Trouvez l'erreur.
Aucune relation, même sexuelle, avec le fameux film Macao, l'enfer du jeu.
Salami.
Je parle de celui de la connasse qui montre le sien au fond du minuscule gobelet.
Superbe fin de chapitre ! Ne rien ajouter avant l'arrêt complet du véhicule.
Jeu de mot intraduisible en turc, en letton et en mauritanien.
Maurice Baquet, lui, joue du violoncelle Cérébos.
Je devrais écrire endoloriz.
Béru dixit.
Le verbe est de circonstance.
« Si je laisse ces gens me mener jusqu'à l'endroit où ils comptent se rendre, je serai en position de faiblesse. »
Qu'est-ce qu'il rouscaille, l'autre pomme, là-bas ? Que le li n'est pas une monnaie, mais une mesure itinéraire ? Tu ne te rends pas compte à quel point je m'en torche l'orifice austral, grand !
A propos de talus, t'as lu le Santantonio précédent qui titule : Grimpe-la en danseuse ? Presque un chef-d’œuvre !
San-Antonio a commis une erreur : il voulait très probablement écrire « impavide ». (La belle-sœur de son éditeur.)
San-Antonio veut sans doute parler de « nuit tombante ».
Savoie.
Piaf.
Bien entendu, un objet n'est pas adhéré, j'écris ça pour voir si tu réagis aux impropriétés de termes.
Léthargie ne signifie pas inconscience. Si, dis-tu ? O.K., je retire.
Seul San-Antonio est capable d'écrire avec pareille originalité. Et peut-être également Bernard-Henri Lévy, quand il a pris son Gériavit.
Ne jamais oublier que t'es dans un book à trente balles, mon Antonio, les poncifs doivent rester souverains !
Soit : All ! All !
Aucun doute : San-Antonio est bel et bien notre plus grand écrivain actuel de langue française.
Il serait malvenant d'évoquer chez moi un esprit fécond.