?'

'Attendez, vous ne pouvez vous rendre à St Mungo'!' dit Sirius.

'Bien sur nous le pouvons si nous le voulons,' lui répondit Fred,

'Il est notre père!'

'Et comment allez-vous expliquer le fait que vous savez qu’Arthur avait été attaqué, avant même que l’hôpital en est informé son épouse?'

'Qu’est-ce sa fait?' dit George.

'Ca fait que l’on ne veut pas attirer l’attention sur le fait que Harry est des visions de chose qui arrive à des kilomètres de lui. » dit Sirius en colère. 'Est ce que vous avez idées de ce que pourrait faire le ministère avec une telle information?'

Pour Fred et George tous ce que pouvait bien faire le ministère était le dernier de leurs soucis. Ron quant à lui avait toujours le même ton terreux et silencieux.

Ginny dit, 'Quelqu’un pourrait nous l’avoir dit….on pourrait l’avoir appris par quelqu’un d’autre que Harry.’

'Comme qui?' dit Sirius impatient. 'Écoutez, votre père à été blessé en travaillant pour l’ordre , les circonstances de son attaque son déjà assez douteuse alors vaux mieux ne pas en rajouter avec ses enfants qui on su ce qui était arrivé à leur père seulement quelque seconde après. Cela pourrait être désastreux pour l’Ordre -'

'On se fout de ce stupide Ordre!' cria Fred.

'Nous sommes en train de parler de la mort de notre père ! ' Rajouta George.

'Votre père faisait parti de l’Ordre et je ne pense pas qu’il soit trop réjouit de savoir que mettriez tout en l’air !' dit Sirius, toujours aussi en colère.

« C’est ce qui est ça- c’est pourquoi vous n’êtes pas dans l’Ordre. Il existe des chose pour lesquels on peut donner sa vie !'

'Facile à dire pour vous, obligé de rester ici!' beugla Fred. 'Je ne vous est pas encore vue risquer votre vie!'

Le peu de couleur qu’il restait au visage de Sirius disparu.. Il avait l’air, durant un instant près à bondir sur Fred et à le frapper mais lorsqu’il parla d’une voix déterminé et calme.

'Je sais que c’est difficile, mais nous devons tous faire comme si nous serions au courant de rien. Nous devons rester ici à attendre que votre mère arrive pour nous annoncer officiellement la nouvelle. Ok ? '

Fred et George avaient toujours l’air prêt à se rebeller. Ginny, cependant, recula de quelques pas et s’effondra sur une chaise. Harry regarda Ron qui fit un mouvement étrange entre un hochement de la tête et un haussement d’épaules, et ils s’assirent. Les jumeaux continuèrent à lancer des regards furieux à Sirius, mais après un instant il finirent par prendre place au coté de Ginny.

« Ca c’est bien,' dit Sirius, 'pendant que nous attendons profitons-en pour boire quelque chose. Accio Bière au beurre!'

Il leva sa baguette et une demi-douzaine bouteilles arrivèrent en volant, glissèrent sur la table en accrochant les restes du souper de Sirius, puis vinrent s’enligner devant eux.. Ils burent tous et pendant un bon moment le seul bruit qu’ils entendirent était le craquement du feu dans le foyer et le bruit des bouteilles contre la table.

Harry buvait seulement pour avoir quelque chose à faire avec ses mains. Son estomac lui faisant terriblement mal .S’il n’aurait pas été de lui personne ne serait là, ils seraient sans doute tous couché dormant paisiblement. Il ne pouvait pas se convaincre que c’était grâce à lui que Mr Weasley avait été trouvé et avait peut-être des chances de survivre car il n’était pas totalement sur de n’avoir aucun rapport avec l’attaque de celui-ci.

Ne sois pas stupide, tu n’a pas de crocs, se parlant à lui même ,essayant de garder son sang froid , bien que la bouteille de bière au beurre tremblait entre ses mains, Tu dormais dans ton lit tu n’as pas pus attaquer quelqu’un …

Mais comment expliquer ce qu’il était arrivé dans le bureau de Dumbledore? Se demanda t-il. J’avais l’impression de vouloir attaquer Dumbledore …

Il laissa déposa sa bouteille un peu plus fort qu’à son habitude et sa Bièraubeurre se renversa sur la table. Cependant, personne ne sembla prêter attention à l’incident. C’est alors qu’un éclair de feu élimina la pièce laissant tomber un parchemin sur la table ainsi qu’une simple plume d’or de

'Fawkes!' s’écria Sirius, prenant le parchemin. Ce n’est pas l’écriture de Dumbledore ça doit donc être un message de votre mère ici- '

Il donna le parchemin à George qui l’ouvrit et le lit d’une voit forte:

'Papa est toujours en vie, .Je suis présentement en route pour St Mungo. Rester où vous êtes. Je vous redonnerais des nouvelle le plus tôt possible, Maman.

