Примечания

1

In Bertram Wolfe. Diego Rivera, New York, 1979, p, 103.

2

Diego Rivera, My Art, my Life, The Citadel Press, New York, 1960, p. 129.

3

Cité in Rivera, iconografía personal, FCE, Mexico, 1986 (Œuvres complètes, J.-J. Pauvert, Paris, 1964).

4

Frida Kahlo : « En ce temps-là, les gens avaient des pistolets et s'amusaient à tirer sur les lampes de l’avenue Madero, et à faire ce genre de bêtises. La nuit, ils cassaient toutes les lampes et tiraient sur n’importe quoi, juste pour s’amuser. Au cours d’une soirée chez Tina, Diego avait tiré sur un phonographe et j’ai commencé à m'intéresser à lui, même s’il me faisait peur » (Hayden Herrera, Frida, a biography, New York, 1988, p. 86).

5

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 43.

6

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 43.

7

Diego Rivera, op. cit., p. 103.

8

Olivier Debroise, Diego de Montparnasse, SEP, Mexico, 1985.

9

Guadalupe Rivera Marín, la fille de Diego et de Lupe Marín (Un Río dos Riveras, Mexico, 1989), raconte qu'un jour, alors qu’elle était encore adolescente, son père lui dit : « Aujourd’hui, mon fils aurait trente-cinq ans. » Et il lui raconta comment Dieguito était mort, parce qu’ils n'avaient pas de quoi acheter du charbon pour se chauffer.

10

Claude Fell, « Diego Rivera et les débuts du muralisme mexicain », Études mexicaines, n° 7, Perpignan, 1984.

11

In Hayden Herrera, op. cit., p. 15.

12

Dolores Olmedo, Frida revient à Paris, Paris, 1992, p. 11.

13

In Hayden Herrera, op. cit., pp. 41–42.

14

In Hayden Herrera, op. cit., p. 40.

15

In Raquel Tibol, Frida Kahlo, una vida abierta, Mexico, 1983, p. 40.

16

lu Raquel Tibol, op. cit., p. 45.

17

In Theodore Draper, American Communism and Soviet Russia, New York, 1977, p. 9.

18

La machette sert à couper la canne,

à ouvrir une brèche dans les forêts épaisses,

à décapiter les serpents et à détruire les nuisibles,

et à briser l’orgueil des riches sans pitié.

19

In Julio Antonio Mella, en los Mexicanos, Mexico, 1983, p. 60.

20

Diego Rivera, op. cit., p. 170.

21

Diego Rivera, op. cit., p. 172.

22

In Hayden Herrera, op. cit., p. 99.

23

Diego Rivera, iconografía personal, FCE, Mexico, 1986.

24

Christiane Barckhausen-Canale, Verdad y leyenda de Tina Modotti. La Havane, 1989, p. 170.

25

Diego Rivera, « Mexican Paintings », in Mexican Folkways, p. 8.

26

Diego Rivera, op. cit., p. 124.

27

Angelina Beloff, Memorias, SEP, Mexico, 1986, p. 86.

28

In Raquel Tibol, op. cit., p. 53.

29

Edward Weston, Daybooks, New York, 1961, vol. II, p. 198.

30

Diego Rivera. Portrait of America, New York, 1934. p. 15.

31

In Hayden Herrera, op. cit., p. 127.

32

Diego Rivera, Myself, my Double, my Friend the Architect, Hesperian, San Francisco, 1931.

33

En 1926, à la suite de la loi édictée par Calles décrétant la fermeture de la plupart des églises, commença, au centre et à l'ouest du Mexique, une guérilla connue sous le nom de « Christiade » qui opposait aux forces gouvernementales des paysans mal armés et combattant sous la bannière du Christ-roi. Cette guerre acharnée dura quatre ans et atteignit des sommets de cruauté — elle inspira notamment l’œuvre du romancier Juan Rulfo —, et fut naturellement déconsidérée par la plupart des intellectuels associés à la révolution. Pour eux, comme pour Diego Rivera, il n’était question que du fanatisme des réactionnaires. Pour mieux comprendre ce chapitre tragique de l’histoire du Mexique, il faut lire Jean Meyer, La Christiade, Paris, Gallimard, 1973.

34

Alexander Kerenski, The Catastrophe, New York, 1927, p. 3.

35

Diego Rivera, in Portrait of America, op. cit., p. 17.

36

Creative Art, New York, janvier 1929.

37

The Modern Quarterly, New York, automne 1932.

38

In Hayden Herrera, op. cit., p. 131.

39

In Hayden Herrera, op. cit., p. 132.

40

Ibid.

41

Voir Robert Lacey, Ford, the Man and the Machine, Boston, 1986, p. 304.

