[1] Ces préparatifs sont ceux d’une campagne contre la Maison d’Autriche à propos des duchés de Clèves et de Juliers.

[2] Aujourd'hui quartier et boulevard Bonne-Nouvelle. (Note de M. Zévaco.)

[3] Au Faubourg-Montmartre, la route remontait vers le nord-est, en une ligne oblique, jusque sur les côtés du village Clignancourt. Là, une croix et un chemin qui, passant devant Clignancourt, contournait la butte. De la croix, la route repartait franchement de l'ouest à l'est, jusqu'au Faubourg Saint-Denis où elle aboutissait à l'angle du couvent de Saint-Lazare. (Note de M. Zévaco).

[4] Ce moulin appartenait aux Dames de Montmartre. Plus tard, lorsqu'il n'en resta que la tour, en pierres, on l'appela la Tour des dames. De là, la rue actuelle qui porte ce nom. (Note de-M. Zévaco).

[5] Les renseignements que nous donnons concernant la crypte des Martyrs ne sont pas inventés à plaisir. Ils sont rigoureusement authentiques. La cave mesurait 11 mètres de long sur 6 de large environ, et 2,50 m de hauteur. Sur l'autel étaient gravés des signes, des croix, deux clés en croix et ces fragments de mots Mar… Clemin… Dio… La crypte fut comblée pendant la Révolution. En ce qui concerne les grottes et souterrains, ou nous faisons évoluer Pardaillan et son fils, nous rappelons que jusque vers la moitié du dix-neuvième siècle, des carriers exploitèrent tout le gypse existant sous les terrains de l'ancienne abbaye et de la chapelle des Martyrs. (Note de M Zévaco.)

[6] Pour le lecteur curieux de connaître le chemin parcouru, sous terre, par nos personnages, nous dirons que le gibet se dressait là où passe actuellement la rue de Ravignan. La fontaine du But ou du Buc, ainsi nommée parce que les Anglais, du temps où ils étaient maîtres du royaume, venaient s'y exercer à l'arc, était située sur le versant nord, à peu près où passe la rue Caulaincourt. (Note de M. Zévaco.)

[7] Il y avait une autre rue du Colombier plus loin, au sud-est de l'abbaye. Elle prit plus tard le nom de Vieux-Colombier, qu'elle porte encore. (Note de M. Zévaco.)

[8] Jean Chastel, auteur le 27 décembre 1594 d'un attentat contre le roi auquel il asséna un coup de couteau qui lui fendit la lèvre Il subit le terrible châtiment des parricides Guignard, de Varade autres auteurs de divers attentats contre Henri IV.

[9] Aujourd'hui, nous disons: Reuilly (Note de M Zévaco.)

[10] Sic. (Note du correcteur – ELG.)

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