George regarda autour de la table.

'Toujours en vie…' dit-il lentement. 'Mais cela sonne plutôt comme…'

Il ne fini pas sa phrase. Harry partageait son opinion, , comme si M. Weasley planait quelque part entre la vie et la mort. .Fred arracha le parchemin des mains de George et le lit pour lui même, puis regarda Harry qui sentait de plus belle ses mains trembler sur sa bouteille.

Si Harry n’avait jamais rester assis aussi longtemps, sinon il ne s’en souvenait pas. Sirius avait bien suggérer, sans réelle conviction, qu’ils aillent tous ce coucher, mais le regard que lui lancèrent lui les Weasley ne le fit pas insister. Ils restèrent donc tous assis, à regarder les chandelles brûler, prenant de temps en temps une gorgé de Bièraubeurre, parlant seulement pour vérifier l'heure, se demander à haute voix ce qui se produisait ou encore se rassurer que s'il y avait eu des mauvaises nouvelles ils le sauraient depuis longtemps car cela Mme Weasley devait maintenant être arrivée à st- mungo Fred somnola, la tête appuyée sur une de ses épaules. Ginny était quant à elle courbé sur sa chaise comme un chat, mais ses yeux étaient toujours ouverts ; Harry pouvait voir la lumière des chandelles s’y refléter. Ron était assis et sa tête reposait entre ses bras de façon à ce qu’il soit impossible de dire s’il dormait ou pas. Harry et Sirius se croisaient souvent du regard, ils étaient les intrus au sein de la famille.

À 5h10 de matin, selon la montre de Ron, la porte de la cuisine s’ouvrit brusquement et Mrs Weasley rentra dans la pièce. Elle était extrêmement pâle, mais quand ils se tournèrent tous dans sa direction, Fred Ron et Harry quasiment debout sur leur chaise, elle leur sourit timidement.


'Il se porte mieux,' dit-elle d’une voix faible et fatiguée. 'Il est endormi.

Nous allons pouvoir lui rendre tous visite plus tard. Bill veille présentement sur lui ; il va prendre la matinée de congé.'

Fred se laissa tomber dans sa chaise et enfui sa tête dans ses mains. George et Ginny se levèrent de leur chaise et allèrent donner un gros câlin à leur mère. Ron ricana d’une voix chancelante, et cala d’un coup sec sa Bièraubeurre.

'Déjeuner!' dit Sirius d’un ton joyeux, se levant de sa chaise. 'Où peu bien être ce maudit elfe ?

Kreacher! KREACHER!'

Toutefois, Kreacher ne répondit pas à.

'Oh, oubliez ça,' murmura Sirius, comptant les personnes devant lui. 'Ainsi, c’est pour déjeuner voyons voire -7…bacons avec œufs, je pense qu’il nous reste aussi du thé et des toast

-'

Harry fut ravie de pouvoir proposer son aide. Il ne voulait pas interférer avec la joie des Weasley et il redoutait le moment où Mrs Weasley lui demanderait de lui raconter sa vision. Cependant, à peine avait t-il pris les plats de l’étagère que Mrs Weasley le lui ôta des mains et serra Harry contre elle.

'Je ne sais pas ce qu’il serait arrivé sans toi, Harry, » dit-elle. Ils n’auraient pas trouvé Arthur avant des heures, et il aurait été trop tard, mais grâce à toi il est encore en vie. De plus, Dumbledore à trouver une histoire pour couvrir Arthur, tu n’a pas idée dans quel trouble il aurait pu être, regarde le Sturgis…"

Harry comprenait difficilement la raison de toute cette gratitude, mais heureusement elle fini par le relâcher et se tourna vers Sirius pour le remercier d’avoir pris soin des enfants au cours de la nuit. Sirius lui répondit qu’il était ravi d’avoir été utile et qu’il espérait que les enfants restent chez lui jusqu’à la fin de la convalescence de Mr Weasley.

'Oh, Sirius, J’en suis trop reconnaissante…Ils disent qu’il devra rester à l’hôpital pour un petit bout de temps encore…ce qui voudrait dire qu’il pourrait encore y être à noël. '

Plus on est de fou plus on rie!'Répondit Sirius avec un tel regard de sincérité, que Mrs Weasley ne pu que lui sourire puis enfila son tablier et commença à l’aider dans la préparation du déjeuner.

'Sirius,' murmura Harry, incapable d’attendre un moment de plus. 'Est-ce que je pourrait juste te dire quelque chose ? Euh…Maintenant ?'

