Et pour finir…

Merci de m'avoir suivi jusqu'à ces pages. Heureux de vous y retrouver. Même si le rideau tombe sur cette aventure-là, ce n'est pas encore la fin puisque le moment de notre rendez-vous dans les coulisses est venu. Je ne sais pas quelle heure il est chez vous mais là où je me trouve, c'est la pleine nuit.

Vous êtes très nombreux à me faire savoir à quel point vous appréciez ce chapitre en plus, caractéristique de mes livres. Vous n'imaginez pas combien cet espace est important. D'autant que cette fois, vous y rejoindre, au calme, constitue à mes yeux un bonheur particulier. Comme si l'on revenait ensemble d'une expédition mouvementée vers des savoirs et des paysages inédits qui m'auraient ouvert d'autres horizons. J'espère que vous avez passé un bon moment. Je n'ai pas d'autre ambition.

Cette histoire, je la porte depuis huit ans. Elle est née un petit matin de juillet 2008, sous un ciel gris ardoise, alors que j'escaladais une paroi rocheuse escarpée surplombant la mer froide, le long d'une côte perdue. Rien de vertigineux, mais bien assez impressionnant pour moi. Je courais après une image pour tenter de fixer une atmosphère précise. Cueillir ce genre d'instant n'est jamais simple. Même si les miens n'étaient pas loin, j'étais seul, coincé entre l'eau et la roche. L'odorat réveillé, la vue débordée, l'ouïe aiguisée, cramponné à la roche brute dont mes doigts agrippaient la matière râpeuse, je cherchais l'angle. C'est alors que, comme souvent, la situation vous dépasse soudain. La soif de découvrir, l'énergie du lieu, le vent et l'eau salée se sont mélangés en moi pour donner naissance à une étincelle. Je me suis trouvé arraché au présent par une idée, presque foudroyé par une scène qui s'est imposée à mon esprit. Je l'ai littéralement sentie. Une sorte de coup de foudre qui vous fait bouillir la tête, immédiatement associé au désir de vous la raconter. Ce fut un moment extraordinaire. Je l'ignorais encore à cet instant-là, mais l'intrigue allait se construire lentement autour, jusqu'à la dépasser et la digérer — paradoxalement, la situation qui m'a donné envie d'écrire ce roman n'y figure pas. Dès lors, la conjonction formée dans mon imagination m'a littéralement obsédé. Je me suis lancé dans cette histoire, avec l'espoir de vous emmener sur des sujets et dans des endroits différents, en compagnie de gens ordinaires affrontant des situations qui ne le sont pas. Tant de choses me fascinent, tant de mystères dont notre époque accaparée par le commerce parle si peu. L'avenir du monde se joue souvent sur les réactions ou les décisions de gens comme vous et moi confrontés à des choix dont l'impact prend une ampleur inattendue. La vie nous entraîne toujours plus loin que ce que l'on a imaginé. Les photos que j'ai réalisées ce jour-là ne sont pas aussi extraordinaires que ce que j'espérais, mais j'ai ramené bien mieux : une idée qui n'aurait jamais pu naître ailleurs.

Mes livres ne parlent finalement que d'individus qui se rencontrent dans l'épreuve et apprennent à s'accepter en aimant. Le plus souvent, ils le font dans un décor quotidien, face à ces péripéties que nous connaissons tous un jour ou l'autre. Mais cette fois, j'ai souhaité les placer face à d'autres enjeux. On pense souvent que pour être à la hauteur des rendez-vous de l'histoire, il faut être prédestiné, formé, ou extrêmement doué. C'est une erreur. Chacun peut se trouver un jour désigné comme le porteur du destin de ses semblables. Notre mémoire collective nous le rappelle à chaque drame, à chaque catastrophe, mais aussi à chaque victoire, à chaque espoir et à chaque découverte. N'abandonnons pas les grandes décisions à ceux qui tentent de nous faire croire — avec plus ou moins de talent ! — qu'ils sont plus compétents que nous pour les prendre. La conscience de notre espèce habite en chacun de nous. Ne laissons personne décider contre nos meilleures valeurs et s'approprier notre futur. C'est souvent ce que mes personnages découvrent, aussi bien dans leur vie de tous les jours que face à des échéances plus conséquentes. Même un roman sans prétention peut reposer sur des sentiments essentiels.

