Brûlures, morsures, déchirures. Des chiens mordent. Des meutes de chiens. Des vagues incessantes de chiens. Des ruées de chiens ardents,impétueux et dont je ne puis parler à personne, dont je dois, dans un pareil moment, me retenir de parler, faisant comme s’ils n ’étaient pas là, comme si j ’étais au repos... tranquille, hors d ’atteinte.
Henri Michaux, Face à ce qui se dérobe.