Une lanterne arriva oscillant vers Harry et grâce à cette lumière il vu l’important menton et coiffure rigoureuse du professeur Gobe-Planche, la sorcière qui avait assuré les cours de Soin des Créatures Magiques à la place de Hagrid un moment, l'année précédente.

« Où est Hagrid ? » dit-il tout haut.

« Je ne sais pas, »dit Ginny, « mais nous ferions mieux de nous pousser de ce chemin, nous bloquons la porte. »

« Oh, ouais… » Harry et Ginny furent séparés comme ils avançaient le long du quai et sortaient de la gare. Bousculé par la foule, Harry chercher à entrevoir l’ombre de Hagrid; il devait être ici, Harry comptait là-dessus - revoir Hagrid était une des choses qui le réjouissait le plus. Mais il n'y avait aucun signe de lui.

Il ne peut pas être parti, se dit Harry comme il avançait lentement par une porte aboutissant sur la route, dehors, avec le reste de la foule. Il a juste eu froid ou quelque chose comme ça …

Il regarda autour afin d’apercevoir Ron ou Hermione, voulant savoir ce qu'ils pensaient de la réapparition du professeur Gobe-Planche, mais ni l'un ni l'autre près de lui, ainsi il s'est permis d'avancer sur la sombre route lavée par la pluie, à l’extérieur de la gare de Poudlard.

Là se tenait une centaine ou presque de diligences sans chevaux qui avait l’habitude de prendre les étudiants ayant passé la première année, jusqu'au château. Harry jeta un coup d'oeil rapide, se détourna d’elles pour tenter d’apercevoir Ron et Hermione, alors il fit une double prise. Les carrosses n'étaient plus sans monture. Il y avait des créatures se tenant entre les axes de l’attelage. S'il avait dû leur donner un nom, il supposait qu'il les aurait appelé ‘chevaux’, bien qu'ils avaient un air de reptile. Ils n’avaient pas de chair, leurs manteaux noirs s'agriffant à leurs squelettes, dont chaque os était visible. Leurs têtes les faisaient ressembler à un dragon, tandis leurs yeux dépourvus de pupille et blancs fixaient. Des ailes leurs poussèrent de chaque côté - des ailes noirs tannées et vastes qui ressemblaient à celles d’une chauve souris géante. Se tenant toujours debout et silencieuses dans l’obscurité du rassemblement, les créatures semblaient inquiétantes et sinistres. Harry ne pouvait pas comprendre pourquoi les carrosses étaient tirés par ces horribles ‘chevaux’ alors qu’ils sont capables de bouger tous seuls.

« Où Est Coq ? » dit la voix de Ron derrière Harry.

« Cette Luna le porte » indiqua Harry rapidement, désireux de consulter Ron au sujet d’Hagrid.

« Où est Hagrid à ton avis ? »


« Sais pas, » dit Ron, paraissant inquiet.

« Il doit aller bien… »

Un petit peu plus loin, Drago Malfoy, suivi d'une petite troupe de copains comprenant Crabbe, Goyle et Pansy Parkinson, poussaient quelques deuxième années timides à l'écart de sorte que lui et ses amis puissent avoir un carrosse pour eux. Quelques secondes plus tard, Hermione émergea de la foule, haletante.

« Malefoy a été absolument odieux avec un première année. Je peux te jurer que je vais le rapporter, il a seulement son insigne depuis trois minutes et il l'emploie pour martyriser encore plus qu’avant... Où est Pattenrond? »

« Ginny l’a » indiqua Harry. Là elle est…. Ginny émergea juste à ce moment de la foule, tenant dans ses bras Panterrond agité.

« Merci » dit Hermione, soulageant Ginny du chat. ’Venez, prenons un carrosse ensemble avant qu'ils soit tous remplis…

« Je n'ai pas encore Coq ! » dit Ron mais Hermione se dirigeait déjà au loin vers le carrosse inoccupé le plus proche. Harry restait derrière avec Ron.

« Qu’est ce que c’est que ça, à ton avis ? » Demanda Harry, montrant de la tête les horribles chevaux tandis que d’autres étudiants montaient devant lui.

« Quelles choses ? »

« Ces chevaux »

Luna apparut tenant le cage de Coquecigrue entre ses mains ; le minuscule hibou jasant avec enthousiasme comme d'habitude.

« Voila » dit elle. « C’est un petit hibou tout doux, non ? »

« Heu...Ouais...Il est très bien » dit Ron bourru. 'Bien, allons y alors, entrons...Qu’est ce que tu disais, Harry ?'

« Je te demandais, ce que sont ces espèces de chevaux ? » Harry dit Harry, tandis que lui, Ron et Luna montèrent dans la diligence dans laquelle Hermione et Ginny se reposaient déjà.

« Quelles espèces de chevaux ? »

« Ces espèces de chevaux tirant les diligences ! » Dit Harry impatiemment. Ils étaient, après tout, à environ trois mètres du plus proche; il les observait avec ses yeux blancs vides. Ron, cependant, donna à Harry un regard perplexe.

« De quoi tu parles ? »

« Je parle de – Regarde ! »

Harry saisit le bras de Ron et le tourna de telle façon qu'il soit face à face avec le cheval ailé.

Ron regarda droit devant pour la deuxième fois, puis regarda Harry derrière.

« Qu’est ce que je suis supposé regarder ? »

« Le - Là, entre les axes de l’attelage ! Attelé à la diligence ! Droit devant – »

Mais voyant Ron toujours aussi perplexe, une pensée étrange traversa Harry.

« Vous ne pouvez pas... Vous ne pouvez pas les voir ? »

« Voir quoi ? »

« Vous ne pouvez pas voir ce qui tire les diligences ? »

Ron paraissait sérieusement alarmé maintenant.

« Tu te sens bien, Harry ? »

« Je... Ouais… »


Harry se sentait totalement dérouté. Le cheval était là devant lui, brillant dans la faible lumière des fenêtres de la gare, de la vapeur sortant de ses narines dans l'air frais de nuit.

Alors à moins que ce fut une plaisanterie - et c'était une plaisanterie de très mauvais goût si s’en était une - Ron ne pouvait vraiment pas les voir.

« On entre, alors ? » Dit Ron incertain, regardant Harry comme si il s’en inquiété.

« Ouais »dit Harry. « Ouais, allons y ... »

« C’est bon, » dit une voix rêveuse derrière Harry alors que Ron s’éclipsait dans l'intérieur foncé de la diligence. « Tu n’es pas fou ou autre. Je peux les voir, aussi. »

« Tu peux ? » Dit Harry désespérément, se tournant vers Luna. Il pouvait voir les chevaux ailés reflétés dans ses grands yeux argentés.

« Oh, oui, » dit Luna, « J'ai pu les voir dès mon premier jour ici. Ils ont toujours tiré les diligences. Ne t’inquiète pas. Tu es aussi sage que je le suis. »

Souriant faiblement, elle monta dans l'intérieur moisi du carrosse après Ron. Pas tout à fait rassuré, Harry la suivit.


Chapitre onze : La nouvelle chanson du chapeau

Harry ne voulut pas dire aux autres que lui et Luna avaient eu la même hallucination, si ceci en était une, ainsi il ne dit rien à propos des chevaux lorsqu'il s'assit dans la calèche et qu’il ferma la porte derrière lui. Néanmoins, il ne pouvait pas observer les silhouettes des chevaux qui se déplaçaient au delà de la fenêtre.

« Au fait que devient la géante de Hagrid ? » demanda Ginny « Hagrid ne peut pas être parti, si ? »

« Je serai tout à fait heureuse si il la suivit » dit Luna, « Ce n'est pas un excellent professeur, non ? »

« Si, c’en est un ! » Dit Harry, Ron et Ginny en colère. Harry lança un regard noir à Hermione. Elle dégagea sa gorge et dit rapidement,

« Heu... Oui... Un excellent »

« Bien, nous à Serdaigle pensons que s'est un peu une plaisanterie » dit Luna imperturbable.

« Vous avez un sens de l'humour de très mauvais goût alors » dit Ron blessé, alors que les roues en dessous d’eux grinçaient dans un mouvement brusque. Luna ne semblait pas perturbé par la froideur de Ron; au contraire, elle l'observa simplement pendant un m o m en t co m m e s'il s'a g i ssait d 'u n e ém issio n télév isée m o d érém en t intéressante. Cliquetant et balançant, les diligences se déplaçaient dans le convoi vers le haut de la route. Quand ils passèrent entre les grands piliers en pierres de chaque côté des portes de l'école, Harry se pencha en avant afin d'apercevoir des lumières dans la cabane de Hagrid près de la forêt interdite, mais toutes étaient dans l'obscurité la plus complète. Le château de Poudlard, cependant, lui apparaissait indistinctement toujours plus proche : d’imposantes et massives tourelles noir menant vers le ciel foncé, ici et là une fenêtre flambant ardemment au dessus. Les diligences tintèrent puis firent halte près des escaliers en pierre menant aux portes en chêne ; Harry sortit le premier de la diligence. Il se retourna à nouveau pour apercevoir la moindre lumière près de la forêt, mais il n'y avait décidément aucun signe de la vie dans la cabane de Hagrid. À

contrecœur, parce qu'il avait à moitié espéré qu’elles se sauraient volatilisée, il posa son regard sur les créatures étranges et squelettiques se tenant tranquillement dans l'air froid de la nuit, leurs yeux blanc brillant. Harry a eu par le passé, l'expérience de voir quelque chose que Ron, lui ne pouvait pas, mais ce n’était qu’une une réflexion dans un miroir, quelque chose de beaucoup plus immatériel que une centaine de robustes bêtes assez fortes pour tirer une flotte de diligence. Si Luna disait vrai , les bêtes avaient toujours été là mais invisible au yeux de Harry. Pourquoi, alors, Harry a-t-il pu soudainement les voir, et pas Ron ?

'Tu viens ou quoi ? dit Ron derrière lui.


'Oh... Ouais, 'dit Harry rapidement et joignirent la foule qui se précipitait vers l’escalier en pierre menant au château.

Le hall d’entrée était éclairée par des torches et les bruit de pas des élèves retentissaient puisqu’ils

franchissaient le sol pierreux vers les doubles portes qui donnaient sur la Grande Salle et sur le festin de début d’année.

Les quatre longues tables dans la Grande Salle remplissaient sous le plafond magique, qui était comme le ciel qu'ils pouvaient apercevoir à travers les hautes fenêtres. Les chandelles flottaient en l’air au dessus des convives , illuminant les fantômes argentés qui étaient pointilleux au sujet du Hall, et les visages des élèves discutant chaleureusement, échangeant les nouvelles de l’été, saluant vivement des amis d'autres maisons, observant les nouvelles coupes et robes de chacun. A nouveau, Harry remarqua quelques élèves rapprochant leurs têtes pour de chuchoter alors qu'il passait devant ; il grinçait des dents mais essayait d'agir comme s'il n'avait rien remarqué.

Luna s’éloigna d’eux pour rejoindre la table de Serdaigle. Au moment ils atteignirent celle de Gryffindor, Ginny fut interpellée par quelques camarades de quatrième année et gauche et partit s’asseoir avec elles; Harry, Ron, Hermione et Neville trouvèrent des places ensemble à environ mi-table entre Nick Quasi-Sans-tête, le fantôme de Gryffindor, et Parvati Patil et Lavande Brown, ces deux dernières faisant à Harry, un accueil plus qu’amical ce qu’il l’assura qu’elles venaient de cesser de parler de lui une fraction de seconde plutôt. Il avait plus important à penser, mais cependant : il regardait la table des professeurs, à l’extrémité de la salle.

'Il n'est pas là.'

Ron et Hermione scrutèrent à leur tour la table des professeurs, bien qu'il n'y en ait pas de réel besoin; La carrure de Hagrid le rendait immédiatement évident dans n'importe quel file.

'Il ne peut pas être parti,’ dit Ron, sonnant légèrement inquiet.

'Bien sur, il n’a pas pu, ' dit Harry fermement.

'Vous ne pensez pas qu'il est… blessé, ou quelque chose comme ça, non ?' Dit Hermione avec difficulté.

‘ Non, 'indiqua Harry immédiatement.

'Mais où est-il, alors ?' Il y eut une pause, puis Harry dit très silencieusement, de sorte que Neville, Parvati et Lavande ne puissent l’entendre, ' Peut-être qu’il n'est pas encore rentré. Vous savez - de sa mission - la chose qu'il devait faire cette été pour Dumbledore.'

'Ouais... Ouais, ça doit être ça, 'dit Ron, semblant rassuré, mais Hermione mordit ses lèvres, fixant de haut en bas la table des professeurs comme si elle espérait trouver une explication probante à l'absence de Hagrid.

'Qui c’est elle ?'Dit elle vivement, montrant le milieu de la table des professeurs.

Les yeux de Harry suivirent les siens. Ils se posèrent tout d'abord sur le professeur Dumbledore, assis dans sa haute chaise en or au centre de la longue table des professeurs, portant une longue robe mauve foncé clairsemée d’étoiles argentées et un chapeau assorti. La tête de Dumbledore était penchée vers une femme assise à côté de lui, qui lui parlait dans son oreille. Elle ressemblait, pensa Harry, à une vieille fille : trapue, avec des cheveux courts, bouclés dans lesquels elle avait placé un horrible ruban rose qui était assorti avec sa longue veste de laine rose et pelucheuse, qu'elle portait au-dessus de sa longue robe. Alors, elle tourna légèrement sa tête pour prendre une gorgée de son gobelet et il put voir, et reconnaître avec un certain choc, un visage pâle et une paire d’yeux proéminents accompagnés de cernes.

'C'est cette Madame Umbridge !'

'Qui ?' demanda Hermione.

'Elle était à mon audience, elle travaille pour Fudge!'

'Jolie veste, 'dit Ron, souriant.

'Elle travaille pour Fudge !' répéta Hermione, fronçant les sourcils. 'Bon sens, que fait-elle ici ? ‘

'Sais pas… ’

Hermione regarda attentivement la table des professeurs, ses yeux plissés.

'Non,' murmura elle, 'non, sûrement pas… ‘

Harry ne compris pas ce que voulait dire Hermione mais ne posa pas de questions; son attention était porté sur le professeur Gobe-Planche, qui venait d’apparaître à la table des professeurs; elle se forgea un passage tout le long jusqu’au bout de la table et prit le siège qui était d’habitude réservé à Hagrid. Cela signifiait que les premières années devaient avoir traversé le lac et atteint le château, et ainsi, quelques secondes plus tard, les portes d’entée s’ouvrirent. Une longue file de premières années paraissant effrayés entra, mené par professeur McGonagall, qui portait un tabouret à trois pieds sur lequel reposait un très vieux chapeau de sorcier sale et rapiécé, avec une large déchirure dans l’étoffe élimé du chapeau, tout près du bord.

Le brouhaha des discussions dans la Grande Salle s’effaça. Les premières années s’alignèrent devant la table des professeurs faisant face au reste des élèves, et le professeur McGonagall plaça le tabouret soigneusement devant eux, puis alla s’asseoir.

Les visages des premières années brillaient par leur pâleur dans la lumière des chandelles. Un petit garçon droit au milieu de la rangée paraissait trembler. Harry se rappela, furtivement, comment, terrifié, il se tenait là, attendant l’issue incertaine qui déterminait à quelle maison il allait appartenir.

Toute l'école retenait son souffle. Alors la déchirure du chapeau s’ouvrit large comme une bouche et le Choixpeau magique se mit à chanter :

Il y a longtemps quand j'étais nouveau

Et que Poudlard venait d’ouvrir

Les fondateurs de notre noble école

Ne pensée jamais être séparé:

Uni par un but commun,

Ils ont eu le même désir,

De faire la meilleure école de Magie au monde

Et de passer leur savoir.

'Ensemble nous construirons et enseignerons!'

Décidèrent les quatre bons amis

Et pas une seule fois ils pensèrent qu’ils

Pourraient un jour être désunis,

Car ils étaient avant tout des amis

comme Serpentard et Gryffondor?

À moins que ce ne fut la seconde paire

Poufsouffle et Serdaigle?

Ainsi comment auraient ils pu avoir tort ?

Comment de telles amitiés ont-elles pu faillirent?

Pourquoi, j’étais là bas et je peux conter

La triste et désolée histoire.

Serpentard dit, ' Nous enseignerons juste ceux dont

Le sang est pur.'

Serdaigle dit, 'Nous enseignerons ceux dont

L'intelligence est la certaine.'


Gryffindor dit, 'Nous enseignerons tout ceux

Dont le courage suivent leur nom, '

Poufsouffle dit, 'j'enseignerai le tout,

Et les traiterais tous pareil.’

Ces différences causèrent quelques désaccords

Quand d'abord elles émergèrent,

Alors chacun des quatre fondateurs eut

Une maison dans laquelle ils pouvaient

Prendre seulement ceux qu'ils voulaient, ainsi,

Par exemple, Serpentard

Prit seulement des sorciers de sang pur

Rusés, comme lui,

Et seulement ceux dont l'esprit était le plus fin

Furent formés par Serdaigle

Tandis que les plus courageux et les plus audacieux

allèrent vers l’hardi à Gryffondor

Généreuse Poufsouffle, elle prit le reste,

Et leur enseigna tout ce qu’elle savait,

Ainsi les maisons et leur fondateurs

Conservèrent une amitié réelle et inébranlable.

Ainsi Poudlard fonctionna en harmonie

Pendant plusieurs heureuses années,

Mais ensuite une discorde éclata entre nous

Se nourrissant de nos défauts et de nos craintes.

Les maisons qui, comme quatre piliers,

Avaient par le passé supporté notre école,

Se révélèrent alors l’un à l’autre

Et,à présent désunis, cherchèrent à gouverner.

Et pendant un moment on pensa que l'école

Allait rencontrer une fin très proche,

Ce qui avec les duels et les combats

Et les conflits entre amis

Nous amenons à ce matin

Où le vieux Serpentard partit

Et bien que les conflits s’éteignent

Il nous quitta totalement découragé.

Et jamais depuis que les quatre fondateurs


Furent réduits à trois

Les maisons ont été unies

Comme ils étaient censés l’être.

Et maintenant le Choixpeau Magique est ici

Et vous savez tous ce que ça signifie :

Je vous range dans des maisons

Puisque c’est pour cela que je suis ici,

Mais cette année j'irai plus loin,

Ecoute attentivement ma chanson:

Bien que condamné je vais vous diviser

Je m’inquiète toujours de ne pas bien choisir,

Bien que je doive accomplir ma tâche

Et vous divisez en quatre chaque année

Je me demande toujours si la répartition

N’amène pas la fin que je crains tant.

Oh, connais les périls, lis le présage,

Ce récit d’avertissement montre,

que notre Poudlard est en danger

De part l’extérieur, des ennemies meurtriers

Et nous devons nous unir ici

Où nous nous effondrerons dehors

Je vous l’ais dit, je vous ais averti...

Laissez moi maintenant débuter la répartition.

Le Choixpeau redevint immobile; les applaudissements éclatèrent, bien qu'ils aient été ponctués, pour la première fois dans la mémoire de Harry, par des murmures et des chuchotements. Tous les élèves de chaque coté de la Grande Salle échangeaient des remarques avec leurs voisins, et Harry, applaudissant comme chacun, sut exactement de quoi ils parlaient.

'Il s’est un peu ramolli cette année, non ?' Dit Ron, les sourcils dressés.

‘ Je trouve aussi, ' dit Harry. Le Choixpeau magique s'est habituellement confiné à décrire les différentes qualités

requises par chacune des quatre maisons de Poudlard et de son propre rôle les répartir.

Harry ne se rappelait pas l'avoir vu essayer de donner des conseils d'école avant.

'Je me demande si ce n’est pas la première fois qu’il donne des avertissements ?' dit Hermione, paraissant légèrement perplexe.


'Oui, en effet, ‘ dit Nick Quasi-Sans-Tête en connaissance de cause, traversant Neville en direction de Hermione (Neville grimaça; il était très inconfortable d’avoir un fantôme à travers soi). ‘ Le Choixpeau juge que il est de bon train de donner à l'école des avertissements dû à chaque fois qu'il le

sent – ‘


Mais professeur McGonagall, qui attendait pour annoncer les noms des premières années, donna aux élèves chuchotant un regard sévère. Nick Quasi-Sans-Tête plaça un doigt devant ses lèvres et se rassit alors que les chuchotement prirent brutalement fin.

Balayant les tables de chaque maison dans un dernier froncement de sourcils, le Professeur McGonagall posa ses yeux sur son long parchemin annonça le premier nom.

'Abercrombie, Euan.'

Le garçon terrifié qu’avait remarqué Harry un plus tôt trébucha et mit le choixpeau sur sa tête. Le chapeau réfléchit un moment, puis la déchirure tout près du bord s'ouvrit à nouveau et s’écria :

'Gryffondor !'

Harry applaudit bruyamment comme tous les élèves de Gryffondor alors que Euan Abercrombie chancela jusqu’à leur table et s’assis, de telle façon qu’il semblait vouloir s’enfoncer dans le sol et ne plus jamais être regarder.

Lentement, la longue file de premières années s’aminci. Pendant les pauses entre les noms et les décisions du Choixpeau magique, Harry pouvait entendre l'estomac de Ron gargouiller fort. Enfin, 'Zeller, Rose 'était envoyé à Poufsouffle, et le Professeur McGonagall prit le Choixpeau et le

tabouret et les remporta tandis que le Professeur Dumbledore se levait.

Etant donné ses récents mais amers sentiments envers son directeur, Harry fut apaisé d’une façon ou d’une autre de voir Dumbledore se tenir devant eux. Entre l'absence de Hagrid et la présence de ces chevaux-dragons, il sentait que son retour à Poudlard, si longtemps prévu, était plein de surprises inattendues, comme des fausses notes dans une chanson familière. Mais, au moins, ceci était comme il était censé l’être: leur Directeur se levant pour saluer tous les élèves avant le festin de début d’année.

'À nos nouveaux venus, 'dit Dumbledore avec une voix résonnante, ses bras était étiré devant et un sourire rayonnait sur ses lèvres, 'bienvenue! Au autres - re-bienvenue ! Il y a un temps pour faire des discours, et un autre pour manger. Bonne appétit !'

Il y eut un rire appréciatif et une tonne d'applaudissements comme Dumbledore s'asseyait habilement et jetait sa longue barbe au-dessus de son épaule afin de la maintenir à l'écart de son plat – tandis que les plats vides se remplissaient par magie, de sorte que les cinq longues tables aient gémi sous le poids des gigots, des pâtés en croûte et des plats des légumes, du pain et des sauces ainsi que des cruches de jus de potiron.

'Excellent, ‘ dit Ron, avec une sorte de gémissement d’envie, et il saisit le plat de côtes le plus proche et commença à les empiler dans son assiette, observé nostalgiquement par Nick Quasi -Sans-Tête.

'Que disiez vous avant la Répartition ?' demande Hermione au fantôme. 'Au sujet des avertissements du Choixpeau ? '

‘Oh, oui,' dit Nick, qui semblé heureux de trouver une raison de s’éloigner de Ron, qui mangeait maintenant des pommes de terre grillées avec un enthousiasme presque indécent. 'Oui, j'ai entendu le Choixpeau donner plusieurs avertissements avant, à chaque fois quand il détectait des périodes de grand danger pour l'école. Et toujours, bien sur, les mêmes conseils : dressez vous ensemble, soyez fort de l’intérieur.'

'Omment Chai’il si école est en dancher chi ch’est un’apeau ?'Dit Ron.

Sa bouche était tellement pleine que Harry pensait c'était un exploit d‘avoir pu dégager le moindre bruit.

'Je vous demande pardon?' dit Nick Quasi -Sans-Tête poliment, alors que Hermione paraissait révolté.

Ron avala d’un coup ce qu’il avait dans la bouche et dit, ' Comment peut il savoir si l'école en danger si c'est un chapeau ?'


' Aucune idée, ‘ dit Nick Quasi-Sans-Tête. 'Naturellement, il vit dans le bureau de Dumbledore, donc je dirais qu’il apprend des choses là-bas.'

'Et il veut que toutes les maisons soient amis?' demanda Harry, regardant la table des Serpentard, où Drago Malfoy menait les débats. 'Quelle chance… '

'Bien, maintenant, vous ne pouvez plus prendre cette attitude, ' dit Nick d’un ton réprobateur. 'La coopération entre les maisons, c’est la clef. Nous les fantômes, bien que nous appartenions à des maisons séparées, maintenons des liens d'amitié. Malgré la concurrence entre Gryffondor et Serpentard, je n’irais jamais chercher la dispute avec le Baron Sanglant.'

