Ce roman évolue en permanence à la frontière entre réalité et fiction. Ce qui est réel a bénéficié de l’aide et de l’expertise de nombreuses personnes, qui n’ont pas toutes souhaité être citées, raison pour laquelle je n’en citerai aucune. Je veux cependant les remercier chaleureusement. Ce roman leur doit beaucoup. Aucune d’elles ne peut cependant être tenue pour responsable de ses erreurs ni des points de vue exprimés par les personnages, qui ne sont pas forcément – j’insiste là-dessus – ceux de l’auteur.
Ce roman s’est aussi nourri d’un certain nombre de lectures. Parmi celles-ci, et cette liste est loin d’être exhaustive, on trouvera L’Archipel français de Jérôme Fourquet (Seuil), Les Territoires perdus de la république, sous la direction d’Emmanuel Brenner (Pluriel), Le Maire et les Barbares d’Eve Szeftel (Albin Michel), Les Ingouvernables d’Éric Delbecque (Grasset), Le Viol de l’imaginaire d’Aminata Traoré (Pluriel), Opération Licorne 2003 du général Nicolas Casanova (Éditions du Signe), Dictionnaire des opérations extérieures de l’armée française, de 1963 à nos jours, sous la direction de Philippe Chapleau et Jean-Marc Marill (Nouveau Monde), Impunité zéro, violences sexuelles en temps de guerre, sous la direction de Justine Brabant, Leïla Miñano et Anne-Laure Pineau (Autrement), La Haine dans les yeux de David Le Bars (Albin Michel), Colère de flic de Guillaume Lebeau (Flammarion), Toulouse, art de vivre de Greg Lamazères et Arnaud Späni (Privat), « Toulouse, le caractère d’une ville » (La Revue des vieilles maisons françaises, no 231), Preuve par l’ADN, la génétique au service de la justice de Raphaël Coquoz, Jennifer Comte, Diana Hall, Tacha Hicks et Franco Taroni (Presses polytechniques et universitaires romandes), Sur les traces de la police technique et scientifique de François Daoust (Puf), Manuel de criminalistique moderne et de police scientifique d’Alain Buquet (Puf), Police scientifique de Benoit de Maillard et Sébastien Aguilar (Hachette).
Enfin, il me faut remercier une fois de plus toute l’équipe des éditions XO, à commencer par Bernard Fixot et Édith Leblond pour leur soutien indéfectible et leur amitié, mais aussi Sarah Hirsch pour son travail exceptionnel sur le texte (que d’âpres discussions nous avons autour d’un mot, où il m’arrive parfois d’appeler, mais oui, Flaubert à la rescousse !), Bruno Barbette pour avoir illustré mon idée de départ et en avoir fait autre chose, Stéphanie Le Foll pour parler inlassablement – et si bien – de l’auteur, Renaud Leblond, Catherine de Larouzière, David Strepenne, Roxana Zaharia, Isabelle de Charon, Marie Salle, Pascale Vachon et tous les autres pour le cœur qu’ils mettent à l’ouvrage.
Je souhaite également saluer toute l’équipe des éditions Pocket pour la passion avec laquelle elle me porte longtemps après que les feux se sont éteints.
Quant à Laura, un simple merci n’y suffirait pas.