Pour rafraîchir la miséreuse mémoire de mon lecteur, je tiens à préciser ici que cet exécuteur des hautes œuvres est l’inventeur d’un nœud coulant fameux, connu en Angleterre sous l’appellation de « Nœud de Ted » ; qui, une fois franchi le Channel et subi l’inversion d’usage, devait donner chez nous ce fameux « tête de nœud » couramment employé par les chauffeurs de taxi.
A propos, Scott : j’ai bien reçu le numéro de Newsweek dans lequel tu tartines sur moi des choses formidables, bien qu’écrites en américain. Merci.
Calembour obscur, qui ne s’éclaircit que pour les lettrés ; disons-le, ici le grand infra-écrivain fait allusion au poète Stéphane Mallarmé. Il a eu fait mieux dans l’à-peu-près, mais l’apanage des sous-littérateurs, c’est qu’ils n’ont pas besoin de se sortir les pouces du cul pour écrire.
Monchu : monsieur en patois dauphinois.
Mon lecteur, grâce à sa vaste intelligence qui lui ruisselle de partout, aura remarqué que ces têtes de chapitres sont sans le moindre rapport avec l’action ; tout comme l’action n’a rien à voir avec le livre, et inversement.
L’ami de Sana doit parler de Ouarzazat.
Censuré par l’éditeur qui déteste les procès.
Il faut revenir aux convenances, de temps à autre, si l’on veut préserver sa bonne éducation.
Il arrive à San-Antonio d’opérer des projections dans le futur et, conscient qu’il est de la relativité du temps, de parler du présent au passé, ce qui, tu le constateras, n’est qu’un gag très fugace.
Fèces s’écrit toujours au pluriel, mais je suis un homme assez singulier pour sucrer un « s » quand l’envie m’en biche.
San-A.
Le seul côté chiant de Sana, c’est sa culture.
Fabiola, Couine.