roman

« J'avouerai que j'ai eu la hardiesse de laisser aux personnages les aspérités de leurs caractères... A quoi bon leur donner la haute moralité et les grâces des caractères français, lesquels aiment l'argent par-dessus tout et ne font guère de péchés par haine ou par amour? Les Italiens de cette nouvelle sont à peu près le contraire. »

STENDHAL,


Avertissement


à


La Chartreuse de Parme.

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