Je pensais écrire ce livre après Demain j'arrête !, mais vous m'avez plébiscité en comédie et je n'ai pas voulu perturber notre relation naissante. Alors il m'a fallu attendre, patienter en gardant pour moi-même cette envie de galoper dans ce récit-là. Avec le recul, ce fut une chance, un vrai mieux, car durant ces années, non seulement vous m'avez offert ce lien exceptionnel que je savoure chaque jour, mais j'ai aussi appris à donner une autre profondeur aux personnages en me libérant du carcan des genres. C'est ainsi qu'entre deux comédies, ce roman m'a permis de conjuguer tout ce que j'aime écrire et vivre.

Pour mener à bien l'écriture de ce Premier Miracle, j'ai effectué énormément de recherches, de voyages et rencontré des experts. C'est un aspect du travail que j'apprécie énormément parce qu'il me permet de côtoyer des passionnés et d'apprendre à leur contact. C'est un immense privilège. Pour nourrir mon texte, je me suis plongé dans de l'eau encore plus froide que celle qui m'avait inspiré, mais aussi dans des archives de toutes sortes. Plus j'avançais dans l'intrigue, plus j'étais troublé par la façon dont les éléments réels se combinaient avec ce que j'avais imaginé. À chaque étape, j'aspirais de plus en plus à partager mon enthousiasme avec vous.

Mais avant de vous en parler, je souhaite vous conter une histoire autour de l'histoire, qui vous concerne de très près…

Tout au long des années écoulées, j'ai reçu énormément de courrier de votre part. Vous m'avez spontanément écrit des lettres, vous m'avez envoyé des cartes postales pour que je puisse décorer les murs de mon antre. J'ai reçu de tout, du spectaculaire, du poétique, du bouleversant, vous m'avez fait rire, vous m'avez impressionné. Chacun de vos envois m'a ému, j'ai mis des mois à tout lire. J'en ai reçu tellement que je n'ai pas pu tout mettre en place ! L'année dernière, vous m'avez à nouveau massivement écrit pour le concours, et ce sont au total des dizaines de milliers de cartes qui me sont parvenues. Chaque message représente un élan, un signe de vous, avec votre écriture, vos mots qui vous font exister dans ma vie et me touchent. Ces gestes envers moi sont sacrés, ils sont un peu mon premier miracle ! Je n'en tire aucune fierté, seulement du bonheur et une motivation supplémentaire à donner tout ce que je peux de mieux.

La question de savoir ce que j'allais faire de tous ces courriers s'est alors posée — ça m'apprendra à vous lancer des défis, vous m'avez blindé mon garage ! Il n'était pas question de me débarrasser de vos cartes. J'ai donc cherché la solution afin de leur assurer un avenir digne de ce qu'elles représentent à mes yeux et respectueux de votre attention à mon égard. Qu'était-il envisageable de faire de ces nombreux sacs postaux remplis grâce à vous ?

C'est un soir, dans le train qui me ramenait de Londres, après des recherches techniques, que j'ai trouvé la solution qui m'a tout de suite emballé.

