Chapitre dédié à Ernest Hemingway.
Chapitre dédié à Gustave Flaubert.
Chapitre dédié à Charles Baudelaire.
Je n’arrête pas le progrès !
Un gentil à moi, roux comme un tournesol, croit que je me moque des rouquins ! Quelle sottise ! Je les adore, surtout quand je suis enrhumé.
Quartier de Haute Surveillance.
De là l’expression « Se mettre le doigt dans l’œil ».
Lire, si ça n’a pas été fait, Bosphore et fais reluire, en vente dans toutes les librairies dignes de ce nom.
Chapitre dédié à William Shakespeare.
Je dis une Camel, mais ça peut être une Gauloise, une Marlboro ou toute autre source cancérigène du genre ! Je ne fais aucune pub payante.
Verbe bouche-béer, 1er groupe.
Chapitre dédié à Pierre Choderlos de Laclos.
« Pas de ceci, Betty », est l’équivalent américain de notre « Pas de ça, Lisette ».
Le « yes » de la tête yankee rappelle le « oui » français à cela près qu’il est effectué plus lentement.
Chapitre dédié à Louis-Ferdinand Céline.
Béru dixit.
Ne commande jamais de gelée comme dessert dans un restaurant amerlock, non seulement tu ne sais pas ce que tu bouffes, mais c’en est !
Chapitre dédié à Paul Claudel.
Et, à ma pomme :
Je l’aime bien, celle-là. Elle était de mon ami Léon et je la ressors souvent en mémoire de lui.
Le mot « renard » me fait penser à une blague.
C’est Jeannot lapin qui passe devant une nichée de renardeaux.
« Salut ! leur dit-il, je viens baiser votre mère. »
Outrés, les renardeaux vont rapporter ses paroles à leur maman, laquelle, folle de rage, annonce qu’elle va égorger le goujat. Elle se lance à la poursuite de Jeannot lapin. Celui-ci plonge dans son terrier. La renarde en fait autant mais reste coincée, un terrier de lapin étant plus étroit qu’un terrier de renard. Comme elle a le derrière à l’extérieur, Jeannot sort de chez lui par l’autre bout du terrier et se met en position pour tirer la maman renard.
Il soupire :
« C’est pas que j’en ai tellement envie, mais je l’ai promis aux enfants ! »
Chapitre dédié à Aldous Huxley.
Chapitre dédié à René Clément.
J’ai connu une vieille bonne femme qui s’appelait Dauchas et tout le monde disait d’elle : « la mère Dauchas » ; ça faisait poiler ceux qui ne s’appelaient pas Dauchas.
Avant, j’aurais dit « comme le sexe d’un académicien », tout court, sans ajouter diabétique, mais depuis que Jean Dutourd a fait premier au concours d’éjaculation départ arrêté de Jouy-en-Josas, je préfère jouer la prudence.
Chapitre dédié à Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski.
Billet de cent dollars.
Chapitre dédié à Margaret Mitchell.
Zola.
Surnom de New York.
Chapitre dédié à George Sand.
« Mes gages ! mes gages ! » que crie Sganarelle à la fin de Don Juan.
Sous-entendu : sinon, je serais effectivement sa fille.
Sana pour les dames.
Chapitre dédié à Albert Camus.
Félicie a presque les mêmes.
Alpes-Maritimes.
Chapitre dédié à Léon Tolstoï.
Indien vaut mieux que deux tu l’auras, comme l’écrivait le bon Le Poulain.
Chapitre dédié à Jean Cocteau.
Il est louable, de la part d’un grand romancier, de le voir bannir de sa prose toute comparaison à connotation raciste. Harlem Désir
Il est à peu près certain que Bérurier parle ici de « Balmoral ».
Chapitre dédié à Pierre Loti.
De nos jours, une houri est une mégère. Initialement, il qualifiait une vierge ou une très belle femme !
Je ne fais pas allusion à celui qui a découvert la force élastique de la vapeur, mais à celui qui n’a pas inventé l’eau chaude.
Béru dixit.
Chapitre dédié à Henri Beyle, dit Stendhal.
Quartier italien de N.Y.
Comme disait Douglas.
Qu’à juste raison, Jean Dutourd écrit « toquante » dans le « catrain » qu’il a composé pour Frédéric Dard dans son délicieux ouvrage intitulé « Vers de circonstance ».
Conclusion dédiée à la marquise de Sévigné.