Il se dirigea vers l’obscur office suivi de Sirius, sans crier garde Harry commença tout de suite à lui faire le récit en détail de sa vision, incluant le fait, qu’il voyait la scène de l’attaque comme s’il avait lui même été le serpent. Quand il s’arrêta pour reprendre sa respiration, Sirius dit : 'Est-ce que tu as raconté ça à Dumbledore?'

'Oui,' dit Harry impatient, 'Mais il ne m’a pas dit ce que cela voulait dire, en fait il ne m’a pas dit grand chose...'

'Je suis sure que s’il avait à s’inquiéter il t’en aurait informé,' dit Sirius confiant

.

'Mais ce n’est pas tout,' ajouta Harry, un peu plus fort qu’un chuchotement. 'Sirius, Je…

je

Pense que je deviens mauvais. Lorsque j’était dans le bureau de Dumbledore, juste avant de prendre le portoloin…durant quelques secondes, j’était convaincu d’être rendu le serpent, je le sentait, ma cicatrice était extrêmement douloureuse lorsque je regarda Dumbledore,Sirius je voulais l’attaquer ! '

Il ne pouvait ne voir que la figure de Sirius, le reste était caché dans l’obscurité.

'Ce ne devait être rien ‘autre qu’un effet secondaire du à la vision, »dit Sirius 'Tu pensais à ton rêve ou peut importe ce que c’était et-'

'Ce n’était pas ça,' dit Harry, oscillant la tête, 'c’était comme ci quelque chose voulait sortir de moi, comme s’il avait un serpent en moi.

'Tu as besoin de sommeil,'dit fermement. 'Tu vas déjeuner, puis tu vas monter te mettre au lit, et après le dîner nous irons faire un tour à l’hôpital avec les autres voir Arthur.

Tu es en état de choc Harry, Tu te blâmes pour quelque chose dont tu a seulement été le témoin, et par chance que tu en es été le témoin car sans ça Arthur serait sûrement mort. Arrête de te faire du mauvais sang.'

Il donna une petite claque sur les épaules de Harry et quitta l’office laissant Harry seul dans l’obscurité.

*

Tous, sauf Harry passèrent le reste de l’avant-midi à dormir. Il se rendit à la chambre qu’il avait partagé avec Ron durant quelque semaines cet été, mais pendant que Ron rampait jusqu'à son lit où il s’effondra profondément endormi, Harry s’assit complètement habillé sur son lit dans une position des plus inconfortable pour s’assurer qu’il ne s’endorme pas .Il était déterminé à ne pas faire de sieste par peur de rêver une fois de plus au serpent et de se réveiller et trouver qu’il avait attaqué Ron.…

Quand Ron se réveilla, Harry prétendit être heureux d’avoir pu faire un petit somme réparateur. Leurs valises arrivèrent de Poudlard pendant qu’ils dînaient, ils pouvaient donc s’habiller en modus pour se rendre à St Mungos. Tout le monde à part Harry était impatient à l’idée d’enlever leur robe et porter une bonne vielle paire de jeans et un t-shirt.

. Quand Tonks et Fol œil arrivèrent pour les escorter à travers les rues de Londres, ils furent accueillis avec joie. Tous rirent du chapeau melon, incliné de façon que l’on ne remarque pas l’œil magique de Fol œil. De plus Tonks avait cette fois ce les cheveux court et rose flash, ce qui pour une mission discrétion, n’était pour passer inaperçu dans le métro .Tonks était très intéressé par le récit de la vision d’Harry, cependant Harry ne tenait pas nécessairement vraiment à en parler..

Est-ce que tu est sur qu’il n’y pas de sang de voyant dans ta famille?' ajouta t-elle curieusement, tandis qu’ils étaient assis cote à cote dans le train qu’il les menait au centre-ville.

.

'Non,' répondit Harry, qui trouva cette remarque insultant pensant au Professeur Trelawney

'Non,' répéta Tonks, 'non, Je suppose que tu n’a rien vraiment prédit ? Je veux dire que tu n’as pas prédit le future, tu as seulement vu le présent. … C’est bizarre, n’est-ce pas ?

Utile, quoique…'

Harry ne répondit rien ; heureusement ils sortirent au prochain arrêt dans une station au cœur même de Londres, et dans l’agitation du départ du train il réussi à faire en sorte que les jumeaux s’interpose entre lui et Tonks, qui était à la tête du groupe. Ils l’a suivirent en haut de l’escalier roulant, tandis que Maugrey, le chapeau toujours recouvrant son œil, et sa main dans le veston prêt à prendre sa baguette à tout moment, fermait la route.. Harry sentait que son œil magique l’observait. Essayant d'éviter d’autres questions au sujet de son rêve, Harry alla demander à Fol œil où était caché l’hôpital St Mungo.

