Même si, par souci d’authenticité, j’ai utilisé des titres bien réels tout au long de ce roman (archevêque de Milan, doyen du Collège des cardinaux et ainsi de suite), je les ai utilisés de la même façon qu’on peut décrire un président des États-Unis ou un Premier ministre britannique de fiction. Les personnages que j’ai créés pour remplir ces fonctions ne sont pas censés présenter la moindre ressemblance avec les personnalités qui les occupent effectivement aujourd’hui. Si je me suis égaré et qu’il existe certaines similitudes superficielles, je m’en excuse. De même, malgré quelques traits communs apparents, le défunt Saint-Père décrit dans Conclave n’est nullement supposé être un portrait du pape actuel.