'Seulement parce qu’il vous terrifie, ' dit Ron.

Nick Quasi-Sans-Tête parut fortement offensé.


‘Terrifié ? Je puis vous dire que moi, Sir Nicolas de Mimsy-Porpington n'a jamais été jugé coupable de lâcheté dans ma vie ! Le sang noble qui circule dans des mes veines - '

'Quel sang ?'Demanda Ron. 'Etes vous sûr d’en avoir encore - ?'

'C'est une expression !' s’exclama Nick Quasi-Sans-Tête, maintenant tellement fâché que sa tête tremblait de façon inquiétante sur son cou partiellement fendu. 'Je présume que j’ai encore le droit d’apprécier l’emploi de n'importe quels mot, à défaut des plaisirs de manger et de boire ! Mais je

suis totalement habitué à ce que les élèves s’amuse de ma mort, je vous assure !'

'Nick, il ne se moquait pas vraiment !' dit Hermione, jetant un regard furieux à Ron.

Malheureusement, la bouche de Ron était plaine à craquer et tout qu'il put dire fut un '

Non che ne voulaich pach chou blécher 'dont Nick ne semblait pas penser que cela constituait des excuses respectueuses. S‘élevant dans l'air, il réajusta son chapeau pendant et s ‘éloigna rapidement vers l'autre extrémité de la table, venant pour se poser entre les frères Crivey, Colin et Dennis.

'Bravo, Ron, 'dit Hermione sévèrement.

'Quoi ?' Dit Ron presque indigné, après être parvenu, enfin, à avaler ce qu’il avait dans la bouche. ‘ Je ne suis plus autoriser à poser des questions simples ?'

'Oh, laisse tomber,'dit Hermione irrité, et les deux passèrent le reste du repas, fâchés, en silence.

Harry était trop habitué à leurs querelles pour prendre la peine de les réconcilier ; il sentit que c'était une meilleure solution de manger sans un mot, son pâté en croûte, son bifteck, et une grand assiettée de sa tarte à la mélasse favorite.

Quand tous les élèves eurent fini de manger et que le niveau sonore dans la Grande Salle commençait à remonter, Dumbledore tapa du pied une nouvelle fois. Les discussions cessèrent immédiatement alors que tous se tournaient pour faire face au Directeur. Harry se sentait agréablement assoupi maintenant. Son lit de quatre pieds l’attendait quelque part là haut, merveilleusement chaud et douillet...

'Bien, maintenant que nous digérons tous à un nouveau magnifique festin, je dois, une fois de plus, vous demandez votre attention afin de vous donner les habituelles consignes de début d’année,' dit Dumbledore. ‘Les Premières années doivent savoir que la forêt est interdite à tous les élèves – et certains de nos élèves les plus anciens feraient bien de s’en souvenir.’ (Harry, Ron et Hermione échangèrent un regard.)

'M. Rusard, le concierge, m'a demandé pour la quatre cent soixante-deuxième fois, de vous rappeler que la magie n'est pas autorisée dans des couloirs, ni un certain nombre d'autres objets. La liste complète peut être consultée dès maintenant dans le bureau de Mr Rusard.

'Nous avons deux changements de professeurs cette année. Nous sommes très heureux de re-accueillir le Professeur Gobe-Planche, qui enseignera le soin aux créatures magiques; nous sommes également enchantés de vous présenter le Professeur Umbridge, notre nouveau Professeur de défense contre les forces du Mal.'

Il y eut une salve de polis mais d’assez réservés applaudissements, pendant lesquels Harry, Ron et Hermione échangèrent des regards légèrement paniqués; Dumbledore n'avait pas indiqué pour combien de temps la Professeur Gobe-Planche enseignerait.

Dumbledore continua, 'Les sélections pour les équipes de Quidditch des Quatre Maisons auront lieu sur – ‘

Il s’interrompit, regardant curieusement le Professeur Umbridge. Comme elle n'était pas plus grande debout que assise, il y eut un moment où personne ne comprit pourquoi Dumbledore avait arrêté de parler, mais alors le Professeur Umbridge toussa par deux fois, 'Hem, hem,'et il parut clair qu'elle était debout et qu’elle prévoyait de faire un discours.

Dumbledore sembla seulement étonné un court moment, puis s’assit promptement et regarda le professeur Umbridge comme s'il ne désirait rien de mieux que d’écouter son discours. D'autres professeurs ne cachèrent pas leur surprise. Les sourcils du Professeur Chourave disparurent dans ses cheveux en pétard et la bouche de professeur McGonagall n’avait jamais était aussi béante dans la mémoire de Harry. Aucun nouveau professeur n'avait osé interrompre Dumbledore, avant. Plusieurs élèves ricanaient; cette femme ne savait évidemment pas comment se font les choses à Poudlard.

‘Merci, Monsieur le Directeur, 'minauda le Professeur Umbridge, 'pour ces agréables mots de bienvenue.'

Sa voix était aiguë, voilé et enfantine et, à nouveau, Harry sentit monter en lui une puissante antipathie qu'il ne pouvait expliquer; tout ce qu’il savait c’est qu’il détestait tout chez elle, de sa voix stupide à sa longue veste rose et pelucheuse. Elle toussa de nouveau ('hem, hem ') et continua.

'Bien, il est bon d’être de retour à Poudlard, je dois dire!' sourit elle, laissant apparaître des dents très pointues. 'Et de voir de tels petits visages heureux me regarder!'

Harry jeta un coup d'oeil au alentour. Aucun des visages qu'il pouvait voir ne semblaient heureux. Au contraire, ils la regardaient, plutôt déconcertés, de la voir s’adresser à eux comme s'ils s’agissaient d’enfant de cinq ans.


'J'attends avec impatience de tous vous connaître et je suis sûr que nous serons de très bons amis !'

Les élèves échangèrent un regard; certains d'entre eux cachaient à peine leurs grimaces.

'Je serai son ami tant que je ne devrais pas porter cette veste,’ chuchota Parvati à Lavande, et les deux se mirent à rire silencieusement.


Le Professeur Umbridge toussa une troisième fois ('hem, hem'), mais quand elle continua, une partie du voile aperçu plus tôt avait disparu de sa voix. Elle semblait beaucoup plus sérieuse et maintenant elle s’exprimait avec un sentiment d’appris par coeur.

‘Le Ministère de la Magie a toujours considéré l'éducation des jeunes sorciers et sorcières comme

essentielle. Les rares dons, avec lesquels vous êtes nés, peuvent se perdre si non ils ne sont pas nourri et affûté par un enseignement minutieux. Les compétences uniques et antiques de la communauté sorcière doivent être transmises générations en générations de peur que nous les perdions pour jamais. Les trésors de connaissance magique amassés par nos ancêtres doivent être gardé, complétés et peaufinés par ceux qui sont appelés à pratiquer la noble profession noble qu’est l‘enseignement.'

Le Professeur Umbridge fit alors une pause et fit une petite révérence ses membre à ses confrères professeurs, aucun d’entre eux ne lui rendit ce geste. Les sourcils bruns du professeur McGonagall s'étaient contractés de sorte qu'elle ressemblait indéniablement à une sorte de faucon, et Harry l’aperçut distinctement échanger un regard significatif avec le Professeur Chourave alors qu'Umbridge céda un autre petit ‘ hem, hem’ 'et poursuivit son discours.

'Chaque directeur et directrice de Poudlard a apporté quelque chose de nouveau à la lourde tâche de régir cette école historique, et c'est donc pourquoi, sans progrès il y aura stagnation et affaiblissement. Là encore, le progrès pour le progrès doit être délaissé, car nos traditions éprouvées et contrôlés n'exigent pas la plupart du temps un perfectionnement. Un équilibre, alors, entre vieux et nouveau, entre permanent et renouveau, entre tradition et innovation … ‘

Harry remarqua que son attention baissait, comme si son cerveau glissait dans et hors de l'air. Le silence qui régnait dans la Grande Salle Hall quand Dumbledore parlait, prit fin alors que les étudiants s’affalaient, chuchotant et riant. A la table des Serdaigle, Cho Chang discutait avec ses amis. Quelques places plus loin de Cho, Luna Lovegood avaient de nouveau sorti Le Chicaneur. Pendant ce temps, à la table des Poufsouffle Ernie Macmillan était un des celles qui regardait encore le Professeur Umbridge, mais il avait les yeux vitreux et Harry était sûr qu'il feignait seulement d’écouter afin d'exposer son insigne de préfet brillant sur son torse.


Le Professeur Umbridge ne semblait pas noter l’agitation des élèves. Harry eut l'impression qu'une émeute pourrait éclater sous son nez et qu’elle ne faisait qu’amplifier cette impression au fur et à mesure de son discours. Les professeurs, cependant, écoutaient toujours très attentivement, et Hermione a semblé boire chaque parole d'Umbridge, bien que, à en juger par son expression, elles n'étaient pas du tout à son goût.

'... car quelques changements seront la bienvenue, alors que d'autres viendront, quand les temps seront révolus, et seront reconnus comme des erreurs d’appréciation. Entre temps, quelques vieilles habitudes seront à juste titre maintenues, tandis que d'autres, désuets et usées, doivent être abandonnés. Avançons, puis, dans une nouvelle ère de franchise, d'efficacité et de responsabilité, décidé à préserver ce qui doit être préservé, à perfectionner ce qui exige d’être perfectionné, et à élaguer partout où nous trouvons des usages qui doivent être interdits.'

Elle s’assit. Dumbledore tapaient des mains. Les professeurs suivirent son exemple, bien que Harry ait noté que plusieurs d’entre eux, applaudirent une fois ou deux fois avant d’arrêter. Quelques élèves se joignirent à ses applaudissements, mais la plupart avaient été pris au dépourvu par la fin du discours, n’ayant écouté que quelques mots, et avant qu'ils puissent commencer à applaudir comme il faut, Dumbledore s'était relevé.

‘ Merci beaucoup, Professeur Umbridge, c’était des plus intéressant,' dit il, lui cédant un petit signe de tête. ' Maintenant, comme je disais, les sélections des équipes de Quidditch auront lieu...’

'Oui, c’était tout à fait intéressant, ‘ dit Hermione à voix basse.

'Tu ne vas pas me dire pas que tu as aimée ?' demanda Ron tranquillement, tournant son visage glacé vers Hermione. C'était le discours le plus ennuyeux que j'ai jamais entendu, et j'ai grandi avec Percy.'


'J’ai dit intéressant, pas agréable,'dit Hermione. 'Ca explique beaucoup.'

'Ah oui ?' Dit Harry surpris. ‘ J’ai l’impression d’avoir écouter une tonne de paroles creuses ‘

'Il y avait des choses cachées derrière ces « paroles creuses » ‘dit Hermione presque agressivement.

'Comme quoi ?' demanda Ron.

'Que veut-elle dire par : « le progrès pour le progrès doit être délaissé » ? Et par

« élaguer partout où nous trouvons des usages qui doivent être interdits » ?

'Bien, qu’est-ce que veut dire ?' Dit Ron impatiemment.


'Je vais te dire ce que ça veut dire, 'rétorqua Hermione en grinçant des dents. 'Ca veut dire que le Ministère surveille Poudlard.'

Il y eut un vacarme et un grand fracas sonna autour d'eux; Dumbledore avait manifestement congédié les élèves, car tous se levaient prêt à quitter la Grande Salle.

Hermione sauta pour se relever, paraissant agité.

'Ron, nous sommes censés montrer aux premier années où aller !'

‘Oh ouais,'dit Ron, qui avait évidemment oublié. 'Hey - hey, vous tous ! Minus !'

'Ron ! '

'Bah, ils sont, ils sont éparpillés ... ‘

'Je sais, mais tu ne peux pas les appeler minus ! - Premières années ! ' Ordonna Hermione le long de la table. ‘De cette façon, S’il te plait !'

Un groupe de nouveaux élèves marchait timidement le long du passage entre les tables de Gryffondor et de Poufsouffle, tous essayant péniblement de ne pas mener le groupe. Ils semblaient effectivement très petits; Harry était sûr qu'il n’était pas apparu aussi jeune quand il était arrivé ici. Il leur sourit. Un garçon blond près d'Euan Abercrombie semblait pétrifié; il poussa du coude Euan et chuchota quelque chose à son oreille. Euan Abercrombie sembla également effrayé et vola un regard furtif et horrifié à Harry, qui sentit son sourire s’échapper comme les Pustuledesèves (Stinksap).

'A tout à l’heure,'dit il platement à Ron et Hermione et il sortit de la Grande salle, seul, faisant tout ce qu'il pouvait pour ne pas prêter attention à de toujours plus nombreux chuchotements, regards et montrer du doigt au fur et à mesure qu'il passait. Il gardait ses yeux fixés en avant alors qu'il se frayait un chemin à travers la foule dans le Hall d’entrée , puis il se dépêcha de rejoindre l'escalier en marbre, prit divers raccourcis cachés et laissa bientôt derrière la plupart des élèves.


Il avait été stupide de ne pas s’être attendu à ceci, il pensait rageusement alors qu’il traverser des couloirs toujours plus vides. Naturellement chacun le regardait ; il avait émergé du labyrinthe des Trois Sorciers deux mois plus tôt serrant le corps mort d'un camarade de classe et prétendant avoir vu Lord Voldemort reprendre le pouvoir. Il n'avait eu aucun moment l’année dernière pour s'expliquer avant que tous aient dû rentrer chez eux - même si il n’aurait pas eu la force de donner à toute l'école un exposé détaillé des terribles événements du cimetière.

Harry avait atteint la fin du couloir donnant sur la salle commune de Gryffondor et s’arrêta devant le portrait de le Grosse Dame avant de se rendre compte qu'il ne connaissait pas le nouveau mot de passe.


'Heu… dit il tristement, fixant le portait de la Grosse Madame, qui lissait les plis de sa robe rose de satin et qui se retourna pour le regarder.

'Pas de mot de passe, pas de passage, 'dit elle avec arrogance

'Harry, je le connais!' souffla quelqu'un derrière lui et il se retourna pour voir Neville courir vers lui. 'Devine ce que c’est ? Je vais pouvoir m’en souvenir pour une fois - 'il agita le petit cactus rabougri qu'il leur avait montré dans le train. ‘ Mimbulus mimbletonia !'

'C’est exact,' dit le Grosse Dame, et le tableau bascula comme une porte, laissant apparaître un trou circulaire dans le mur, par lequel Harry et Neville s’y engouffraient maintenant.

La salle commune n’avait jamais paru aussi accueillante, une salle circulaire et confortable où les attendaient des fauteuils délabrés et mous et de vieilles tables rachitiques. Un feu craquait joyeusement dans la cheminée et quelques personnes réchauffaient leurs mains devant avant d'aller dans leur dortoir; de l'autre côté de la salle, Fred et George Weasley épinglaient quelque chose vers le haut sur le panneau d’affichage. Harry leur souhaitait bonne nuit et se dirigea directement vers la porte du dortoir des garçons; il n'était pas vraiment d’humeur à parler. Neville le suivit. Dean Thomas et Seamus Finnigan avait atteint le dortoir les premiers et était en train de couvrir les murs près de leurs lits d'affiches et de posters. Ils parlaient p quand Harry poussa la porte mais s’arrêté brusquement le moment quand ils le virent. Harry se demanda s'ils parlaient de lui, puis s'il était paranoïaque.

‘ Salut,’ dit il, avançant jusqu’à sa propre malle et l'ouvrant.

'Hé, Harry, 'dit Dean, qui enfilait un pyjama aux couleurs de West Ham. 'Bonnes vacances ?'


'Non pas trop ,' marmona Harry, dont le récit de ses vacances aurait pris la majeure partie de la nuit, ce dont il se passait bien .' Et toi ?'

'Ouais, c’était PAS MAL,'lança Dean. 'Meilleur que Seamus en tout cas, il était en train de me raconter.'

'Pourquoi, ce qui s'est passé, Seamus?' demanda Neville tandis qu'il plaçait son Mimbulus mimbletonia tendrement sur sa table de chevet.

Seamus n'a répondit pas tout de suite; il s’assurait plutôt que son affiche de l'équipe de Quidditch des Kenmare Kestrels était bien droite. Alors il dit, le dos toujours tourné à Harry, ' Man ne voulait pas que je revienne.'

' Quoi ?' dit Harry, s’interrompant de sortir ses robes.

'Elle n'a pas voulu que je revienne à Poudlard.'


Seamus se détourna de son affiche et sortit son propre pyjama hors de sa malle, ne jetant toujours pas un regard à Harry.

'Mais - pourquoi?' Dit Harry, étonné. Il savait que la mère de Seamus était une sorcière et ne pouvait pas comprendre, donc, pourquoi elle devait se sentir si Dursleysant.

Seamus ne répondit pas jusqu'à ce qu'il ait fini de boutonner son pyjama.

'Bien,'dit il avec une voix mesurée, je suppose... à cause de toi.'

‘Qu’est ce que tu veux dire ?'Dit rapidement Harry.

Son coeur battait assez rapidement. Il se sentit faible comme si quelque chose se refermer sur lui.

‘Bien,'dit à nouveau Seamus, évitant encore les yeux de Harry, ‘ elle... Heu... Bien, ce n’est pas seulement toi, il y a Dumbledore, aussi...

'Elle croit La Gazette du Sorcier ?' demanda Harry. 'Elle pense que je suis un menteur et Dumbledore un vieil imbécile ?'

Seamus le regarda.

'Ouais, quelque chose comme ça.'

Harry ne dit rien. Il jeté sa baguette sur sa table de chevet, attrapa ses robes, les bourra avec colère dans sa malle et retira son pyjama. Il en était malade : malade d'être la personne que l’on regardait fixement et dont on parlait tout le temps. Si l'un d'entre eux savait, si l'un d'entre eux avait la moindre idée de ce que c’est qu’être celui à qui tout arrive… Mme Finnigan n'en a aucune idée, cette stupide femme, pensa il sauvagement.

Il se mit au lit et tira les rideaux tout autour de lui, mais avant qu'il ait pu le faire, Seamus dit, 'Attends... Qu’est ce qui s'est passé cette nuit où… Tu sais, quand... avec Cédric Diggory et tout ça ?'

Seamus paraissait nerveux et désireux en même temps. Dean, qui s'était penché au-dessus de sa malle essayant de retrouver une pantoufle, parut soudain bien immobile et Harry savait qu'il écoutait fermement.

'Qu’est ce que tu me demandes ?' répliqua Harry. ' Va lire La Gazette du Sorcier comme ta mère, non ? Ca te diras tout ce que tu veux savoir.'

' Ne critique pas ma mère, ‘ claqua Seamus.

' J’ai le droit de critiquer tous ceux qui me traite de menteur, 'dit Harry.


'Ne me parle pas comme ça!'

'Je te parlerai comment je le veux, 'dit Harry, sa colère s’accroissant tellement qu’il agrippa sa baguette.

'Si ça te pose un problème de partager le dortoir avec moi, va demander à McGonagall si tu peux être déplacé... Laisse ta peur de maman de côté - '

'Laisse ma mère hors de ça, Potter!'

'Qu’est ce qui se passe ?'

Ron était apparu dans l’embrasure de la porte. Ses grands yeux voyagèrent de Harry, qui se mettait à genoux sur son lit avec sa baguette magique dirigée vers Seamus, à Seamus, qui se tenait là, mes poings levés.

'Il s’est attaqué à ma mère !’ hurla Seamus.

‘ Quoi ?'Dit Ron. 'Harry n’a pas pu faire ça - on a rencontré ta mère, elle était très gentille…

'C’était avant qu'elle ait commencé à croire chaque ignoble mot de La Gazette du Sorcier à mon sujet! ' Dit Harry plus fort que Seamus. '

'Oh,'dit Ron, dont la compréhension était visible sur son visage plein de tâches de rousseur. 'Oh...Bien.'

'Tu sais quoi ?' dit Seamus âprement, jetant à Harry un regard méchant. 'Il a raison, je ne veux pas partager un dortoir avec lui une fois de plus, il est fou.'

'Ne dis pas n’importe quoi, Seamus, 'dit Ron, dont les oreilles devenaient rouges -

toujours un signe de danger.

'N’importe quoi, moi ?'Cria Seamus, qui contrairement à Ron devenait pâle. 'Tu crois tous les mensonges qu'il a sorti au sujet de Tu-Sais-Qui, tu estimes qu’il dit la vérité?'

'Ouais, je le crois !' Dit Ron avec colère.

'Alors tu es aussi fou que lui,’ dit Seamus avec dégoût.

'Ouais? Bah, malheureusement pour toi, mon pote, je suis également préfet!'Dit Ron, montrant son insigne avec un doigt. 'Donc à moins que tu veuille un punition, fais attention à ce que tu dis!'


Seamus chercha quelques secondes si la punition seraient un prix raisonnable à payer pour dire ce qui lui passait par l’esprit; mais avec un bruit de résignation, il se retourna, sauta dans le lit et tira les rideaux

avec une telle violence qu'ils furent arrachés du lit et tombèrent dans un amas de poussière sur le plancher. Ron lanca un regard furieux à Seamus, puis regarda Dean et Neville. 'Aucun autre parents ont eu une problème avec Harry ?'Dit il agressivement.

'Mes parents sont Moldus, mon ami, 'dit Dean, gesticulant. Ils ne savent rien au sujet des décès à Poudlard, parce que je ne suis pas assez stupide pour leur dire.'

'Tu ne connais pas ma mère, elle irait trouver n’importe quoi à n’importe qui!' Seamus lui lança. 'De toute façon, tes parents n'ont pas La Gazette du Sorciers. Ils ne savent pas que notre directeur été viré du Wizengamot et de la confédération internationale des magiciens parce qu'il perd la tête- '

'Mon grand-mère dit que c’est des mensonges, 'sifflé fort Neville. 'Elle dit que c'est La Gazette du Sorcier qui perd de son estime, pas Dumbledore. Elle a arrêté notre abonnement. Nous croyons Harry, 'dit Neville simplement. Il grimpa jusqu’à son le lit et tira les couvertures jusqu'à son menton, regardant avec un air de chouette derrière eux jusqu'à Seamus. 'Ma Grand-mère toujours dit Vous savez qui reviendraient un jour.

Elle dit que si Dumbledore dit qu'il est de retour, alors il est de retour.'

Harry sentit beaucoup de gratitude monté envers Neville. Personne d’autre ne parla. Seamus sortit sa baguette, répara les rideaux du lit et disparut derrière eux. Dean se mit au lit, se retourna et resta silencieux. Neville, qui n’avait apparemment rien d’autre à dire, contempler tendrement son cactus éclairé par la lune.

Harry se renversa en arrière sur ses oreillers tandis que Ron s’activait autour du lit le plus proche, déplaçant ses affaire plus loin. Il se sentait bouleversé par sa dispute avec Seamus, qu’il avait toujours apprécié. Combien de personnes allaient-elles encore suggérer qu'il mentait, ou qu’il était dérangé?

Est-ce que Dumbledore avait souffert comme ça tout l'été, quand d'abord le Wizengamot, puis

la confédération internationale des magiciens l’ont rejetés de leurs rangs ? Était-ce la colère envers Harry qui avait fait que Dumbledore n’avait plus eu de contacts avec lui pendant des mois? Peut être les deux à la fois, après tout; Dumbledore avait cru Harry, annonçait sa version des faits à toute l'école et puis à la plus large partie de la communauté magique . N'importe quelle personne qui pensait que Harry en était un a dû penser que Dumbledore

en était, aussi, ou bien que Dumbledore avait été trompé...

Ils sauront que nous avons raison à la fin, pensa Harry malheureux, alors que Ron se mettait au lit et éteignaient la dernière bougie allumée du dortoir. Mais il se demanda combien d'attaques comme celle de Seamus devra-il supporter avant que le moment soit venu.


Chapitre douze : Professeur Umbridge

Seamus s`habilla en vitesse le matin suivant et quitta le dortoir avant même qùHarry nàit eu le temps de mettre ses chaussettes. Que croyait-il. Quìl deviendra fou sìl reste dans la même pièce que moi trop longtemps, se questionnait Harry à haute voix, comme le bas de la robe de Seamus disparaissait hors de sa vue.

