Le Conseil national de l’Ordre des médecins réaffirme son hostilité à l’avortement libre, estimant que si le législateur l’autorisait, cette « besogne » devrait être pratiquée par un « personnel d’exécution particulier » et dans des « lieux spécialement affectés : les AVORTOIRS ».


Journaux du 8 avril 1973

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