Remerciements

Un livre est une aventure d’abord solitaire, puis collective. Comme toujours, je dois exprimer ma reconnaissance envers les deux personnes qui m’accompagnent avec une constante générosité d’esprit depuis le premier jour : mes éditeurs Édith Leblond et Bernard Fixot. Tout au long de la rédaction de ce livre, ils ont été ma boussole et mon compas.

Il me faut ensuite remercier celles qui évitent à toute arche de papier le naufrage et la mènent à bon port. Par ordre d’apparition : Caroline Ripoll — elle l’a écartée des écueils vers lesquels il lui arrivait de faire voile —, Amandine Le Goff, Virginie Plantard et Christelle Guillaumot.

Et avec elles, toute l’équipe des éditions XO : Valérie Taillefer, Jean-Paul Campos, Bruno Barbette, Catherine de Larouzière, Isabelle de Charon, Stéphanie Le Foll, Renaud Leblond (impossible de les citer tous). Travailler avec vous est un privilège, le café est bon et la vue porte loin, de là-haut. Rien de tel pour prendre de la hauteur.

Je dois également remercier Marie-Christine Conchon, François Laurent et Carine Fannius pour leur enthousiasme indéfectible, ainsi que tous les gens de Pocket/Univers Poche.

Comme d’habitude, ce livre n’aurait pu être écrit sans l’aide précieuse de mes contacts au SRPJ de Toulouse — ils se reconnaîtront. S’il y a des erreurs, elles ne leur sont en rien imputables. Prenez-vous-en à l’auteur, accablez-le, ce doux rêveur, ce faiseur d’histoires, qui doit jongler avec mille et une balles.

Je remercie le personnel d’Air France, qui m’a fourni nombre d’informations au cours d’un vol Paris-Mexico. Ils s’étonneront de ne pas les trouver ici. Mais les circonstances et l’écriture en ont décidé autrement. Ce n’est que partie remise, les amis.

Mon épouse, Joëlle, pour toutes ces années de complicité qui m’ont rendu la vie plus facile.

Jo, parti bien trop tôt, pour sa générosité et son tempérament, tu manques.

Enfin, Laura — qui a porté ce livre et son auteur loin des ombres, avec le cœur et la raison.

Ah oui, j’oubliais : il y en a un dernier que je voudrais remercier. Il s’appelle Martin Servaz.

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