Remerciements

Ce dernier volume a été l’enfer. Trois enfers et une belle saleté. Encore une fois, mes remerciements vont à mes directeurs littéraires et mes éditeurs, dans leur longue épreuve : à Jane Johnson et Joy Chamberlain chez Voyager, et à Scott Shannon, Nita Taublib et Anne Groell chez Bantam. Leur compréhension, leur bonne humeur et leurs conseils avisés m’ont aidé durant les moments difficiles, et je ne cesserai jamais d’être reconnaissant de leur patience.

Merci également à mes agents, tout aussi patients et encourageants, Chris Lotts, Vince Gerardis, la fabuleuse Kay McCauley et feu Ralph Vicinanza. Ralph, j’aimerais que tu sois là pour partager ce moment.

Et merci à Stephen Boucher, l’Australien errant qui aide à préserver la fluidité et les ronronnements de mon ordinateur chaque fois qu’il fait halte à Santa Fe pour un petit déjeuner burrito (Noël), accompagné de bacon au jalapeño.

Pour en revenir ici, en première ligne, je dois aussi remercier mes chers amis Melinda Snodgrass et Daniel Abraham pour leurs encouragements et leur soutien, à Pati Nagle, ma webmestre qui entretient mon petit coin d’Internet, et à l’épatante Raya Golden, pour les repas, les peintures et la bonne humeur sans faille qui ont aidé à illuminer même les journées les plus sombres, à Terrapin Station. Même si elle a bel et bien tenté de me chouraver mon chat.

Si j’ai pris longtemps pour exécuter cette danse avec les dragons, elle aurait sans doute exigé deux fois plus de temps sans l’assistance de mon fidèle (et acerbe) acolyte et compagnon de voyage à l’occasion, Ty Franck, qui soigne mon ordinateur lorsque Stephen n’est pas là, repousse les hordes virtuelles affamées à mes portes, effectue mes courses, classe mes documents, prépare le café, déchire grave et compte dix mille dollars pour changer une ampoule électrique – tout en écrivant le mercredi des bouquins bien à lui, qui tapent fort.

Et en dernier lieu, mais non le moindre, tout mon amour et ma gratitude vont à ma femme, Parris, qui a dansé chaque pas de tout ceci à mes côtés. Je t’aime, Phipps.


George R.R. Martin

13 mai 2011


Le traducteur et l’éditeur remercient chaleureusement les membres La Garde de Nuit (www.lagardedenuit.com), site francophone des fans du Trône de Fer, pour leur aide précieuse et leur relecture attentive.

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