'Pas très loin d’ici,' grogna Maugrey, pendant qu’il sortait dehors, et se déplaçait dans une large rue envahie de client faisant leur achat de Noël. ; Harry sentait que l’œil de Maugrey regardait dans toutes les directions en dessous de son petit chapeau.

'Ce n’était pas facile de trouver une bonne place ou construire un hôpital. Le chemin de la traverse n’était pas assez gros et nous ne pouvions pas le construire sous terre comme le Ministère de la magie- se ne serait pas trop sain. A la fin du compte, Il sont parvenu à trouver un emplacement ici, la où les magicien malade pouvait aisément se camoufler dans la foule.'

Il s’assis Harry par les épaule pur s’assurait qu’il ne soit pas dispersé dans la foule des clients qui sortait d’un magasin d’électronique.

'C’est ici que nous allons,' dit Maugrey un moment plus tard.

Ils étaient arrêtés devant un grand bâtiment plutôt âgé et aux briques rouges appelées Purge 6z Dowse Ltd. La place avait l’air misérable, les vitrines étaient toutes craquelées et on pouvais voir derrière eux des mannequins extrêmement poussiéreux, et le design de la batiste était passer mode depuis au moins dix ans. Sur toutes les portes miteuses et poussiéreuses, on pouvait lire: 'Fermé pour rénovation'.

Harry entendit une grosse madame qui avait les mains remplies de sac de plastic dire à son amie tandis qu’il passait devant l’édifice 'Cette place n’est jamais ouverte …'

'Bien,' dit Tonks, pointant du doigt une fenêtre derrière laquelle on ne voyait rien d’autre qu’un mannequin d’une femme particulièrement laide. 'Tout le monde est prêt?'

Ils approuvèrent et se rassemblèrent autour d’elle. Tonks approcha sa tête de la vitrine, si proche que sa respiration embuait la vitrine, puis, comme pour parler au mannequin,

'Wotcher,'

Chuchota t-elle, 'nous sommes ici pour rendre visite à Arthur Weasley.'

Harry pensa qu’il était absurde que le mannequin puisse entendre la voix de Tonks avec tout chahut de la ville .Puis il se dit que de toute façon le mannequin ne pouvait pas entendre. Quelques secondes plus tard Harry eu un tel choc que sa mâchoire tomba à terre, le mannequin venait de leur faire signe. Tons agrippa Ginny et Mrs Weasley par les coudes et sauta de l’autre coté du miroir, suivi par Fred, George et Ron.. Harry regarda autour de lui, personne ne semblait intéresser pas le Purge & Dowse Ltd; et par conséquent n’avait pas remarqué que 6 personnes viennent tout juste de passer à travers une vitrine.

'Allons-y,' grogna Maugrey, qui poussa Harry vers la vitrine. Une fois de l’autre coté, Harry ne reconnu rien de l’endroit qu’il avait pus observer de l’extérieur. Il était maintenant dans une sorte de salle de réception où se trouvait plusieurs sorciers assis sur des chaises, quelques uns semblaient totalement normaux lisant le journal et d’autre qui avait l’air plutôt mal en point allant de la défiguration à la main supplémentaire. La salle était à peine plus silencieuse que la rue, plusieurs patients émettaient d’étranges bruit comme cette sorcière qui suait à grande goutte, s’éventant avec une gazette du sorcier et dont de la vapeur qui s’émanait de sa bouche émettait un étrange sifflement.

Ou encore il y avait ce sorcier, assis ans un coin qui à chaque fois qu’il bougeait on entendait un son de cloche et, lorsqu’il bougeait trop brusquement, sa tête se mettait à trembler si fort qu’il devait la saisir pour qu’elle arrête de trembler et sonner.

Des sorcières et des magiciens dans de longues robes vert lime marchaient à travers les rangées, posaient des questions et prenaient des notes dans un calepin à la façon d’

Umbridge. Harry remarqua qu’ils portaient tous une l'emblème brodé sur leurs robes: une baguette magique et un os, croisés.

'Est-ce que se sont des médecins' demanda t-il calmement à Ron.

'Médecin?' dit Ron, surpris. Ces Moldus cinglés qui tranchent tout le monde?

Non, se sont des Guérisseurs.

'Ici!' appela Mrs Weasley qu’ils suivirent jusqu’a une file de personne qui attendait pour parler à une sorcière blonde et plutôt dodue, assis à un bureau appelé enquêtes. Le mur derrière elle était tapissé de poster et de note tel que le mur qui se trouvait derrière elle en était couver in notices

Et un poster disait ceci: Un chaudron bien lavé empêche vos potions de devenir poison ou encore les remèdes ne remédient à rien s’ils ne sont pas approuvé par un Guérisseur qualifié.