-Ne tìnquiète pas à propos de ça, Harry. Marmonna Dean, en enfilant son sac à dos sur ses épaules, il est seulement...

Mais apparemment il était incapable de dire ce que Seamus était exactement, et après un bref moment de silence, il le suivit hors de la pièce.

Neville et Ron lui lancèrent un regard compatissant qui signifiait que ce problème ne les regardait pas, mais Harry n`était pas pour autant consolé. Combien devrait-il encore en endurer.

-Quelle est la matière? demanda Hermione cinq minutes plus tard, rattrapant Harry et Ron à mi- chemin à travers la pièce commune comme ils allèrent tous prendre leur petit déjeuner.

-Tu regardes absolument -- Oh! Pour làmour du ciel...

Elle regardait le panneau dàffichage de la Salle Commune où un nouvel écriteau de grande proportion avait été affiché.

GALLONS DE GALIONS!!!

Vous manquez dàrgent de poche pour couvrir vos frais?

Aimeriez gagner un peu dòr supplémentaire?

Contactez Fred et George Weasley, Salle Commune de Gryffondor pour les travaux simples, à mi-temps, pratiquement indolores.

(Nous regrettons mais tout le travail sera entrepris aux risques des candidats.)

-Ils sont à la limite. Dit sinistrement Hermione, en descendant làffiche que Fred et George avaient épinglé sur une autre affiche qui donnait la date du premier week-end à Pré-au Lard et qui avait lieu en octobre. Nous devons leur en parler, Ron.

Ron la regarda presque alarmé.

-Pourquoi?

-Parce que nous sommes préfets! dit Hermione, comme ils passaient par le trou derrière le portrait. Cèst à nous dàrrêter ce genre de chose! Ron ne dit rien ; Harry pouvait cerner cette expression renfrognée qui signifiait que la perspective dàrrêter Fred et George à faire exactement ce quìls voulaient n`était pas une solution très invitante.

-De toute façon? Quèst-ce qui se passe, Harry. Continua Hermione, comme ils descendaient les escaliers entourés de portraits de vieilles magiciennes et sorciers, que tous ignoraient, trop absorbé dans leur propre conversation. Tu semble vraiment fâché au sujet de quelque chose...

-Seamus raconte que Harry ment au sujet de Tu-sais-qui. Dit Ron voyant que Harry ne répondait pas.

Hermione que Harry s`était attendu à réagir furieusement, a soupiré.

-Oui, Lavande le pense aussi. A-t-elle dit mélancoliquement.

-Ce devait être une petite conversation agréable avec elle au sujet de si je suis ou pas un menteur, un crétin qui attire làttention, que vous avez eu. Dit Harry à haute voix.

-Non. Dit Hermione tranquillement. Je lui ai dit de garder sa grande bouche de graisse fermée au sujet de toi. Et ce serait assez agréable si tu arrêtais de nous sauter à la gorge, Harry, parce quàu cas où tu ne làvais pas remarqué, Ron et moi sommes de ton côté.

Il y eu un bref silence.

-Désolé. Dit Harry à voix basse.

-Ça va. Dit Hermione avec dignité. Elle secoua alors la tête en signe dàpprobation.

-Vous ne vous souvenez pas de ce que Dumbledore a dit à la dernière fête de fin dànnée.

Harry et Ron la regardèrent dùn air perplexe et Hermione soupira et dit:

-À propos de Vous savez qui. Il a dit "son don pour semer le désaccord et la haine est très grand. Nous pouvons seulement lutter en montrant une attache également forte dàmitié et de confiance."

-Comment fais-tu pour te souvenir de trucs comme cela. Lui demanda Ron, dans un regard plein dàdmiration.

-J`écoute, Ron. Dit Hermione.

-Mais je le fais, cependant je ne peux pas encore te dire exactement en quoi...

-Le point, Hermione accentua son intonation, est que ce genre de chose est exactement ce dont Dumbledore parlait au sujet de Vous savez qui seulement deux mois plus tôt et nous avons déjà commencé à lutter entre nous. Et le Choixpeau Magique nous prévenait de la même chose: soyez debout ensemble, soyez uni.

-Et Harry là eu la nuit dernière. Riposta Ron. Si cèst le seul moyen que nous sommes supposé avoir pour devenir copain avec les Serpentards, les chances sont faibles...

-Bien, je pense que cèst dommage que nous nèssayons pas un peu de sùnir entre les maisons. Dit Hermione avec mauvaise humeur.

Ils étaient arrivés au pied de lèscalier de marbre. Une file de quatrième année de Serdaigle traversait la Salle dÈntrée; lorsquìls virent Harry, ils se dépêchèrent à former un groupe plus serré, comme sìls étaient effrayés que ce dernier attaque des retardataires.

-Bien sûr, nous devrions vraiment essayer de nous faire amis avec des gens comme cela.

Dit Harry sarcastiquement.

Ils suivirent les Serdaigles dans la Grande Salle, lorsquìls entrèrent, tous regardèrent instinctivement la table du personnel. Professeur Gobe-Planche bavardait avec le Professeur Sinistra, le professeur dÀstronomie, et Hagrid était encore une fois bien visible par son absence. Le plafond ensorcelé au-dessus dèux reflétait l`humeur de Harry; c`était une pluie torrentielle et grisonnante.

-Dumbledore nà même pas mentionné combien de temps le Professeur Gobe-Planche restera. Dit-il, quand ils traversaient la table de Gryffindor.

-Peut-être. Dit Hermione pensivement. ......

-Quoi. Dit Harry et Ron ensemble.

-Bien, peut-être il ne veut pas attirer làttention sur Hagrid qui nèst pas ici.

-Quèst-ce que tu veux dire, attirer làttention sur lui. Dit Ron, en riant presque.

Comment ne pourrions nous pas le remarquer.

Avant que Hermione puisse répondre, une grande fille avec de longs cheveux noirs tressés avait marché jusqùà Harry.


-Bonjour, Angelina.

-Bonjour. Dit-elle vivement, bon été? Et sans attendre une réponse,

-Écoute, jài été nommé Capitaine de l`équipe de Quidditch de Gryffondor.

-Bien. Dit Harry, en lui grimaçant ; il suspectait Angelina à ne pas être aussi dynamique que Oliver Dubois mais cela ne pourrait seulement être quùne amélioration.

-Ouais, bien, nous avons besoin maintenant dùn nouveau Gardien gauche pour remplacer. Les essais sont vendredi à cinq heures et nous voulons l`équipe entière à ce moment, dàccord? Nous pourrons alors voir comment le nouveau sìntégrera à notre équipe.

-OK. Dit Harry.

Angelina lui sourit et partit.

-Jài oublié que Dubois était parti. Dit vaguement Hermione comme elle s`était assise à côté de Ron et prit une tranche de pain grillé. Je suppose que cela fera un vrai différence dans l`équipe.

-Je suppose. Dit Harry, en prenant le banc dèn face. Il était un bon attrapeur.

-Encore, il ne voulait pas se faire blesser pour avoir quelques gouttes de nouveau sang, veux-tu. Dit Ron.

Avec un bruit de battements dàiles et des cris dòiseaux, des centaines de hiboux arrivèrent, en passant à travers les fenêtres supérieures. Ils descendirent en direction de la Salle, en apportant des lettres et des paquets à leur propriétaire et arrosèrent le déjeuner avec leurs gouttelettes dèau; c`était aussi trempé à lìntérieur qùà lèxtérieur.

Hedwige n`était nulle part, mais Harry était à peine surpris; son seul correspondant était Sirius, et il doutait que Sirius ait le moindre nouveau après lui avoir parlé il y a seulement vingt heures. Hermione dû déplacer, rapidement son jus dòrange pour faire place à un grand hibou de grange humide qui portait un Daily Prophet trempé dans son bec.

-Quèst-ce que tu peux obtenir avec ça. Dit Harry dùn ton irrité, pensant à Seamus comme Hermione plaçait un gallion dans la bourse en cuir sur la jambe du hibou et ce dernier partit en sènvolant. " Je ne suis pas embêtant... une charge de détritus. "

-Cèst mieux de savoir ce que lènnemi dit. Dit Hermione sombrement, et elle déploya le journal et disparu derrière ce dernier, en nèn émergeant que lorsque Harry et Ron eurent terminé de manger. ` Rien, ` dit-elle simplement, en enroulant le journal et le posant sur son assiette. ` Rien au sujet de vous ou Dumbledore ou nìmporte quoi. `

Professeur McGonagall avançait maintenant à la table et distribuait des horaires.

- Regardez aujourd'hui! Gémi Ron. ` Histoire de la Magie, Potions doubles, Divination et Défense Contre les Forces du Mal? Binns, Rogue, Trelawney, et cette femme Umbridge tous dans une journée! Je souhaite que Fred et George se pressent et nous obtiennent ces Boîtes à lunch Tireuses assorti? `

-Les oreilles que jài fait me déçoivent, dit Fred, en arrivant avec George et sàppuyant sur le banc à côté de Harry. ` Les préfets de Poudlard ne souhaitent pas en tirer des leçons. `

-Regarde ce que nous avons aujourd'hui, dit Ron maussadement, en poussant son horaire sous

le nez de Fred. Cèst le plus mauvais lundi que j`n’a jamais vu. `

-Bon point, petit frère, dit Fred, en parcourant la colonne. ` Vous pouvez avoir un morceau de Le Nougat du saignement de nez bon marché si vous voulez. `

-Pourquoi est-il bon marché? ` Dit Ron dùne manière suspecte.


-Parce que vous continuerez à saigner jusqùà ce que vous vous ratatiniez, nous nàvons pas encore obtenu dàntidote, ` dit George.

-Merci bien, ` dit Ron dùn air morose, en empochant son horaire, ` mais je pense que je prendrai les cours. `

-En parlant de votre Boîte-à-lunch Tireuse, ` dit Hermione, Fred et George ricanaient, `

vous ne pouvez pas faire de la publicité pour vos expériences sur le panneau dàffichage de Gryffindor. `

-Qui le dit, dit George, en la regardant étonné.

-Je le dis, ` dit Hermione. Èt Ron. `

` Laissez-moi hors de ça, ` dit Ron précipitamment.

Hermione lui lança un regard furieux. Fred et George ricanèrent. Tu devrais bientôt chanter un air différent, Hermione. Dit Fred, en beurrant une épaisse couche de galette.

Lorsque tu auras commencé ta cinquième année. Tu nous demanderas une Boîte-à-

lunch Tireuse avant longtemps.

-Et pourquoi, pour commencer ma cinquième année je voudrais une Boîte-à-lunch Tireuse. Demanda Hermione.

-La cinquième année est lànnée du BUSE. Dit George.

-Alors.

-Alors vous avez vos examens qui arrivent, nèst-ce pas. Dit Fred avec satisfaction.

-En milieu dànnée avait des échecs mineurs arrivent les BUSE. Dit George tout heureux.

Larmes et crises de colère, Patricia Stimpson a continué à venir sur affaiblissement.

-Kenneth Towler arrivait bouillant, vous souvenez-vous. Dit Fred avec évocation.

Cèst parce que tu avais mis de la poudre de Bulbadox dans ses pyjamas. Dit George.

-Oh ouais. Dit Fred, en grimaçant. Il ne faut pas oublier que c` était dur de rester calme quelquefois, nèst-ce pas?

-Cependant cèst le cauchemar dùne année, la cinquième. Dit George. Si vous vous souciez au sujet du résultat des examens, en tout cas. Fred et moi avons réussi à maintenir notre courage dùne façon ou dùne autre.

-Bien sûr que vous làvez obtenu, quèst-ce que c`était, trois BUSE chacun. Dit Ron.

-Ouais. Dit Fred imperturbablement. Mais nous avons lìmpression que nos futurs tours feront le tour du monde des exploits académiques.

-Nous avons discuté sérieusement si nous allions revenir nous ennuyer pour notre septième année. Dit George brillamment, maintenant que nous làvons obtenu.

Il évitait le regard inquiet de Harry qui savait ce dont George avait fait mention lorsquìl leur avait donné les gains quìl avait gagné à la Coupe de Feu. Maintenant que nous avons obtenu nos BUSE. Dit Georges précipitamment. Je veux dire, nous avons vraiment besoin des Tritons. Mais nous ne pensons pas que maman devrait apprendre si tôt que nous voulons quitter l`école, pas et aussi longtemps que Percy sàvère être le plus grand crétin du monde...

-Nous ne sommes pas allés gaspiller notre dernière année ici, pourtant. Dit Fred, en regardant avec affection autour de la Grande Salle. Nous allons lùtiliser pour faire un peu de recherche de marché, trouver exactement ce que l`étudiant de Poudlard moyen exige dùn magasin de farces et attrapes, avec le soin d`évaluer les résultats de notre recherche, alors nous feront des produits pour aller parfaitement avec la demande.

-Mais où allez-vous chercher lòr pour commencer un magasin de farces et attrapes.


Demanda Hermione sceptiquement. Vous allez avoir besoin de tous les ingrédients et matériels et un lieu aussi, je suppose.

Harry ne regarda pas les jumeaux. Il sentit son visage rougir; et fit tomber sa fourchette délibérément et se baissa pour la récupérer. Il entendit Fred dire au-dessus : " Ne nous demande aucunes questions et nous ne vous diront aucuns mensonges, Hermione.

Viens, George, si nous arrivons là-bas assez tôt, nous serons capable de vendre quelques Oreilles Renouvelables avant le cours d`Herboristerie... "

Harry émergea de sous la table afin de voir Fred et George partir, chacun, emportant un tas de pain grillé.

-Comment ont-ils eu làrgent? demanda Hermione, regardant Harry et Ron. Cèst une question que nous devrions nous poser. Il faut avoir un peu dòr pour commencer un magasin de farces et attrapes.

-Tu sais, jài déjà songé à ça. Dit Ron, son front se plissa. Ils mònt acheté un nouvel ensemble de robe cet été et moi je ne comprenais pas où ils avaient obtenu làrgent.

Harry décida que c`était le temps de diriger la conversation hors de ces eaux dangereuses.

-Tu dois reconnaître que cèst vrai que cette année va être vraiment dur à cause des examens.

-Oh, ouais. Dit Ron. Les BUSE sont vraiment importantes, ça influence sur le travail où vous pouvez appliquer et pour tout. Aussi, nous obtiendrons un conseil de carrière plus tard dans lànnée, Bill me là dit. Donc vous pouvez choisir quels Tritons vous voulez faire pour lànnée prochaine.

-Savez-vous ce que vous voulez faire après Poudlard. Demanda Harry aux deux autres, comme ils laissèrent la Grande Salle et se dirigeaient vers leur classe d`Histoire de la Magie.

-Pas vraiment. Dit Ron lentement. Bien .Excepté.

Il sembla légèrement penaud.

-Quoi. Lui demanda Harry.

-Bien, ce serait peut-être bien d`être un Auror. Dit Ron dùne voix désinvolte.

-Ouais, ce serait bien. Dit ardemment Harry.

-Mais ils sont, comme, l`élite. Dit Ron. Tu as commencé à être vraiment bon. Et toi, Hermione.

-Je ne sais pas. Dit-elle. Je pense que jàimerais faire quelque chose de vraiment valable.

-Un Auror valable! Dit Harry.

- Oui, cèst ça, mais ce n`n’est pas la seule chose valable. Dit Hermione, jài lìntention, si je peux, faire avancer le S.A.L.E. plus loin.

Harry et Ron ont évité de se regarder lùn làutre.

L`histoire de la Magie était dùn commun accord le sujet le plus ennuyeux jamais imaginé par la sorcellerie. Professeur Binns, leur professeur fantôme, était asthmatique, sa voix ronronnante semblait vouloir s` éteindre dans un délai de dix minutes dàllocution, cinq, par temps chaud. Il nàvait jamais varié la façon quìl enseignait, mais leur a fait une conférence sans faire de pause pendant quìls prenaient des notes, ou plutôt, le regardait fixement dans le vide dùn air endormi.

Harry et Ron avaient réussi à passer cette matière en copiant seulement les notes d`Hermione avant les examens; elle seule paru capable de résister au pouvoir somnolant de la voix de Binns. Aujourd`hui, ils ont souffert pendant une heure et demi en écoutant un ronronnement sur le sujet de la guerre des géants.

Harry en entendit juste assez dans les premières dix minutes pour apprécier vaguement que dans la classe dùn autre professeur ce sujet aurait pu être intéressant, en revanche il passa le restant de l`heure et vingt minutes à jouer à un jeu sur le coin de son parchemin avec Ron, pendant que Hermione les regardaient sévèrement du coin de lòeil.

-Comment voulez-vous l`être. Leur demanda-t-elle froidement, comme ils quittaient la classe. (Binns s`éloignait vers le tableau noir plus loin), si je refuse de vous prêter mes notes cette année.

-Nous allons rater notre BUSE. Dit Ron. Si tu peux avoir cela sur ta conscience, Hermione.

-Bien, vous le mériteriez. Dit-elle dùn ton sec. .Vous nèssayez même pas de l`écouter.

-Nous essayons. Dit Ron. Nous nàvons seulement pas obtenu ton intelligence ou ta mémoire ou ta concentration. Tu es seulement plus intelligente que nous le sommes.

-Oh, arrêtez de me dire des absurdités. Dit Hermione, en les regardait légèrement touchée comme elle se dirigeait vers la sortie dans la cour humide.

Une bruine brumeuse tombait finement, alors que plusieurs personnes se tenaient debout en petits groupes autour du jardin. Harry, Ron et Hermione choisirent un petit coin à l`écart sous un balcon, déboutonnèrent le col de leur robe afin de profiter un peu de la brise fraîche de septembre et parler au sujet de ce que Rogue allait vraisemblablement leur imposer dans son premier cours de lànnée. Ils se préparaient au fait que c`était possible que ce fût quelque chose dèxtrêmement difficile, seulement pour les piéger et les garder enfermé à étudier après deux mois de vacances, soudain quelquùn sàvança vers eux.

-Allo, Harry!

C`était Cho Chang et, en plus, elle était devant lui en personne. C`était pour lui un moment plus quèxceptionnel: Cho était entourée par une bande filles riant presque toujours; Harry se souvenait de làgonie lorsquìl avait vécu la fois où il avait voulu lui demander de làccompagner au Bal de Noël.

-Bonjour. Dit Harry, en sentant son visage devenir rouge de chaleur. Au moins tu nès pas couvert de liquide vert et visqueux maintenant, se dit-il en lui-même. Cho a paru deviner ses pensées.

-Tu as enlevé ce truc, alors.

-Ouais. Dit Harry, en essayant de grimacer comme si la mémoire de leur dernière rencontre était drôle et non humiliante. Mais as-tu passé un bon été? Au moment où il avait dit ça il nèspérait rien. Cédric était le petit ami de Cho et la mémoire de sa mort avait dû affecter ses vacances comme ce malheur avait affecté Harry. Son visage parut sàttendrir, mais elle dit, "Oh, c`était bien, tu sais..." -Cèst un badge des Tornades.

Demanda soudainement Ron, en pointant la robe de Cho où était épinglée un badge bleu ciel auquel la lettre T y était gravée en or. Tu ne les supporte pas, nèst-ce pas? -

Oui, je le fais. Dit Cho.

-Tu les a toujours supportés, ou juste depuis quìls ont commencé à gagner. Dit Ron, dùn ton accusateur que Harry considérait inutile.

-Je les supporte depuis longtemps. Dit froidement Cho. Cependant je ne vois pas..., Harry.

Et elle partit. Hermione a dû attendre que Cho se soit assez éloignée pour réprimander Ron.

-Tu es si peu diplomate!

-Quoi, je lui ai seulement demandé si...

-Tu ne crois pas quèlle voulait seulement parler à Harry.

-Mais elle là fait, je ne lài pas arrêté.

-Pourquoi làs-tu attaqué au sujet de son équipe de Quidditch.

-Attaqué, je ne lài pas attaqué, j`étais seulement...

-Qui se soucie si elle supporte les Tornades.

-Oh, allez, la moitié des gens que tu vois portent ces insignes achetés seulement la saison dernière.

-Mais quèst-ce que ça fait!

-Ça veut dire que ce ne sont pas de vrais partisans, ils sont seulement là quand ils gagnent.

-Cèst la cloche. Dit Harry à voix haute, afin que Ron et Hermione qui se querellaient lèntende. Ils ne cessèrent dàrgumenter pendant tout le trajet jusqùà ce quìls arrivent au donjon de Rogue, ce qui donna à Harry beaucoup de temps pour réfléchir quèntre Neville et Ron il nàurait jamais la chance dàvoir deux minutes de conversation avec Cho pour quìl puisse la regarder sans vouloir chercher à quitter le pays. Cependant, il pensait, comme ils joignaient la file qui alignait la porte à lèxtérieur de la classe de Rogue, elle avait choisi de venir et lui parler. Elle avait été la petite amie de Cedric; elle aurait pu détester Harry pour s`être sorti du labyrinthe vivant quand Cédric était mort, cependant elle lui parlait amicalement, pas comme si elle le pensait furieux, ou un menteur, ou pour quelquùn d`horrible responsable de la mort de Cédric. Oui, elle avait choisi sans aucun doute de venir lui parler, et cela pour une deuxième fois en deux jours et cette pensée, Harry la chérissait. Même le son menaçant de Rogue lorsquìl ouvrit la porte du donjon ne là pas dérangé, une bulle remplit dèspoir parut augmenter au fond de sa poitrine. Il entra dans la classe suivant de Ron et Hermione et sìnstallèrent à leur table habituelle à làrrière où il sàssit entre Ron et Hermione. Il ignora même les bruits hostiles, et irritables qui provenaient de derrière eux.

-Asseyez-vous. Dit froidement Rogue, en fermant la porte derrière lui.

Il nàvait vraiment aucun besoin de rappeler à lòrdre; dès que la classe avait entendu la porte se refermer, le silence tomba et toutes les agitations arrêtèrent. La seule présence de Rogue était habituellement assez pour assurer le silence dans la classe.

-Avant que nous commencions la leçon dàujourd`hui. Dit Rogue, en balayant des yeux son bureau et également toute la classe, je pense approprié de vous rappeler quèn juin prochain

vous aurez un examen important qui aura pour but de prouver ce que vous avez appris au sujet de la composition et usage de potions magiques. Bien quìndubitablement idiot pour quelques-uns de cette classe, jàttends que vous remportiez une BUSE

"Acceptable", ou vous aurez à subir mon mécontentement...

Son regard se tarda un moment sur un Neville plus quìnconfortable.

-Après cette année, bien sûr, beaucoup dèntre vous cesseront d`étudier avec moi.

Rogue marchait à làrrière de la classe. Je prends seulement les meilleurs dans ma Classe de Potions ASPIC donc quelques-uns dèntre-vous nous dirons certainement au revoir.

Ses yeux se sont posés sur Harry et ses lèvres se refermèrent. Harry lança un regard furieux en arrière, en sentant un certain plaisir à lìdée quìl pourrait terminer le cours de Potions après cinq ans.

-Mais nous avons une autre année avant ce moment heureux dàu revoir. Dit doucement Rogue, mais si vous projetez de tenter le ASPIC ou pas, je recommande avant tout de concentrer vos efforts pour maintenir un haut niveau pour passer l`étape que jàttends de mes étudiants: la BUSE.

-Aujourd`hui nous mélangerons une potion qui vient de niveau de Sorcellerie Ordinaire: le Draft de la Paix, une potion calmant lìnquiétude et calmant làgitation. Soyez prévenu: si vous êtes maladroit avec les ingrédients vous pouvez mettre le buveur dans un lourd et quelquefois irréversible sommeil, donc vous aurez besoin de porter davantage dàttention à ce que vous faites". À la gauche de Harry, se trouvait Hermione qui se redressa un peu, son expression était dùne extrême attention. "Les ingrédients et méthode".

Rogue effleura sa baguette ...."Sont sur le tableau". (Ils y apparurent).»Vous trouverez tout ce que vous avez besoin". Il effleura encore sa baguette. "Dans la réserve de làrmoire". (La porte de làrmoire sòuvra). "Vous avez une heure et demi- allez-y..."

De même que Harry, Ron et Hermione làvaient prédit, Rogue aurait difficilement pu mettre plus difficile, que cette délicate potion. Les ingrédients ont dû être ajouté au chaudron précisément dans le bon ordre et en bonnes quantités; le mélange a dû être remué exactement pendant un nombre de temps bien précis, premièrement dans le sens des aiguilles dùne montre, puis dans làutre direction; la chaleur des flammes sur lequel il mijotait a dû être baissée exactement au bon niveau pour un nombre spécifique de minutes avant que le dernier ingrédient soit ajouté.

