Mes fidèles lecteurs remarqueront que, cette fois, j’ouvre beaucoup de parenthèses au cours de ce récit palpitant. Qu’ils m’en excusent si ça leur déplaît. La parenthèse, c’est un peu l’opium du littérateur. Qu’ils me permettent aussi de leur faire respectueusement remarquer que je les referme toujours.
Comme on dit chez nous !
Si je puis dire
Si j’ose m’exprimer ainsi.