« Il n’y a pas de compromis entre le Bien et le Mal. »
ROOSEVELT à la conférence de Casablanca
24 janvier 1943
« Êtes-vous, et le peuple allemand est-il déterminé, si le Führer l’ordonne, à travailler, dix, douze et si nécessaire quatorze et seize heures par jour et donner le maximum pour la Victoire ?
« Je vous demande voulez-vous la guerre totale ?
« Voulez-vous qu’elle soit si nécessaire, plus totale et plus radicale que nous ne pouvons même l’imaginer aujourd’hui ? »
Discours de Joseph GOEBBELS
au Sportpalast de Berlin
(La foule a hurlé : « Heil ! Heil ! Totalkrieg !
Ordonne, Führer, nous te suivrons ! »)
18 février 1943
« La guerre atteint son paroxysme. La nation française que l’ennemi s’acharne à vider de sa substance par la déportation, le pillage, les fusillades, tâche de garder et d’organiser ses forces vives pour les suprêmes efforts de demain. C’est avec angoisse qu’elle interroge l’horizon d’où devraient venir les secours. C’est avec anxiété qu’elle regarde vers son Empire. »
Charles DE GAULLE,
appel lancé de la radio de Londres
12 mars 1943