-Une lumière dàrgent vaporeuse devrait maintenant apparaître de votre potion. Dit Rogue, à dix minutes de la fin du cours.

Harry qui transpirait abondamment jeta un coup dòeil désespéré autour de la classe.

Son propre chaudron fûminait de quantité de vapeurs grises et sombres; celui de Ron crachait des étincelles vertes. Seamus repoussait doucement les flammes à la base de son chaudron avec la pointe de sa baguette, comme elles semblaient vouloir sortir.

Cependant, la surface de la potion d`Hermione était dùn brouillard miroitant de vapeur dàrgent, et comme Rogue passa près dèlle, il la regarda avec son nez crochu sans porter aucun commentaire, ce qui revenait à dire quìl ne pouvait rien trouver pour la critiquer. Au chaudron de Harry, cependant, Rogue sàrrêta, et le regarda avec un horrible sourire sur son visage.

-Potter, quèst-ce que cela est supposé être.

Les Serpentards au devant de la classe se sont tous amusé passionnément; ils aimaient entendre Rogue réprimander Harry.

-Le Draft de la Paix. Dit Harry peu sûr de lui.

-Dites-moi, Potter. Dit Rogue, pouvez-vous lire. Draco Malefoy riait.

-Oui, je peux. Dit Harry, ses doigts serraient fermement sa baguette.

-Lisez la troisième ligne des directives pour moi, Potter.

Harry se plissait les yeux pour lire au tableau; ce n`était pas facile de distinguer les directives à travers l`épaisse brume de vapeur multicolore qui remplissait maintenant le donjon.

-Ajoutez la poudre de pierre de lune, remuez pendant trois minutes, faites mijoter pendant sept minutes alors ajoutez deux gouttes de sirop d`hellebore...

Son coeur fit trois tours. Il nàvait pas ajouté de sirop d`hellebore, mais avait passé directement à la quatrième ligne des directives après avoir fait mijoter sa potion pendant sept minutes.

-Avez-vous tout fait sur la troisième ligne, Potter.

-Non. Dit Harry très tranquillement.

-Je vous demande pardon.

-Non. Dit Harry, plus haut. Jài oublié l`hellebore.

-Je sais ce que vous avez fait, Potter, ce gâchis est complètement sans valeur.

-Evanesce.

Le contenu de la potion de Harry disparut; il se tenait à gauche du chaudron vide.

Ceux de vous qui ont réussi à lire les directives, remplissez une bouteille avec un échantillon de votre potion, étiquetez-le avec votre nom clairement identifié et apportez-le jusqùà mon bureau pour le tester. Dit Rogue. Devoir: douze pouces de parchemin sur les propriétés de pierre de lune et ses usages dans la fabrication des potions, pour...

Jeudi...

Pendant que tout le monde autour de lui remplirent leur bouteille, Harry se débarassait de ses ingrédients, il bouillait intérieurement.

Sa potion nàvait pas été pire que celle de Ron qui donnait maintenant un odeur fétide dòeuf pourri; ou celle de Neville qui avait fabriqué une consistance de ciment mélangé duquel Neville avait maintenant dû sculpter pour la déloger hors de son chaudron; cependant c`était lui, Harry, qui recevrait la note zéro pour le travail du jour. Il enfila sa baguette à làrrière de son sac et sàffaissa sur son siège, en regardant tout le monde marcher jusquàu bureau de Rogue avec des bouteilles remplit et bien refermé. Lorsque la cloche sonna, Harry fut hors du donjon en premier et avait déjà commencé son déjeuner lorsque Ron et Hermione le rejoignirent dans la Grande Salle. Le plafond était maintenant dùn gris plus obscur quìl ne l`était le matin. La pluie fouettait les hautes fenêtres.

-C`était vraiment injuste. Dit Hermione, en sàsseyant à côté de Harry et làidant avec le hachis Parmentier. Ta potion n`était presque pas aussi mauvaise que celle de Goyle; quand il là mis dans sa bouteille celle-ci sèst entièrement fracassée et a mis sa robe en feu.

-Ouais, bien. Dit Harry, en regardant son assiette, depuis quand Rogue est juste avec moi.

Ni lùn ni làutre ne répondirent; tous les trois savaient que Rogue et Harry étaient mutuellement ennemis depuis la rentrée à Poudlard de Harry.

-Je pensais quìl serait peut-être cette année un peu mieux. Dit Hermione dùn ton déçu."Je voulais dire tu sais..." elle regarda autour dèlle avec soin; il y avait une demi douzaine de sièges vides sur lùn et làutre des côtés et personne à la table ne passait.

"Maintenant quìl est dans lÒrdre et tout..."

-Les crapauds vénéneux ne changent pas leurs taches. Dit Ron sagement. "Cependant jài toujours pensée Dumbledore assez loufoque pour avoir confiance en Rogue. Selon toutes évidences, il nà jamais cessé de travailler pour Tu-Sais-Qui."

-Je pense que probablement Dumbledore a obtenu beaucoup de preuves, même sìl ne les partage pas avec toi, Ron. Lança Hermione dùn ton sec.

-Oh, taisez-vous, vous deux. Dit Harry fermement, comme Ron ouvrait sa bouche pour répliquer. Hermione et Ron ont tous deux resté saisit, en semblant fâché et offensé.

Pouvez-vous faire la paix. Dit Harry. Vous êtes toujours à vous quereller lùn et làutre, cèst à moi d`être furieux. Et abandonnant son hachis Parmentier, il prit son sac-à-dos, le mis sur son épaule et les laissèrent assis là.

Il monta lèscalier de marbre deux marches à la fois, passa devant un grand nombre d`étudiants qui se dépêchaient à aller déjeuner. La colère qui l`habitait avait fait surface de façon si inattendue à lìntérieur de lui, et la vision de Ron et Hermione en voyant leur visage choqué lui offrit un sentiment de satisfaction profonde. Bien fait pour eux, pensait-il, pourquoi ne peuvent-ils pas prendre une pause...ils se querellent tout le temps cèst assez pour conduire quelquùn à la folie.

Il passa devant le grand portrait de Monsieur Cadogan le chevalier sur sa monture; Monsieur Cadogan tira son épée et la brandit vers Harry qui lìgnora.

-Allez en arrière, vous chien ignoble! Soyez debout vite et bagarre! hurla Monsieur Cadogan dans une voix assourdie derrière sa visière, mais Harry marcha simplement et quand Monsieur Cadogan essaya de le suivre en courant dans une image voisine, il, fut repoussé par son locataire, un grand chien-loup qui lòbservait dùn air menaçant.

Harry passa le reste de l`heure du déjeuner assis seul en dessous la trappe au sommet de la Tour Nord. Par conséquent, il était le premier à monter l`échelle dàrgent qui menait à la classe de Sybill Trelawney quand la cloche sonna.

Après le cours de Potions, la Divination était la classe la moins aimée de Harry. Ron émergea de la trappe, regarda tout autour avec soin, repéra Harry et avança directement vers lui, ou aussi directement quìl le pouvait, devant se faufiler entre les tables, les chaises et les "poufs" rembourrés. -Hermione et moi avons cessé de discuter. Dit-il, en sàsseyant au côté de Harry.

-Bien. Grogna Harry.

-Mais Hermione dit quèlle pense que ce serait agréable si tu cessais de sortir ta frustration sur nous. Dit Ron.

-Je ne le fais pas.

-Je ne suis que le messager. Dit Ron. Mais je crois quèlle a raison. Ce nèst pas notre faute si Seamus et Rogue te traite de cette façon...

-Je nài jamais dit ça!

-Bonjour. Dit le Professeur Trelawney dans une voix brumeuse, rêveuse comme à son habitude, et

Harry se ferma, se sentant encore contrarié et légèrement honteux de lui-même.

-Et rebienvenue au cours de Divination. Jài, bien sûr, suivit vos destinés pendant les vacances, et prit plaisir à voir que vous êtes tous revenu à Poudlard sain et sauf, bien sûr, je le savais déjà.

-Vous trouverez sur les tables vos copies de LÒracle du Rêve, par Inigo Imago.

Lìnterprétation du rêve est un moyen des plus importants pour deviner le futur et qui peut très probablement être testé dans votre BUSE. Pas, bien entendu, que je crois que passer lèxamen ou l`échouer ait une quelconque importance lorsquìl vient de làrt sacré de la divination. Si vous avez lÒeil de la Voyance, les certificats et les niveaux importent très peu. Cependant, le Directeur voulait que vous fassiez un examen, alors...


Sa voix traînante, laissant percevoir sans aucun doute que le Professeur Trelawney considérait sa matière au-dessus de quelconque matière sordide qui avaient besoin dèxamens.

-Tournez les pages, sìl vous plaît, jusqùà lìntroduction!" et elle lu ce quÌmago disait sur lìnterprétation des rêves. Alors, placez-vous en équipe de deux. Utilisez LÒracle du Rêve pour interpréter chacun un de vos rêves les plus récents. Commençons.

La première bonne nouvelle à être dite pour ce cours était que ce n`était pas une période double.

Lorsquìls eurent tous fini de lire lìntroduction du livre, ils avaient à peine dix minutes pour interpréter leur rêve. À la table à côté de Harry et Ron, Dean s`était mis avec Neville qui a immédiatement embarqué sur un longue explication dùn cauchemar qui impliquait une paire de ciseaux géants que portait sa grand-mère sur un de ses chapeau ; Harry et Ron se regardaient simplement lùn et làutre dùn air maussade.

-Je ne se souviens jamais de mes rêves. Dit Ron, tu en racontes un.

-Tu doit te souvenir dàu moins un. Dit Harry impatiemment.

Il nàllait pas partager ses rêves avec nìmporte qui. Il savait parfaitement bien ce que son cauchemar régulier au sujet dùn cimetière signifiait, il nàvait pas besoin de Ron ou du Professeur Trelawney ou de lÒracle du Rêve stupide pour le lui dire.

-Bien, jài rêvé que je jouais au Quidditch làutre nuit. Dit Ron, en plissant son visage dans un effort de se souvenir. Quèst-ce que ça veut dite tu crois?

-Probablement qui tu vas être mangé par une guimauve géante ou quelque chose du genre. Dit

Harry, tournant les pages de LÒracle du Rêve sans intérêt. C`était un travail très ennuyeux que chercher des morceaux de rêves dans lÒracle et Harry n’a pas été encouragé quand le Professeur Trelawney leur a donné comme devoir de garder un journal du rêve pendant un mois. Quand la cloche sonna, lui et Ron prirent le chemin de l`échelle, et Ron grogna tout haut.

-Est-ce quèlle se rend compte de combien de devoirs nous avons déjà obtenu! Binns nous a donné un parchemin à faire sur la guerre des géants, Rogue en veut un sur lùsage de pierres de lune, et maintenant nous avons obtenu un mois de journal de rêve de Trelawney! Fred et George ne devaient pas exagérer au sujet de lànnée de la BUSE.

Umbridge est mieux de ne rien nous donner!

Quand ils entrèrent dans la classe de la Défense Contre les Forces du Mal ils ont trouvé le Professeur Umbridge déjà assise à son bureau, elle portait un cardigan de nuit rose et un arc de velours noir sur sa tête. Harry se rappela encore de lìmage quìl avait dèlle: une grande mouche se perchant imprudemment sur un grand crapaud.

La classe était tranquille comme il entrèrent dans la pièce; Professeur Umbridge était, jusquìci, une inconnue et personne ne savait comment elle était sévère et discipliné.

-Bien, bon après-midi! dit-elle, quand finalement la classe entière s`était assise. Quelques personnes marmonnaient encore.

-Bon après-midi. Certains répondirent-ils.

-Tut, tut. Dit le Professeur Umbridge. Je ne veux pas de ça, maintenant, je le voudrais comme ça, sìl vous plaît, répondez: Bon après-midi, Professeur Umbridge. Une plus de fois, sìl vous plaît. " Bon après-midi, classe! ".


-Bon après-midi, Professeur Umbridge.ont-ils entonné tous en coeur.

-Là, maintenant. Dit Professeur Umbridge doucement. Ce n`était pas trop difficile, rangez vos baguettes et sortez votre plume, sìl vous plaît.

Beaucoup dans la classe échangèrent des regards sombres; ranger les baguettes pour un cours nà jamais été fait mais ils avaient trouvé lìdée intéressante. Harry mis sa baguette à lìntérieur de son sac et en sorti sa plume, lèncre et le parchemin. Professeur Umbridge ouvra son sac à main, sortit sa propre baguette qui était exceptionnellement courte, et tapota le tableau noir; les mots ont apparu sur le tableau: Défense Contre les Forces du Mal: Un Retour aux Principes De base

-Bien maintenant, votre apprentissage dans cette matière a été plutôt désorganisé et fragmentaire, nèst-ce pas. Énonça le Professeur Umbridge, se tournant pour faire face à la classe, ses mains soigneusement posées devant elle. Le changement constant de professeurs, beaucoup dèntre eux ne paraissent pas avoir suivi tout le programme scolaire du Ministère, ce qui malheureusement a des conséquences sur vos apprentissages et diminue vos rendements pour lànnée de la BUSE.

-Vous serez donc heureux de savoir, cependant, que ces problèmes sont maintenant rectifiés. Nous suivrons un cours structuré, centré sur la théorie, approuvé par le Ministère cette année. Copiez la ligne du bas, sìl vous plaît..

Elle frappa encore le tableau noir; le premier message disparut et fut remplacé par les... Buts Visés

. Comprendre les principes de la magie défensive.

. Apprendre à reconnaître les situations où la magie défensive peut être utilisée légalement.

. Placer lùsage de la magie défensive dans un contexte pour usage pratique.

Pendant deux minutes la pièce fut remplie du son de plumes qui écrivait sur le parchemin. Quand tout le monde eut copié ce que le Professeur Umbridge avait demandé, "Est-ce que tout le monde a une copie de Théorie Magique Défensive par Wilbert Slinkhard?"

Il y eut un murmure de consentement partout dans la classe.

-Je pense que nous allons essayer encore. Dit Professeur Umbridge. .Quand je vous demande une question, je màttends à une réponse, Oui, Professeur Umbridge., ou

.Non, Professeur,

Umbridge. Donc:Est-ce que tout le monde a une copie de Théorie Magique Défensive par Wilbert Slinkhard.

-Oui, Professeur Umbridge. Retentit à travers la pièce.

-Bien. Dit Professeur Umbridge. Je vais vous faire tourner à la page cinq et lire.

Chapitre Un, Essentiels pour les Débutants. Il n`y aura aucun besoin de parler.

Professeur Umbridge laissa le tableau noir et se rendit à sa chaise derrière son bureau, les observant avec ces grands yeux attentivement. Harry tourna à la page cinq de sa copie de Théorie Magique Défensive et commença à lire.

C`était désespérément ennuyeux, aussi mauvais qùécouter Professeur Binns. Il sentit sa concentration s`éloigner; il avait bientôt lu la même ligne une douzaine de fois sans comprendre la signification des mots. Plusieurs minutes passèrent. À côté de lui, Ron avait lèsprit ailleurs et jouait avec sa plume entre ses doigts, regardant la même tache sur la page. Harry regarda droit devant lui et eut la surprise de sa vie. Hermione nàvait même pas ouvert sa copie de Théorie Magique Défensive. Elle dévisageait fixement Professeur Umbridge avec sa main dans les airs. Harry ne pouvait se souvenir de Hermione négligeant de lire pour sìnstruire, ou résister à la tentation dòuvrir tout livre qui soit sous son nez.

Il la regarda, mais elle secoua la tête pour indiquer simplement quèlle nàllait pas répondre aux questions, et continua à regarder le Professeur Umbridge qui regardait de même résolument dans une autre direction.

Après que plusieurs minutes se soient passées, Harry n`était pas le seul regardant Hermione. Le chapitre quìls devaient lire était si fatigant que de plus en plus de gens choisissaient de regarder Hermione qui tentait dàttirer làttention du Professeur Umbridge.

Quand plus de la moitié de la classe regardait Hermione plutôt que leurs livres, Professeur Umbridge paru se décider quèlle ne pourrait plus ignorer la situation.

-Est-ce que vous voulez vous renseigner sur quelque chose au sujet du chapitre, cher.

Demanda-t-elle à Hermione.

-Pas au sujet du chapitre, non. Dit Hermione.

-Bien nous sommes à lire en ce moment. Dit Professeur Umbridge, en montrant ses petites dents pointues. Si vous avez dàutres questions que nous pouvons traiter, nous le ferons à la fin de la classe..

-Jài une question au sujet de vos Buts Visés. Dit Hermione.

Professeur Umbridge éleva ses sourcils. Et quel est votre nom.

-Hermione Granger. Dit Hermione.

-Bien, Mlle Granger, que je pense que les buts du cours sont parfaitement clairs si vous les avez lus avec soin. Dit Professeur Umbridge dans une voix douce mais déterminée.

-Bien, je ne pense pas. Dit Hermione brusquement. Il n`y a rien d`écrit au sujet de lùsage des charmes défensifs.

Il y eut un court silence pendant lequel plusieurs étudiants de la classe tournèrent leur tête en fronçant les sourcils vers les trois items des Buts Visés encore écrit sur le tableau noir.

-Usage de charmes défensifs. Répéta Professeur Umbridge avec un petit rire. Pourquoi, je ne peux

imaginer de situation survenant dans ma classe et qui exigerait dùtilisez un charme défensif, Mlle Granger. Vous ne vous attendez certainement pas d`être attaqué pendant la classe.

-Nous ne sommes pas partit pour utiliser la magie. Sèxclama Ron à haute voix.

-Les étudiants lèvent leur main quand ils souhaitent parler dans ma classe, Mr.

-Weasley. Dit Ron, en poussant brusquement sa main en làir.

Professeur Umbridge, qui souriait encore plus largement, regardait derrière lui. Harry et Hermione avaient aussi élevés leurs mains immédiatement. Le professeur Umbridge posa ses yeux sur Harry avant de sàdresser à Hermione.

-Oui, Mlle Granger. Vous voulez demander quelque chose dàutre.

-Oui. Dit Hermione. Le point principal de Défense Contre les Forces du Mal est de pratiquer des charmes défensifs.

-Êtes-vous un expert pédagogique du Ministère, Mlle Granger. Demanda le Professeur Umbridge, dans une voix faussement mielleuse.


-Non, mais...

-Bien, alors, jài bien peur que vous ne soyez pas qualifiée pour décider quel est le point principal de la classe. Les sorciers beaucoup plus vieux et intelligent que vous ont imaginé notre nouveau programme d`étude. Vous apprendrez au sujet des charmes défensifs dans la sécurité, sans risques.

-Qui lùtilise. Dit Harry tout haut. Si nous ne savons pas qui va être attaqué, si nous ne sommes pas...

-Main, Mr Potter! Chantonna Professeur Umbridge.

Harry leva brusquement son poing dans les air. Encore une fois, Professeur Umbridge se détourna rapidement de lui, mais maintenant plusieurs autres étudiants avaient leur main levée.

-Et quel est votre nom. Dit Professeur Umbridge à Dean.

-Dean Thomas.

-Bien, Mr Thomas.

-Bien, cèst comme Harry a dit, nèst-ce pas. Dit Dean. Si nous ne savons pas qui va être attaqué, si...

-Je répète. Dit Professeur Umbridge, en souriant à Dean, est-ce que vous vous attendez à être attaqué pendant mes cours.

-Non, mais.

Professeur Umbridge reprit la parole. "Je ne souhaite pas critiquer les choses qui se sont passés dans cette école dit -elle, affichant un sourire peu convaincant, mais vous avez été exposés à quelques sorciers très étourdis dans cette classe, très étourdi en effet et hors de mention". Dit-elle en lançant un petit rire désagréable, "extrêmement dangereux même..."

-Si vous parlez du Professeur Lupin. Ajouta Dean furieusement, il était le meilleur !

-Main, Mr Thomas! Comme je disais, vous avez été présenté aux charmes qui étaient complexes, peu approprié à votre tranche d`âge et potentiellement mortel. Vous avez été effrayé et avez cru possible que vous rencontriez des attaques Sombres tous les deux jours.

-Non, nous ne làvons pas.... dit Hermione, nous sommes seulement...

-La main .Vous n`êtes pas au-dessus, Mlle Granger!.

Hermione leva sa main. Professeur Umbridge se détourné dèlle.

-Si jài bien compris, mon prédécesseur a exécuté des malédictions illégales devant de vous, et il les a exécutés sur vous...

-Bien, il sèst avéré être un fou furieux, nèst-ce pas. Dit vivement Dean. Vous pensez, nous, en apprendre encore...

-La main .Vous n`êtes pas au-dessus, Mr Thomas! Lança le Professeur Umbridge.

Maintenant, cèst la vue du Ministère quùne connaissance théorique sera plus que suffisant pour réussir votre examen. Et votre nom est? Ajouta-t-elle, en regardant Parvati dont la main était dans les airs.

-Parvati Patil, et nèst-ce pas là un travail pratique dans notre Défense Contre les Forces du Mal , la BUSE ne dit-elle pas que nous sommes supposé le faire réellement.

-Je désire ardemment, tout comme vous, étudier la théorie assez dur, afin quìl n`y ait aucune raison pour que vous ne soyez pas capable dèxécuter les charmes avec soin sous un examen contrôlé. Dit le Professeur Umbridge.


-Sans jamais les pratiquer à làvance. Dit Parvati dùn air incrédule. Nous dites-vous que la première fois que nous allons réussir à faire les charmes sera pendant notre examen.

-Je répète, aussi longtemps que vous allez étudier la théorie...

-Et quelle bonne théorie va être dans le vrai monde. Dit Harry tout haut, son poing encore en làir.

Professeur Umbridge répliqua.

-Cèst scolaire, Mr Potter, pas dans le vrai monde. dit-elle doucement.

-Mais n`êtes-vous pas supposé nous préparer pour ce qui nous attend là-bas.

Il n`y a rien à attendre là-bas, Mr Potter.

-Oh, ouais. Dit Harry. Son tempérament parut arriver au point d`ébullition.

-Qui imaginez-vous veut du mal aux enfants ou à vous-mêmes. Demanda le Professeur Umbridge dans une voix horriblement mielleuse.

-Hmm, laissez-moi y penser... dit Harry dans une voix pensive et un tantinet burlesque.

Peut-être Le Seigneur Voldemort.

Ron sursauta; Lavande lança un petit cri; Neville glissa de son tabouret. Cependant, le professeur Umbridge nà pas fléchi. Elle dévisageait Harry avec un sinistre expression satisfaite sur son visage.

-Dix points à Gryffindor, Mr Potter.

La classe était silencieuse et immobile. Tout le monde regardait Umbridge et Harry.

-Maintenant, laissez-moi dire quelques choses...

Professeur Umbridge se leva et sàppuya les mains écrasées sur son bureau.

-Il vous a été dit quùn certain sorcier Sombre est revenu de la mort.

-Il est mort. Dit Harry furieusement, mais oui, il est revenu!

-Mr.Potter vous avez déjà fait perdre 10 points à votre Maison, voulez-vous en faire perdre davantage! dit le Professeur Umbridge dans un souffle sans le regarder. Et je disais, que vous avez été informés quùn certain sorcier Sombre était revenu. Cèst un mensonge.

-Ce nèst pas un mensonge! Dit Harry. Je lài vu, je lài lutté!

-Détention, Mr Potter! dit Professeur Umbridge triomphalement. Demain soir. Cinq heures. Mon bureau. Je répète, cèst un mensonge. Le Ministère de la Magie garantit que vous n`êtes pas en danger de tout sorcier Sombre. Si vous êtes encore inquiet, venez me voir à lèxtérieur des heures de classe. Si quelquùn vient vous alarmer avec de petits mensonges au sujet de sorciers Sombres qui reviendraient, jàimerait le savoir. Je suis ici pour aider. Je suis votre ami. Et maintenant, vous continuez à lire. La page cinq, .Base pour les Débutants...

Professeur Umbridge sàssis derrière son bureau. Cependant, Harry se leva.

Tout le monde le regardait; Seamus le regardait mi-épeuré, mi-fasciné.

-Harry, non! Chuchota Hermione dans une voix presquìnaudible, en tirant sur sa manche, mais Harry dégagea son bras hors de sa portée.

