« … Si les Juifs ne veulent pas travailler, ils sont abattus ; s’ils ne peuvent pas travailler, ils doivent aussi mourir. Il faut les traiter comme les microbes de la tuberculose susceptibles d’infecter un corps sain. Ce n’est pas cruel si l’on considère qu’il faut tuer même des êtres innocents comme des cerfs ou des lièvres pour éviter des dégâts. Pourquoi épargner ces bêtes qui ont voulu nous apporter le bolchevisme ?… Les peuples qui ne se sont pas défendus contre les Juifs ont péri… La force motrice [du capitalisme et du bolchevisme] est en tout état de cause la haine éternelle de cette race maudite qui, depuis des milliers d’années, châtie les nations comme un vrai fléau de Dieu jusqu’à ce que sonne l’heure pour ces nations de reprendre leurs esprits et de se redresser contre leurs bourreaux… »
Propos de HITLER,
Vassili Grossman, article pour
Krasnaïa Zvezda, intitulé
« Aujourd’hui à Stalingrad »
Mars-avril 1943