On pouvait aussi y voir un grand portrait d’une sorcière au long cheveu argenté frisée.

Dilys Derwent

Guérisseuses à St Mungo 1722-

Directrice de Poudlard 1741-

Dilys regardait dans la direction des Weasley et semblait les compter, quand Harry son regard elle lui fit un clin d’œil et parti de portrait.

Pendant ce temps, à l’avant de la file, un jeune sorcier dansait une étrange danse, comme s’il serait possédé -, et entre ses plaintes de douleur, il essayait d’expliquer sa fâcheuse situation à la sorcière assise derrière le bureau.

'C’est ces- ouch – chaussures que mon frère m’a donné - waw – elles sont en train de me manger mes - OUCH -pieds –regardez les, Il doit y avoir une sorte - AARGH –

sortilège sur eux et je ne peux pas - AAAAARGH – les enlever. 'Dit-il sautillant d’un pied à l’autre comme s’il marchait sur du charbon ardent.

Ces chaussures vous empêchent t-elles de lire?' dit la sorcière blond d’un ton irrité pointant une large pancarte à gauche de son bureau 'Vous devez vous rendre à l’étage des dommages dues aux sortilèges, 4ème étage, comme il est indiqué sur le guide des étages. Prochain !'

Après que le sorcier est dégagé le chemin en sautillant, le groupe se dirigea vers le panneau qu’avait indiqué la sorcière, et Harry lit le guide : ACCIDENTS DU AUX ARTEFACTS… étage du rez-de-chaussée

Explosion de chaudron, contre sort de baguette, bris de, etc.

BLESSURES PROVOQUÉES PAR DES CRÉATURES… 1er étage

Morsures, piqûres, brûlures, accroché dans des épines, etc.

MALADIES MAGIQUES… 2ème étape

Maladies contagieuse : varicelle de dragon, maladies de disparition, etc.


EMPOISSONNEMENT PAR POTIONS OU PLANTES… 3ème étage

Éruption, régurgitation, incontrôlable, etc.

DOMMAGES DUS AUX SORTILÈGES… 4ème étage

Mauvais sortilège, applications incorrectes de charme, etc.

SALLE DE THÉ POUR VISITEUR/MAGASIN DE L’HÔPITAL… 5ème étage SI VOUS ÊTES INCERTAIN OÙ ALLER, INCAPABLE DU DISCOURS

NORMALEMENT OU INCAPABLE DE SE RAPPELER POURQUOI VOUS

ÊTES ICI, NOTRE SORCIÈRE RÉCEPTIONNISTE SERA HEUREUSE DE

VOUS AIDER

Un très vieux sorcier avec un porte voix d’audition dépassa la file,

'Je suis ici pour voir Broderick Bode !' dit-il avec fracas.

' Salle 49, mais j’ai peur que vous perdiez votre temps,'dit la sorcière. 'Il est complètement embrouillé, vous savez – depuis qu’il est convaincu être une tasse de thé.

Prochain!'

Un magicien épuisé tenait sa petite fille par la cheville tandis qu'elle flottait dans les airs en agitant de grandes ailes plumeuses qui lui avaient poussé sur son dos à travers sa barboteuse. '4ème étage,' dit la sorcière d’un ton ennuyé, sans poser de question l’homme se dirigea vers la porte double à coté du bureau, tenant sa fille comme un ballon gonflé à l’hélium

. 'Prochain!'Mrs Weasley s’avança devant le bureau

'Bonjour,' dit-elle, 'mon mari, Arthur Weasley, était supposer changer de chambre ce matin, est-ce que je pourrais savoir laquelle -?'

'Arthur Weasley?' dit la sorcière parcourant la liste à l’aide de son index.

'Oui, 1er étage, 2ème porte à votre droite, salle Dai Llewellyn.’

Merci, répondit. Mrs Weasley. 'Suivez-moi.'

Ils la suivirent derrière la double porte, puis le long du couloir dont les murs était couvert de portrait d’ancien Guérisseur, éclairé par des boule de cristal contenant des chandelles flottant dans les airs tel des bulles de savon.

Ils avaient un grand mouvement de va et viens, de sorcier en robe verte qui rentrait et sortait de partout. .De la fumée jaune s’émanait de derrière l’une des portes et l’on entendait quelqu’un pleurer au loin. Il montèrent un escalier et entrèrent dans le corridor des blessure du aux créatures magique, et lurent sur la 2ème portes 'Danger 'salle Dai Llewellyn

: Morsure sérieuse. Sous cette carte il y avait un portfolio où il était écrit à la main: Guérisseur en charge: Hippocrate Smethwyck. Apprenti médecin: Augustus Pye.