-Alors, dàprès vous, Cédric Diggory est mort de son propre accord, demanda Harry, sa voix semblait secouée.

Il y eut une prise de souffle collectif dans la classe, Ron et Hermione nàvait jamais entendu Harry parler au sujet de ce qui s`était passé la nuit où Cédric était mort. Ils dévisagèrent Harry et le Professeur Umbridge qui avait élevé ses yeux et le dévisageait sans aucune trace dùn sourire faux sur son visage.


-La mort de Cédric Diggory était un accident tragique. Dit-elle froidement.

-C`était un meurtre. Dit Harry. Il pouvait se sentir secouer. Il avait peine à parler à nìmporte qui au sujet de ceci, tous les camarades de la classe l`écoutait attentivement.

Voldemort là tué et vous le savez.

Le visage du professeur Umbridge était sans expression. Pour un moment, Harry pensait quèlle allait crier après lui. Alors elle dit, dans un ton plus doux, plus doux que celui dùne petite fille.

-Venez ici, Mr Potter, cher.

Il donna un coup de pied sur sa chaise, marché à grands pas autour de Ron et Hermione jusquàu bureau du professeur. Il pouvait sentir son souffle. Il la savait fâché mais ne se souciait pas de ce qui allait se passer.

Professeur Umbridge sortit un petit rouleau de parchemin rose de son sac à main, le déposa sur le bureau, et trempa sa plume dans la bouteille dèncre. Elle commença à gribouiller, Harry ne pouvait pas voir ce quèlle écrivait.

Personne ne parlait. Après une minute ou deux elle a enroulé le parchemin et là tapoté avec sa baguette; il sèst scellé de façon homogène afin quìl ne puisse pas lòuvrir.

-Apportez ceci à Professeur McGonagall, cher. Dit Professeur Umbridge, en lui tendant la note.

Il la prit sans dire un mot, partit à gauche de la pièce, sans même regarder Ron et Hermione, et claqua la porte de la classe. Il marché très rapidement le long du couloir, la note à McGonagall, serré dans sa main, et tourna le coin du corridor se retrouvant face à face avec Peeves.

Pourquoi est-il Potty Tout petit Potter! A fait entendre Peeves dùn rire saccadé, en faisant tomber deux encriers par terre où ils se cassèrent; Harry fit un bond derrière lui.

-Va-tèn, Peeves.

-Oooh, Crackpot se sent capricieux. Dit Peeves, en poursuivant Harry le long du couloir, le lorgnant dùn air méchant comme il bourdonnait au-dessus de lui. Quel est le bon moment, mon gentil ami Potty? Entends-tu des voix? As-tu des visions? Parles-tu une autre...Peeves gaspillait une framboise géante...langue?

-Jài dit, laisse-moi SEUL! Cria Harry, en courant vers le plus proche escalier, mais Peeves glissa en bas de la rampe à côté de lui.

-Oh, la plupart pensent quìl est hostile, le potty tout petit jeune homme, Mais quelques-uns sont bons avec lui et pensent quìl est seulement triste, mais Peeves le sait et dit quìl est furieux.

-TAIS-TOI!

Une porte à sa gauche ouvra et Professeur McGonagall sortit de son bureau, làir menaçant.

-Quèst-ce que vous avez à crier comme ça, Potter. Lança-t-elle, comme Peeves faisait entendre son rire saccadé et sènfuyait hors de vue. Pourquoi n`êtes-vous pas en classe?

-Jài été envoyé pour vous voir. Dit Harry.

-Envoyé? Quèst-ce que ça signifie.

Il tendit la note du Professeur Umbridge. Professeur McGonagall la prit en fronçant les sourcils, lòuvrit avec sa baguette, et commença à lire. Ses yeux se promenaient derrière ses lunettes carrées dùn côté à làutre comme elle lisait ce quÙmbridge avait écrit.

-Venez ici, Potter.


Il là suivit à lìntérieur de son bureau. La porte se ferma derrière lui automatiquement.

-Bien. Dit Professeur McGonagall, en le regardant. Est-ce vrai? Est-ce que cèst la vérité?

-Professeur. Ajouta-t-il, dans une tentative plus polie.

-Est-il vrai que vous avez crié après le Professeur Umbridge.

-Oui. Dit Harry.

-Vous làvez traité de menteuse.

-Oui.

-Vous lui a dit: Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est revenu.

-Oui.

Professeur McGonagall sàssis derrière son bureau, en regardant Harry attentivement.

Alors elle dit, " voulez-vous un biscuit, Potter ? "

-Quèst-ce que jài?

-Vous voulez un biscuit. Répéta-t-elle impatiemment, en indiquant un siège près de son bureau...Il sàssis...Prit un biscuit...

Il y avait eu une occasion antérieure que Harry, s`était attendu à être frappé à coups de canne par Professeur McGonagall, il avait cependant été nommé par elle à l`équipe de Quidditch de Gryfondor. Professeur McGonagall sàssit et fixait la note du Professeur Umbridge en jetant des coups dòeil à Harry. Elle avait une expression assez triste.

-Potter, vous avez besoin d`être prudent.

Harry avala sa bouchée de Triton du Gingembre et la regarda. Son ton de voix n`était pas du tout ce dont il s`était habitué; ce n`était pas vif, croustillant et sévère; c`était bas et inquiet et dùne façon ou dùne autre beaucoup plus humain qùà l`habituel.

-Votre mauvaise conduite dans la classe de Dolorès Umbridge pourrait vous coûter beaucoup plus que des points de Maison et une détention.

-Quèst-ce que vous faites, .Potter, utilisez votre bon sens. Lança Professeur McGonagall, avec un ton abrupt qui revenait à sa manière habituelle. "Vous savez dòù elle vient, vous devez savoir à qui elle rapporte..."

La cloche sonna pour la fin des cours. Au-dessus et tout autour dèux des sons éléphantesques de centaines d`étudiants en mouvements commencèrent.

-Elle dit ici que vous êtes en détention chaque soir cette semaine, commencez, demain.

Dit le Professeur McGonagall, en regardant la note dÙmbridge encore une fois.

-Chaque soir cette semaine! Répéta Harry, horrifié. Mais, Professeur, vous ne pouvez pas...

-Non, je ne peux pas. Dit Professeur McGonagall clairement.

-MAIS...

-Elle est votre professeur et a le droit de vous mettre en détention. Vous irez à son bureau à cinq heures demain pour la première fois. Souvenez-vous seulement: marchez avec soin autour de Dolores Umbridge.

-Mais je disais la vérité! Dit Harry, outragé. .Voldemort est revenu, vous savez quìl lèst; Professeur Dumbledore le sait quìl lèst.

-Pour làmour du ciel, Potter! dit Professeur McGonagall, en redressant ses lunettes furieusement (elle avait tressaillit horriblement quand il avait utilisé le nom de Voldemort). "Est-ce que vous

pensez vraiment que cèst au sujet de la vérité ou du mensonge? Cèst au sujet de vous contrôler et contrôler votre tempérament."

Elle se leva et Harry se leva, aussi.

-Voulez-vous un autre biscuit. Dit-elle dùn ton irrité, en poussant brusquement sa chaise.

-Non, merci. Dit Harry froidement.

-Ne soyez pas ridicule. Lança-t-elle...

Il en prit un.

-Merci. Dit-il à contrecœur.

-Est-ce que vous avez écouté le discours de Umbridge à la rentrée, Potter ?

-Ouais, dit Harry. Elle a dit que le progrès serait défendu - serait bien interdit que le Ministère de la Magie essaierait de sìmmiscer à Poudlard.

Professeur McGonagall le regarda attentivement un moment, renifla, marcha autour de son bureau et lui ouvrit la porte.

-Bien je suis heureuse que vous écoutiez Hermione Granger au moins dit-elle, en pointant lèxtérieur de son bureau.


Chapitre 13 : Retenue avec Dolorès

Le dîner dans le Grand Hall ce soir là ne fut pas une expérience plaisante pour Harry.

La nouvelle de son altercation avec Umbridge avait voyager très rapidement même selon les standards de Poudlard. Il entendit des murmures tout autour de lui alors qu’il s’assit entre Ron et Hermione. La chose drôle dans cette histoire était qu’aucune des personnes qui murmuraient ne semblaient se soucier qu’il entende ce qu’ils disaient sur lui. Au contraire, c’était comme s’ils espéraient qu’il se fâche et recommence à crier, pour qu’il puisse entendre sa version des faits.

" Il a dit qu’il avait vu Cédric se faire tuer… "

" Il croit qu’il a combattu avec Vous Savez Qui… "

" Voyons donc "

" Qui croit-il avoir? "

" Ce que je ne comprend pas " dit Harry entre ses dents serrées, déposant son couteau et sa fourchette (ses mains tremblaient trop pour les tenir normalement) " c’est pourquoi ont ils cru à cette histoire quand Dumbledore leur a raconté il y a deux mois "

" Les faits sont, Harry, que je ne suis pas sûre qu’ils y ont cru " dit Hermione sinistrement " Allez, sortons d’ici "

Elle déposa brutalement son couteau et sa fourchette; Ron regarda longuement sa tarte aux pommes à moitié terminées mais les suivit. Les gens les fixèrent jusqu’à ce qu’ils furent sortis.

" Qu’est-ce que tu veux dire par que tu n’es pas sûre qu’il ont cru Dumbledore "

demanda Harry à Hermione alors qu’ils atteignaient le premier étage.

" Regarde, tu ne comprends pas c’était comment après que ce soit arrivé " dit Hermione calmement " Tu as atterri en plein milieu de la pelouse agrippé au corps mort de Cédric.

Aucun de nous n’a vu ce qui est arrivé dans le labyrinthe. Nous avions juste la parole de Dumbledore qui nous disait que Tu Sais Qui était revenu et avait tuer Cédric et qu’il t’avais combattu. "

" Ce qui est la vérité " dit Harry fermement.

" Je sais que sa l’ai, Harry, alors arrête de t’en prendre à moi " dit Hermione, agacer

" C’est juste que la vérité ne pouvait pas imprimer, tout le monde est allé à la maison pour l’été, où ils ont passé deux mois à lire que tu étais un crétin et que Dumbledore devenait sénile "

La pluie battait sur les carreaux alors qu’ils traversaient un corridor vide pour retourner à la tour de Gryffondor. Harry se sentait comme si son premier jour avait duré une semaine, mais il avait encore une montagne de devoir à faire avant d’aller au lit. Une ennuyante douleur battait au dessus de son œil droit. Il jeta un coup d’œil aux sombres terrains par la fenêtre lavée par la pluie alors qu’ils tournaient dans le corridor de la Grosse Dame. Il n’y avait toujours pas de lumière dans la cabine de Hagrid.

" Mimbulus Mimbletonia " dit Hermione, avant que la Grosse Dame ne puisse demander.

Le portrait se balança pour découvrir un trou derrière celle ci et les trois se faufilèrent au travers. La salle commune était pratiquement déserte; presque tout le monde était encore en bas au dîner. Pattenrond se déroula d’un fauteuil et trotta jusqu’à eux, en ronronnant bruyamment, et quand Harry, Ron et Hermione emmenèrent leurs trois chaises préférées près du feu, il bondit doucement sur les genoux d’Hermione et s’y pelota comme s’il était un coussin à fourrure orange. Harry fixa les flammes, se sentant perdu et épuiser.

" Comment Dumbledore a-t-il pu laisser ceci arrivé " cria Hermione soudainement, faisant sursauter Harry et Ron; Pattenrond glissa par terre, semblant affronter.

Elle frappa les accoudoirs de sa chaise avec fureur, de sorte que des petits bouts de celui ci sortent des trous.

" Comment peut-il laisser cette terrible femme nous enseigner. Et dans l’année de nos BUSE en plus! "

" Enfin, nous n’avons jamais eu un bon professeur contre les force du mal, n’est-ce pas? " dit Harry " Tu sais comment c’est, Hagrid nous l’a dit, personne ne veut de cette emploi; ils disent qu’il est maudit "

" Oui, mais de là à employer quelqu’un qui refuse carrément que l’on fasse de la magie!

À quoi Dumbledore joue? "

" Et elle essaie de trouver des gens qui espionne pour son compte " dit Ron sombrement " Rappelez-vous quand elle a dit qu’elle voulait que nous aillions la voir pour lui dire si nous avons entendu quiconque dire que Vous Savez Qui est de retour "

" Bien sûr qu’elle va tous nous espionner, c’est évident, pourquoi Fudge voudrait qu’elle vienne sinon? ", dit sèchement Hermione.

" Ne commencez pas à crier encore " dit Harry alors que Ron ouvrait sa bouche pour répliquer. " Est-ce qu’on pourrait… Finissons simplement ce devoir, pour l’enlever du chemin "

Ils prirent leurs sacs d’écoles dans un coin et retournèrent s’asseoir près du feu. Des personnes revenaient du dîner maintenant. Harry garda déporta son regard hors du trou du portrait, mais il pouvait encore sentir les regards qu’il captait.

" Est-ce qu’on devrait faire le truc de Rogue en premier? " dit Ron, trempant sa plume dans l’encre " les propriétés des pierres lunaire et ses utilités dans les potions "

murmura-t-il en écrivant les mots en haut de son parchemin en même temps qu’il les écrivait. Il souligna le titre puis regarda Hermione patiemment :

" Alors, quelle sont les propriétés des pierres lunaires et leurs utilité dans les potions? "

Mais Hermione n’écoutait pas; elle regardait dans un coin éloigné de la pièce où Fred, Georges et Lee Jordan au milieu d’un groupe d’innocent première année, qui était tous en train de mâcher quelque chose qui semblait venir d’un large sac en papier que Fred tenait.

" Non, désolé, ils sont allés trop loin " dit-elle se levant et semblant plutôt furieuse

" Allez, Ron "

" Quoi? " dit Ron " Non… allez, Hermione nous ne pouvons pas les appeler à l’ordre parce qu’il distribue des bonbons "

" Tu sais parfaitement que ce sont des bout de Nougat Nez Sanglant ou Pastille Vomissantes ou… "

" De Fantaisie Évanouie " suggéra Harry calmement.

Un par un, comme s’il avait été frappé sur la tête par un marteau invisible, les premières années s’effondraient, machinalement, dans leur chaise; certains glissèrent sur le sol, d’autres à peine pendu sur les accoudoirs de leur chaise, la langue pendante.


La plupart des personnes qui regardaient riaient; Hermione, en revanche, redressa ses épaules et marcha directement vers Fred et Georges qui se tenaient actuellement debout avec des blocs notes, observaient de près les premières années inconscients.

Ron s’était levé de sa chaise et était a mis chemin, il hésita durant une seconde ou deux, puis murmura à Harry " Elle contrôle toute seule" avant de s’enfoncer aussi profond dans sa chaise que sa grande carrure le permettait.

" C’est assez! " dit Hermione avec vigueur à Fred et Georges, tout les deux semblèrent vaguement surpris.

" Oui, tu as raison " dit Georges en hochant de la tête " ce dosage est assez fort, n’est-ce pas? "

" Je vous l’ai dit ce matin, vous ne pouvez pas tester vos bêtises sur les élèves! "

" Nous les payons! " dit Fred indigné.

" Je m’en moque, ça pourrait être dangereux! "

" N’importe quoi " dit Fred

" Calme toi, Hermione, il sont honnête! " dit Lee de façon rassurante alors qu’il passait de première année en première année, introduisant des bonbons violets dans leurs bouches ouverte

" Ouais, regarde, ils reviennent à eux maintenant " dit Georges.

Quelques uns des premières années bougeaient de nouveau. Plusieurs semblait si surpris de se trouver par terre, ou pendant à leur chaise, que Harry était sûr que Fred et Georges ne les avaient pas averti de ce que les bonbons allaient leur faire.

" Tu te sens bien? " dit gentiment Georges à une petite fille aux cheveux noirs étendue à ses pieds.

" Je… Je crois que oui " dit elle tremblante.

" Excellent " dit joyeusement Fred, mais la seconde suivante Hermione avait récupéré dans ses mains son sac de Fantaisie Évanouie et son bloc note.

" Ce n’est PAS excellent! "

" Bien sûr que ça l’est, il sont vivants, non? " dit Fred rudement.

" Vous ne pouvez pas faire ça! Et si vous en rendiez un vraiment malade? "

" Nous n’allons pas les rendre malade, nous les avons déjà tous testé sur nous même.

C’est simplement pour voir si tout le monde réagit de la même façon… "

" Si vous n’arrêter pas de faire ça, je vais… "

" Nous mettre en retenu " dit Fred sur un ton de défis

" Nous faire écrire des lignes " dit Georges souriant Ceux qui les observaient dans toute la pièce riaient. Hermione se redressa de toute sa grandeur; ses yeux étaient étroits et ses cheveux emmêler semblait crépiter avec l’électricité.

" Non " dit-elle, tremblant de colère " Mais j’écrirais à ta mère "

" Tu ne le ferai pas " dit Georges horrifié, faisant un pas pour s’éloigner d’elle

" Oh, si, je le ferai " dit Hermione sévèrement " je ne peux pas vous empêcher de manger ces stupides choses vous-même, mais vous n’allez pas les donner aux premières années "

Fred et Georges semblait foudroyés. Il était clair que aussi loin que ça les concernait, les menaces d’Hermione étaient un coup bas. Avec un dernier regard menaçant, elle remit le bloc note et le sac de bonbon dans les bras de Fred, et retourna à sa chaise, près du feu.

" Merci pour ton soutiens Ron " dit Hermione amèrement.

" Tu gérais la situation toute seule " marmonna Ron.

Hermione regarda son morceau de parchemin vierge pour quelques secondes, et dit, énervée :

" Oh, ce n’est pas bien, je ne peux pas me concentrer maintenant. Je vais me coucher "

Elle força son sac ouvert; Harry pensait qu’elle était sur le point de ranger ses livres, mais à la place elle en sorti deux objets laineux sans forme précise, les plaça attentivement sur la table près du feu, les couvrit par quelque bout de parchemin chiffonnés et une plume brisée et se tint plus loin pour admirer l’effet.

" Au nom de Merlin, qu’est-ce que tu fais? " dit Ron comme s’il avait peur pour sa santé mentale.

" Ce sont des chapeaux pour les Elfes de Maison " dit-elle brusquement, rangeant a présent ses livres dans son sac. " Je les ai fait pendant l’été. Je tricote vraiment lentement sans magie, mais maintenant que je suis de retour à l’école, je devrais être capable d’en faire beaucoup plus "

" Tu créer des chapeau pour les Elfes de Maison " dit Ron lentement " Et tu les recouvre de déchet d’abord "

" Oui " dit Hermione, provocante, balançant son sac sur son dos.

" Ce n’est pas bien " dit Ron avec colère " tu essaies de les duper pour qu’il prennent les chapeaux. Tu les libèrent alors qu’il pourrait ne pas vouloir être libre "

" Bien sûr qu’il veulent être libre! " dit Hermione aussitôt, bien que son visage rougissait

" Et n’essaie pas de toucher à ces chapeaux, Ron! "

Elle tourna sur ses talon et sorti. Ron attendit qu’elle ait disparu derrière la porte des dortoirs des filles, puis débarrassa les chapeaux des déchets.

" Ils devraient au moins voir se qu’ils ramasse " dit-il fermement " De toute façon " il roula le parchemin sur lequel il avait écrit le titre de la composition pour Rogue " Il n’y a aucun intérêt à essayer de finir ça maintenant, je ne peux pas le faire sans Hermione, je ai aucune idée de ce que tu es supposer faire avec des Pierres Lunaires, et toi? "

Harry secoua la tête, remarquant par la même occasion que la douleur sur sa tempe droite s’aggravait. Il pensait à le devoir sur les guerres de géants et une douleur le poignarda ardemment. Sachant parfaitement que lorsque le matin viendrait, il regretterait de ne pas avoir fini ses devoirs ce soir, il empila ses livres dans son sac

" Je m’en vais me coucher aussi " Il croisa Seamus en chemin vers la porte menant au dortoir, mais il ne le regarda pas. Harry eu la fugace impression que Seamus avait ouvert sa bouche pour parler, mais il accéléra et atteint le calme rassurant de l’escalier de pierre en colimaçon sans avoir à endurer d’autre provocation.

Le jour suivant se leva juste aussi sombre et pluvieux que le précédant. Hagrid était toujours absent à la table des professeurs au déjeuner.

" Mais du côté positif, pas de Rogue aujourd’hui. " dit Ron comme soutient.

Hermione bailla distinctement et se versa un peu de café. Elle semblait plutôt satisfaite de quelque chose, et Ron lui demanda pourquoi était-elle si contente, elle dit simplement " les chapeaux sont disparus Il semblerait que les Elfes de Maison veulent la liberté finalement "


" Je ne parierais pas là-dessus " trancha Ron " Il pourrait ne pas compter comme des vêtement. Il ressemblait à n’importe quoi sauf des chapeaux selon moi, c’était plutôt de vessie en laine "

Hermione ne lui adressa pas la parole de tout l’avant midi.

Double Sortilège était suivit par double Métamorphose. Professeur Flitwick et Professeur McGonagall prirent tout les deux les quinze premières minutes de leur leçon pour faire par à la classe de l’importance des BUSES

" Ce que vous devez vous souvenir " dit M Flitwick en couinant percher comme d’habitude sur une pile de livre afin qu’il puisse voir par dessus son bureau " c’est que ces examen pourrait influencer votre futur pour les plusieurs années à venir! Si vous n’avez pas déjà pensé sérieusement à votre carrière, c’est maintenant le temps de le faire.

Et en attendant, j’ai bien peur que nous devrions travailler plus fort que jamais pour s’assurer que vous vous fassiez tous justice! "

Ils passèrent ensuite environ une heure à réviser le Summoning Charme qui selon M

Flitwick était destiné à se retrouver dans leur BUSE, et il finit le cours en leur donnant la plus grande quantité de devoir de Sortilège qu’il n’avait jamais eu.

Ce fut pareil, et sinon pire, en Métamorphose

" Vous ne pouvez passer une BUSE " dit Professeur McGonagall sérieusement " sans s’appliquer sérieusement, la pratique et l’étude. Je ne vois aucune raison pourquoi tout le monde dans cette classe ne pourrait pas réussir une BUSE en Métamorphose aussi longtemps qu’ils se mettent à l’ouvrage "

Neville émit un triste petit bruit comme s’il ne la croyait pas

" Oui, vous aussi, M Londubat " dit Professeur McGonagall " Il n’y a rien de mauvais avec votre travail sauf le manque de confiance. Alors aujourd’hui nous commencerons les Sortilège Disparaissant. Ils sont plus facile que les Sortilèges Évoquant, que vous ne débuterez normalement pas avant le niveau ASPIC, mais il font tout de même partie de la plus difficile sorte de magie sur lesquelles vous aller être tester dans vos BUSE. "

Elle avait bien raison; Harry trouva le sort Disparaissant affreusement difficile. Par la fin de la double période, ni lui ni Ron n’avais réussit à faire disparaître les escargot sur lesquels ils se pratiquaient, bien que Ron dit avec espoir qu’il semblait un peu plus pâle.

Hermione, de son côté, fit disparaître avec succès son escargot au troisième essaie, ce qui la fit gagner dix point bonus pour Gryffondor de la part du Professeur McGonagall.

Elle fut la seule personne à ne pas avoir de devoir; tout les autres se firent dirent de pratiquer le sortilège pendant la soirée, pour être prêt pour une nouvelle tentative sur leur escargot l’après-midi suivant.

Paniquant maintenant un peu à propos de la quantité de devoir qu’ils avaient à faire, Harry et Ron passèrent leur heure de dîner dans la librairie cherchant l’utilité des Pierres Lunaires dans les potions. Toujours fâchée à cause de l’atteinte de Ron sur ses chapeaux de laine, Hermione ne les rejoint pas. Par le temps qu’ils atteignent le cours de Soin au Créature Magique dans l’après-midi, la tête de Harry faisait mal de nouveau.

Le jour était devenu froid et venteux, et alors qu’il marchait sur la grande pelouse jusqu’à la cabine d’Hagrid à la limite de la forêt interdite, il sentirent quelques occasionnelle goutte de pluie sur leur visage. Professeur Gobe Planche attendait la classe à dix verges de la porte d’entrée d’Hagrid, une longue table devant elle chargé de brindilles. Comme Harry et Ron la rejoignait, il y eu un rire grave et fort derrière eux; se retournant, ils virent Drago Malfoy marchant à grand pas jusqu’à eux, entouré par son habituel groupe d’ami de Serpentard. Il venait clairement juste de dire quelque chose de très amusant, car Crabe, Goyle, Pansy Parkinson et le reste continuaient de ricaner à cœur joie alors qu’ils se ramassaient autour de la table et, d’après la façon qu’ils avaient de toujours regarder Harry, il était capable de deviner le sujet de la blague sans trop de difficulté.

