Par cette curieuse expression, San-Antonio fait référence à l’adage suivant : « Ne confondons pas chaude-pisse et première communion, c’est pas le même cierge qui coule. »
Nom donné à la nouvelle monnaie du San Bravo.
Si je te fous un mot espago, temps à autre, c’est pour créer le climat hispanisant. Naturellement, il ne correspond dans la réalité à rien de précis puisque je parle en espagnol et que je te traduis en français.
Comme tous les personnages de mes polars d’ailleurs.
En espagnol, dare-dare s’écrit dard-dard.
Je t’ai groupé les points d’exclamation à la fin, afin de ne pas cloisonner les invectives de Chiraco, qu’elles soient bien coulantes.
De quoi, je me te demande.
Mais c’est pas facile.
A propos de « Marius et Olive », pourquoi les histoires belges ont-elles détrôné les histoires marseillaises ? Et pendant que je suis sur ce chapitre, laisse-moi te préciser une chose. On appelle « histoires belges » des histoires flamandes. Les Belges wallons, eux, ne sont heureusement pas plus cons que toi, et même, tu vois, je me demande… C’est un auteur épris de justice qui dépose au bas de cette page ce rectificatif.
T’occupe pas, les verbes sont mes amis.
Nous avons demandé à San-Antonio la signification du néologisme liturger, employé de manière nous semblait-il anarchique dans ce paragraphe. Il nous a répondu que nous devions aller nous faire foutre. Nous avons suivi son conseil et avons lieu de nous en féliciter.
Très joliment dit, on se croirait dans un vrai roman d’action ; comme quoi San-Antonio ne doit pas désespérer.
Il est à noter que San-Antonio se complaît dans ce genre d’indigences. Elles abondent dans certains de ses ouvrages, comme celui-ci par exemple. Que le lecteur veuille bien nous les pardonner.
Vous voyez : il continue !
Petit animal britannique, grand amateur de carottes, que l’on dépêche à ses rendez-vous pour vous excuser lorsqu’on a un empêchement.
Etrange expression de la part de San-Antonio qui déteste les pléonasmes habituellement.
Le sémaphore, c’est ma force, et la métaphore également.
Ça m’est venu tel que. Mais je suppose que j’ai dit que cette matinée était équestre parce qu’elle est à cheval entre la veille et le lendemain : comme quoi mon subconscient pense pour moi.
Ça, c’est un calembour que plus grand monde peut piger. Quand on me rééditera, dans cinquante piges ou cent, faudra le couper, je demande au correcteur de cette future époque.