Votre place est dans ma vie. Vous le savez, mes livres n'existent que pour vous et par vous, alors j'ai le plaisir de vous annoncer que pour la première fois au monde, grâce à l'appui de mes éditeurs qui m'ont suivi dans cette idée un poil déraisonnable, vos mots sont dans les miens. Le livre que vous tenez entre les mains est imprimé sur un papier recyclé qui contient la totalité de vos envois. Vous êtes physiquement dans ces pages. Vos petits mots constituent, au sens propre, une partie de la matière dont ce livre est fait. Personne n'avait jamais réalisé cela auparavant. J'aime l'idée que vos écrits se mélangent à ce que j'imagine pour vous. À mon sens, cet aspect symbolise fidèlement la relation que nous entretenons. Les minuscules petits points que vous pouvez distinguer dans les pages proviennent de toutes les régions de France, du monde, et peut-être de chez vous. Étant donné la complexité de l'opération, seul le premier tirage de mon livre bénéficie de cette particularité, jusqu'à épuisement. Ce n'est peut-être qu'un détail, mais il est pour moi essentiel et riche de sens. Pour avoir permis cet exploit discret, je veux ici remercier mon éditrice, Anna Pavlowitch, véritable alliée dans ce projet, mais aussi MM. Antoine Gallimard et Gilles Haéri, qui ont soutenu et rendu possible cette opération hors norme. Merci beaucoup aussi à Yves Lhommée, sans l'expertise technique et humaine duquel nous n'aurions pas réussi. Grâce à vous, mes modestes livres prennent une autre dimension. Nous ne sommes pas dans le recyclage, nous sommes dans l'affection !


Avant d'entrer dans le vif du sujet et de vous en dire davantage, j'ai deux faveurs à vous demander : si vous n'avez pas encore lu l'histoire, n'allez pas plus loin. Je vous en conjure, ne découvrez les pages qui suivent qu'après avoir traversé mon roman. J'ose vous faire cette demande uniquement afin de préserver votre plaisir.

Si par contre vous sortez tout juste de l'aventure et que vous en avez envie, je vous souhaite la bienvenue dans cette section qui vous est réservée. Mais j'ai du coup ma seconde demande à vous soumettre : pour garantir la surprise et la qualité de lecture de celles et ceux qui pourraient être tentés de se lancer dans l'histoire, je vous prie de ne rien révéler de l'intrigue ou de ses rebondissements. Merci de permettre à chacun une découverte aussi complète que sereine. L'aventure de Karen et Ben sera notre secret, partagé avec ceux qui auront fait le chemin. Je vous remercie de votre compréhension et de votre appui à ce sujet. Ma requête ne vise qu'à protéger ceux qui me donnent ma chance.


Puisque nous voilà entre complices, je peux vous en dire plus à propos de l'intrigue. Je vous l'annonçais plus haut, concocter cette histoire m'a demandé beaucoup de documentation, et j'ai eu l'occasion d'accumuler des données historiques qui m'ont à la fois passionné et fasciné. Je souhaite ici vous livrer quelques clés. Si mon histoire a produit en vous l'effet espéré, vous vous demandez sans doute ce qui est vrai et ce qui relève de l'imaginaire. La part de réalité est bien plus importante qu'on pourrait le croire. À titre d'exemple, les éléments figurant dans les passages et notes en italique du professeur Wheelan sont rigoureusement authentiques, sauf deux qui sont des extrapolations. Quelques faits parmi beaucoup : l'église d'York existe, et elle correspond précisément aux caractéristiques décrites, protégée par une ceinture de maisons qui la dissimule de la rue, privée d'électricité malgré le progrès, et réellement équipée d'une trappe dans son incroyable décor. Le kofun d'Osaka est aussi fascinant que l'histoire le présente. L'accès en est effectivement interdit et son dôme s'est véritablement effondré en 1872. Le temple d'Abou Simbel a bel et bien été déplacé dans une incroyable opération de sauvetage conformément à ce qu'explique Ben, et sa structure initiale est immergée exactement là où je la situe. Les découvertes archéologiques mentionnées sont intégralement basées sur des faits réels et avérés, que ce soit au Mexique, en Irlande ou en Égypte. Au chapitre historique, Rudolf Hess a bien effectué un vol secret jusqu'en Écosse et s'est effectivement écrasé dans les circonstances mentionnées. Les campagnes de fouilles du Reich, notamment au Moyen-Orient, continuent d'attiser la curiosité des spécialistes sans qu'aucune conclusion satisfaisante concernant leurs résultats ne puisse être établie. La version officielle de la mort d'Hitler racontée dans mon récit résulte du croisement des sources les plus fiables disponibles à ce jour émanant des Alliés, des Russes et de ses proches ayant écrit leurs mémoires. Les trois U-Boote allemands, U-296, U-396 et U-398, ont bien disparu aux dates spécifiées et ce qu'ils sont devenus reste un mystère encore aujourd'hui.