" Tout le monde, ici " jappa Professeur Gobe Planche un fois que tout les Serpentard et Gryffondor était arrivé " Commençons à présent. Qui peut me dire comment appelons-nous ceci? "

Elle indiqua le tas de brindille devant elle. La main d’Hermione fusa dans les airs.

Derrière elle, Malfoy fit vivement une imitation d’elle sautant sur place avec empressement pour répondre à une question. Pansy Parkinson émit un petit cri de rire qui se transforma presque aussitôt en un hurlement, alors que les brindilles sur la table s’envolaient dans les airs et se révélaient comme étant ce qui ressemblaient à de minuscules créature semblable à des fée et faites de bois, chacune avec des bras et des jambes de la couleur d’une noix, deux doigts comme de petites brindilles au bout de chaque main et un drôle de visage plat comme de l’écorce muni d’une paire de brillants yeux bruns de coccinelle.

" Oooohhh! " dirent Parvati et Lavande, ce qui irrita plutôt Harry.

Tout le monde pensait que Hagrid ne leur avait jamais montrer d’impressionnante créature; il faut admettre que les Flobberworm étaient un peu ennuyant, mais les salamandres et les Hippogriffe était assez intéressant, et les Sprout à Pétard peut-être un peu trop.

" Garder gentiment la voix basse les filles! " dit Professeur Gobe Planche brusquement, répandant ce qui ressemblait à du riz brun parmi les créatures qui sautèrent immédiatement sur la nourriture " Donc, quelqu’un sait le nom de ces créatures? Miss Granger? "

" Bowtruckle " dit Hermione " Ce sont les Gardien des arbres, et vivent habituellement dans des arbres à baguettes "

" Cinq point pour Gryffondor " dit Professeur Gobe Planche " Oui, ces Bowtruckle, comme la si bien dit Miss Granger, vivent généralement dans les arbres dont le bois est de bonne qualité pour les baguettes. Quelqu’un sait ce qu’ils mangent? "

" Des termites " dit Hermione rapidement ce qui expliqua pourquoi les grains que Harry avait prit pour du riz brun bougeaient " Ou des œufs de fée si ils peuvent les avoir "

" Bonne fille, voici un autre cinq point. Alors, si vous voulez des feuilles d’un arbre où les Bowtruckle ont élu domicile, il serait sage d’avoir un cadeau de termite prêt pour les distraire ou les apaiser. Ils peuvent ne pas avoir l’air dangereux, mais si ils sont fâchés, ils vont essayer de crever les yeux humain avec leurs doigts, qui, comme vous pouvez le voir, sont très pointu et pas du tout désirable près du globe oculaire. Alors si vous voulez les regarder de plus près, prenez quelques termites et un Bowtruckle, j’en ai assez ici pour un par trois personnes. Vous pouvez les étudier de plus près. Je veux une esquisse faite par chacun de vous avec toute les partie du corps étiqueté d’ici la fin de cette classe "

La classe se déferla vers la table. Harry fit délibérément le tour pour qu’il adonne à la droite du Professeur Gobe Planche.


" Où est Hagrid? " lui demanda-t-il alors que tout les autres choisissaient un Bowtruckle

" Ça ne te concerne pas " dit Professeur Gobe Planche en le réprimant, ce qui avait été son attitude la dernière fois que Hagrid n’était pas venue à une classe aussi. Souriant à la grandeur de son visage pointu, Drago Malfoy se glissa devant Harry et pris le plus gros Bowtruckle

" Peut-être " dit Malfoy à mi-voix de façon à que seul Harry puisse l’entendre " le stupide gros balourd est gravement injurié "

" Peut-être que tu vas l’être aussi si tu ne te la ferme pas " dit Harry du coin de sa bouche

" Peut-être qu’il s’est mêler de chose qui sont trop grosse pour lui, si tu vois ce que je veux dire "

Malfoy s’éloigna, souriant par dessus son épaule à Harry, qui se sentit soudainement malade. Est-ce que Malfoy savait quelque chose? Son père était un Mangemorts après tout; et si il avait de l’information sur le sort de Hagrid qui n’avait pas encore atteint les oreilles de l’Ordre. Il se dépêcha de rejoindre Ron et Hermione qui squattait une place sur le gazon à quelque distance de là et essayaient de persuader un Bowtruckle de rester tranquille suffisamment longtemps pour eux de le dessiner. Harry sorti un parchemin et une plume, s’accroupit à côté des autres et leur raconta en un murmura ce que Malfoy venait juste de dire

" Dumbledore saurait si quelque chose était arrivé à Hagrid " dit Hermione aussitôt

" C’est de jouer dans les mains de Malfoy que d’avoir l’air inquiet; ça lui dit que nous ne savons pas exactement ce qui se passe. Nous devons l’ignorer, Harry "

" Là, tiens le Bowtruckle un moment, juste pour que je puisse dessiner son visage "

" Oui " leur parvint la voix traînante de Malfoy du groupe le plus près d’eux " Père parlait au Ministre il y a seulement quelques jours, vous savez, et il semble que le Ministère est vraiment déterminé à éliminé les enseignements sous standards de cet endroit. Alors même si cet énorme crétin se montre de nouveau, il va sans doute être renvoyé aussitôt

" Ouch! "

Harry serrait le Bowtruckle si fort qu’il avait presque craqué, et celui-ci avait juste griffer sa main avec ces doigts coupants, y laissant deux profondes coupures. Harry le laissa tomber. Crabbe et Goyle qui riaient grossièrement déjà à l’idée d’Hagrid se faisant renvoyer, rirent encore plus fort alors que le Bowtruckle les quittait à pleine vitesse pour la forêt, le petit homme semblable à un bâton fut englouti parmi les racines d’arbre.

Quand la cloche sonna au loin, Harry roula son dessin de Bowtruckle taché de sang et marcha jusqu’au cour d’Herbology, la main enroulé dans le mouchoir d’Hermione, et le rire moqueur de Malfoy toujours sonnant dans ses oreilles.

" S’il traite Hagrid de crétin une autre fois " dit Harry en serrant les dents

" Harry, ne te querelle pas avec Malfoy, n’oubli pas, il est préfet maintenant, il pourrait te rendre la vie difficile "

" Waw, je me demande comment c’est d’avoir une vie difficile " dit Harry avec sarcasme.

Ron rie, mais Hermione fronça les sourcils. Ensemble, ils s’acheminèrent jusqu’à l’autre côté du jardin de légume. Le ciel semblait toujours incapable de se faire une idée sur s’il allait pleuvoir ou pas.


" J’aimerais seulement que Hagrid puisse se dépêcher et revenir, c’est tout " dit Harry dans une faible voix alors qu’ils atteignaient les serres. " Et ne dites pas que cette femme Gobe Planche est un meilleur professeur " ajouta-t-il, menaçant.

" Je n’allai pas le faire " dit Hermione calmement

" Parce qu’elle ne sera jamais aussi bonne que Hagrid " dit Harry fermement, tout à fait conscient qu’il venait d’expérimenter un cours de Soin au Créature magique exemplaire et était plutôt ennuyer de cela.

La porte de la serre la plus près s’ouvrit et quelques quatrième année en sortirent, incluant Ginny

" Bonjour! " dit-elle joyeusement alors qu’elle passait. Quelques secondes plus tard, Luna Lovegood émergea, traîna à l’arrière de la classe, une tache de terre sur le nez, et les cheveux attacher en un nœud sur le dessus de sa tête. Quand elle vit Harry, ses yeux proéminents semblèrent gonfler avec l’excitation et elle alla droit vers lui. Plusieurs de ses compagnons de classe se retournèrent curieusement pour regarder. Luna pris une grande respiration et dit ensuite, sans rien de tel qu’un Bonjour préliminaire :

" Je crois que Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcé-le-nom est de retour et je crois que tu l’a combattu et que tu lui as échappé "

" Euh… Bien " dit Harry maladroitement. Luna portait ce qui ressemblait à une paire de radis orange pour boucle d’oreille, un fait que Parvati et Lavande semblaient avoir remarquer, puisqu’elle rigolait toute les deux en pointant ses lobe d’oreille.

" Vous pouvez rire " dit Luna, en levant la voix, apparemment sous l’impression que Parvati et Lavande riait à propos de ce qu’elle avait dit plutôt que de ce qu’elle portait

" Mais les gens avaient l’habitude de croire qu’il n’y avait pas de Blibbering sensation ou de cornes froissés Snorkack "

Luna leur donna un regard désespéré et sorti en trombe, les radis se balançant furieusement. Parvati et Lavande n’était pas les seules à siffler de rire maintenant.

" Ça te dérangerait de ne pas offenser la seule personne qui me croit " demanda Harry à Hermione alors qu’il avançait vers la classe.

" Oh, pour l’amour du ciel, Harry, tu pourrais avoir mieux qu’elle " dit Hermione

" Ginny m’a parler d’elle; apparemment, elle croit seulement en des choses aussi longtemps qu’il n’y a pas de preuve. Enfin, je ne m’attendrais pas à autres choses de quelqu’un dont le père faisait le chicaneur "

Harry pensa aux sinistres chevaux ailés qu’il avait vus la nuit où il est arrivé et comment Luna avait dit qu’elle pouvait les voir aussi. Son humeur baissa légèrement. Est-ce qu’elle avait menti? Mais avant qu’il ne puisse consacrer plus de pensée au problème, Ernie Macmillan s’avança vers lui

" Je veux que tu sache Potter " dit-il avec une forte voix portante " que ce n’est pas que des bizarroïde qui te supporte. Personnellement, je te crois à cent pour cent. Ma famille s’est toujours fermement tenu derrière Dumbledore, de même que moi "

" Euh… Merci beaucoup, Ernie " dit Harry, surpris mais content.

Ernie pouvait être solennel en des occasion comme celle-ci, mais Harry était d’humeur à profondément apprécier un vote de confiance de n’importe qui n’avait pas des radis pendant de ses oreilles. Les mots de Ernie avaient certainement lavé le sourire du visage de Lavande Brown, et il se retourna pour parler à Ron et Hermione, Harry l’expression de Seamus qui semblait confus et défiant.


À la surprise de personne, Professeur Chourave commença sa leçon par les sermonner sur l’importance des BUSE. Harry souhaita que tous les Professeur pourrait arrêter de faire ceci; il commençait à voir un sentiment d’anxiété tordu dans son estomac, chaque fois qu’il se souvenait la quantité de devoir qu’il avait à faire, un sentiment qui s’empira dramatiquement lorsque Professeur Chourave leur donna une autre composition à la fin de la classe. Fatigué et sentant fortement la bouse de dragon, la sorte de fertilisant préféré du Professeur Chourave, les Gryffondor repartirent en bandes vers la château une heure et demie plus tard, aucun d’eux ne parlant beaucoup; ça avait été une autre longue journée. Comme Harry mourait de faim, et qu’il avait sa première retenue avec Umbridge à 17 heures, il alla directement au dîner sans déposer son sac dans la Tour de Gryffondor afin qu’il puisse avaler quelque chose avant de faire face à ce qu’elle avant préparé pour lui. Il avait à peine atteint l’entrée du Grand Hall, cependant, quand une forte voix fâché cria : " Hé ! Potter! "

" Qu’est-ce qu’il y a maintenant ?" murmura-t-il agacé, se retournant pour faire face à Angelina Johnson, qui semblait de tempérament éminent

" Je vais te dire ce qu’il y a maintenant " dit-elle marchant directement vers lui et en lui enfonçant durement un doigt dans la poitrine " Comment ce fait-il que tu abouti en retenu pour 17 heures vendredi? "

" Quoi? " dit Harry " Pourquoi… Ah oui! Les auditions de Gardiens! "

" Maintenant il se souvient! " grogna Angelina " Je t’avais bien dis que je voulais que toute l’équipe soit là au audition et trouver quelqu’un qui fasse l’affaire de tout le monde! Je t’avais bien dis que j’ai réservé le terrain de Quidditch spécialement. Et maintenant tu décides que tu ne seras pas là! "

" Je n’ai pas décider de ne pas y aller! " dit Harry piquer par l’injustice de ces mots " J’ai eu une retenu de la femme Umbridge, seulement parce que je lui ai dit la vérité à propos de Tu Sais Qui "

" Enfin, tu peux maintenant aller la voir et lui demander de te donner congé pour vendredi "dit férocement Angelina " Et je me fou de comment tu vas t’y prendre. Dis lui que Tu Sais Qui est une invention de ton imagination si tu veux, arrange toi seulement pour être là "

Elle tourna sur ses talons et alla tempêter plus loin.

" Tu sais quoi " dit Harry à Ron et Hermione alors qu’il entrait dans le Grand Hall Je crois que nous devrions vérifier avec l’équipe professionnel de Quidditch si Olivier Dubois n’a pas été tué durant un entraînement, car Angelina semble avoir canalisé son esprit "

" Que crois-tu que sont les chances que Umbridge te libère pour vendredi? " dit Ron sceptique, alors qu’ils s’asseyaient à la table des Gryffondor.

" Moins de zéro " dit Harry, morose en piquant des chop d’agneau dans son assiette et commençant à manger " Quoique je suis mieux d’essayer, non? Je vais lui offrir de faire deux autres retenu ou quelque chose, je sais pas "

Il avala une bouché de patate et ajouta " J’espère qu’elle ne me gardera pas trop longtemps ce soir. Tu réalises que nous avons à écrire trois compositions, à pratiquer le Sortilège Disparaissant pour McGonagall, travailler un contre sort pour Flitwick, finir le dessin de Bowtruckle et commencer ce stupide journal de rêve pour Trelawney? "

Ron geint et pour une raison quelconque regarda au plafond


" Et il semble qu’il va pleuvoir "

" Qu’est-ce que ça a à voir avec nos devoirs? " dit Hermione, ses sourcils levés

" Rien " dit Ron aussitôt, ses oreilles rougissantes.

À 17 heures moins cinq Harry dit aux autres deux au revoir et quitta pour le bureau de Umbridge au troisième étage. Quand il cogna à la porte, elle l’appela avec un " Entre "

et une voix douce. Il entra prudemment, en regardant autour. Il avait vu ce bureau sous trois de ces précédents occupants. Dans les jours où Gilderoy Lockhart avait vécu ici, il avait été recouvert avec des portraits radieux de lui-même. Quand Lupin l’avait occupé, il était très probable d’y rencontrer quelques fascinantes créatures malveillantes dans une cage ou dans un aquarium si on venait le voir. Pendant les jours de l’imposteur de Maugrey, il était rempli d’instrument varié et d’artefact pour détecter les mauvais faiseurs et les secrets. Maintenant, cependant, il semblait totalement méconnaissable.

Toutes les surfaces avaient tous été drapées avec des couverts et des linges en dentelle.

Il y avait plusieurs vase plein de fleur séchées, chacune résidant sur son propre napperon, et sur un des murs il y avait une collection d’assiette ornementale, chacune décorer avec un énorme chaton colorés portant chacun un différent ruban autour de son cou. Ils étaient tellement ridicules que Harry les fixa, cloué sur le sol, jusqu’à ce que le Professeur Umbridge parle de nouveau :

" Bonne soirée, M Potter "

Harry observa et regarda les alentour. Il ne l’avait pas remarque au départ car elle portait un effrayant ensemble de robe fleurit qui se confondait simplement trop bien avec la nappe sur le bureau derrière elle.

" ‘Soirée, Professeur Umbridge " dit Harry froidement.

" Bien, assied toi " dit-elle, pointant à une petite table draper de dentelle derrière laquelle elle avait mit chaise à dos droit. Un morceau de parchemin était étendu sur la table, apparemment attendant pour lui.

" Euh… " Dit Harry sans bouger " Professeur Umbridge. Euh… Avant que nous commençons, je… Je voulais vous demander une faveur "

Ses yeux gonflés devinrent plus étroits.

" Ah oui? "

" Enfin, je suis… je suis dans l’équipe de Quidditch de Gryffondor et je suis supposer être aux auditions pour le nouveau Gardien à 17 heures vendredi et je me demandais si je pouvais manquer ma retenu cette nuit là et la faire… la faire un autre soir à la place. "

Il savait bien avant qu’il ait terminé sa phrase que ça ne donnerait rien.

" Oh non " dit Umbridge, souriant si largement qu’elle semblait avoir tout juste avaler une mouche particulièrement juteuse " Oh, non, non, non. Ceci est ta punition pour avoir répandu de diaboliques et méchantes histoires pour attirer l’attention, M Potter, et les punitions ne peuvent certainement pas être ajusté pour se conformer à la commodité du coupable. Non, vous allez venir à 17 heures demain, et la journée suivante, et vendredi aussi, et vous allez faire vos retenu comme prévu. Je crois que c’est plutôt une bonne chose que vous manquer quelque chose que vous voulez vraiment faire. Cela va renforcir la leçon que j’essaie de vous enseigner "

Harry sentit le sang monter à sa tête et entendit un énorme bruit dans ses oreilles. Alors il dit des " diaboliques et méchantes histoires pour attirer l’attention ", n’est-ce pas? Elle le regardait avec sa tête légèrement penché sur un côté, toujours largement souriante, comme si elle savait exactement ce qu’il pensait et attendait pour voir s’il allait commencer à hurler encore. Avec un gros effort, Harry regarda loin d’elle, déposa son sac à côté de la chaise à dos droit et s’assit.

" Voilà " dit Umbridge gentiment " Nous devenons meilleurs à contrôlé votre tempérament déjà, n’est-ce pas? Maintenant, vous allez faire quelque ligne pour moi M

Potter. Non, pas avec votre plume " ajouta-t-elle, alors que Harry se penchait pour ouvrir son soc. " Vous aller utiliser une plutôt spéciale parmi les miennes. Et voilà "

Elle lui tendit une longue et mince plume avec une pointe anormalement aiguisé.

" Je veux que tu écrive Je ne dois pas mentir " lui dit-elle gentiment

" Combien de fois? " demanda Harry avec une crédible imitation de politesse

" Oh, aussi longtemps que ça prendre au message pour s’imprimer " dit Umbridge doucement " Vas-y "

Elle se déplaça vers son bureau, s’assied et se pencha sur une pile de parchemin qui ressemblait à des compositions à faire. Harry leva la plume noire aiguisé, et réalisa alors ce qu’il manquait.

" Vous ne m’avez pas donner d’encre " dit-il.

" Oh, vous n’avez pas besoin d’encre " dit Professeur Umbridge, avec une suggestion pure de rire dans la voix

Harry plaça la pointe de la plume sur le papier et écrivit : Je ne dois pas mentir. Il laissait passer un souffle de douleur. Les mot était apparu sur le parchemin en ce qui apparaissait être une encre rouge brillante. Au même moment, les mots étaient apparus sur le dos de la main droite de Harry, découpés dans sa peau comme s’il avait été tracé là par un scalpel.

Pourtant, alors qu’il observait la coupure brillante, la peau se cicatrisa de nouveau, laissant l’endroit où elle avait été un peu plus rouge qu’avant, mais plutôt lisse. Harry regarda vers Umbridge. Elle le regardait, sa large bouche de crapaud étiré en un sourire.

" Oui? "

" Rien " dit Harry calmement.

Il regarda le parchemin, plaça la plume dessus une fois de plus, écrivit Je ne dois pas mentir

, et senti la brûlante douleur sur le dos de sa main pour une deuxième fois; un fois de plus, les mots avait été découper dans sa peau; une fois de plus, ils se cicatrisèrent quelques secondes plus tard. Et ça continuait ainsi. Encore et encore Harry écrivait les mots sur le parchemin avec, comme il le réalisa bientôt, n’était pas de l’encre, mais son propre sang. Et, encore et encore, les mots étaient découpé sur l’endos de sa main, cicatrisé, et réapparaissaient la prochaine fois qu’il mettait la plume sur le parchemin. La nuit tomba de l’autre côté de la fenêtre de Umbridge. Harry ne demanda pas quand il lui sera permis de s’arrêter. Il ne regarda même pas sa montre. Il savait qu’elle l’observait pour un signe de faiblesse et il n’allait en montrer aucun, même s’il devait rester assis ici toute la nuit, en ouvrant sa propre main avec sa plume.

" Viens ici " dit-elle après ce qui semblait être des heures.

Il se leva. Sa main piquait douloureusement. Quand il la regarda, il vit que la coupure était guérir, mais que la peau là était rouge vif.

" Main " dit-elle


Il l’étendit. Elle la prit dans la sienne. Harry retint un frisson quand elle le toucha avec ses gros bouts de doigts sur lesquels elle portait un certain nombre d’affreux vieux anneaux.

" tut tut, Je ne sembla pas avoir fait beaucoup d’impression jusqu’à maintenant " dit-elle souriante. " Enfin, nous n’aurons qu’à réessayer demain soir, n’est-ce pas? Vous pouvez partir "

Harry quitta son bureau sans un mot. L’école était plutôt désertée, il était sûrement passé minuit. Il marcha lentement dans les corridors, puis quand il eut tourné le coin et qu’il fut sûr qu’elle ne pouvait pas l’entendre, parti à la course.

Il n’avait pas le temps de pratiquer le Sortilège Disparaissant, n’avait pas écrit un seul rêve dans son journal de rêves et n’avait pas fini dessiner le Bowtruckle, il n’avait pas écrit ses composition non plus. Il sauta le déjeuner le matin suivant pour écrire quelques rêves inventés pour Divination, sa première leçon, et fut surpris de trouver un Ron échevelé pour lui tenir compagnie.

" Comment ce fait-il que tu ne l’ais pas fait hier? " demanda Harry alors que Ron fixait frénétiquement la salle commune en quête d’inspiration. Ron, qui avait été profondément endormi quand Harry était revenu au dortoir, murmura quelques choses à propos de " faire autres chose ", se pencha sur son parchemin pour écrire quelques mots.

" Ça devra faire l’affaire " dit-il, claquant le journal pour le fermer " J’ai dit que j’ai rêvé que j’achetais une nouvelle paire de souliers, elle ne peux pas me sortir un truc bizarre avec ça, non? " Ils se dépêchèrent jusqu’à la Tour Nord ensemble.

" Comment était ta retenu avec Umbridge, de toute façon, qu’est-ce qu’elle t’a fait faire? "

Harry hésita une fraction de secondes, et dit :

" Des lignes "

" C’est pas si mal alors, hein? " dit Ron.

" Nah " dit Harry.

" Hé… J’ai oublier… est-ce qu’elle te laisse partir vendredi? "

" Non " dit Harry.

Ron gémit avec sympathie.

Ce fut une autre mauvaise journée pour Harry, il avait un des pires en Métamorphose, puisqu’il n’avait pas pratiqué le sort du tout. Il du sauter par dessus son heure de dîner pour terminer le dessin du Bowtruckle et, pendant ce temps, Professeur McGonagall, Gobe Planche et Sinistra leur donnèrent plus de devoirs, qu’il n’avait pas l’intention de finir ce soir car il avait sa seconde retenu avec Umbridge. Pour couronner le tout, Angelina Johnson le poursuivit au dîner encore, et en apprenant qu’il ne pourrait pas être là au audition de Gardien vendredi, lui dit qu’elle n’était pas impressionné du tout par son attitude et qu’elle s’attendais des joueurs qui voulaient rester dans l’équipe de mettre les entraînement avec leur autres responsabilités.

" Je suis en retenu! " cria Harry après qu’elle se soit éloignée " Tu crois que je préférerais être enfermer dans une pièce avec ce vieux crapaud ou jouer au Quidditch? "

" Au moins c’est seulement des lignes " dit Hermione pour le consoler, alors que Harry s’enfonçait dans son siège et baissait la tête pour voir son steak et son pâté aux haricots.

" Ce n’était pas comme si c’était une punition terrible, vraiment "


Harry ouvrit sa bouche, la referma et hocha la tête. Il n’était pas vraiment sur pourquoi il ne disait pas à Ron et Hermione exactement ce qui ce passait dans le bureau de Umbridge : il savait simplement qu’il ne voulait pas voir leurs regards horrifiés; que ça rendrait pire toute la chose et ensuite plus difficile à faire face. Il sentait aussi faiblement que c’était entre lui-même et Umbridge, une bataille privée de volonté, et il n’allait pas lui donner la satisfaction d’entendre qu’il se plaignait de ça.