'Nous allons attendre dehors, Molly,'proposa Tonks. 'Arthur ne voudra pas trop de visiteur à la fois … Laissons tout d’abord la famille lui rendre visite.'

Fol œil émis un grognement d’approbation et s’appuya le dos contre le mur, son œil magique regardant dans toutes les directions. Harry limita, et se retira du groupe mais Mrs Weasley attrapa son bras et le traîna dans la salle.


, 'Ne soit pas idiot, Harry, Arthur tient à te remercier.'

La pièce était plutôt petite et terne car il ne s’y trouvait qu’une seule minuscule petite fenêtre. La plus grand parti de la lumière provenait des petites boules de cristal en suspension dans le milieu de la pièce. On pouvait observer, comme unique décoration de la pièce, un portrait d’un sorcier au regard vicieux, intitulé: Urquhart Rackharrow,

1612—1697,

Inventeur sort Entrail-expelling

Il y avait seulement 3 patients. Mr Weasley occupait le lit le plus au fond, a coté de la petite fenêtre. Harry fut heureux et soulagé de le voir assis grâce à plusieurs oreillers, en train de lire la gazette du sorcier s’éclairant de l’unique rayon de soleil disponible. Alors qu’il marchait dans sa direction, il leva la tête et les accueillit.

'Bonjour!' dit-il, jetant le journal à ses cotés.

'Bill vient tout juste de partir, Molly, il a dit qu’il devait retourner travailler, mais il sera de retour plus tard.’

'Comment vas-tu, Arthur?' demanda Mrs Weasley, se penchant pour lui donner un baiser sur la joue et le regardant anxieusement dans les yeux..

'Tu as toujours le teint un peu blême.'

'Je vais absolument bien,' dit Mr Weasley, levant les bras pour faire un câlin à Ginny 'Si il pourrait seulement enlever les bandages je pourrais retourner à la maison sans problème.'

'Pourquoi ne peuvent-ils pas te les enlever, papa?' demanda Fred.

'Bien, je commence à saigner comme un fou à chaque foi qu’il essai.' dit gaiement Mr Weasley.

S’étirant les bras pour atteindre sa baguette déposée sur sa table de chevet, puis suite a un mouvement de va et vient il fit apparaître 6 nouvelles chaises.

'Il semblerait que le poison du serpent qui ma mordu d’un sorte peu commune qui empêche les blessures de se refermer. Ils sont confiants de trouver un antidote.

Toutefois pour l’instant ils ont des cas plus urgent que le mien donc je dois me contenter de prendre une potion Remplisseur de Sang à toutes les heures .mais cet homme à coté de moi,' dit-il baissant son timbre de voix, et regardant vers le li d’a coté, où reposait un homme au teint vert et à l’air malade.

'Mordu par un loup-garou, pauvre gars. Aucun remède possible.'

'Un loup-garou?' chuchota Mrs Weasley inquiète. 'Est-il sécuritaire qu’il soit dans une salle publique? Il ne devrait pas être dans une chambre privé?'

'La pleine lune n’arrive pas avant 2 semaines,'la rassura Mr Weasley .Ils lui ont parler se matin, le Guérisseurs et essayé de le convaincre qu’il pouvait passer une vie normal. Je lui suis dit que je connaissais un loup-garou, un homme très bien, qui a réussi à vivre une vie presque normale. ..'

'Qu’est-ce qu’il a répondu?' l’interrogea George.

'Il a dit qu’à son tour il était pour me mordre si je ne taisais pas,' dit tristement Mr Weasley. 'Et la femme de ce coté,'il pointait le seul autre occupant de la pièce, dont le lit était juste à coté de la porte. , 'Elle ne veut pas dire aux Guérisseurs se qui l’à mordu, ce qui les porte à croire qu’elle a manipulé quelque chose d’illégal. Peu importe, ça lui a enlevé un très gros morceau de peau sur la jambe, qui dégage une odeur insupportable quand il lui enlève ses bandages..'

'Est-ce que tu va enfin pouvoir nous dire ce qu’il t’ai arrivé, Papa?' demanda Fred, approchant sa chaise du lit.

'Bien, mais vous n’êtes pas déjà au courant?' dit Mr Weasley, avec un grand sourire s’adressant à Harry.

'C’est très simple – J’ai eu une grosse journée et je me suis endormi au travail, et, plus tard, en sortant du bureau je me suis fait mordre.'

'Ton attaque a paru dans la gazette du sorcier?' demanda Fred, indiquant le journal que lisait Mr Weasley.