42

Rencontre due cependant au hasard, puisque, selon Wolfe, William Valentiner était venu à San Francisco surtout pour suivre la femme dont il était amoureux, Helen Wills, tenniswoman qui servit de modèle à Rivera pour sa fresque symbolisant la Californie.

43

Cité par Robert Lacey, op. cit., p. 318.

44

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 187.

45

Ibid., p. 188.

46

L’anecdote fut contée à Hayden Herrera par Lucienne Bloch.

47

In Hayden Herrera, op. cit., p. 148–150.

48

Diego Rivera, Portrait of America, op. cit., p. 10.

49

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 202.

50

Diego Rivera, Detroit dinámico, in Alicia Azuela, Diego Rivera en Detroit, UNAM, Mexico, 1985, doc. 10.

51

Diego Rivera, Detroit dinámico, in Alicia Azuela, op. cit., doc. 10.

52

In Hayden Herrera, op. cit., p. 163.

53

Peter Collier & David Horowitz, The Rockefeller, New York, 1976, p. 205.

54

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 205.

55

Bertram Wolfe, The Fabulous Life of Diego Rivera, New York, 1963, p. 326.

56

Diego Rivera, in El Arquitecto, série II, Mexico, septembre 1925.

57

Diego Rivera, Portrait of America, op. cit., p. 27.

58

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 210.

59

Hayden Herrera, op. cit., p. 168.

60

« El arte y el trabajador », Workers Age. New York, 15 juin 1933.

61

Diego Rivera, Portrait of America, op. cit., p. 27.

62

In Raquel Tibol, op. cit., pp. 53–54.

63

In Hayden Herrera, op. cit., pp. 171–172.

64

In Raquel Tibol, op. cit., pp. 56.

65

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 213.

66

Angelina Beloff, op. Cit., p. 60.

67

In Hayden Herrera, op. cit., p. 184.

68

In Hayden Herrera, op. cit., p. 184.

69

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 225.

70

L'expression est de Hayden Herrera, op. cit., p. 186.

71

Maison pour les oiseaux

Nid pour l’amour

Tout cela pour rien

72

Lev Ospovat, dans son livre sur Diego Rivera (Moscou, 1989, p. 392), parle de l'amitié « monstrueuse » du peintre mexicain, « turbulent, généreux, coureur de femmes et fantastiquement menteur », avec le vieux révolutionnaire « acculé à la défaite, méfiant et hermétique », et cite le propos de Trotski sur Rivera, rapporté par le peintre Juan O'Gorman : « Diego est atroce. Psychiquement, il est pire que Staline. Ce dernier, à côté de Rivera, semble presque un philanthrope ou un enfant de huit ans. »

73

Olivia Gall, Trotsky en México, Mexico, 1991, p. 217.

74

André Breton, œuvres.

75

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 224.

76

In Hayden Herrera, op. cit., p. 238.

77

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 226.

78

In Hayden Herrera, op. cit., p. 246.

79

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 226.

80

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 226.

81

In Hayden Herrera, op. cit., p. 276.

82

Tu vois, si je t’aimais, c’était pour tes cheveux

Maintenant que tu n’en as plus, je ne t’aime plus.

83

Entre 1928 et 1931, la revue Contemporáneos, publiée à Mexico, fut l'organe littéraire des écrivains d’avant-garde, proches du surréalisme, tels que Jaime Torres Bodet, Xavier Villaurrutia, Ortiz de Montellano ou Jorge Cuesta (qui épousa Lupe Marín après la rupture de celle-ci avec Diego Rivera). Le mépris de Rivera pour ces intellectuels détachés et « artepuristas » eut pour corollaire la condamnation du chef du mouvement muraliste par les représentants de la nouvelle génération, tels que Cardoza y Aragón ou Octavio Paz, qui dénoncèrent alors l'« impérialisme esthétique » de Rivera.

84

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 244. Le texte de Gladys March mentionne le nom de Quetzalcoatl, évidemment une erreur de transcription.

85

L’alliance entre le Mexique et l'Allemagne hitlérienne fut l’un des griefs majeurs des intellectuels mexicains contre la politique opportuniste de Lázaro Cárdenas. Dans son projet de fresque, Diego Rivera, en plus des portraits charges de Hitler et de Mussolini, caricaturait l’armée sous les traits d'un général « tête de cochon » et la révolution figurée par un âne.

86

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., pp. 242–243.

87

In Raquel Tibol, op. cit., p. 230.

88

Guadalupe Rivera Marín, Un Río, dos Riveras, Mexico, 1989.

89

Eli Boutra, dans son essai Mujer, ideología y arte (Barcelone, 1987), analyse très clairement l'ambiguïté de la féminité de Frida, dont « la peinture est un défi constant, une attaque irrévérencieuse des valeurs de l’idéologie dominante. Frida se permet le luxe, étant donné sa condition de femme, d’exprimer sans fard sa vision de la vie et de la mort, avec du sang, ce liquide si proche de la vie quotidienne des femmes et proscrit par l'art et par la société » (pp. 57–58).