" Je ne peux pas croire la quantité de devoirs que nous avons " dit Ron misérablement.

" Enfin, pourquoi tu n’en as pas fait du tout hier? " lui demanda Hermione " Où étais-tu de toute façon? "

" J’étais… Je prenais une marche " dit-il en fuyant son regard.

Harry avait l’impression distincte qu’il n’était pas seul à cacher des choses pour le moment

La deuxième détention fut juste aussi pire que la précédente. La peau sur l’endos de la main de Harry devint irrité plus rapidement à présent et fut bientôt rouge et enflammé.

Harry pensa qu’il était improbable que ça aille continuer à guérir comme cela pour longtemps. Bientôt, la coupure restera gravé dans sa main et Umbridge sera peut-être satisfaite. Il ne laissa aucun gémissement de douleur lui échapper, cependant, et du moment où il entra dans la pièce jusqu’au moment de son renvoi, encore passé minuit, il ne dit rien sauf " Bonne soirée " et " Bonne nuit ".

La situation de ses devoirs, cependant, était maintenant désespéré, et quand il retourna à la chambre commune de Gryffondor, il ne se, bien qu’il était épuiser, rendit pas au lit, mais ouvra ses livres et commença la composition de Rogue sur les pierres lunaires. Il était deux heures et demi quand il le fini. Il savait qu’il avait fait un travail minable, mais il n’y avait aucun moyen de l’arranger; s’il ne remettait rien il serait en retenu avec Rogue ensuite. Il improvisa ensuite quelque réponse aux question que le Professeur McGonagall leur avait donné, il bricola quelque chose de passable des Bowtruckle pour Gobe Planche, il tituba jusqu,à son lit, où il tomba complètement habillé sur le dessus des couverture et s’endormi immédiatement.

Jeudi passa dans un nuage de fatigue. Ron sembla très endormi aussi, bien que Harry ne voyait pas pourquoi il le serait. La troisième retenu de Harry se passa de la même façon que les deux précédente, sauf qu’après deux heures les mots Je ne dois pas mentir ne s’effacèrent pas de la main d’Harry, mais restèrent gravé là, laissant s’écouler des gouttelettes de sang. La pause dans le griffonnement de la plume fit lever la tête de Professeur Umbridge.

" Ah " dit-elle doucement, contournant son bureau pour examiner sa main elle-même

" Bien. Ceci devra vous servir pour vous en rappeler, n’est-ce pas? Vous pouvez quitter pour ce soir "

" Est-ce que je dois toujours revenir demain? " dit Harry en prenant son sac d’école avec sa main gauche plutôt que sa main droite douloureuse

" Oh oui " dit Professeur Umbridge, souriant aussi largement qu’avant " Oui, je crois que nous pouvons ancré le message un peu plus profondément avec une autre soirée de travail "

Harry n,avait jamais envisager la possibilité qu’il pourrait y avoir un autre professeur dans le monde qu’il détesterait plus que Rogue, mais alors qu’il marchait pour retourner à la Tour de Gryffondor il du admettre qu’il avait trouver une forte rivale.


Elle est diabolique, pensa-t-il, alors qu’il montait un escalier pour le septième étage, elle est une diabolique, tordue, vieille folle "

" Ron? "

Il avait atteint le haut des escaliers, tourné à droite et avait presque foncé dans Ron, qui était tapi derrière la statue de Lachlan L’échalote, saisissant son balai. Il sursauta grandement de surprise quand il vit Harry et tenta de cacher son nouveau balai derrière son dos.

" Qu’est-ce que tu fais? "

" Euh… rien. Qu’est ce que toi tu fais? "

" Allez, tu peux me le dire! Pourquoi tu te caches ici? "

" Je suis… Je me cache de Fred et Georges, si tu veux savoir " dit Ron " Ils viennent de passer avec un groupe de première année, je pari qu’ils testent des choses sur eux encore. Je veux dire, ils ne peuvent plus le faire dans la salle commune maintenant, n’est-ce pas, pas si Hermione est là "

Il parlait d’une façon très rapide et fiévreuse.

" Mais pourquoi tu as ton balais, tu n’as pas volé, non? " demanda Harry.

" Je… eh bien… Enfin, OK, je vais te le dire, mais ne ris pas, d’accord? " Dit Ron sur la défensive, devenant plus rouge chaque seconde " Je… Je pensait que j’aillais essayer pour être le Gardien de Gryffondor maintenant que j’ai un balais décent. Allez. Vas-y.

Ris "

" Je ne ris pas " dit Harry.

Ron cligna des yeux

" C’est une idée brillante! Ce serait vraiment cool si tu viens dans l’équipe! Je ne t’ai jamais vu faire le Gardien, tu es bon? "

" Je suis pas mauvais " dit Ron, qui semblait très soulagé de la réaction de Harry

" Charlie, Fred et Georges m’ont toujours mi Gardien pour eux quand ils s’entraînaient durant les vacances "

" Alors tu pratiquait ce soir? "

" Tous les soirs depuis mardi. Tout seul, en revanche. J’ai essayé d’ensorceler des Souafle pour qu’il vole vers moi, mais ça n’a pas été facile et je ne sais pas si ça va vraiment aider "Ron semblait nerveux et anxieux. " Fred et Georges vont rire stupidement eux quand je vais aller aux essais. Ils n’ont pas arrêter de me taquiner depuis que j’ai été fait préfet "

" J’aimerai pouvoir être là " dit Harry amèrement, alors qu’ils se rendaient ensemble pour la salle commune

" Ouais, moi… Harry, qu’est-ce qu’il y a sur le dos de ta main? "

Harry qui venait de se gratter le nez avec sa main libre droite, essaya de la cacher, mais se fut un aussi grand succès que Ron avec son balai.

" C’est juste un coupure… ce n’est rien… c’est… "

Mais Ron avait attraper l’avant bras de Harry et tira le dos de la main de Harry à la hauteur de ses yeux. Il y eut une pause, pendant laquelle il fixait les mots découper dans la peau, puis, semblant malade, il libéra Harry.

" Je croyais que tu avais dit qu’elle ne te donnais que des lignes "

Harry hésita, mais après tout, Ron avait été honnête avec lui, alors il dit à Ron la vérité à propos des heures qu’il avait passé dans le bureau de Umbridge.


" La vieille sorcière! " dit Ron dans un murmure révolté alors qu’il faisait une halte devant la Grosse Dame, qui sommeillait paisiblement avec la tête contre son cadre.

" Elle est malade! Va voir McGonagall, dit quelque chose!

" Non " dit Harry aussitôt " je ne vais pas lui donner la satisfaction de savoir qu’elle m’a eu "

" T’avoir eu? Tu ne peux pas la laisser s’en sortir avec ça! "

" Je ne sais pas comment de pouvoir McGonagall a sur elle " dit Harry

" Dumbledore alors, dis le à Dumbledore! "

" No " dit Harry catégoriquement

" Pourquoi pas? "

" Il a déjà assez de chose à penser " dit Harry, mais ce n’était pas la vraie raison. Il n’allait pas demander de l’aide à Dumbledore quand Dumbledore ne lui avait pas parler une fois depuis Juin.

" Eh bien, je crois que tu devrais… " Commença Ron, mais il fut interrompu par la Grosse Dame, qui les regardait, endormie, et qui maintenant s’exclamait :

" Allez vous me donner le mot de passe ou je vais devoir attendre toute la nuit que vous finissiez votre conversation? "

L’aube de vendredi arriva aussi maussade et mouillé que le reste de la semaine. Bien que Harry jeta automatiquement un coup d’œil à la table des professeur quand il entra dans le grand Hall, c’était sans réel espoir d’y voir Hagrid, et détourna ses pensées immédiatement vers un problème plus pressant, comme les montagnes de piles de devoirs qu’ils avaient à faire et la perspective d’une autre retenue avec Umbridge.

Deux choses soutenaient cette journée. La première était la pensée que c’était presque la fin de semaine; l’autre était que, aussi terrible que la dernière retenu avec Umbridge le serait certainement, il aurait une vue distante du terrain de Quidditch depuis sa fenêtre et pourrait, avec de la chance, être capable de voir quelque chose de l’audition de Ron.

Ceci était plutôt de faibles rayons de lumière, c’était vrai, mais Harry était reconnaissant envers tout ce qui pourrait illuminé sa noirceur actuelle; il n’avait jamais eu une pire première semaine de trimestre à Poudlard.

À cinq heures ce soir-là il cogna à la porte du bureau du Professeur Umbridge pour ce qu’il espérait sincèrement serait la dernière fois, et il lui fut demander d’entrer.

Le parchemin vierge était poser, prêt pour lui, sur la table, la plume noire et pointues à côté.

" Vous savez quoi faire, M Potter " dit Umbridge en lui souriant doucement.

Harry pris la plume et jeta un coup d’œil par la fenêtre. Si il tournait juste sa chaise d’un pouce environ vers la droite… Avec comme prétexte d’approcher la chaise de la table, il le fit. Il avait maintenant une vue distante de l’équipe de Quidditch de Gryffondor s’élevant du terrain, pendant qu’une demie douzaine de silhouette noire se tenait debout au pied des trois grands buts, attendant apparemment leur tour pour Garder. Il était impossible de dire lequel était Ron à cette distance. Je ne dois pas mentir écrivit Harry. La coupure sur le dos de sa main s’ouvrit et commença à saigner abondamment.

Je ne dois pas mentir. La coupure s’approfondit d’avantage, piquante et vive.

Je ne dois pas mentir. Le sang coula sur son poignet.

Il tenta un autre coup d’œil à la fenêtre. Quiconque qui défendait le but maintenant faisait un travail très pauvre. Katie Bell fit deux buts seulement pendant les quelques secondes que Harry osa regarder. Espérant très fort que le Gardien n’était pas Ron, il posa les yeux sur le parchemin qui brillait de sang.

Je ne dois pas mentir.

Je ne dois pas mentir.

Il leva les yeux chaque fois qu’il pensait qu’il pouvait s’y risquer; quand il pouvait entendre le griffonnement de la plume de Umbridge ou l’ouverture d’un tiroir du bureau. La troisième personne à essayer était plutôt bonne, la quatrième était terrible, la cinquième esquiva un Cognard exceptionnellement bien mais rata un but facile. Le ciel s’assombrissait et Harry doutait qu’il serait capable de voir la sixième et septième personne du tout.

Je ne dois pas mentir.

Je ne dois pas mentir.

Le parchemin était maintenant picoté avec des gouttes de sang du dos de sa main qui brûlait avec douleur. Quand il leva la tête, la nuit était tombée et le terrain de Quidditch n’était plus visible.

" Voyons si nous avons compris le message maintenant, devrions-nous? " dit la voix douce de Umbridge une demi-heure plus tard. Elle s’approcha de lui, étendit ses petits doigts avec des anneaux vers son bras. Et puis, comme elle le retenait pour examiner les mots maintenant couper dans sa peau, la douleur le brûla, pas sur le dos de sa main, mais sur la cicatrice de son front. Au même moment, il eu une étrange sensation quelque part près de son diaphragme.

Il arracha son bras de sa prise et se mit sur ses pieds, la regardant fixement. Elle le regarda en retour, un sourire étirant sa large bouche molle.

" Oui, ça fait mal, n’est-ce pas? " dit-elle gentiment.

Il ne répondit pas. Son cœur battait très fort et rapidement. Est-ce qu’elle parlait de sa main ou elle savait ce qu’il venait de sentir sur son front?

" Enfin, je crois que je me suis fais comprendre M Potter, vous pouvez partir "

Il prit son sac d’école et quitta la pièce aussi rapidement qu’il pu. Reste calme, se dit-il, alors qu’il courait en montant les escaliers. Reste calme, ça ne veut pas nécessairement dire ce que tu penses que ça veut dire.

" Mimbulus Mimbletonia " haleta-t-il à la Grosse Dame, qui se balança de nouveau.

Un rugissement de son l’accueillit. Ron vint en courant à sa rencontre, le visage radieux et répandant de la Bièraubeurre sur lui du Goblet qu’il tenait

" Harry, je l’ai fait, je suis dans l’équipe, je suis Gardien! "

" Quoi, oh… Fantastique! " Dit Harry en essayant de sourire naturellement, pendant que son cœur continuais de s’exciter que sa main lancinait et saignait.

" Prend une Bièraubeurre " Ron lui donna une bouteille " Je ne peux pas le croire… Où est Hermione? "

" Elle est là " dit Fred, qui était aussi en train de prendre une gorgée de Bièraubeurre, et pointa un fauteuil près du feu. Hermione y somnolait, son verre poser précautionneusement sur sa main.

" Enfin, elle a dit qu’elle était contente quand je lui ai dit " dit Ron, semblant légèrement déconcerter

" Laisse la dormir " dit Georges précipitamment.


C’était un petit moment avant que Harry remarque que plusieurs premières années étaient réunit autour d’eux portant les signes inéluctables de saignement de nez récent.

" Viens ici, Ron, on va voir si les vieille robe de Charlie te font " l’appela Katie Bell

" Nous pourrons enlever son nom et mettre le tien à la place "

Comme Ron s’éloignait, Angeline s’approcha à grand pas de Harry.

" Désolé j’ai été un peu brusque avec toi plus tôt, Potter " dit-elle abruptement " C’est stressant de géré cette farce, tu sais, je commence à me dire que j’ai été un peu dure avec Dubois quelque fois " Elle regardait Ron par dessus le bord de son Goblet avec un air plutôt renfrogné sur le visage " Regarde, je sais qu’il est ton meilleur ami, mais il n’est pas fabuleux " dit-elle brusquement " Je crois qu’avec un peu d’entraînement il va être bien, par contre. Il vient d’une famille de bon joueur de Quidditch. Je m’attend de lui qu’il ait un peu plus de talent qu’il nous la démontrer aujourd’hui pour être honnête.

Vicky Frobisher et Geoffrey Hopper volait mieux tout les deux ce soir, mais Hopper est un vrai chialeur, il se plain toujours d’une chose ou d’une autre, et Vicky est impliqués plein de sorte de société. Elle a admit elle-même que si l’entraînement tombait en même temps que son Club de Charmes, elle mettrait les Charmes d’abord. De toute façon, nous avons une session pour pratiquer à deux heures demain, alors sois juste certain d’être là cette fois là. Et fais-moi une faveur en aidant Ron autant que tu le peux, ok? "

Il hocha la tête, et Angelina alla voir Alicia Spinnet. Harry s’approcha pour s’asseoir près de Hermione, qui se réveilla en sursautant alors qu’il déposait son sac.

" Ah, Harry, c’est toi… c’est bien pour Ron, non? " dit-elle troublé" Je suis simplement si… si… si fatiguée " elle bailla " Depuis 1 h je suis debout pour faire d’autre chapeaux.

Ils disparaissent comme ce n’est pas possible! "

Et bien sûr, maintenant qu’il regardait, Harry vit qu’il y avait des chapeaux en laine cachés tout autour de la pièce où des Elfes imprudent pourrait accidentellement les ramasser.

" Bien " dit Harry distraitement; s’il ne le disait à personne bientôt, Harry allait éclater.

" Écoute Hermione, j’étais juste dans le bureau de Umbridge et elle à toucher mon bras… "

Hermione écoutait attentivement. Quand Harry eu fini, elle dit lentement :

" Tu es inquiet à propos que Tu Sais Qui pourrait la contrôler comme il contrôlait Quirrell "

" Enfin " dit Harry en baissant la voix " C’est une possibilité, non? "

" J’imagine " dit Hermione bien qu’elle ne semblait pas convaincue " mais je ne crois pas qu’il pourrait la possédé de la même façon qu’il possédait Quirrell, je veux dire, il est vraiment vivant maintenant, n’est-ce pas, il a son propre corps, il ne n’aurait pas besoin de partager celui d’un autre. Il pourrait la mettre sous l’Imperius, je suppose "

Harry regarda Fred, Georges et Lee Jordan jonglant avec des bouteilles vides de Bièraubeurre pour un moment. Puis Hermione dit :

" Mais l’année dernière ta cicatrice faisait mal quand personne ne te touchait, et Dumbledore n’avait-il pas dit que ça avait rapport avec ce que Tu Sais Qui ressentait au même moment, je veux dire, peut-être que ça n’a rien à voir du tout avec Umbridge, peut-être que ce n’est qu’une coïncidence que c’est arrivé pendant que tu étais avec elle "

" Elle est diabolique " dit Harry catégoriquement " Tordue "


" Elle est horrible, oui, mais… Harry, je crois que tu devrais avertir Dumbledore à propos de ta cicatrice te fais mal "

C’était la deuxième en deux jours qu’il avait été conseillé d’aller voir Dumbledore et sa réponse à Hermione était simplement la même que pour Ron.

" Je ne vais pas l’ennuyer avec ça. Comme tu l’as dit, ce n’est pas un gros problème. La douleur partait et venait pendant tout l’été… Ça juste été un peu plus pire ce soir… c’est tout "

" Harry, je suis sûre que Dumbledore voudrait être ennuyé avec ça "

" Ouais, " dit Harry, et avant qu’il puisse s’arrêter " c’est la seule partie à lesquelles Dumbledore s’intéresse, hein, ma cicatrice "

" Ne dis pas ça, ce n’est pas vrai! "

" Je crois que je vais écrire et parler à Sirius à propos de ça, pour voir ce qu’il en pense "

" Harry, tu ne peux pas mettre quelque chose comme ça dans une lettre! " dit Hermione semblant alarmée " Tu ne te rappelle pas, Maugrey nous a dit de faire attention à ce que nous écrivions! Nous ne pouvons plus garantir que les hiboux ne sont pas interceptés! "

" Très bien, très bien, je ne vais pas lui dire, alors! " dit Harry, irrité. Il se mit sur ses pieds. " Je vais dormir. Tu le diras à Ron pour moi, d’accord? "

" Oh non " dit Hermione semblant soulagée " Si tu t’en vas ça veut dire que je peux partir aussi, sans vouloir être rude. Je suis complètement et je veux faire quelques chapeaux de plus demain. Écoute, tu peux m’aider si tu veux, c’est plutôt amusant, je deviens meilleure, je peux faire des modèles et des pompons et plein de sorte de chose maintenant "

Harry regarda son visage, qui brillant de joie, et il essaya de semblé vaguement tenté par son offre.

" Euh… Non, je ne crois pas je vais le faire, merci " dit-il " Euh… pas demain. J’ai beaucoup de devoirs à faire "

Et il se traîna jusqu’à l’escalier des garçons, la laissa légèrement désappointée.


Chapitre 14: Percy et Padmol

Harry était le premier ce matin là à se lever. Il resta allongé un moment à regarder un remous de poussière dans le rai de lumière du jour qui venait traverser les posters et il savoura la pensée que l’on était samedi. La première semaine du trimestre n’avait jamais paru aussi ennuyeuse, il devait finir un grand devoir sur l’Histoire de la Magie. Jugeant par le silence endormi et la fraîcheur de la menthe, regardant le trait de lumière, c’était juste un jour de repos. Il ouvrit le rideau près de son lit, se leva et entreprit de s’habiller.

L’unique bruit à intervalle régulier était les piaillements des oiseaux qui étaient enrayé par la respiration de ses camarades de Gryffondor. Il défit son sac de classe placidement, sortit un parchemin, une plume et sortit du dortoir et chemina vers la salle commune.

Il choisit un vieux fauteuil mou, son préféré qui se trouvait à coté feu maintenant éteint, Harry s’installa confortablement et déroula son parchemin quand il regarda autour de la pièce.

Les détritus des chiffons de parchemins, de vieilles pierres de gobelins, plusieurs fioles d’ingrédients et des emballages de bonbons recouvraient la salle commune comme si les elfes de maisons n’étaient pas venus, il était vaguement étonné, il se demanda comment les elfes de maison réagiraient si Hermione leur procurerait la liberté. chercheraient-ils à l’être ou pas, Harry pris l’encre dans sa boite, pris sa plume et la suspendit au dessus de la surface jaunâtre de son parchemin, pensant que c’était dur... mais un minute après avoir fixé la grille vide, il trouva ce qu’il allait mettre. Il pourrait maintenait apprécié comment cela avait été dur pour Ron et Hermione de lui écrire des lettres pendant toute l’été. Comment était il supposer dire à Sirius toutes les choses qui c’était produite la semaine passé, et poser toutes les question qui lui brûlait et répondre sans donner beaucoup d’information si la lettre était volé. Il ne voulait pas qu’on les prenne ?

Il s’assit tranquillement sans bouger, la cheminée fumante, finalement pris une décision, il prit sa plume et son flacon d’encre et mis cette résolution sur le parchemin.

« Cher snuffle

Espérant que tu comprendra que la première semaine ici fut terrible, Je suis très heureux que ça soit le week-end.

Nous avons un nouveau professeur de défense contre les forces du mal, le professeur Umbridge. Elle ressemble à ta mère. Je t’écris car la chose que je t’ai dit cet été s’est reproduite cette nuit quand j’étais en retenu avec Umbridge.

Nous avons tous beaucoup manquer à nos meilleurs amis, nous espérons te revoir bientôt S’il te plaît écrit moi rapidement

Harry »

Harry relu la lettre plusieurs fois, essayant de voir dans celle ci le point de vue de la personne.

Il ne pourrait pas voir comment il sauraient de quoi était-il entrain de parler ou qui parlerai de ça juste de lire cette lettre. Il espérait que Sirius comprendrai l’allusion à propos de Hagrid et lui dirai quand il serait de retour. Harry ne voulait pas répondre directement dans le cas de tiré une grande attention sur le fait Hagrid n’était pas à Poudlard. Considérant que c’était une petite lettre, il avait mit du temps pour écrire. Le soleil Avait rampé à mis chemin à travers la chambre. Bien qu’il ait travaillé sur cette lettre et qu’il puisse maintenant entendre à distance les mouvements des dortoirs au dessus. Cachant le parchemin prudemment il grimpa à travers le porterai et sortit à la volière.

- « Je n’irai pas à la volière si j’étais toi » dit Nick Quasi Sans Tête flottant déconcerté à travers le mur de devant Harry comme s’il marchait dur le passage.

- « Peeves organise une amusante blague pour la première personne qui passe la parcelle a mis chemin du couloir.

- « Est ce qu’il implique de faire tomber une personne au signal ? » demanda Harry

- « Une chose curieuse qu’il fasse cela, » dit Nick Quasi Sans Tête d’une voix ennuyeuse.

Subtilement, Peeves n’avait jamais été trompé sur ce point. Je vais essayer de trouver le baron sanglant... Il va peut être pouvoir l’arrêter... A la prochaine Harry

« Ouais, Salut, dit Harry Et plutôt que de tourner vers la droite, Il se tourna vers la gauche prenant la route la plus longue et la plus sur pour aller à la volière. Son esprit montait comme il marchait de fenêtre en fenêtre regardant le ciel bleu brillant. Il avait l’entretenant plus tard, il serait de retour sur le terrain de Quidditch après.

Quelques choses lui brossaient les chevilles. Il regardait partout et vu la concierge squelettique un chat gris, Miss Teigne, passant furtivement devant lui. Elle tourna ses yeux jaunes comme des phares sur lui pendant un moment avant de disparaître derrière une statue de WilFred le Mélancolique.

« Je ne suis pas en train de faire quelque chose de mal » lui dit Harry. Elle avait l’air caractéristique du chat qui va faire son rapport à son maître, pourtant Harry ne voyait pas pourquoi; il avait parfaitement le droit d’aller à la volière le samedi matin.

Le soleil était haut dans le ciel quand Harry entra dans la volière, les glaces des fenêtres avaient des éclats aveuglants; les rayons d’argent épais de la matinée s’entrecroisaient dans la salle circulaire dans laquelle des centaines de hiboux étaient sur des chevrons, un peu agiter dans la première moitié de la matinée, il vit clairement qu’ils revenaient de la chasse. La couverture de paille sur le sol craqua un petit peu comme il traversait dans les os d’animaux, il tendit son cou pour voir Hedwige.