'Non, bien sur que non,' dit Mr Weasley, avec un sourire en coin, 'le ministère ne voudrait pas que tout le monde sache qu’un serpent —'

'Arthur! Prevent .Mrs Weasley.

'- ma euh- attrapé' dit rapidement Mr Weasley, Harry était convaincu qu ce n’était pas réellement ce qu’il voulait

'Alors, où était tu lorsque c’est arrivé, Papa?' demanda George.

Ca c’est mes affaires,' dit Mr Weasley, Il pris la gazette du sorcier, l’ouvrit une fois de plus et ajouta

, 'J’était justement en train de lire un article sur l’arrestation quand vous êtes arrivés

.Vous savez Willy Widdershins, C’était lui qui était celui derrière les toilettes régur gantes de l’été dernier ? Un de ses maléfices s’est retourné vers lui, la toilette a explosé et l’on retrouvé inconscient dans les débits couvrit de la t^te aux pieds de-'

'Quand tu as dit que tu étais « en service »,' l’interrompra Fred d’une voix forte, 'Qu’estce que tu faisais exactement ?'

'Tu as entendus ton père,' lança Mrs Weasley, 'Nous ne parons pas de ça, dis nous en plus à propos de Willy Widdershins, Arthur.'

'Bien, ne me demandé comment, mais la dernière fois il a été prouvé innocent,' dit Mr Weasley. 'Je peu seulement supposé qu’il y est eu des pots vin -'

'Tu était son gardien, n’est-ce pas?' dit lentement George. L’arme ? La chose que vous savez qui cherche?'

'George, parle moins fort!' coupa Mrs Weasley.

'De toute façon,' dit Mr Weasley, parlant encore plus fort, 'Cette fois ci Willy est détenu dans une prison Moldus, et je ne crois pas que cette fois il réussisse à s’en sortir car, selon cet article deux Moldus on perdu des doigt et on donc été transféré ici à St Mungo, pour une repousse d’os puis une modification de mémoire. Pensez-y, des Moldus St Mungo ! Quel sorte de sortilège à t-il lancé?'

Tu n’as pas dit que tu sais qui avait utilisé un serpent,’demanda Fred, observant la réaction de son père. 'Un gros? Celui que tu as vu la nuit de son retour, n’est-ce pas?'

C’est tout, Dit Mrs Weasley. 'Fol œil et Tonks sont dehors, Arthur, ils veulent venir te rendre visite. et vous tous pendant ce temps vous nous attendrez à l’extérieur,'ajouta telle pour ses enfants et Harry

'Vous pourrez revenir après et dire au revoir à votre père après, allez-y.'

Ils retournèrent dans le corridor. Fol Œil et Tonks rentrèrent dans la salle et fermèrent la porte derrière eux. Fred leva les sourcils.


'Bien,' dit-il froidement, cherchant quelque chose dans ses poches, 'Si il pense que sa va se passer comme ça. Ne nous disant rien.'

'Tu cherche les dernières?' dit George, tenant dans ses mains quelque chose qui ressemblait à un nœud fait dans une corde de couleur

'Tu lis dans mes pensées,' rugit Fred, 'Voyons voir si St Mungo a pensé à mettre des charmes Imperturbable au porte de leurs salles?'

Fred et George démêlèrent le nœud et n dégagèrent 5 Oreille Extensible pour chaque personne. Fred et George les firent circuler. Harry hésita à prendre la sienne.

'Vas-y, Harry, prend-la! Tu as sauvé la vie de notre père. Si quelqu’un à le droit d’écouter au porte c’est bien toi.

Harry fini donc par prendre le bout de sa petite corde et à l’insérer dans son oreille comme venait le faire les jumeaux.

'OK, allons-y!' dit Fred.

Les cordes de couleur vivent se mirent a onduler comme des lombrics, et glissèrent en dessous de la porte. Au début Harry n’entendait rien, mais il sursauta lorsque Tonks commença à parler, il l’attendait comme si elle serait juste à coté de lui.

'… ils ont cherché dans tout le secteur mais il n’ont pas trouvé le serpent, on dirait qu’il s’est évaporé après t’avoir attaqué, Arthur… Mais vous savez qui ne peut pas s’attendre à se qu’un serpent puisse y entrer.'

'Je ne crois pas qu’il s’entendait à rencontrer quelqu’un,' grogna Maugrey, "Il n’a pas vraiment eu de chance jusqu’ici? Non, Je crois qu’il voulait ce faire un portrait des lieux avant de passer réellement à l’action, si Arthur n’aurait pas été là la bête aurait eu tout son temps pour faire le tour des lieux.. De plus, Potter dit qu’il a vu ce qu’il était arrivé ?'