Sur un autre plan, il faut aussi mentionner l'exceptionnel intérêt du Splendor Solis, sur lequel j'ai eu la chance de pouvoir travailler. Ce manuscrit est absolument fascinant et je me suis senti devant ses pages comme Ben et Karen. Il est une énigme à lui seul et ses illustrations passionnent de nombreux universitaires qui tentent toujours d'en déchiffrer les possibles sens cachés.

Je pourrais vous parler des heures de tout ce que j'ai appris d'historique et d'archéologique à propos de Sumer, des fouilles nazies ou de l'Égypte, mais j'ai mieux à vous proposer. Sur mon site, vous pouvez découvrir un volet qui vous est réservé, un onglet dans lequel vous pourrez entrer après avoir répondu à une simple question dont la réponse se cache dans mon roman. Vous aurez alors accès à un contenu spécialement conçu afin de vous présenter quelques documents iconographiques qui, je l'espère, prolongeront l'aventure et vous donneront le goût d'en apprendre davantage. Pour les plus volontaires d'entre vous, à la fin de ce livre, j'ai préparé une bibliographie sélective d'ouvrages de référence qui vous permettra d'approcher les différents aspects de l'histoire avec plus de profondeur.


Chaque jour, dans tout ce que je fais, je tente de vous surprendre et de vous émouvoir tout en vous faisant sourire. Je suis comme un gamin qui dessine pour dire qu'il aime, ou comme un artisan qui accomplit pour créer modestement ce qu'il ne trouve pas ailleurs. Au service de votre imagination et de vos émotions, je me sens à ma place. C'est la première vie dont je me souviens, et j'apprends le métier. Je découvre tout ce qui fait la réalité de cette « industrie », mais pour être tout à fait honnête, à mes yeux, l'essentiel n'est pas là. Je reste fidèle à la première impulsion qui m'a poussé à écrire. Pourquoi suis-je là ? Quelle est mon utilité ? Qui me donne le courage de me lever à 3 h 00 du matin ? Qui arrive à me convaincre de quitter les miens pour partir sur les routes ? La réponse est simple : vous.

Ce que j'aime, c'est vous raconter des histoires. Ce n'est pas un job, ce n'est pas une p****n d'aventure, c'est ma raison d'être. Puiser dans la vie pour essayer de provoquer des sentiments qui peut-être, vous emmèneront plus loin ou plus haut. Je ne sais pas si j'y parviens, j'ignore même si j'en suis capable, mais je vous jure que j'essaie de toutes mes forces. J'ai la prétention des innocents.

Il y aura bien des esprits retors ou médiocres pour me taxer de démagogie ou de clientélisme… Les pauvres. Le succès que vous m'avez offert ne m'a pas transformé, je n'ai pas changé d'éditeur pour l'argent, le fait d'être en haut ou en bas des classements m'indiffère totalement. J'abandonne bien volontiers l'ego pour ne garder que le plaisir, l'envie et la puissance que vos regards m'apportent. Au contact de ce que vous m'offrez, je façonne une hygiène de vie de plus en plus convaincue. Vous faites évoluer mon approche de l'existence vers ce qui peut se résumer ainsi : si ce n'est pas émouvant, cela ne peut servir qu'à rire.