« Tu est là », dit-il, la découvrant près du sommet qui allait jusqu’au plafond. « Descend ici, j’ai une lettre pour toi ». Avec une huée sa grande chouette blanche descendit en flèche sur son épaule. « Bien, je sais cette lettre est adressée à Snuflfe » lui dit-il, en lui donnant la lettre dans son bec et, sans savoir exactement pourquoi, il chuchota « mais c’est pour Sirius, d’accord? »

Elle fixa ses yeux ambre et il su qu’elle avait comprit.

« Garde un vol régulier » dit Harry et il la mena à la fenêtre; avec une pression de ses bras, Hedwige prit son envol dans l’aveuglante lumière du ciel. Il la regarda jusqu’à ce qu’elle devienne un petit point noir et disparaissent, Alors il passa son regard sur la hutte de Hagrid, clairement visible de la fenêtre, et clairement inhabité, la cheminée ne fumait plus, les rideaux tirés. La cime de la forêt interdite se balançait dans une fine brise. Harry les regarda savourant l’air frais sur son visage, pensant plus tard au Quidditch...Alors il le vit. Un grand reptile cheval ailé, comme ceux tirant les chars de Poudlard, avec des ailes noires tannés s’étendent large comme un ptérodactyle, il est monté en haut des arbres comme un grotesque oiseau géant. Il est monté en flèche dans grand cercle, s’est ensuite plonger en arrière dans les arbres. Tout était arrivé si rapidement, Harry ne pouvait à peine croire ce qu’il avait vu sauf que son cœur battait follement.


La porte de la volière s’ouvrit derrière lui. Il eu un choque et se tourna rapidement, il vit Cho Chang tenant une lettre dans sa main.

- Salut, dit Harry automatiquement.

- Oh... salut, dit-elle précipitamment. Je ne pensais pas que quelqu’un pouvait être ici si tôt... je viens seulement de me rappeler il y a 5 minutes, que c’était l’anniversaire de ma mère.

Elle montra la lettre.

- Bien, dit Harry. Son cerveau semblait avoir été brouillé. Il chercha à dire quelque chose de drôle et d’intéressant, Mais la mémoire du terrible cheval volant était encore fraîche dans son esprit.

- Belle journée, dit-il, s’éloignant de la fenêtre. A l’intérieur de lui il semblait ratatiné et embarrassé. Le temps. Il avait parlé du temps...

- Oui, dit Cho, regardant autour pour prendre un hibou. « Bonne condition pour le Quidditch. Je ne t‘ai pas vu dehors de toute la semaine ?

-Non, dit Harry

Cho avait pris un hibou de l’école. Elle le prit sur son bras où il lui offre sa patte pour qu’elle puisse attacher sa lettre.

- Hé, Gryffondor a un nouveau gardien ? demanda-t-elle

- Oui dit Harry. C’est mon ami Ron Weasley, tu le connais ?

- La pire tornade ? Dit Cho plutôt fraîchement. « Il est plutôt bon ? »

- Oui, dit Harry, je pense. Je ne l’ai pas vu faire, j’étais en retenu.

Cho le regarda, la lettre était à moitié attacher à la patte du hibou.

- Cette femme Umbridge est répugnante, dit-elle avec une petite voix, te mettre en retenue juste parce que tu as dis la vérité sur comment - comment -comment il est mort.

Tout le monde l’a entendu, cela à fait le tour de l’école. Tu a été vraiment brave de lui dire ce qui c’était passé.

(Harry re-gonflé à l’intérieur de lui rapidement il sentait comme à travers lui actuellement flotté quelques pouces laissant tomber sur le sol). Dont l’attention avait été fixé sur un stupide cheval volant; Cho pensait qu’il avait été vraiment brave. Pendant un moment il considéra accident dans le but de la voir sa main était coupé comme il essaya de mettre la lettre sur le hibou... mais dans ce petit instant exaltant, Harry pensait à se déclarer, la porte de la volière s’ouvrit.

Rusard le concierge venait sifflant dans la salle. Il y avaient des pièces violettes en contre bas, ses joues était veinés, et ses fins cheveux gris étaient emmêlés; Il avait manifestement couru jusqu’ici. Miss Teigne trottait sur ses talons, contemplant les hiboux et miaulant avec voracité. Il était agité, changent, en vol au dessus eux un large hibou marRon claqua son bec avec un mode menaçant.

- Ah ! dit Rusard faisant un pas avec ses pieds plats vers Harry, ses joue tremblante avec colère.

- j’ai eu une dénonciation, c’est toi qui à lancer des Bombes à Bouse.

Harry pliait ses bras et commença à dire au concierge.

- Qui vous a dit que j’avais lancé des Bombes à Bouses?

Cho était entrain de regarder de Harry à Rusard, aussi sombre; le hibou dans ses bras, fatigué de se tenir sur ses pattes, donna un hululement de réprimande mais elle l’ignora.

- J’ai mes sources, dit Rusard dans un demi sifflement de satisfaction, maintenant donnez moi ce que vous alliez envoyer.


Il eu l’immense sentiment qu’il n’avait pas traîner dans l’affectation du départ de la lettre, Harry répondit, « je ne peux pas, ç a disparu ».

- Disparu ? dit Rusard, son visage se contorsionna avec rage.

- Disparu, dit calmement Harry.

Rusard ouvrit sa bouche furieusement, articula pendant quelques secondes, alors inclina ses yeux sur la robe d’Harry.

- Comment puis-je savoir que ce n’est pas dans ta poche?

- Parce que-

- Je l’ai vu l’envoyer, dit Cho en colère.

Rusard tournait autour d’elle.

- Tu l’as vu-?

- C’est exact, je l’ai vu, dit Cho fièrement.

Il y eu un moment de pause pendant lequel Rusard fut content de Cho et Cho heureuse d’avoir dit la vérité, alors le concierge tourna sur ses talons et alla vers la porte. Il s’arrêta avec sa main sur la poignée et jeta un regard vers Harry.

- Si j’ai beaucoup d’odeur de Bombe à Bouse...

Il montait les escaliers. Miss Teigne longtemps après regarda les hiboux et le suivit.

Harry et Cho les regardèrent.

- Merci, dit Harry.

- Pas de problème, dit Cho, Finalement elle fixa le paquet sur la patte du hibou, son visage légèrement rose, tu n’as pas pu lancer des Bombe à Bouses, Hein?

- Non, dit Harry

- Je me demande pourquoi il pensait que tu l’avait fait, Alors? dit-elle comme elle portait l’hibou à la fenêtre.

Harry haussa les épaules. Il était calme pas perplexe comme elle, pensant bizarrement que ça n’avait pas vraiment important pour lui.

Ils quittèrent la volière ensemble. Pour entrée dans un couloir qui était vers l’est du château, Cho dit, Je prends ce chemin. Bien, on se... on se reverra, Harry.

- Oui ...au revoir

elle lui souriait et s’éloigna. Harry se promenait et se sentait calme et joyeux. Il avait réussi à avoir une conversation entière avec elle et n’avait pas été embarrassé... Tu es vraiment brave de le lui avoir dit...Cho lui avait dit qu’il était brave... Elle ne le haïssait pas pour avoir survécu

Bien sur, elle avait préféré Cédric, il savait que... se qu’il pensait si seulement il lui avait demandé d’aller au bal avant Cédric, Si les choses avaient tournées différemment...Elle semblait sincèrement désolé d’avoir refuser quand Harry lui avait demandé...

- bonjour, dit Harry vivement à Ron et Hermione quand il les rejoignit à la table des Gryffondor dans le Grand Hall.

- Qu’est ce que tu regardes et qui te fais si plaisir ? Dit Ron, Regardant Harry avec surprise.

- Euh ... après le Quidditch, dit Harry joyeusement, poussant un large plateau de bacon et d’oeufs vers lui.

- Oh ... oui..., dit Ron. Il prit le morceau de toast qu’il était entrain de manger et prit une grande gorgé de jus de citrouille. Alors il dit,

- Ecoute...N’aurais tu pas envie d’aller un peu plus tôt sur le terrain, n’est ce pas ?

- juste pour euh - me donner une leçon avant l’entraînement ? Bien sur tu le sais, donne moi ton attention.

- Oui, d’accord, dit Harry

-Regarde, je ne pense pas que vous puissiez le faire, dit Hermione sérieusement. Vous êtes tout les deux très en retard sur vos devoir-Mais elle s’interrompue; le courrier; du matin était arrivé et, comme d’habitude, le Daily Prophet était entrain de volé vers elle du bec du hibou sortait un cris strident, qui atterri périlleusement dans le bol de sucre et il tandis sa patte. Hermione mit une noise dans la pochette en cuir, prit le journal, et regarda les critiques de la première page comme le hibou partait.

- Rien d’intéressant? dit Ron. Harry grogna, sachant que Ron était motivé pour l’empêcher de parler du sujet des devoirs.

- Non, signala-t-elle, juste des sottises sur le joueur de basse dans les Bizard Sister qui vient de se marier.

Hermione ouvrait le journal et disparu derrière. Harry se dévoua lui-même pour manger les oeufs et le bacon. Ron levait les yeux vers la fenêtre du haut, l’air légèrement préoccupé.

- Attend un moment, dit soudainement Hermione, Oh non ... Sirius!

- Que ce passe t-il ? dit Harry, prenant le journal violemment parcourant le milieu, avec lui et Hermione chacun tenait la moitié du journal.

« Le ministère de la Magie avait reçu la dénonciation d’une source reliée sur Sirius Black, connu pour ces nombreux meurtres... Bla, Bla, Bla... il se cache à Londres! » Hermione lu sa moitié dans un chuchotement angoissé.

- Lucius Malfoy, c’est lui, dit Harry tout bas, d’une voix furieuse. Il a du reconnaître Sirius sur le quai...

- Quoi ? dit Ron, le regardant alarmer, Tu ne disait pas-

- Chut! Dirent les deux autres.

« ...le Ministère indique à la communauté sorcière que Black est vraiment dangereux...il a tué 13 personnes... s’est enfui d’Azkaban... » L’habituelle rubrique, conclu Hermione, essayant de reprendre la moitié de journal et regardant craintivement Harry et Ron.

Bien, il n’aura juste qu’à ne plus quitter la maison c’est tout, murmura t’elle.

Dumbledore l’avait averti de ne pas le faire

Harry regarda d’un air triste le morceau du Prophet qu’il avait déchiré. La plupart des pages étaient consacrées à des publicités pour les robes de Mme Malkins pour toutes les occasions, qui apparemment étaient en vente

Hé dit il, aplatissant le journal afin qu’Hermione et Ron puisse le voir. Regardez ça !

J’ai toutes les robes dont j’ai besoin , dit Ron

Non dit Harry. Regardez…. Ce petit morceau là…

Ron et Hermione se penchèrent un peu plus près pour le lire, l’article faisait à peine 2.54cm de long et était placé tout à la fin d’une colonne. Il était intitulé : EFFRACTION AU MINISTÈRE

Sturgis Podmore, 38, habitant au n/2, Laburnum Gardens, Clapham, a comparu devant la cour des sorciers pour cambriolage au ministère de la magie le 31 août. Podmore a été arrêté par le sorcier de garde du ministère de la magie Eric Munch, qui l’avait trouvé en train de forcer son passage à travers une porte de haute sécurité à 1 heure du matin. Podmore qui a refusé de parler pour sa défense, à été inculpé de toutes les charges et condamné à 6 mois à Azkaban


'Sturgis Podmore?' dit Ron lentement. C’est ce type qui à la tête comme recouverte de paille non ? un de l’ord----

Ron chut ! dit Hermione, jetant un air terrifié autour d’eux 6 mois à Azkaban ! murmura Harry, choqué. Juste pour avoir essayer de franchir une porte !

ne sois pas stupide, ce n’était pas juste pour passer une porte. Qu’est ce qu’il faisait donc au ministère de la magie à 1 heure du matin ? soupira Hermione tu penses qu’il faisait quelque chose pour l’ordre? Murmura Ron attendez une minute… dit Harry lentement. Sturgis était suppose venir et nous surveiller vous vous souvenez ?

les 2 autres le regardèrent

oui il était censé faire partie de notre garde pour aller à King’s Coss, vous vous souvenez

? et Moody était très embêté car il ne s’est pas montré, alors il ne pouvait pas avoir été en train de faire quelque chose pour l’ordre n’est ce pas ?

peut être qu’ils ne s’attendaient pas à ce qu’il soit attrapé. Dit Hermione c’est peut être un piège ! s’exclama Ron avec enthousiasme. Non écoutez! Il continua, baissant sa voix dramatiquement devant l’air menaçant d’Hermione. Le ministère suspecte qu’il est avec Dumbledore alors – je ne sais pas – ils l’attirent au ministère et il n’essayait pas de franchir une porte du tout ! peut être qu’ils ont juste monté quelque chose contre lui pour l’attraper !

il y eut une pause pendant laquelle Harry et Hermione considérèrent tout ceci. Harry pensait que c’était tiré par les cheveux. Hermione, d’un autre coté, parue plutôt impressionnée.

Sais tu que je ne serais pas surprise du tout si c’était vrai Elle replia sa moitié de journal pensivement. Comme Harry posa son couteau et sa fourchette elle sembla sortir de sa rêverie

Bien d’accord, je pense que nous pourrions entreprendre cet essai pour Sprout sur les arbustes auto fertilisants tout d’abord et si nous avons de le chance nous pourRons commencer les sorts pour conjurer les inanimés de Mcgonagall avant le repas Harry sentit un élancement de culpabilité à la pensée de la pile de devoir l’attendant en haut des escaliers, mais le ciel était clair, d’un bleu ragaillardissant, et il n’avait pas pris son éclair de feu de toute la semaine…

Je veux dire nous pourrions le faire ce soir dit Ron, comme lui et Harry descendaient les pelouses en pente menant au terrain de Quidditch, leurs balais sur les épaules, et avec les avertissements d’Hermione qu’ils rateraient leurs buses résonnant toujours à leurs oreilles. Et nous avons demain. Et elle se laisse trop prendre par les devoirs, c’est son problème…. Il y eut une pause et il ajouta, d’un ton plus anxieux, penses tu qu’elle était sérieuse quand elle a dit qu’elle ne nous laisserait plus copier sur elle ?

Oui je crois dit Harry. De tout e façon, cela est important aussi, nous devons nous entraîner si nous voulons rester dans l’équipe de Quidditch…

Oui c’est vrai dit Ron se donnant du courage. Et nous avons plein de temps pour tout faire


Comme ils approchaient du terrain de Quidditch, Harry jeta un regard sur sa droite où les arbres de la forêt interdite se balançaient sombrement. Aucun oiseau ne s’envolait de là, le ciel était vide excepté quelques hiboux éloignés s’agitant autour de la tour de l’oisellerie

Il avait assez à s’inquiéter, les chevaux volants ne lui faisaient pas de mal, il les sortit de son esprit

Ils prirent des balles dans le placard des vestiaires et se mirent au travail, Ron gardant les trois buts, Harry jouant le poursuiveur et essayant d’envoyer le souaffle dans les buts.

Harry pensa que Ron était plutôt bon, il bloqua les ¾ des tirs qu’Harry essaya de faire passer, et joua mieux au fur et à mesure qu’il s’entraînait Après 2 heures, ils retournèrent au château pour le repas – pendant lequel Hermione fit clairement sentir qu’elle les trouvait irresponsable – puis ils retournèrent au terrain pour la vraie session d’entraînement. Tous leurs coéquipiers sauf Angelina étaient déjà dans les vestiaires quand ils entrèrent.

‘Tout va bien Ron ? dit George, lui faisant un clin d’œil

‘Ouais dit Ron, qui était devenu de plus en plus calme tout en descendant jusqu’au terrain

‘Prêt à nous en mettre plein la vue mon petit préfet ? dit Fred, émergeant ébouriffé de sa robe de Quidditch, un sourire légèrement malicieux sur la figure

‘tais toi’ dit Ron, avec un visage de pierre, revêtant sa propre robe pour la première fois.

Elle lui allait bien, considérant qu’elle avait été à Oliver Wood, qui était plus vaste des épaules.

‘OK tout le monde dit Angelina, entrant depuis le bureau du capitaine déjà changée.

Allons y, Alicia et Fred, si vous pouviez juste amener la balle dans les buts pour nous.

Oh, et il va y avoir une personne ou deux là bas nous regardant mais je veux juste que vous les ignoriez c’est bon ?

Quelque chose dans sa voix qui se voulait ordinaire fit penser à Harry qu’il pouvait savoir qui les invités étaient, et effectivement, quand ils quittèrent les vestiaires pour la lumière du soleil, il y eut une tempête de sifflets et de railleries des serpentards qui étaient regroupés à la moitié des tribunes vides et dont les voix retentissaient fortement dans tout le stade

Qu’est ce que Weasley monte ? dit Malefoy de sa voix ricanante. Pourquoi qui que ce soit lancerait un sort de vol sur une telle bûche ?

Crabbe, goyle et pansy parkinson éclatèrent de rire et hurlèrent d’allégresse. Ron enfourcha son balais et frappa le sol et Harry le suivit, regardant ses oreilles tourner au rouge.

Ignore les dit il, accélérant pour rattraper Ron, nous verRons qui rira après que nous auRons joué contre eux

Exactement l’attitude que je veux Harry dit Angelina approuvant, planant autour d’eux avec le souaffle sous le bras et ralentissant pour s’attarder aux enviRons du point en face de son équipe aérienne


Ok tout le monde, nous allons commencer par quelques passes pour s’échauffer, toute l’équipe s’il vous plaît

Hé johnson, qu’est ce que c’est que cette coupe de cheveux ? cria pansy parkinson d’en dessous. Pourquoi quelqu’un voudrait avoir des vers sortant de sa tête ?

Angelina balaya ses longs cheveux hors de sa figure et continua calmement, dispersez vous donc, et voyons ce qu’on peut faire…

Harry fit demi tour vers le coté le plus loin du terrain. Ron descendit jusqu’au but opposé. Angelina leva le souaffle avec une main et le lança durement à Fred, qui le passa à George, qui passa à Harry, qui passa à Ron qui le laissa tomber.

Les serpentards, menés par Malefoy, hurlèrent de rire. Ron qui s’était jeté vers le sol pour attraper le souaffle avant qu’il atterrisse, abandonna le plongeon de manière désordonnée, et glissa sur le coté de son balais, et retourna jouer en hauteur, rougissant.

Harry vit George et Fred échanger des regards, mais inhabituellement aucun d’eux ne dit rien, ce dont il leur fut reconnaissant.

Passez le à Ron dit Angelina comme si rien ne s’était passé. Ron envoya le souaffle à Alicia, qui repassa à Harry, qui passa à George…

Hé potter comment va ta cicatrice ? demanda Malefoy. Tu es sur que tu ne veut pas t’étendre ? Ca doit faire quoi, une semaine entière que tu n’a pas été à l’infirmerie, c’est un record pour toi non ?

George passa a Angelina, qui repassa à Harry, qui ne s’y attendait pas mais l’attrapa du bout des doigts et le passa rapidement à Ron, qui se tendit en avant et le manqua de plusieurs centimètres

Allez Ron dit Angelina en colère, comme il plongeait vers le sol à nouveau, poursuivant le souaffle, fais attention !

C’aurait été dur de dire de la figure de Ron ou du souaffle lequel était le plus rouge quand il revint à leur hauteur. Malefoy et le reste des serpentards rugissaient de rire Au troisième essai, Ron attrapa le souaffle, peut être de soulagement il le passa avec tant d’enthousiasme qu’il s’éleva droit à travers les mains tendues de Katie et la frappa à la figure

Désolé gémit Ron, convergeant plus près pour voir s’il n’avait causé aucun dommage Retourne à ton poste elle va bien ! aboya Angelina. Mais comme tu fais la passe à un de tes partenaires essaie de ne pas la faire tomber du balai ok ? il y a les cogneurs pour ça !

Le nez de Katie saignait. En dessous, les serpentards tapaient des pieds et sifflaient.

Fred et George rejoignirent katie

Tines prends ça lui dit Fred, lui tendant quelque chose de petit et violet depuis sa poche, ca va s’arrêter en un rien de temps


Bien appela Angelina ‘Fred George allez chercher vos battes et un cogneur. Ron à ton poste. Harry lance le vif d’or quand je te le dirai. Nous allons viser les buts de Ron naturellement

Harry s’approcha des jumeaux pour aller chercher le vif d’or Ron est en train de tout rater non ? murmura George comme ils atterrissaient tous les 3

auprès de la caisse qui contenait les balles et l’ouvraient, prenant un des cogneurs et le vif d’or.

‘il est juste nerveux, dit Harry, il était parfait quand nous nous entraînions ce matin.

Oui bien j’espère qu’il n’a pas atteint son sommet trop tôt dit Fred tristement Ils retournèrent en l’air. Quad Angelina siffla, Harry relâcha le vif d’or et Fred et Georges laissèrent voler le cogneur. A partir de ce moment, Harry était très peu au courant de ce que les autres faisaient. Son travail était de capturer la petite balle dorée remuante qui valait 150 point à l’équipe de l’attrapeur et y arriver demandait énormément de rapidité et d’adresse. Il accéléra, roulant et déviant à l’intérieur ou à l’extérieur des poursuiveurs, l’air chaud de l’automne lui fouettant le visage, et les cris distants des serpentards sans importance rugissant à ses oreilles…

Mais trop tôt, le sifflet le rappela à la pause à nouveau

.

'Stop - stop - STOP!' hurla Angelina. 'Ron – tu ne couvres pas ton poste du milieu!

Harry regarda Ron, qui planait en face devant le cerceau droit, laissant le s2 autres complètement découverts.

Oh… désolé…

Tu n’arrêtes pas de te déplacer pendant que tu regardes les poursuiveurs ! dit Angelina Soit tu restes au centre et tu bouge pour défendre un cercle, soit tu fais un tour autour des cercles mais ne dérive pas vaguement d’un coté, c’est comme ça que tu as laissé entrer les 3 derniers buts !

Désolé…répéta Ron, sa tête rouge brillant comme un phare dans le ciel bleu éclatant Et Katie peux tu faire quelque chose pour ce saignement de nez ?

C’est de pire en pire ! dit katie essayant d’arrêter le flux avec sa manche Harry regarda Fred, qui semblait anxieux et vérifiait ses poches. Il le vit tirer quelque chose de violet, l’examiner une seconde et regarder katie, manifestement frappé d’horreur

Bien essayons encore, dit Angelina. Elle ignorait les serpentards qui avaient maintenant entonné un chant ‘gryffondor sont des perdants, gryffondors sont des perdants’ mais il y avait une certaine raideur dans la façon dont elle se tenait sur son balai Cette fois ils avaient vole à peine 3 minutes quand Angelina siffla. Harry qui avait juste aperçu le vif d’or vers le but opposé, abandonna, se sentant clairement lésé Quoi encore? Dit il impatiemment à Alicia, qui était la plus près


‘Katie’

Harry se tourna et vit Angelina, Fred et George Volant aussi vite qu’ils le pouvaient vers Katie. Harry et Alicia se dépêchèrent vers elle également. Il était clair qu’Angelina avait arrêté l’entraînement juste à temps, katie était maintenant d’un blanc craie et couverte de sang

elle a besoin d’aller à l’infirmerie dit Angelina

nous l’amènerons dit Fred elle – euh – a du avaler une ampoule réservoir de sang par erreur

bien il n’y a aucun intérêt à continuer sans batteurs et un poursuiveur parti dit Angelina tristement comme Fred et George se dirigeaient vers le château soutenant katie entre eux. ‘venez, allons nous changer’

les serpentards continuaient à chanter comme ils se traînaient jusqu’à leurs vestiaires.

Comment était l’entraînement ? demanda Hermione plutôt froidement une ½ heure plus tard, comme Harry et Ron traversait le portrait vers la chambre commune des gryffondors. ‘c’était –‘ commença Harry

‘complètement nul’ dit Ron d’une voix caverneuse, s’enfonçant dans un fauteuil à coté d’Hermione. Elle regarda Ron et sa dureté sembla fondre.

C’était ton premier, dit elle pour le consoler. Ca prend forcément du temps pour –

Qui a dit que c’était moi qui avait été nul ? répondit Ron instantanément Personne dit Hermione semblant prise de court, ‘je pensais –

Tu pensais que j’étais forcément mauvais ?

Non bien sur que non ! tu as dit que c’était nul alors j’ai juste –

Je vais commencer mes devoirs dit Ron en colère, s’en allant d’un pas lourd vers l’escalier des garçons et disparaissant hors de vue. Hermione se tourna vers Harry Était il nul?

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