'Oui,' dit Mrs Weasley. Elle avait plutôt incommodé. 'Tu sais, Dumbledore S’attendait à ce que Harry ait ce genre de visions.'

'Oui, bien,' dit Maugrey, 'il y a quelque chose d’étrange avec le fils Potter, nous le savons tous.’

'Dumbledore avait l’air d’être inquiet à propos de Harry quand je lui ais parlé ce matin,'

Chuchota Mrs Weasley.

'Bien sur qu’il était inquiet,' grogna Maugrey. 'Le gars à vue la scène de l’intérieur du serpent de Vous savez qui. Heureusement, Potter n’a pas l’air de réaliser ce que cela veut dire, mais si Tu Sais Qui a pris possession de lui —'

Harry enleva son Oreille Extensible, son cœur battait la chamade

.Il regarda les autres. Ils le regardaient tous avec crainte, le fil pendant toujours de leurs oreilles.


Chapitre 23 : Noël sous haute surveillance

Etait-ce pour cela que Dumbledore ne voulait toujours pas croiser les yeux de Harry ?

Est ce qu'il craignait de voir Voldemort le fixer à travers eux, inquiet, peut être, que leur vert vif vire soudainement au rouge, avec deux fentes en guise de paupières ? Harry se souvint de la façon dont le visage ressemblant à un serpent de Voldemort s'était un jour extrait hors de l'arrière de la tête du professeur Quirrel et passa sa main derrière la sienne, en se demandant ce que l'ont devait ressentir quand Voldemort jaillissait de son crâne.

Il se sentait sale, contaminé, comme s'il portait quelque germe mortel, indigne de s'asseoir dans le métro qui le ramenait de l'hôpital avec des innocents, des gens sains dont les corps et les esprits étaient exempts de la présence de Voldemort... Il n'avait pas simplement vu le serpent, il avait été le serpent, il le savait à présent...

Une pensée terrible lui vint soudain, comme un souvenir lui revenait en mémoire, qui lui donna le sentiment que ses entrailles se tortillaient et frétillaient comme des serpents.

Que cherche-t-il, mis à part des serviteurs ?

Quelque chose qu'il ne peut obtenir que dans l'ombre... Comme une arme.

Quelque chose qu'il n'avait pas la dernière fois.

Je suis l'arme, songea Harry, et c'était un lent poison qui coulait dans ses veines, qui lui glaçait la sang, qui lui donna des sueurs froides tandis qu'il oscillait en suivant le mouvement du train dans le tunnel sombre. Je suis celui que Voldemort essaye d'utiliser, c'est pour ça qu'il y a des gens pour me surveiller partout où je vais, ce n'est pas pour ma protection, c'est pour les autres, mais ça n'a pas marché, personne ne peut garder un oeil sur moi à Poudlard... J'ai attaqué M. Weasley la nuit dernière, c'était moi.

Voldemort m'a obligé à l'attaquer, et il est peut être à l'intérieur de moi en ce moment, à écouter mes pensées...

"Est ce que tout va bien, Harry, chéri ?" chuchota Mme Weasley en se penchant par dessus Ginny pour lui parler tandis que le train continuait sa route dans le tunnel avec un bruit metallique. "Tu n'a pas très bonne mine.

Tu ne te sens pas bien ?"

Tout le monde le regardait. Il secoua vilemment la tête et se redressa pour donner une impression d'assurance.

"Harry, chéri, tu est sûr que tout va bien ?" demanda de nouveau Mme Weasley d'une voix inquiète, comme ils traversaient la parcelle de pelouse mal entretenue du milieu de la place Grimmauld. "Tu est tellement pâle... Tu est sûr que tu as dormi ce matin ? Tu n'as qu'à monter te coucher tout de suite, comme ça tu auras quelques heures devant toi pour dormir avant le dîner, d'accord ?"

Il acquiesça; il avait là une excuse toute trouvée pour ne parler à aucun des autres, ce qui était exactement ce qu'il voulait, il se dépêcha donc de passer à côté du porte parapluie en forme de jambe de troll et de grimper les escalier jusque dans la chambre qu'il partageait avec Ron dès que Mme Weasley eut ouvert la porte.

Là, il commença à faire les cent pas, entre les deux lits et le cadre vide du portrait de Phineas Nigellus, son esprit bouillonnant de questions et d'idées noires.


Comment était-il devenu un serpent ? Peut être qu'il était un Animagus...

non, c'était impossible, il le saurait... Peut être que Voldemort était un Animagus... Oui, pensa Harry, c'était possible, il pourrait se transformer en serpent bien sûr... Et quand il me possède, nous nous transformons tous les deux... Mais ça n'explique toujours pas comment j'ai pu aller à Londres

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