90

In Raquel Tibol, op. cit., pp. 100–101.

91

Ces citations du Journal sont extraites du livre de Martha Zamora, El Pincel de la angustia, Mexico, 1987, pp. 229–232.

92

In Raquel Tibol, op. cit., pp. 107–110.

93

In Raquel Tibol, op. cit., pp. 107–110.

94

Le seul portrait d’Antonia par Diego Rivera figure dans le livre de Leah Brenner, An Artist Grows up in Mexico, New York, 1945.

95

La cérémonie de la messe fut adoptée spontanément par les populations indiennes au XVIe siècle, particulièrement au Yucatán et sur le haut plateau central. Cette messe, où le maïs (cultivé dans les milpas) symbolisait le dieu jeune identifié au Christ, a survécu jusqu'aux temps modernes, et joua même un rôle dans la guerre des Mayas Cruzoob au Yucatán et au Quintana Roo.

96

Mexican Folkways, juin-juillet 1926.

97

Journal de Frida Kalho, in Raquel Tibol, op. cit., p. 132.

98

Diego Rivera, Arte y Política, Mexico, 1979, p. 247.

99

In Elena Poniatowska et Graciela Iturbide, Juchitán de las mujeres, Mexico, 1989, p. 17.

100

In Elena Poniatowska et Graciela Iturbide, op. cit., p. 12.

101

José Vasconcelos, Ulises Criollo, Mexico, 1985, II, 1981.

102

Elena Poniatowska et Graciela Iturbide, op. cit., p. 12.

103

Filadelfo Figueroa, Tehuana y Sandunga, Oaxaca, 1990.

104

In Raquel Tibol, op. cit., p. 132.

105

Diego Rivera, Arte y Política, op. cit., p. 288.

106

Ibid., p. 328.

107

Ibid.

108

Ibid., p. 335.

109

Ibid., p. 325.

110

La Cuestión del arte in México, in Diego Rivera, Arte y Política, op. cit., p. 322.

111

Ibid., p. 446.

112

In Edward Weston, Daybooks, op. cit., vol. 1, p. 40.

113

Voir Frida Kalho, Un Portrait photographique, de Elena Poniatowska et Carla Stellweg, Éditions Arthaud, Paris, 1992.

114

Martha Zamora, El Pincel de la angustia, op. cit., p. 118.

115

In Raquel Tibol, op. cit., p. 63.

116

Le tableau sera plus tard vendu (pour trois mille dollars) au gouvernement de la Chine populaire, et disparaîtra en 1968 dans la tourmente de la Révolution culturelle.

117

Avec mon amour et amitié

Venus du fond de mon cœur

J'ai le plaisir de t'inviter

à ma modeste exposition.

À huit heures du soir

— Car tu as une montre en poche —

Je t'attends dans la galerie

De cette Lola Alvárez Bravo.

Elle se trouve au 12 d’Amberes

Et ses portes s'ouvrent sur la rue

De sorte que tu ne peux pas te perdre

Et je ne t'expliquerai pas davantage.

Je veux seulement connaître

Ton opinion juste et sincère

Tu as beaucoup lu et écrit

Ton savoir est majuscule.

Ces tableaux de peinture.

Je les ai peints de ma main

Ils attendent sur les murs

pour plaire à tous mes frères.

Voilà, mon vieux camarade.

Avec une amitié véritable

De toute son âme, elle te remercie

« Frida Kahlo de Rivera ».

(Cité in Martha Zamora, op. cit., p. 215.)

118

Souvenirs, in The Frida Kahlo photographs, catalogue de l’exposition de 1991, Dallas.

119

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 284.

120

In Martha Zamora, op. cit., p. 134.

121

In Martha Zamora, op. cit., p. 155.

122

In Carlos Monsivais, Frida Kahlo, una vida, una obra, Era, Mexico, 1992.

123

In Martha Zamora, op. cit., p. 155.

124

Diego Rivera, My Art, my Life, op. cit., p. 285.

125

Dolores Olmedo, Frida revient à Paris, Paris, février 1992.

126

À son ami, le romancier Andrés Herrestrosa, avant son amputation, Frida confia que, désormais, sa devise ne serait plus : « Arbre d’espoir, tiens-toi droit », mais : Esta anocheciendo en mi vida. Hayden Herrera, op. cit., p. 416.

127

Cité par Carlos Monsivais, Frida Kahlo, una vida, una obra, op cit., 11.

128

Maria del Pilar Rivera Barcientos, Mi hermano Diego, Guanajuato, 1986, p. 214.

129

Mexico en el arte, Instituto Nacional de Bellas Anes, Mexico, 1986, p. 39.

Загрузка...