Remerciements

Merci à Bernard Fixot et Édith Leblond de m’offrir ce plaisir inouï : vivre de ma liberté créative. À mon éditrice Camille le Doze pour m’avoir une nouvelle fois accompagné avec professionnalisme et bienveillance dans le processus de « réaccouchement » du texte. À mon attachée de presse Stéphanie Le Foll : si elle est folle de quelque chose, c’est bien de son métier de faiseuse d’articles. À Sarah Altenloh, mon attachée de presse belge qui a le superpouvoir de concentrer un mois de promotion en cinq heures. À Renaud Leblond pour ses remarques attentives et son sens de la concision. À David Strepenne qui pilote le paquebot commercial comme il manie sa moto. Et à toute l’équipe de XO, aussi discrète qu’efficace, mobilisée pour vous offrir le plus grand plaisir de lecture.


Un plaisir de lecture qui ne parviendrait peut-être pas jusqu’à vous sans tous les libraires de France, de Belgique, de Suisse et du Québec, qu’ils soient indépendants ou non, loin d’être des « Passagers sans visage », vous êtes de formidables passeurs d’âme sur lesquels on peut mettre un visage. Avec une mention toute spéciale pour mes deux plus fidèles soutiens, Jérôme Toledano, de la librairie Les Cyclades, qui a une telle confiance dans ses lectures qu’il ose le « satisfait ou remboursé », et l’électrique boule de flipper à multi-bonus, Caroline Vallat.


Et, enfin, ce plaisir de lecture qui j’espère a été le vôtre n’aurait jamais pu se matérialiser sans mes deux primo-lecteurs. D’abord Olivier Pannequin, dévoreur de scénarios et de cinéma, qui continue année après année à me prouver son amitié en me disant la vérité sans me brusquer. Un merci tout spécial pour ta diabolique suggestion de dernière minute… Et enfin le plus grand des mercis à ma femme Caroline qui sait tout aussi bien se retrousser les manches quand il s’agit de corriger mes premiers écrits que m’ouvrir les bras quand il s’agit de m’aider à relever ce qui peut m’apparaître comme un impossible défi. Merci de croire en moi sans jamais douter. Parfois je suis à deux doigts de m’y croire… jusqu’à ce que tu me rappelles qu’il reste de la vaisselle à terminer.

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