Ce deuxième attention est écrit en anglais.
Et non du Stradivarius comme le prétendent une bande d’incultes.
Note pour mes lecteurs lycéens : Surtout, n’utilisez jamais le verbe accéder comme je le fais ici, sinon on vous abreuverait de sarcasmes. On vous dirait que vous êtes les rois de l’ignardise et on vous demanderait si vous avez appris à lire dans San-Antonio. Vous avez beau les mettre au pli, y reste encore pas mal de truffes dans le Coran saignant.
Pour Béru, le singulier de fléaux.
Évidemment, c’est pas français, et après ?
Aucune nouvelle ne saurait causer plus de plaisir à certains de mes chosefrères.
Maintenant, on peut causer de ça. Autrefois, je me faisais alpaguer pour injure au couvre-chef de l’Etat !
J’ai oublié de vous prévenir : c’est comme ça qu’il s’appelle, le miniss.
Et Dieu sait s’il y en a ! (Note (impertinente) du correcteur.)
Dorénavant, je manierai le pluriel des mots en « al » à ma guise.
Ce qui représente un foutu bond, vu que le phacochère vit en Afrique et le jaguar en Amérique du Sud.
Le détail poussé ne nuit jamais à une métaphore, bien au contraire, il l’accrédite.
Certains de mes confrères, sans scrupules, collent des noms aussi longs à leurs personnages pour « faire du lignage ». Ma fécondité est trop connue pour que j’aie besoin de me disculper. Le copain de Bérurier se nomme de la sorte précisément parce que la place ne m’est pas comptée, et non plus que la typographie. Mon éditeur a les moyens de permettre à ses auteurs des fantaisies de ce genre.
Ne voulant tout de même pas abuser des bonne choses, je vais le nommer par ses initiales afin d’inaugurer une ère de restriction, à laquelle, j’espère, mon éditeur sera sensible et qui lui permettra d’écraser quelque peu les méfaits de la nouvelle TVA.
Un armateur n’est pas tenu à faire montre d’originalité dans l’emploi de ses métaphores, la chose est précisée dans le code maritime.
J’en ai classe de l’expression « bel et bien ».
C’est instinctif chez lui.
Ce qui est également instinctif chez lui.
Du nouveau est écrit en majuscules sur l’original.
Vous voyez, ce que je vous causais plus haut à propos des expressions toutes faites : on n’arrive pas à s’en décoller ; c’est pire que les vieux papiers tue-mouches.
Encore un cliché et la prochaine fois je serai à l’amende de mille balles et on ira les boire, d’ac ?
Elle peut pas être « vautrée », puisque c’est une femme !
En écrivant qu’elle « fait irruption », j’évite de préciser qu’elle « ouvre la porte », comprenez-vous ? Nous avons des petits trucs de métier, comme ça, pour escamoter certaines répétitions qui à la longue nuiraient à la tenue littéraire de nos zœuvres.
Voyez comme les enfants utilisent déjà les clichés des grands !
« Un visage émacié produit toujours son petit effet dans une description. »
Si vous me trouvez par trop scatologique, lisez les « Mémoires du Général ».
C’est mon éditeur qui m’a demandé de faire courir ce chiffre !