Je réfléchis chaque jour à la manière de mieux vous recevoir en dédicaces. Je prends le maximum de temps pour répondre à vos messages. Aucun n'est banal, aucun n'est anodin. Seule la limite temporelle m'empêche de vous répondre à chaque fois. J'espère que vous me pardonnez. N'oubliez jamais que l'énergie dont vous me nourrissez alimente tous mes projets. Mes idées sont une réponse à ce que vous me tendez. J'aime ce qui nous arrive, nos rencontres. J'aime vous faire l'effet que vous me décrivez. Chaque jour, vous me racontez que vous venez juste de me découvrir, qu'un proche vient de m'offrir à vous. Vous me confiez qu'à l'hôpital, dans la peine, dans le stress ou plus simplement dans le quotidien, je vous ai distraits. Vous m'associez à ce que vous vivez de plus fort, aussi bien dans le bonheur que dans la douleur. Vous me parlez de façon plus proche que si nous étions des amis. En fait, cette comparaison ne convient pas tout à fait : vous me parlez parce que vous avez quelque chose d'important à me dire. Je n'aurais pas rêvé mieux. Mes histoires ne sont peut-être que le prétexte à nos rencontres.

Dans le cadre de notre relation, ce livre est aussi un vrai test. Je vais vous confier mon rêve. Vous pouvez le rendre possible si vous jugez que je le mérite — ce n'est pas de la flatterie, c'est une réalité. J'ai envie de vous emmener dans des histoires variées, de genres et d'univers différents, d'être celui à qui vous ferez peut-être confiance pour le suivre dans tous les registres possibles. Accepterez-vous de me prendre la main les yeux fermés pour que je vous emmène ? Nous partirons dans des élans, pas dans des calculs ou des plans marketing. Nous nous embarquerons dans des histoires et pas dans des produits. Vous pouvez compter sur moi pour ne pas vous proposer un livre auquel je ne crois pas. En changeant d'éditeur, j'aurais pu jouer la sécurité et vous offrir la comédie prévue pour l'année prochaine. Mais j'ai changé pour prendre des risques, pour faire mon boulot du mieux que je peux, pour ne plus me perdre en combats inutiles contre ceux avec qui j'étais supposé faire équipe. Alors n'allez pas croire que je change de style, n'allez pas croire que je me suis fait racheter, ne doutez jamais de mon engagement. Vous me faites le cadeau de la liberté, je vous dois l'intégrité.

Je remercie sincèrement ceux qui m'ont soutenu par le passé. Beaucoup me manquent, mais je sais que nous nous retrouverons. Je remercie Anna Pavlowitch de m'avoir accueilli à ma demande. Travailler avec toi, bénéficier de ton exigence alliée à cette écoute humaine est une chance. Merci aux équipes de Flammarion de me donner les moyens de cette nouvelle aventure. Ma petite expérience me permet d'apprécier au plus haut point la relation de confiance et d'échange avec Gilles Haéri. Merci aux équipes de Bruno Caillet et de Christophe Martel sur le terrain. Joli hasard, j'ai aussi le plaisir de retrouver le talent de François Durkheim et son regard. Les mêmes, un peu plus loin, un peu plus libres. J'embrasse fidèlement Céline Thoulouze et Thierry Diaz. Je n'oublie aucun de ceux et de celles à qui je dois tout le positif que j'ai pu vivre auparavant. Merci aussi aux libraires qui me soutiennent et me propagent. Pour cette fois, je ne vais pas citer mes proches, que les plus fidèles d'entre vous connaissent déjà. Ils sont ma raison et mon moyen.

Je suis heureux de conclure avec celles et ceux pour qui j'écris. Ce livre, comme ma vie, est plus que jamais entre vos mains. Je n'échangerais ma place avec personne.

Je vous donne rendez-vous en octobre prochain, pour une nouvelle comédie. Son titre : Une fois dans ma vie. Je suis certain que cette expression trouve en vous un écho aussi fort qu'en moi. Un mélange d'enjeu et d'espoir… Je suis impatient de partager avec vous tout ce qu'elle recèle. Mais chaque chose en son temps. En attendant, si vous le voulez bien, ne changeons rien.

Où que vous soyez, quelle que soit l'heure, je vous embrasse.


Votre bien dévoué,

Gilles

www.gilles-legardinier.com

Gilles Legardinier

BP 70007

95122 Ermont Cedex

France

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