Derrière le boulevard Pereire, à deux pas de l’entrepôt du chemin de fer et des fortifications, se trouvait un cabaret qui avait la permission de rester ouvert toute la nuit.
Il devait cette faveur exceptionnelle à cette proximité de l’entrepôt où le travail ne cessait jamais tout à fait, avec ses locomotives que l’on entendait siffler à toute heure et le bruit du fer battu qui montait dans les ténèbres, percées çà et là des feux des forges.
Ce débit, de bien modeste apparence, avait pour enseigne: